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Cellule n°1/ Le lapin joue à domicile...[Caleb]

Anonymous





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Jeu 15 Jan 2015 - 11:07


Le lapin derrière les barreaux... ♥
With : Caleb  


Tic...Tac...Tic...Tac... c'était le bruit qui émanait de la pendule qui se trouvait dans les sous sols de la prison. Celle ci résonnait se trouvait non loin de la cellule numéro 1. Allongé dans son lit, le lapin blanc avait les yeux grands ouverts, le bruit de cet horloge, commençait a lui taper sur le système. Il n'arrivait pas a fermer les yeux, trop préoccupé par ce bruit immonde. Xander se mit sur le ventre, plongeant sa main sous sa couchette afin de sortir un petit miroir ovale, il se regarda dedans et la discussion commença :

"Ahhhh mais que ce bruit cesse par pitié...."
‎« ‎Calme mon lapin... Reste calme, fais abstraction de ce bruit...‎»‎
"Mais comment ? Je te rappelle que je n'ai rien pour faire taire cette maudite pendule..."
‎‎«Au pire des cas, hurle et demande a un gardien de la débrancher ?»‎

L'idée n'était pas trop mal, mais la ronde de nuit venait de commencer et personne ne passaient dans les sous sols  a cette heure ci. Généralement les gardiens chargés de venir ici, passaient après une bonne heure voir deux. Après tout ici, il n'y avait que les fous non ? Pourquoi se prendre la tête avec des attardés ou encore des psychopathes...? Se tournant sur le dos, celui ci prit la position assise en quelques secondes; observant d'un coté le lit au dessus de sa tête, pour le moment vide, puis il regarda les wc, le lavabo puis le meuble. Se levant du lit celui ci murmura:

"Tu crois que les gardiens ont fouillés mon meuble depuis la dernière fois ?"
«J'espère que non, sinon on n'aura plus rien a échangé contre une bonne clope... A moins que...»‎
" A quoi penses tu?"
‎‎«Et bien, mon lapin, quand on a plus rien à marchander , que faisons nous ?»
"Non mais non... je ne ferais quelques choses avec mon corps pour une clope... Quoique"‎

*Tic...Tac*

La pendule continuait de faire des siennes, celui ci fronça des sourcils avant d'ouvrir son tiroir, tâtent le haut de celui ci et quand il sentit que la came y était toujours, celui ci sourit. Finalement il ne donnerait pas son corps pour une clope ... Mais le problème c'est qu'il n'en avait pas de cigarette la... Il fallait qu'il attend le lendemain pour en demander une... *Tic...Tac*... Alexander craqua et alla mettre ses deux mains sur les barreaux de sa cellule et hurla :

"MAIS BORDEL! IL N Y A PERSONNE POUR DEBRANCHER CETTE PTAIN D HORLOGE! AHHHHHHHHHHH!!!!"

Tiens des bruits de pas? Son confident avait raison enfaite, il suffisait de gueuler un coup pour se faire entendre ?...
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Anonymous





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Jeu 15 Jan 2015 - 16:03
Blanc, ovale, un centimètre de long… et voilà le bonheur. Il s’agit de vicodine, une pilule magique et légale. Avalé avec une grande gorgée de café noir et brulant, le comprimé descend et disparait dans le corps du chef des gardiens. Ce dernier, accoté contre le mur de sa chambre se masse l’épais cuir chevelu et sombre. Il est que 23heures, ces prochains jours il a prévu de travailler de nuit pour rencontrer le personnel nocturne. Il sent bien que ce ne sera pas son dernier café de la nuit.
Ne se sentant plus tout jeune, il enfile une tenue de sport pour aller faire son entrainement quotidien. Étant un entraineur, pour ses hommes, il se devait de garder la forme. Soulevant un peu plus de son propre poids en fonte, sautant un mur aussi haut que lui, courant longtemps ou piquant des sprints, il s’entraine seul pour presque tout, mais quand il s’agit de se battre, c’est contre d’autres de ses collègues.

Suite à une bonne douche et un repas lourd en protéine, l’homme au regard gris descend vers les salles des gardiens. Cette dernière est remplie d’autant d’homme que de ragots sur la journée. Caleb est accueillit agréablement alors qu’il se dirige vers la machine, En se prenant une tasse et a café et écoutant les autres. Il entend parler des comportements des détenus le soir et la nuit, qui se faisait qui, les cauchemars des détenus, les comportements nocturnes étranges ou régulier, mais aussi les dire de ceux qui sont encore dans la salle d’interrogatoire.

L’un des détenus en salle de torture (interrogatoire) se montrait particulièrement résistant à tous les coups et toutes les tortures psychologiques. Au point où on attendait qu’il craque à cause de la faim et de la soif. Caleb s’intéresse ensuite aux nouveaux dans les sous-sols. On lui parle de ceux qui se mutilent, de ceux qui hallucinent, certains entendent Dieu et d’autre se parlent seuls. Néanmoins, on lui dit le nom des nouveaux dealers et l’un d’eux, étrangement est un aliéné. Le plus surprenant, c’est que ce gars là deal bien et qu’il a de la bonne poudre.

Son Goblet de mousse pétrolier blanche entre les mains, il descend dans les sous-sols pour aller rendre visite au prisonnier si réfractaire à parler. Alors qu’il se rend en direction de la salle où ce prisonnier doit être attaché pour être questionné, il entend un autre détenu gueuler contre une pendule.
Son pas se tourne dans la direction du plaignant. Il voit des mains accrochées aux barreaux, comme si ça aurait pu arranger quelque chose. Non loin de la cellule, une magnifique pendule était installée. Caleb aimait cette pendule, elle arrivait à faire craquer et décompenser les détenus mentalement fragile. Néanmoins, il ne la voulait pas dans la salle d’interrogatoire, car les détenus se concentraient sur elle pour éviter de penser à leur souffrance.

S’arrêtant devant la cage à lapin, il observe le pâlot garçon qui semble bien fatigué. Buvant une nouvelle gorgée de son délicieux café fumant, le gardien dit aimablement.

- On n’aime pas entendre le pendule? Il y a une façon facile et plus simple pour cesser de l’entendre. Rentre tes doigts jusqu’au fond pour que le son ne rentre plus.

L’originalité et l’intelligence des aliénés les rendent plus vivants que les « saints d’esprit » là-haut. Donnant ensuite un coup d’œil au numéro de cellule, il associe ce numéro au dernier entrant en ce lieu : Alexander Adelweiss, l’un de ces cinglés dont on lui  a parlés plus tôt.


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Jeu 15 Jan 2015 - 17:01


Le lapin derrière les barreaux... ♥
With : Caleb  


Le lapin blanc venait de hurler a travers les barreaux de sa cellule. Les deux mains vient accrochées, de toute sa voix. Il venait de péter un câble sous le bruit horrible du tic tac de l'horloge. Dans un premier temps, il n'eut pas de bruit, mais quand le silence s'installa, celui ci entendit des bruits de pas qui émanaient d'un peu plus loin. C'était surement un gardien qui approchait, car tous les détenus étaient enfermés dans leurs cages. Appuyant sa tête contre les barreaux, celui ci entendit les propos de cet homme...

"Ouaaa mais quel humour didonc... ça se crois malin en disant ça..!"
« Calme Xander, Calme...»‎
"Oui oui , roh ça va toi.. c'est lui qui commence..."

Le prisonnier respira un grand coup avant de plonger son regard rouge vers l'homme, le détaillant de la tête aux pieds. Il n'était pas mal du tout, grand, enfin Xander était plus grand que lui d'un ou deux centimètres seulement. Son visage était dur, mais d'une intense sensualité, le lapin sourit avant de dire d'un ton a le provoquer un peu :

"Si Tu savais ou j'aimerais les enfoncer mes doigts...Éteins moi cette fichu pendule..."


Le lapin blanc sourit d'une façon psychopathe face au gardien, puis son envie de clope revient rapidement dans son esprit. S'il avait eu une clope, juste une, ça l'aurait calmé et  l'horloge il l'aurait peut être pas entendu ? Qui sait?  S'écartant un peu des barreaux, il alla s'appuyer contre son meuble et demanda d'une voix calme:

"Tu n'aurais pas une clope ou deux sur toi ? J'ai envie de m'en griller une, je te donne ce que tu veux en échange..."



Ce qu'il ne ferait pas pour un peu de nicotine dans ses poumons. C'était bien la seule chose qui le rendait plus calme et plus serein. Même si les médicaments jouaient un peu sur son comportement, mais il faisait en sorte de ne pas trop les avaler... *Eurk..* ils étaient pas bon en plus. Lui il préférait largement les sucreries et les clopes. Et  puis comme il le dit si bien, il n'est pas fou...

« Mon Lapin tu es sur de vouloir lui donner tout ce qu'il veut ? Tu penses tout de même pas a ça...»
"Mais non... Je ne pense pas que monsieur le gardien soit intéresser par un peu de poudre blanche..."

Le prisonnier se mit  à rire tout seul... Effrayant non?‎‎
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Jeu 15 Jan 2015 - 22:45

Ahhh… Qu’est-ce que ça disait dans le dossier de celui-là? Tendance à imaginer dédoubler sa personnalité? Bah, peu-importe… c’est du moins ce que le gardien suppose alors qu’il écoute un autre digne monologuer. Les yeux rouge du jeune homme sortent de la norme et détonne comparé à la douce beauté du visage enfantin pour un homme de sa taille. Finissant son café, dans une dernière gorgée, sans paraitre alarmé, il jette le gobelet dans une poubelle de corridor.

Puis les coutumiers propos homosexuels qui se croient sans doute amusant ou séduisant s’en suivent. Les détenus sont tous si frustrés qu’ils en sont clairement ennuyeux côtés sexualité, il y a plus de deux ans que Caleb avait abandonné l’idée de trouver un seul de ces déchets qui pourraient lui procurer un autre plaisir que celui de les torturer. Les êtres humains ici rangés comme des défectuosités sont tellement pathétique.
Au sourire qu’il voit s’afficher sur le visage calme du jeune homme, le gardien croit un instant que ce gars pourrait partager les mêmes passe-temps. Néanmoins, l’envi de nicotine fait son entrer chez la vermine qui s’éloigne des barreaux.

Le détenu avait bougé et s’était appuyé à un meuble de la cellule. Le peu de lumière qui tombe sur le détenu disparait complètement et il ne reste plus que la souhaite de ce dernier pour le deviner. Seul dans cette section enfoncée, il pouvait faire peur à des gardes moins entrainés. Néanmoins, le chef des gardes n’a pas l’obscurité comme peur et encore moins comme phobie.
Du fond de son terrier, le dealer continu à tenir un discourt décousu, mais dont on peut voir un possible fil conducteur. À en juger à l’attitude du jeune homme, Caleb n’a à faire qu’à deux ou peut-être trois personnalité pour le moment.

Néanmoins quand le déchet se met à rire, comme un vieil oncle qui se trouve hilarant, Caleb ouvre son paquet de clope British dans un enrobage brun dont on peut deviner que ce n’est pas des clops qu’on peut trouver partout.

- Si tu me laisses en placer une, t’auras peut-être de quoi griller.

Faisant rouler la cigarette entre ses doigts pour casser les filets de feuilles sauvages et en libérer son parfum avant de la bruler, le gardien prend soin de ne pas regarder vers le détenu. L’ignorant un moment avant de reprendre, mais cette fois en allumant la clope et en n’en tirant une bouffée sombre lorsqu’elle ressort de ses narines. Il pouvait sentir sa dépendance à la nicotine redescendre doucement alors qu’une chaleur brulante et agréable lui descendre dans les poumons sans lui donner le goût de tousser comme un porc.

- Montre ce que t’as comme qualité et on verra ce que ça vaut.

Devinant sans mal où, en trois en il a vu les pires comme les meilleurs cachettes, est planqué la réserve du détenu, il attend. Si ce dernier refuse, Caleb va le vider de toutes drogues, linges et matelas qu’il pourrait avoir dans cette cage. Néanmoins, il préfère que les prisonniers soient fournis régulièrement en drogues. C’est une manière très avantageuses et sur que ces déchets humains ne puissent jamais espérer mieux de leur exécrable  et accidentel existence.  

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Jeu 15 Jan 2015 - 23:59


Le lapin derrière les barreaux... ♥
With : Caleb  


Dans l'obscurité de la cellule il était facile d'observer le gardien, parfois ça effrayait certains. Car un aliéné était un fou qui pouvait faire tout et n'importe quoi d'imprévu. Xander d'ailleurs se faisait la conversation, observant l'homme. Le lapin blanc aimait bien être provocant mais également tester la personne qu'il a devant lui. Il ne semblait pas du tout effrayé, c'était amusant. Par contre le fait qu'il ne répond pas a ses provocations question sexe, le chagrinait un peu, lui qui avait envie d'une bonne partie de jambes en l'air... ça faisait longtemps aussi. Mais son addiction pour la clope refit surface et le prisonnier venait de demander au gardien de lui filer une cigarette. L'homme faisait son fière et sortit un paquet de sa poche, l'ouvrant pour prendre une de ces tentatrices remplient de nicotine. Alexander était obnubilé par ce petit truc, que le gardien faisait glisser entre ses doigts. La voix de l'homme retentit pour annoncé qu'il aurait surement de quoi en grillé une, s'il le laissait parler. Xander ronchonna et dit :

"Oui oui... vasy parle monsieur le gardien..."
«Xander, reste polit...»
"Mais je le suis... Alors chute ..."

Le gardien alluma la cigarette, la bonne odeur de la nicotine se répandait dans l'air, le détenu ne mit pas plus de deux minutes a revenir dans la lumière, remettant ses mains sur les barreaux, étant face a l'homme qui recracha la fumé délicatement de ses narines. Le lapin en manque respira a son tour ce petit nuage qui disparaissait lentement. Mais qui revenait a chaque fois que le gardien recrachait la fumé. Il fut tiré de son moment de petit kiff , quand l'homme lui demande de montrer sa came , histoire d'en juger la qualité pour voir ce que ça valait.

« Tu vois mon lapin qu'il est intéressé le monsieur par ta poudre blanche...»
"Je vois ça..."

Il retourna dans l'obscurité de la cellule pour aller vers le meuble, tirant le dernier tiroir avant de décrocher un petit sachet qui représentait une dose pour deux personnes. Refermant le tiroir, celui ci regarda le contenu avec un sourire . Il allait encore rendre quelqu'un heureux ? avec ça ? Se retournant vers l'homme, celui ci approcha et ouvrit le petit sachet de drogue en disant :

"Bienvenue dans le monde du lapin blanc alors ?!"


Lui tend la poudre blanche avec un grand sourire, car il était tout de même un peu éloigné de lui. Il dit:

"Ah mais pour ça faudrait que tu entres dans la cellule pour la toucher et donc juger de la qualité non?"
«Mais arrête mon lapin, il n'osera pas entrer dans ici... Et puis c'est fermé non ?»
"Monsieur le gardien aurait il peur d'entrer ? Je ne suis pas méchant"

Alexander pensait surtout que lorsqu'il aurait prit un peu de cette poudre blanche, celui ci se sentirait bien, il aurait le besoin de se faire du bien, car il prendrait un pied avec ce mélange. Sa réchauffait le corps et donnait des envies... bien particulière... la luxure ? l'envie ...?
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Ven 16 Jan 2015 - 3:49

La majorité des nouveaux gardiens n’aimaient pas venir dans la section, craignant que de l’ombre surgisse un fou. Pourtant, l’ombre révèle plus que la lumière. Dans les tréfonds de l’esprit du détenu, une voix révèle une relation presque fraternelle entre le détenu et son autre personnalité. Néanmoins, Caleb croit déceler aussi autre chose.
Le garçon réussit à garder une certaine logique et encore plus étrange il garde une analyse de vendeur. Il sait qu’il doit rester poli et c’est un point anormal venant d’un anormal. Généralement les aliénés sont au centre de leur propre monde et ils ne prennent pas en compte les autres, mais pas celui-ci. Mordant dans l’enrobage de sa clope, il respire et aspire l’air chargé de nicotine et d’une cinquantaine d’autres produits.

Après la première bouffée, l’homme qui se surnomme amicalement « lapin », s’approche pour venir renifler la fumée secondaire. Caleb aurait vu un nom comme « parasite » ou « vermine » plutôt que « lapin » pour ce mec. Après tout, un lapin, c’est un plat délicieux avec une sauce aux prunes. Cependant, si on prend en compte l’opinion de Lewis Carroll, n’importe quel fou voit ce qu’il veut dans la fourrure blanche du fugitif animal.

Finalement le grand mec avec autant de cervelle que son acronyme le suggère, lui montre où il cache l’un de ses paquets. Vu son comportement, il est fier de sa merde. Un léger regard sur le côté, vers l’escalier menant à la salle des gardes, lui confirme que personne ne vient. Zut…

Entendant les deux ou trois attardés qui parlent à travers la même bouche à chiote, le chef des gardiens reporte son attention sur Alexander. Ce dernier réclame d’une bien piètre façon que Caleb entre dans sa cage. Donnant un coup d’œil à sa montre, il est 00 :18. Il a encore une heure à jouer, mais il n’était pas encore certain de vouloir la passer avec le lièvre dans son terrier ou avec celui attaché sur sa chaise.

- Ta came est si mauvaise qu’elle ne passe pas à travers ces barreaux?

Le sarcasme est à peine audible, mais il n’y a pas dans sa voix de la provocation. Cela ressemble plus à une question innocente pour un sujet illégal. Néanmoins, l’innocence n’existe pas dans ce coin oublié des hommes honnêtes. Ici on enferme ceux dont on ne veut plus entendre parler, les parias.

- C’est pas mon problème, Xander, si tu me la passes pas. Moi, je peux en fumer autant que je veux et la pendule j’en ai rien à foutre.

Certes, le lapin s’était-il rapprocher, mais Caleb ne semble pas mettre ses mains de bon enfant chrétien dans la souillure. Il avait déjà du recoudre deux de ses doigts pour avoir entré sa main dans la cellule d’un mec qui se disait artiste-peintre. La morsure de l’artiste lui avait valu deux semaines intensives de thérapie physique pour pouvoir à nouveau doigter sa femme.

Se détournant, pour partir, il ne s’arrêtera que si le dealer agit en dealer et veuille vraiment faire des affaires avec lui. Il se retournera vers Alex que si ce dernier lui jette le sachet et Caleb réceptionnera sans mal la marchandise. Inutile de dire que le gardien aime bien voir la nouveauté. Néanmoins, dû a quelques problèmes de tortures et d’ennemis vengeur, il ne goût pas tout de suite la poudre et ne veut pas non plus en respirer. Alex devra patienter que le gardien lui fasse un minimum confiance… mais ça un aliéné ne peut pas faire preuve d’autant de clairvoyance?  
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Mer 21 Jan 2015 - 15:19


Le lapin derrière les barreaux... ♥
With : Caleb


Le prisonnier était plutôt joueur et la de suite la situation l'amusait beaucoup. Bon bien évidemment il fallait retirer le bruit horrible que faisait l'horloge du couloir, mais sinon tout était plaisant. L'homme en combinaison grise soupira quand l'homme osa critiquer sa came, disant quelle était si mauvaise que celle ci ne dépassait pas les barreaux... Xander sourit a sa phrase , il se la jouait sarcastique le gardien di donc... S'étirant un peu, celui ci approcha donc des barreaux et tendit le sachet a cet homme.

"Goute donc au lieu de critiquer la poudre du lapin blanc."
«Il va devenir accro mon lapin, ça va être marrant non?»

‎Le prisonnier s'en moquait, au pire des cas, ça lui permettrait d'avoir des cigarettes et ça franchement ça serait bandant. Prenant son air un peu séduisant, celui ci laissa une main sur le barreau puis dit :

"Allez viens dans la cellule, tu ne crains rien non ? Après tout tu es gardiens, tu n'aurais tout de même pas peur d'un prisonnier tel que moi?"


Sourit a l'homme devant lui, puis regarda la pendule qui le fait perdre la tête un peu plus... Et lui qui dit qu'il s'en moquait de l'horloge et qu'il ne comptait rien faire pour abrégé sa souffrance... Maudit gardien. Puis Xander revient a la situation présente quand la voix de son confident imaginaire apparu dans ce moment de silence.

« Bien dit mon Lapin, mais je suis sur qu'il n'osera pas venir... même s'il crains rien quoique?»
"qu'entends tu par la mon ami ? Tu penses que je pourrais lui faire quoi ? je ne suis pas comme ça.."
« Bah tu pourrais très bien le prendre dans un coin de cellule... Même si on sait tous les deux que tu es plutôt celui qui va en dessous non?»
"Chute je te permets pas de dire une chose aussi intime alors que le gardien doit t'entendre..."

Le prisonnier devient tout rouge, ses pommettes se teintèrent sous cette information, depuis quand il se laissait allez de la sorte. Et puis de toute façon, il pourrait se moquer de lui a la limite non ? Essayant de faire diversion sur cette information qu'il avait lacher dans la nature comme ça, celui ci revient sur son envie de fumer une cigarette et dit :

"Alors tu me la files cette clope ? "


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Mer 21 Jan 2015 - 16:40
Visiblement la provocation classique, par sarcasme, ne fonctionne pas avec cet aliéné. Le gardien l’observe sourire. Un petit sac de poudre est alors tendu au garde qui vient prendre cette dernière et ouvre le sachet. À l’intérieur, comme un cristal de sucre, la beauté miroitante, brille sous la lumière du néon de couloir. Penchant la tête, les cheveux sombres du gardien lui tombent sur le visage. Il vient sentir la marchandise pour en distinguer les effluves. Ça lui semblait être une qualité pas trop mauvaise. Néanmoins, le dealer ne semblait pas être en rupture de stock, il y avait donc des gens qui le fournissait dehors…

Pendant qu’il s’assurait de la qualité de son deal, il entend le détenu parler seul dans de long monologue avec lui-même. Un fait assez amusant, c’est que le détraqué mental se met soudainement à essayer de faire le séducteur. Avec son corps de statu Grec de près de deux mètres, s’était assez pitoyable à regarder et cela fait apparaitre un léger sourire aux coins des lèvres du gardien. Un mélange de provocation et de jappement de chienne en chaleur se fait entendre. Il a déjà entendu de bien meilleure provocation, mais à cause de son cerveau cramé, il est plus intéressant que les autres prisonniers.

Il l’écoute, alors que le jeune homme lui dit ouvertement qu’il voudrait une baise ce soir, laissant s’envoler sa tendance à vouloir être le baisé et non le baiseur. Caleb lui reconnait qu’il est plus franc que beaucoup de déchet en haut, dans les cellules pour « normaux ». Néanmoins, le prisonnier au teint particulièrement pâlot comme un fantôme se met à rougir et parler du payement de la came.

-Ouais, elle arrive. Dites-moi vous deux, il y en a d’autres avec vous?

Ouvrant son paquet de clope, il s’en met une entre les lèvres avant de l’allumer avec son briquet noir et rouge. Il n’a pas cherché à dénigré le problème du détenu, simplement à se renseigner sur lui. Est-ce que le surveillant commence à avoir un peu plus d’intérêt à ce type? Même ses proches collègues auraient du mal à le dire. Néanmoins, il a posé cette question, c’est qu’il y a de la curiosité à savoir.

La clope brune de belle qualité rougeoie à son extrémité alors que les lèvres minces de l’homme la serre et l’aspire tout à la fois. Rangeant son briquet dans une poche de sureté qu’il referme par la suite, il lève son regard sur les yeux rouge du lapin. S’approchant ensuite des barreaux. Son visage n’est plus qu’à quelques centimètres de la barre de fer et pourtant le gardien ne montre aucun signe de stress, simplement à cause qu’il est avec ce cinglé. Il vient prendre la grand clope qu’il a entre ses lèvres et la glissent entre celle du blanchâtre prisonnier.

- Essais de dormir, cette horloge va monter chez la directrice le mois prochain. Supporte-là.

Se détournant, après ce moment de proximité non-intime, il va vouloir reprendre sa route là où il l’avait laissé avant de se faire apostrophé. Ses souliers, à semelle de caoutchouc renforcé, grincent légèrement sur le sol de béton gris, aussi gris que les yeux du chef de la sécurité.   


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Mer 21 Jan 2015 - 17:54


Le lapin derrière les barreaux... ♥
With : Caleb


Alexander avait un peu l'impression d'être dans une animalerie non ? Après tout, le lapin était dans sa cage et un homme venait tout simplement lui rendre visite après le vacarme qu'il avait causer pour qu'on arrête cette fichu horloge de malheur... Le prisonnier avait dévoilé un peu trop de truc personnel a cet homme, il craignait un peu que celui ci s'en serve contre lui. Mais bon il changea rapidement de pensé, son addiction a la clope venait de le rattraper et puis le gardien venait d'avoir un peu de sa poudre blanche. Donc l'échange avait donc commencé, il ne manquait plus que le client paye le produit. Le lapin blanc lui rappela d'ailleurs, le gardien était en train d'examiner la poudre blanche, celle ci était fine, une odeur enivrante s'en dégageait, après tout il fallait bien attirer le client. Puis Il releva la tête avant de dire que la clope allait arrive, qu'il fallait juste qu'il patiente.

Le prisonnier était content, il allait pouvoir fumé, enfin.... Il en frémissait d'avance, de sentir ce mégot toucher ses lèvres, que l'embrasement de l'extrémité de la clope, fasse monté la fumé dans sa bouche quand il aspirait. Rien que d'y penser, ça le faisait saliver. Puis il revient a lui, au moment ou l'homme posa une question particulièrement pas courante. D'habitude les gardiens ne cherchaient a savoir ce qu'il avait ou encore moi de savoir s'il y avait que lui et son confident ou s'ils étaient nombreux dans sa tête. Alexander sourit avant de dire:

"Intéressante question..."
« Le gardien devient curieux mon Lapin...‎»‎
"Oui je vois ça très cher. Mais je pense que je vais lui répondre tout de même."
« Tu es sur mon Lapin ? Se jouerait il pas de toi ?»

Le lapin en question respira un bon coup, tout en le regardant sortir une cigarette de son paquet, celui ci se disait qu'enfin il allait avoir son du, mais non la clope termina sur les lèvres du gardien. Il allait rouspéter mais il dit avant :

"Si tu veux vraiment savoir, sache qu'il y a que nous deux pour le moment. Mais peut être que dans l'avenir... après tout, on se fait pas ce qui va nous arrivé dans le futur."


Puis s'apprêtant a dire quelques mots sur la clope qui aurait du finir sur ses lèvres et non sur celle du gardien, celui ci observa l'homme s'approcher sans crainte. Alexander avait juste a tendre la main pour lui toucher ne serait ce que la joue... Il sentait l'odeur de la cigarette lui chatouiller ses cloisons nasales. Le prisonnier suivit ses gestes avec attention avant de sentir enfin sur ses lèvres la clope qu'il avait limite fantasmé. Avec son pouce et son index, celui ci retire la cigarette de sa bouche après avoir aspiré un peu de cette merveille. Puis quand il recracha la fumé, celui ci dit :

"Mercii beaucoup... hm"
« Comment ça fait du bien mon Lapin... Encore recommence.»

Alexander était comblé, puis il entendit l'homme dire qu'il devrait essayer de s'endormir et en se qui concerne l'horloge insupportable, celui ci lui donna une indication qui fit sourire le prisonnier. ‎‎Cette maudite horloge allait déguerpir du couloir le mois prochain, donc il devrait la supporter encore un peu. Reprenant un tafe, le lapin sourit au gardien en disant :

"Hm... Reviendras tu me voir ?"


Il n'eut pas de réponse à sa question, car le gardien venait de reprendre sa ronde, marchant dans le couloir, avec la drogue que lui avait fournit le lapin blanc de la prison. Alexander finit par aller s'allonger sur son lit avec la clope au bec. La fumant tranquillement la voix en lui demanda :

« Pourquoi lui avoir demandé ça ? Il t'attire ou quoi ? »
"Chute... laisse moi profité des dernières visions que j'ai de son cul et de son corps. Prends ta dose de nicotine... Laisse moi tranquille..."

Quand il eut finit sa cigarette, celui ci éteignit sa ‎cigarette de bonne qualité, déposant le mégot dans un verre vide en verre. Fermant les yeux en se demandant s'il le reverrait... le marchand de sable vient rapidement le chercher...
~FIN~



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