Johann Kurt - Cuisiner en prison? Pourquoi pas!

Taille: 182 cm
Poids: 74 kg
Corpulence: Fin mais, cache ses muscles en formation grâce à la musculation.
Cheveux: Blonds et totalement stylisés.
Yeux: Noisette et brillants de vie.
Famille ethnique: Caucasienne
Modifications corporelle: Deux énormes stretchs aux lobes d'oreilles et deux Monroe au-dessus de la lèvre supérieure. Il a un tatouage de mandala représentant un soleil aztèque dans son dos qui prend la totalité de sa surface. Il possède aussi un petit tatouage de souris tribale sur le mollet droit.

Son visage :

Johann a un visage assez fin presque androgyne qui lui donne un air légèrement juvénile. Malgré qu’il ait vingt-deux ans, certaines personnes le voient encore comme un adolescent un peu punk qui passe ses journées à l’extérieur avec une planche à roulette et une clique d’adolescents aux mêmes allures que lui. Ce qui n’est plus le cas depuis bien longtemps. La peau de son visage est délicate puisqu’à l’adolescence, il avait des problèmes d’acné. Il doit la nettoyer régulièrement pour ne pas faire de boutons et l’abîmer plus que nécessaire. C’est devenu un peu comme un rituel sacré. Son visage, il l’entretien et c’est pourquoi sa peau est d’une belle couleur rosée.

Il a des sourcils épais, d’un brun foncé presque noir. Ils jurent avec sa chevelure blonde, bien évidemment teinte puisqu’aux endroits rasés, on y voir des racines bien foncées. Johann était brun naturel, mais il préfère le blond et c’est pourquoi il se teint depuis ses 16 ans. Sous ses sourcils se trouve des yeux couleur noisette qui brillent constamment de mille feux.  Son regard est profond et bienveillant. Il montre aussi une force de caractère et une assurance qui lui est propre. Ses yeux peuvent être rieurs, tristes, colériques et j’en passe. Ils sont la fenêtre de son âme, de ses émotions et de ses sentiments.

Johann a aussi un nez droit bien proportionné au reste de son visage. Il est légèrement large aux narines, mais tout de même bien centré là où il le faut. Ses lèvres sont roses, légèrement bombées sans être encombrantes et trop voyantes. Elles sont douces au touché et le jeune homme a tendance à y appliquer une bonne couche de baume dessus pour qu’elles le restent. Deux Monroe se trouvent au-dessus de la lèvre supérieure. Le menton est bien proportionné avec le reste du visage. Il n’est ni trop fin, ni trop large, laissant voir juste en-dessous de lui une belle pomme d’Adam bien prononcée. Les oreilles de l’apprenti-cuisinier sont symétriques et toutes les deux possèdent des stretchs assez gros aux lobes.

Son corps :

Le corps de Johann est en plein développement. Il commence à faire de la musculation. Il est donc encore assez fin sans toutefois être dépourvu de muscles. Ils sont cachés sous les vêtements qu’il porte. Il n’aime pas les montrer, pour lui c’est quelque chose d’intime que seul son amoureux pourra voir une fois dans leur intimité. Il n’a pas de complexe, mais c’est simplement que c’est personnel et voilà tout. De plus son torse est légèrement pourvu de poils bruns très foncés. Il n’en a pas des tonnes alors, Johann tient à les garder là où ils sont, par preuve de masculinité.

Ses bras sont fins et longs, légèrement musclés. Ses mains sont de taille moyenne, ni trop grandes ni trop petites. Elles sont somme toutes très habiles et agiles surtout. Elles ont énormément d’expérience en ce qui a trait aux jobs étudiantes comme serveur ou cuisinier de fast-food. Alors pour lui, la gastronomie, c’est simplement une question de méthodes et d’apprentissages. Ses mains feront le reste. Il a des poils sous les aisselles comme bon nombre d’Américains.

Son bassin et son ventre sont bien proportionnés. Son bassin a de bonnes hanches, des os forts qui peuvent en encaisser beaucoup. Son ventre est plat, commençant à y voir apparaitre des muscles grâce à la musculation. Sur son ventre juste en-dessous de son nombril creux se trouve une ligne de poils bruns très fins menant à son pubis. Cette ligne est son chemin du bonheur. Pour ce qui est de sa zone intime, elle est dans la moyenne, sertie de poils pubiens que Johann ne rasera jamais. Il n’en voit pas l’utilité, cependant, il se les entretient par mesure d’hygiène. Sur son dos, il y a un tatouage de mandala représentant un soleil aztèque sur toute sa superficie. Il est à l'encre noire.

Ses jambes sont longues, fortes et puissantes, lui permettant de rester longtemps debout durant ses heures de travail. Il ne se fatigue pas si facilement sauf lors d’intenses efforts comme de soulever de lourdes charges comme des boîtes pleines à craquer. Il a un bon tonus musculaire. Le jeune homme a tout de même de grands pieds et chausse du douze US. Il sait courir assez vite, mais ce n’est pas un marathonien dans l’âme. Un jour, il finirait par s’épuiser et juste tout bonnement arrêter sa course. Il a un tatouage de souris tribale à l'encre noire sur le mollet droit.

Son style vestimentaire :

Le style vestimentaire de Johann est assez simple. Il agence des vêtements ensemble pour se donner son propre style. Un peu punk, style de rues, il ne cherche pas à copier qui que ce soit. Il peut tout aussi bien porter des couleurs vives que des couleurs plus ternes et passe partout. Cependant, il adore porter du noir, ce qui lui donne une petite touche gothique. C’est sa couleur préférée après tout, la couleur du néant. Le jeune homme porte souvent des chandails à manches longues, presque pas de T-shirts et encore moins de camisoles. C’est la même chose pour ses pantalons, que des pantalons à pattes longues, surtout des jeans. Le tout est légèrement plus grand d’une taille pour bien cacher ses muscles en formation. C’est son petit côté pudique. Cependant, ça lui arrive aussi de porter des vêtements ajustés, mais il les garde pour ses rencards et ses relations intimes. Il chausse du douze UK et surtout des souliers de sport ou de planche à roulettes.  



Défauts et qualités: C'est un jeune homme qui respire la bonté, qui est d'une extrême sociabilité et qui, en plus de cela est une source intarissable de joie. Il est donc très sociable, très joyeux, souriant en permanence. Il est du type débrouillard et cela même en cuisine. Il a passé sa vie entre divers petits boulots alors la débrouillardise, il l'a dans la peau. Il ne renonce jamais, ce n'est pas dans sa nature. Il n'est pas peureux non plus, ne cherchant pas le trouble, mais presque. Il est franc et n'a pas peur de dire ce qu'il pense réellement et cela, même si ça ne se dit pas et que ça risque d'être blessant. C'est aussi un homme très vantard. Il aime être le centre de l'attention lorsque c'est nécessaire et il est extrêmement sur de lui, un peu trop même. Une qualité qu'on ne doit pas non plus délaissé, c'est sa capacité à vouloir apprendre en cuisine ainsi que sa dextérité manuelle. Johann a ça dans la peau.
Objectifs et ambitions: Réussir pour une fois dans sa vie quelque chose qui soit le moindrement «scolaire» et montrer au monde qu'il peut réussir quelque part lui aussi. La gastronomie, tout le monde vit la dedans. C'est universel de manger et de se nourrir alors, Si Johann réussit à devenir un cuisinier décent et à cuisiner non pas pour lui-même, mais pour les autres, alors, ça lui fera énormément plaisir. Il veut voir le bonheur partout où il va. Ça le motive à continuer après tout ce qu'il a vécu.
Tocs et manies: Si vous ne lui dites pas bonjour lorsqu'il vous sert votre assiette avec le sourire et une joie de vivre toute à lui, il réduira de plus en plus votre repas jusqu'à ce que vous lui disiez bonjour. Il n'a pas peur de vous tendre une assiette vide avec le plus beau des sourires en vous disant bon appétit! Il a la manie de dire bonjour à tout le monde, même ceux qui ne veulent clairement pas se faire dire bonjour de manière enjoué et rayonnante. Tout le monde y passe!
Peurs/phobies: Il en a pas pour l'instant, mais quand on travaille dans une prison pleine de fous et de méchants pas beaux, ça peut rapidement se développer, non?

Son mental :

Johann est un jeune homme extraverti qui bouge beaucoup. Il ne peut pas rester sans rien faire, c’est impossible. C’est bien pourquoi il adore son job. En cuisine, on bouge tout le temps, on n’arrête jamais! S’il y a des tâches à faire, il va les faire avec joie, le sourire aux lèvres. Rien ne peut démotiver cet apprenti-cuisinier, rien sauf l’école. Ça c’est juste impossible pour lui. Ce n’est pourtant pas un sportif. Même ça, il n’est pas fan. Il bouge dans sa vie au quotidien en plus de s’entraîner pour se muscler un peu. C’est un vrai motivateur sur pattes. Il fera tout pour motiver les gens à aller de l’avant et à surtout ne pas faire comme lui. Lâcher l’école dut être sa pire idée à vie!

Si les autres membres du staff et même les prisonniers ne le savaient pas encore, maintenant, ils le savent. Johann ADORE son job. Oui, je le répète, il l’aime carrément et il trouve ça très classe de travailler dans une prison carcérale. Sa joie de vivre, ses sourires éclatants, sa bonne humeur, ses bonjours quotidiens, ses yeux brillants de plaisir à servir tout le monde et j’en passe. Il pourrait presque s’en vanter! Le jeune homme ne cherche jamais la bagarre, mais il reste tout de même très franc avec lui-même et les autres. Il a aussi un petit côté pudique.

Il dit qu’il n’a peur de rien, mais c’est tout simplement parce qu’il n’a pas encore découvert ce qui pourrait l’effrayer. Il ne s’est pas retranché assez profondément en lui-même pour se questionner sur le sujet. Les peurs virales, les phobies, il ne connait juste pas ça et de ça, il s’en vante tout son saoul. C’est un vantard et une grande gueule quand il le faut et dans sa vie au quotidien, mais il ne parle jamais de son job en dehors de la prison. Il sait être professionnel et garder ce qui est confidentiel, confidentiel. Johann n’a pas envie de perdre son emploi ou encore d’avoir des remontrances s’il déroge au règlement.

Il aime le contact avec les gens aussi. Il n’a pas peur de serrer la main de ceux qu’il rencontrer et bien évidemment de faire de nouvelles rencontres. Il a simplement plus de difficulté à se faire des relations plus intimes à cause de son débordement de positivisme et d’énergie. Johann épuise ceux qui l’entourent et cela se ressent sur sa sphère sociale. De vrais amis qui le supportent, il en a peu. Il espère que tout le monde va aimer ce qu’il prépare à manger aussi. Il n’est pas fin gastronome, mais il mettra tous les efforts nécessaires pour que le résultat soit divin, bon au goût et agréable en bouche.

Il prend plus ou moins bien les critiques. Si elles sont constructives, ça va, mais si elles le rabaissent, le jugent ou encore le discriminent, il va répliquer au quart de tour. Il ne sait pas se défendre physiquement cependant malgré qu’il soit plutôt grand. C’est quelque chose qu’il n’aime pas. Frapper les autres, ce n’est pas lui. Il préférera fuir avec panache l’affrontement en essayant de déstabiliser son adversaire par ses mots plutôt que par les gestes. C’est pour cela qu’il est si sûr de lui, Johann est un gagnant un peu trop brave.

Ses petits plaisirs :

Johann aime le café, le café noir sans rien d’ajouté dedans. Un bon café pur, sans artifice. Il aime aussi les hommes bien évidemment. Il n’a pas réellement de préférences, étant plus du type «aveugle en amour». Le physique importe peu, tout comme les défauts de ceux qu’il fréquente. Il ne voit que les bons côtés, que ce qui est plaisant, que ce qui ne lui fait pas de mal. Il aime aussi les gros orages, les planches à roulettes, la natation et la nourriture simple à préparer. Il est comme un livre ouvert, puisqu’il aime parler de lui pour se vanter.

Ses dégoûts :

Johann n’aime pas le lait ni les petits pois. Il n’aime pas non plus les sports et nage simplement pour se dégourdir sans plus. C’est bien le seul «sport» qui l’interpelle un tant soit peu. Il déteste les femmes un peu trop maquillées qui pensent qu’elles sont le centre de l’univers. Alors là, non. Elles sont des plus superficielles, des plus laides et en plus la seule chose que le trois quart des hommes vont regarder d’elles c’est la grosseur de leur poitrine et de leur cul. Elles n’ont aucune personnalité et il hait ça. Ça le dégoûte royalement. Il n’aime pas non plus le bruit de la craie sur un tableau noir et l’école bien évidemment.



Etat de santé générale: Il est en super forme. Il pète le feu comme on dit!
Allergies ou addictions: Aucune à sa connaissance. Il n'a jamais touché à la drogue et il ne fume pas. Pourquoi se mettre dans la merde plus que nécessaire?
Soins réguliers (traitements): Soins dentaires aux six mois et rappels de vaccins lorsque s'est exigé.



Son histoire :

Johann est né en hiver. Plus précisément le 3 janvier. Sa mère dut être opérée par césarienne pour le mettre au monde, ayant eu des difficultés lors de l’accouchement. Cela avait au préalable duré plus de huit heures. Huit longues et pénibles heures à attendre que le petit ne pointe le bout de son nez et pourtant…C’est le fessier qui semblait se présenter. La jeune mère faisant de l’hypertension, commençait à se sentir mal, les procédures de césarienne furent mises en place. Le bébé pesait 7 lbs et 3 à la naissance. Un bon poids, pas trop gros, pas trop petit. Il naquit en santé, sans aucun problème visible ou interne.

Le jeune garçon grandit dans une maison de banlieue banale. Des voisins comme monsieur et madame tout le monde, des gosses un peu trop bruyants, des chats et des chiens errants apparaissant de temps en temps. C’était à la fois mouvementé et tranquille. Toutes les maisons se ressemblaient, tous les jardins étaient identiques, c’était typiquement américain quoi.  Lorsqu’il eut l’âge d’aller à la maternelle, les parents de Johann l’y envoyèrent, s’attendant sûrement à ce qu’il soit aussi studieux que son propre père. Cependant, ce ne fut pas le cas.

Dès son arrivée à la maternelle, il causa du trouble, mais aussi de la honte. Il ne participait pas en classe ni aux activités. Le jeune garçon préférait aller jouer dehors et regarder par la fenêtre. Ça en devenait dérangeant pour tout le monde. Bons nombres de fois ses parents furent convoqués par l’institutrice pour leur parler de leur progéniture. Au départ, ce ne fut que des remontrances pour le petit, mais au fur et à mesure, les remontrances devinrent des privations. Privé de repas, privé de dessert, privé de sortie pour jouer avec ses camarades de quartier, privé de télévision ou de musique et même privé de loisirs.  

Cela forgea la morale de l’enfant. Johann s’éloigna du matérialisme pour se tourner vers ce qu’il y avait de plus positif pour lui, le simple fait de vivre sa vie à fond. Au fil des années, ses résultats scolaires devinrent de plus en plus mauvais, des lacunes se créant chez le jeune garçon. La lecture devint un problème pour lui. Il gagna du retard en la matière. Cela enclencha un processus vicieux sur le reste de ses matières scolaires. Tout dégringola jusqu’à ce qu’il ne touche le fond. Pas même ses enseignants ni même ses parents ne purent le ramener vers le droit chemin.

Juste avant de pouvoir entrer au lycée, il quitta l’école. Il se consacra à une vie remplit de petits boulots, les délaissant les uns après les autres, ni restant pas plus que trois mois. Ses parents en eurent assez lorsqu’il fut âgé de vingt ans. Ils le mirent tout bonnement à la porte, lui disant qu’il n’était qu’un fainéant, un jeune impoli qui n’avait jamais su prendre ce qu’on lui tendait. Pourtant, il avait toujours pris ce que la vie lui tendait. Les parents de Johann ne comprirent jamais cela et le jeune homme se retrouva à la rue.

Rapidement, il se trouva un lieu pour vivre, chez des potes du boulot où il était actuellement. Il avait déjà travaillé comme serveur, comme cuisinier et plongeur pour divers fast-food, comme vendeur de glaces aussi. Il avait aussi fait des petits jobs comme livreurs de journaux, et réceptionniste d’appels téléphoniques pour une compagnie X. L’emploi qu’il occupait à ce moment-là, au moment de son arrivée chez ses copains était banal, sans importance. Après un temps, en regardant la télévision avec un de ses colocataires, il tomba sur une série culinaire. Ça créa en lui une étincelle qu’il n’avait jamais eue auparavant. Johann sut à ce moment-là que c’était ce qu’il voulait réellement faire de sa vie.

Il se lança dans la cuisine peu de temps après, faisant des cours de soirs et avançant à son rythme pour finalement en arriver à son stage. Malgré son problème concernant la lecture, il se disait tout simplement qu’il pouvait apprendre les recettes par cœur ou encore se concentrer pour bien les lire. Il avait tant de moyens et de positivisme depuis qu’il était tombé dans cette réalité. Le soleil dans ses yeux brillait de mille feux.

Il débuta son stage en prison, trouvant cela classe et tout de même un défi pour lui. Johann espérait réellement faire la différence et aider ceux qui en avaient besoin par le fait même. La cuisine avait redonné un souffle nouveau à sa vie, à sa raison de vivre pleinement sa vie sans se soucier des conséquences. Plus rien ne comptait autre que de mettre du bonheur dans le ventre de ses futurs clients quels qu’ils soient. Après quatre mois dans cette fameuse prison carcérale, le jeune homme en redemande encore et toujours. Rien ne semble pouvoir l’arrêter.



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