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Javier F. Vargas - « Mi cuarto es tu cuarto, un truc comme ça. »

Anonymous





Invité
Invité
Ven 7 Oct 2016 - 5:37

Javier Flores Vargas


Avatar : OC de apriorii

Identité
Nom: Vargas
Prénom: Javier Flores
Surnom: Jeronimo [le prénom d’un frère décédé], Tulipán, Salazar [nom de fournisseur]
Âge: 33 ans
Nationalité: Vénézuélien
État-civil: « Petite pute »
Rumeur(s) à votre sujet: Javier F. Vargas ne serait pas un vrai hispanique ! Il serait en réalité né à Marseille en France, et ferait semblant d'être hispanophone pour pouvoir s'intégrer aux Prides. On raconte même que son vrai prénom est « François ».

Incarcération

Motif d’incarcération: Drug possession/Drug trafficking/Criminal street gang/+ 7 more
Durée de la peine: 14 ans (Grosso merdo, Javier est pas sorti avant ses 44 ans)
Incarcéré depuis: 3 ans
Nom du gang : The Pride
Poste occupé : Fournisseur



Caractéristiques physiques

Taille: 1,84 m
Poids: Varie énormément en fonction de ses caprices.
Corpulence: Javier est fin des hanches et de la taille, mais large du haut du dos – on peut blâmer son ADN qui fait coma éthylique par-dessus coma éthylique dans un party de mixologie génétique depuis Amerigo Vespucci.  
Cheveux: That puta madre ! La mère lui a donné sa blondeur dans sa tignasse de négro, et encore c’est pas tout à fait ça. Javier a des pousses de blé doré piquées sur le crâne, mais la semence est à mi-chemin entre le crépu et le bouclé - faut pas chercher de quelle sous-couche de génération métissée ça provient, les Vargas sont tous mythomanes et à les entendre, ils auraient des ancêtres celtes, coréens, mozambicains et même elfiques, genre. « Ma crinière ? Ça me vient de ma abuela, descendante directe des premiers créoles du Mexique, et de mon bisabuelo - il était thaïlandais et il a marié une vraie Quechua ! »
Yeux: Ambrés
Famille ethnique: Sale pardo !
Modifications corporelle: Tatouages, septum, piercings aux oreilles.

Javier, c’est un tableau multiethnique en sous-couches bien serrées. Une peau dorée et des billes en a en faire une effigie Aztèque. C’est aussi un grand gaillard qui aime se mouvoir comme fauve, supprimer son agressivité derrière des gestes trop fluides pour qu’ils ne soient pas forcés. Il a, dans la démarche, comme les rebus d’un ancien pole dancer.

Il a les traits carrés, mais c’est plus visible lorsqu’il se laisse aller à ses envies de jeûne. Excellente génétique oblige, Javier fond comme il prend de la masse musculaire. Son corps est un grand canal nerveux par lequel transite les menaces, et il se construit, puissant, dès qu’il sent son intégrité au bord d’un gouffre, puis s’amincît, décroît, lorsque son propriétaire flâne de la fourchette au-dessus de son assiette, obstiné à ne rien y piquer.

Petite oeuvre d'art ambulante, ses tatouages couvrent la quasi-totalité du haut de son corps. Myriades de lignes fines, comme des mandalas laissés vides pour se faire remplir. Faut pas chercher à savoir ce qu'ils représentent, qui les lui a fait, quand, où, rien de tout ça : Javier changes l'histoire à chaque fois. Mais si on est assez mignon avec lui, il peux vous laisser colorier l'intérieur avec des crayola.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Capiteux – Précieux – Extravagant – Aime se donner des titres pompeux – Goûts luxueux – Plus futé que toi – Faux mythomane en puissance – Adore la fourrure – Donne de petits surnoms à tous et chacun – Mère Poule – Hypocrite qui s’exhibe de A à Z – Obsédé par son apparence, particulièrement par ses mains et son poids – Complexé mais sans pudeur – Douce suffisance – Déteste qu’on joue dans ses plates-bandes – Vulgaire créatif – Kiffe les fleurs et la chaleur
Objectifs et ambitions: Se tailler d’ici vite fait, bien fait, sans trop de remous.
Tocs et manies: Il ponctue souvent ses discours d’un : « Il ne faut/faudrait pas les laisser gagner » sans raison apparente – Gesticule en parlant – Observe fixement en se pinçant le coin de la lèvre inférieure
Peurs/phobies: Salazar joue à Xtrem-Pinocchio parce qu’il redoute d’être cerné. Il ment sans vergogne et tisse des kilomètres d’histoires improbables parce que, d’une part, ça l’amuse et que, d’autre part, il refuse qu’on mette le doigt sur le vrai Javier. Comprenez, c’est le seul truc qu’il puisse réellement protéger sans faillir, ici. C’est une armure cruellement efficace de par sa transparence.
« Je sais que tu m’racontes des pipes parce que tu veux pas en parler, Tulipán.
- Tu sais ce que je peux te raconter aussi ? Pose ton joli cul là, j’suis certain que tu connais pas la véritable histoire du Petit Chaperon Rouge, rouge parce que c’était une communiste…
»


Javier se croit au-dessus de tout et, bien souvent, il l’est. Il est brillant, plus que tu ne le crois, mais ça lui va qu'on le prenne pour un grand imbécile. Vargas à ça pour lui : un magnétisme qui rend inconfortable et dont il joue à merveille. Un social antisociale, un gardien du sarcasme mielleux. « J’aime connaître les gens, mais pas trop, sinon on connaît comment les détester. Faudrait pas les laisser gagner… »

Puisqu’il est un menteur affirmé, une grande gueule et un sourire de platine collé sur un visage brun, Salazar adore faire semblant d’être heureux au pas possible et discuter avec ceux qu’il haït tout en leur faisant clairement comprendre que chacun de ses mots bave d’hypocrisie. « Sale rat, la grande forme ? Tu sais que j’suis toujours honoré de l’intérêt que tu me portes. L’autre soir je me suis touché, j’ai pensé à toi ! Ben merde, je te dis pas comment j’ai perdu l’érection. Tu m’en dois une, quand même. »

Pour ceux qu’il aime, c’est pas différent. Toujours un penchant pour l’excès, pour les tournures de phrases un peu grotesques, pour les gestes déplacés. Mais ce qu’il faut bien comprendre, c’est que tout ça, c’est du cinéma. Mais le rôle est ancré depuis si longtemps qu’il fait un peu parti de lui. Quand la vie nous étourdie, alors il faut se faire plus étourdissant encore, pour ne pas tomber.

Javier est un original, mais pas un monstre. En général, il ne mord pas. Sauf que faut pas lui chercher sa bête noire, parce que quand ça sort… merde, vous allez vraiment regretté d’avoir voulu creuser le filon d’or aussi loin. Et dernier conseil pour la route : inutile d’essayer de lui soutirer des informations, sur lui ou sur ses camarades. Javier est d’une loyauté à en faire pâlir ton plus gentil toutou ami-de-l’Homme et il enchaînera mensonge par-dessus mensonge pour se faire foutre la paix – et pour rire un peu. Il tolère bien la douleur, tu ne lui fais pas peur.


Santé

Etat de santé générale: « T’es l’infirmier toi, c’est ça ? La vache. Fallait me le dire, j’me serais rendu malade avant. » Non, rien à déclarer, si ce n’est que cet appétit un peu trop changeant qu’on lui surveille de près.
Allergies ou addictions: Aucune allergie, aucune addiction. – Sérieusement !? « D’accord, de la farine sur les gencives, ça fait toujours un bien fou. »
Soins réguliers (traitements): Des suppléments, quelques fois, quand il fait chier avec son alimentation.

Histoire


À quoi ça sert, de raconter. Les gens comprennent ce qu’ils veulent bien comprendre. Et sur les histoires, il n’y a que des mots, et pas d’images, et pas d’odeurs, et pas de bruits, et Javier sait qu’aucun ne peut se mettre totalement à la place des autres pour vivre ce qu’ils ont vécu, alors il préfère se taire. Vous ne l’entendrez jamais dire une ligne sur sa vie, si ce n’est une ligne mensongère, et ce sera flagrant : « Oui, ma mère m’a accouché sur un catamaran, sur les côtes de l’Antarctique : c’est pour ça que je suis brûlant mon chou, fallait que je dégage de la chaleur pour me tenir en vie, même à deux piges. »

La carrière criminelle de Jeronimo – le nom d’un frère, c’est tout ce qu’on sait – a commencé tôt, et pour des raisons que l’on connaît trop bien : ennui, manque d’argent. Et la spirale l’a mené où on le sait. The Pride, c’est sa tribu, désormais. Pas mieux qu’une autre, pas pire qu’une autre. Car Javier a cette fâcheuse tendance à placer tout le monde sur un pied égal, et à cracher sur celui qui se dépeint comme trop blanc. Ce sont les loups qui montrent patte blanche.

Il a géré plusieurs affaires pour le gang. Apparemment qu’il aurait même été pute, avant. Avant tout le reste. Et puis proxénète. Mais ce n’est jamais de source sure. Javier a ramassé beaucoup de pots cassés, ceux des autres avant les siens. Et comme il n'est pas friand de poterie, il te faudra user de beaucoup d’adresse si tu veux lui faire cracher un morceau de son passé – n’importe lequel.


Côté joueur

Pseudo : SHBLBLBL…
Âge : Veinte y «trouves-le-dernier-chiffre»
Comment as-tu trouvé le forum ? Compañero !
As-tu des remarques à faire ? Galette au miel.
As-tu un double compte: Point-de-du-non-tout.
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Invité
Invité
Ven 7 Oct 2016 - 11:20
SALUT ET BIENVENUE ! hug

Si tu as des questions n'hésite pas. Et je t'aime beaucoup ton avatar. grblrlrlrl. J'attendais impatiemment que quelqu'un l'utilise. xD
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Anonymous





Invité
Invité
Dim 9 Oct 2016 - 16:20

Tu es validé !

ET JE DOUBLE POST MOTHAFUCKAH  fuck Ahem...
Breeeef. Ta fiche est concise, cool, et j'adore le caractère de ton personnage. Ton histoire est certes courte et mystérieuse mais on comprend le principal et vu le caractère du petit Javier, c'est "normal" qu'on en sache pas plus en fait. C'est assez Role Play. J'apprécie. Pis t'es bô. Fallait que je le dise encore. Haha. Au plaisir de te voir au détour d'un rp. ♥️  

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des codétenus ici si tu es un détenu neutre.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !
Amuse toi bien parmi nous !
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Anonymous





Invité
Invité
Lun 10 Oct 2016 - 2:11
Oooh yaaaas ! Merci beau lion ~

Les fiches sont-elles verrouillées après validation ? Je pensais rajouter (avec edit et dates) des informations à l'histoire de Javier au fur et à mesure qu'elles seront découvertes inrp ... SO PLAYFUL !

cox
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Anonymous





Invité
Invité
Lun 10 Oct 2016 - 12:12
Alors normalement on verrouille, mais tu peux toujours créer un sujet dans la partie "fiches de liens" à cet effet au pire ? Reprendre ta partie histoire et la compléter au fur et à mesure des RPs ? Et genre éditer juste ta fiche de présentation pour mettre à la fin de l'histoire le lien vers ta fiche de lien pour dire que la suite se passe ici ? J'sais pas c'est une proposition comme une autre !
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