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Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? [PV Leo]

Anonymous





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Sam 7 Fév 2015 - 20:58
"Tu as entendu parler des rumeurs sur le nouveau ?"
"Si on parle du même, ouai."
"Eh moi j'en ai pas entendu parler !"
"Tu fais chier Franklin !"
"Pas ce surnom, ch'uis pas une putain de tortue !"
"Ta gueule, tu veux l'entendre ou pas ?"
"Ouai."
"Bon, on dit que ce mec adore être prit très violemment par plusieurs personnes en même temps, genre viol quoi."
"Oh ben putain !"
"Ouai, le mec est maso !"
"Ouai, mais c'est pas drôle de faire ce truc s'il aime vraiment ça."
"T'es con ou quoi ? Toutes les rumeurs sont pas vrais !"

Et un débat commença ainsi. Un autre homme se trouvait dans les douches, plus loin, dans un endroit un peu sombre, il les écoutait sans vraiment les écouter. Il se fichait pas mal de ce qu'ils pouvaient dire, il voulait juste prendre sa douche tranquillement. Cependant, il était d'accord avec l'un des types, toutes les rumeurs n'étaient pas vraies, la sienne par exemple ne l'était pas mais, il ne servait à rien de la nier, cela ne servirait qu'à l'alimenter un peu plus. Il là laissait courir, sans qu'un jour, elle se calmerait et disparaîtrait ... peut-être au profil d'un autre mais bon, il n'était plus à cela près. Soudain, la conversation changea sur un autre sujet, les mecs étaient très peu discrets, il était presque certain que les gardiens pouvaient les entendre mais il savait aussi que certains étaient pourris ...

"Bon alors, pour le jour de notre évasion, comment on fait ? On a déjà tout ?"
"Ouep et en plus, j'ai prévu un véritable feu d'artifice"
"T'es sérieux ?"
"Ouep, on m'appelle pas le "fou à la bombe" pour rien hein ? J'peux faire une bombe avec tout et n'importe quoi mon chou"
"Alors, comment ça s'passerait ?"
"Ben, t'sais, on ferait comme d'hab', on se lève, on prend la douche, on petit déjeune et puis après, je pose mes bombes aux endroits que j'ai choisis pendant que vous foutez le boxon pour faire une petite émeute après cela, vous vous éloignez et vous me rejoignez à l'endroit prévu et ensuite ... A NOUS LA LIBERTE !"

Ces mecs étaient complètement fous. Ils allaient faire exploser la prison, tuer des détenus et du personnel juste pour se barrer ? Cameron avait plutôt intérêt à les surveiller s'il ne voulait pas crever dans cette explosion ... Quoi que, cela lui permettrait de sortir d'ici même si c'était les pieds devant ... Mais qu'est-ce qu'il racontait ? Ca n'allait pas dans sa tête hein. Il appuya sans le vouloir sur le bouton pour que l'eau coule sur son corps et, évidemment, il s'est fait repérer. Cameron restait silencieux à les regarder, parfaitement calme avant de hausser les épaules et de partir avant qu'ils ne puissent réagir et lui sauter à la gorge.

***********************

Toute la journée, Cameron a été sur ses gardes sans pour autant en devenir parano. Il était sur ses gardes car il savait parfaitement que ce genre de type ne plaisantait pas et ne le laisserait pas partir si facilement. Mais, bizarrement, rien ne s'était produit autour de lui. Bon, c'est vrai, il les avait vus une ou deux fois lui jeter un coup d'oeil méchant mais ils n'avaient pas tenter de l'approcher. Etait-ce parce qu'ils devaient se tenir à carreaux jusqu'au jour de leur plan d'évasion ? Probable. Mais il fallait tout de même se méfier s'ils avaient des complices, des sous-fifres qu'ils n'avaient pas prévu dans leur plan, on ne savait jamais après tout. Finalement, une petite demi-heure avant le dîner, un gardien l'approcha et aboya :

"Lorenz, tu entres dans le quartier médical, tu poses ce carton dans le bureau du Docteur Atkins et tu te barres, capiche ?"

Le gardien jeta pratiquement le carton dans les mains du jeune homme avant de partir sans un mot. Cameron ne savait pas vraiment ce que contenait ce carton et il s'en fichait, il voulait juste s'en débarrasser pour être tranquille. Cependant, ce qu'il ne savait pas c'était que ce gardien était pourris, il avait été acheté par les fous qu'il avait entendus sous la douche et que le carton qu'il portait risquait bien de lui valoir une sacrée expérience puisque c'était le signal qu'il était la personne que le docteur attendait. Bref, Cameron marchait dans la prison, blasé, le carton protégé dans ses bras. Il trouva le bureau du docteur et il aurait adoré le poser sur le paillasson et se tirer mais il savait parfaitement que quelqu'un pourrait le voler et si ce carton contenait des aiguilles ou des trucs dans le genre ... il serait responsable et si quelque chose de mauvais se passait, cela lui retomberait sur la tronche et ça, il n'en avait pas envie.

Il toqua à la porte grâce à son pied par pur réflexe, ce n'est pas parce qu'on est un taulard qu'on ne connaît pas les bonnes manières. Il pensait qu'il n'y aurait personne mais une voix retentit et il haussa un sourcil. Il cala le carton entre son ventre et le mur avant d'attraper la poignée pour ouvrir la porte. Il entra par la suite et dit tout simplement :

"Bonsoir Docteur, on m'a chargé de vous remettre ce carton, je le dépose où ?"

Eh bien oui, il pensait partir immédiatement mais, il faut croire qu'aujourd'hui, finalement, rien n'irait comme prévu ...
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Anonymous





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Sam 14 Fév 2015 - 19:21
Il fut un temps où Leonel était un homme raisonnable, avec des principes et des valeurs liées aux droits de l'homme. C'est comme ça qu'on l'avait élevé en tout cas, avant que le naturel reprenne le dessus il y a de ça quelques années, quand pour la première fois il avait pu opérer son premier « patient » clandestinement. Le corps humain n'avait toujours été qu'un tas de viande pour lui, et la douleur une preuve de son existence. Bien sûr ça ne l'empêchait pas de respecter l'individu, si toute fois celui-ci avait de l'importance à ses yeux, ou une protection qui n'était autre que celle qu'imposait les lois de la société. Dans un monde anarchique, le chirurgien ferait un carnage, même s'il ne connaissait pas encore ses limites et qu'il n'avait encore jamais expérimenté ce qu'on pourra dès lors appeler de la torture, malgré ce que lui nommerait l'avancement de la médecine en tout genre, ou mieux : l'évolution.

Non, il ne pouvait que déduire quelles seraient ses réactions si une expérience tant attendue manifeste chez lui de l'empathie. Aussi loin que remontent ses souvenirs, jamais il n'avait ressenti une telle chose, dès le moment où son esprit et toutes ses pensées s'étaient tournés vers la science. Il s'était, et est encore, attaché à des personnes, sauf que les voir souffrir lui était assez dérisoire, car c'était pour lui uniquement le fonctionnement normal d'un événement. S'il venait en aide à une personne qui lui est cher, ce serait certainement pour la logique qu'on lui a inculpée, ainsi que pour ne pas perdre cet entourage, justement. Il est au fond très égoïste, c'est probablement là son principal problème.

Alors quand des voyous étaient venus le voir en lui proposant une jolie petite somme en échange de ses mains et de ses scalpels, avec pour seule consigne d'être libre de ses actes, Leo' s'était montré curieux. On lui demanda de se débarrasser d'un détenu ou de lui faire suffisamment peur qu'il en devienne muet. Pourquoi pas lui arracher la langue ou lui couper l'usage de ses membres ? L'important était de le faire taire. Le passionné fut d'abord réticent. Les mecs qui étaient venus le trouver n'avaient franchement pas l'air très malin, aussi il ne fut pas étonné qu'ils se soient fait surprendre lors d'une conversation ou d'une manœuvre délicate. Ils les auraient envoyé chier s'il n'y avait pas eu au final cette promesse de lui livrer un homme. Un corps.
L'employé n'avait pas l'intention d'en faire son œuvre principale, ses pensées se tournaient davantage vers les fous alliés pour ceci, mais d'au moins le chatouiller un peu pour combler sa triste vie.

À l'heure du dîner, il resta donc au bâtiment après avoir téléphoné à sa femme pour la mettre au courant de « ses heures supplémentaires ». Dans un bureau vide de ses collègues, il bouquina en attendant sa livraison, qui ne tarda pas à venir avec un carton à bout de bras. Quand le métis entra dans la pièce, le doc' se leva aussitôt et l'observa en silence, tout en contournant le meuble.
Le garçon n'était pas très baraqué, voire même fin et féminin, ce qui l'étonna quelque peu. Il aurait préféré avoir un mec avec une gueule de brute pour ne pas douter des autres abrutis, même pas capable de régler leurs comptes avec un prisonnier aussi clean. Pas qu'il défendait les faibles, si tant est que la victime le soit, mais il était extrêmement vigilant à propos de ce contrat.

« Dans le coin de la pièce, ici »

Dit-il en montrant d'un geste l'espace à côté de l'armoire.

Il se dirigea ensuite devant la porte avec un calme qui mit en avant une incroyable confiance en lui. Dans sa poche se trouvait la seringue destinée à endormir le molosse auquel il s'attendait, qu'il comptait ensuite traîner dans la salle d'opération liée à ce bureau, pour faire son affaire durant les prochaines heures. Il se tourna à nouveau vers le brun et croisa les bras.

« Comment t'appelles-tu ? »

Se précipiter dans ses projets ne servait rien, ça viendra. Faire connaissance non plus d'ailleurs, à moins que savoir l’identité du prisonnier lui serve au cas où il y a un problème. Mettre en confiance celui-ci par contre, pouvait également être utile au plan.

«  Avant toute chose, laisse-moi te mettre au courant de ce qui se passe. Il parait que tu as fait de vilaines choses il y a peu, on m'a demandé de m'occuper de toi. »

Il s'adossa contre la porte et observa ses moindres traits, se délectant d'avance des réactions qu'il imaginait déjà chez son martyr. Il n'en dit pas plus, il aimait tellement prendre son temps.
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Lun 16 Fév 2015 - 16:19
Il devait avoir la tête d'un mec qui aimait avoir mal, qui aimait être emmerder pour que ce genre de truc lui arrive. Ce n'était pas vrai, il n'était pas maso et il était loin d'être une femelette criant au secours à chaque fois que quelque chose se passait mal. Il l'avait prouvé par deux fois ... et pas d'une façon très intelligente. Il devait vraiment avoir une mauvaise étoile au dessus de sa tête, c'est ce qu'il pensait parfois en tout cas. Cameron ne savait pas encore qu'il avait mit les pieds dans un complot contre lui mais quand il le découvrira, qui sait comment il pourrait réagir ...

Son carton dans les mains, il avançait dans les couloirs de la prison qu'il connaissait pratiquement comme sa poche. Merci mémoire Eidétique ... Il lui était facile de se retrouver dans les murs gris qui se ressemblaient tous. Il connaissait quelques cachettes tranquille au cas où il sera poursuivit ou un truc dans le genre. Prudent et parano ? Non, juste prudent. Il arriva devant la porte du Docteur Atkins qu'il pensait déjà chez lui en train de dîner. Malgré tout, il frappa à la porte et lorsqu'on lui a répondu, évidemment, il a été surpris. Qu'est-ce qu'il foutait encore là à cet heure-ci ? Il y avait un blesser qui devait être surveiller ce soir ou quoi ? Lui qui pensait que les médecins de la prison pouvait partir à l'heure, il se fourrait le doigt dans l'œil. Il entra dans la pièce, salua l'homme avec sa tranquillité habituelle avant de se diriger vers l'armoire. Il s'accroupit et déposa le carton avec douceur sur le sol avant de se relevé.

Il se tourna alors vers la porte pour voir le Docteur accoler à cette dernière, comme s'il souhaitait qu'il reste dans son bureau ou comme s'il le coinçait. Cameron enfourna les mains dans ses poches, impassible, attendant d'entendre le Docteur qu'il regardait. Il ne l'imaginait pas vraiment comme ça, il l'imaginait plus ... plus ... il ne savait pas trop comment il devait l'imaginer en fait. Peut-être comme un savant fou ? Un mec avec des lunettes qui rigole comme un Joker dans Batman ? En même temps, s'il faisait ça, la prison ne l'aurait probablement pas engager ... Quoi que ...

"Je suis Cameron Lorenz. Vous êtes le Docteur Atkins n'est-ce pas ?"

Ben ouai, il demande au cas où, ce serait con qu'il se plante quand même. La suite, il ne s'y attendait pas du tout, le métis regardait, étonné le Docteur, cherchant dans sa mémoire ce qu'il aurait pu faire.

"J'ai fais des vilaines choses ? Ici ? Hm ... Je ne crois pas, je n'en ai pas le souvenir dans ce cas là."

Si c'était à l'extérieur de la prison il lui aurait dit oui bien entendu mais ici ... il n'avait pas tué, il n'avait pas volé. Bon, c'est vrai, il avait fumé un joint une ou deux fois depuis qu'il était là mais c'était tout et puis, il ne s'était jamais fait prendre. Si le vendeur l'avait dénoncé, il l'aurait fait à des gardiens et pas à un Docteur. Et puis, s'il l'avait dénoncé, quelque part, il se serait dénoncé aussi ainsi, cela ne pouvait pas être à propos de ça. Et puis, la fin de la phrase du Docteur arriva enfin à venir jusqu'à son cerveau :

"Vous occupez de moi ? Qu'est-ce que cela signifie ?"

Cameron semblait parfaitement calme comme si cela ne le concernait pas, comme s'il était hors du temps et puis, avant que le Docteur ne puisse répondre, il réalisa ce qu'il s'était passé. Il soupira doucement ava nt de passé une mains dans ses cheveux :

"Ah ... C'était donc ça."

Il avait dit cela à haute voix plus pour lui-même que pour le médecin qui, certainement n'allait rien comprendre et qui allait le prendre pour un aliéné mais au pire, ce n'était pas le plus important ni le plus grave. Le métis plongea ses yeux émeraudes dans ceux noirs du Docteur et dit :

"Donc, vous êtes du côté des corrompu si je comprend bien ?"

Comment creuser sa tombe en moins de dix secondes ? Comme cela Cameron, comme cela. Bravo, tu as gagné le gros lot.
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Anonymous





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Mar 24 Fév 2015 - 20:59
Loin d'être un gringalet non plus, Leonel n'était pas le genre de mec imposant, qui cherche la bagarre. Il n'avait pas l'air violent, malgré sa coiffure excentrique et son regard franc. Non, il avait simplement l'air d'un médecin, celui à qui on confit son corps et qui n'a donc d'autre choix que de paraître confiant. Pas celui qui ne se contrôle pas, parce que c'était interdit dans son métier et que même son allure quotidienne s'en était imprégnée. Il ne s'étonna pas de voir Cameron garder son calme. De toute façon, il n'y avait pas eu de vraies menaces, du moins, rien comparé à celles qu'on peut entendre à longueur de journée dans cette prison. Peut-être croyait-il que c'était une mauvaise blague ? Bien que Leo' n'avait pas la gueule d'un rigolo.
Il s'approcha du métis pendant que celui-ci faisait le rapport entre la situation et ce qu'il avait en tort, après avoir discrètement verrouillé la porte dans derrière lui.

« Qui ne l'est pas. »

Évidemment qu'Atkins était corrompu jusqu'à l'os. Ce n'était pas pour faire le bien qu'il avait accepté un job moins payé que son ancien, pas plus réglementaire d'ailleurs. Ne vous y trompez pour autant, car malgré tout le chirurgien n'avait encore jamais fait quelque chose d'illégal dans ce bâtiment. Alors oui, il était autrement connu pour rendre service aux détenus en leur faisant des modifications esthétiques qu'ils étaient eux-mêmes venus lui demander. Mais rien contre leur grès ou de périlleux, cela ne se limitait qu'à des implants, des opérations locales ou des délires irréfléchis comme cet homme venu lui demander de lui recoudre tous les doigts de la main droite entre eux. On passera le nombre de langues coupées en deux, les stretchings de peau et autres, le médecin finissait souvent par se vexer quand il en venait à faire ça, parce qu'il se sentait d'humeur charitable ou en manque d'argent, c'était une insulte à ses capacités.

Ce soir était en quelque sorte le grand soir.

Il lui était déjà venu dans l'idée de jouer les mauvais vengeurs au service des gangs, sauf que faute d'avoir prouvé son accord immorale, ceux-ci finissaient par faire le travail eux-même, à la barbare. Il en avait conclu que si les voyous étaient venus le voir pour cette mission là, plutôt que de s'en occuper, c'était qu'il ne fallait absolument pas qu'ils se fassent remarquer. Que ce soit auprès des matons ou de leurs camarades.

Néanmoins, plus il examinait à première vue la victime qui lui était offerte, plus il trouvait son sort terriblement dommage. Le fou serait-il doté de compassion ? Il faut le croire, et ce n'était pas un secret, car le physique plutôt réussi ne lui donnait pas envie de le rater ou de l'amocher. Il y avait de belles façons de rendre la beauté plus parfaite via la torture, alors il n'était plus question de le mutiler cette fois-ci, encore moins d’abîmer ses courbes.

Il tendit soudain ses bras aux manches remontées pour prendre le sien. Délicatement, tel un objet fragile dont il se donne le droit de l'inspecter, puisqu'après tout il n'avait en face de lui qu'une expérience. Un patient.

« Mais tu peux toujours m'expliquer ce qu'on a à te reprocher. Après tout, je n'avais pas vraiment porté d'importance aux détails avant que tu éveilles ma curiosité. »

Point de drague là-dedans, Leonel ne s'arrêtait pas à ça en deux minutes de rencontre, d'autant moins pour un service rendu par pur égoïsme. Un sourire étira cependant ses lèvres, pas très rassurant il faut dire, tandis qu'il caressa du bout des doigts l’intérieur de l'avant-bras qu'il garda fermement maintenu dans sa poigne. La peau du prisonnier était aussi douce que celle d'une femme et sa couleur attirante. Il le lâcha sans s'y attarder, pour entendre sa réponse, portant son regard vers le sien, perçant, arrogant, comme s'il était l'unique maître de ce qui se passe dans cette salle.

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