Logan Pitt ( Fiche terminée )

Taille: 1m70
Poids: 55 kilos
Corpulence: Athlétique mais fin
Cheveux: Long, blond vert, une petite fantaisie qui m’a pris un jour. Mais si il fait sombre, mes cheveux paraissent gris  
Yeux: Bleu vert
Famille ethnique: Acadien par mon père et Asiatique par ma mère
Modifications corporelle: Aucune

Comment vous décrire mon physique, hormis phase par phase.
Commençons par mon visage, un petit nez mutin. C’est la première chose que l’on voit, que l'on remarque chez moi, ensuite un regard brillant d’espièglerie même si je ne le suis pas vraiment, mais un regard qui accroche, surtout avec les reflets verts que l’on peut apercevoir par moment, tout dépend de la luminosité de la pièce. Des lèvres fines sans pour autant être féminine. Mes cheveux sont longs, de différentes longueurs, n’ayant jamais été un grand adepte des coiffeurs, je les coupais moi-même la plupart du temps. Ma corpulence comme indiquée plus haut est athlétique et fine car j’aime faire du sport, même si je dois vous avouez que je ne suis pas spécialement doué pour un en particulier. On pourrait croire que je ne suis pas musclé mais tout est en discrétion, je me préfère ainsi que bodybuildé comme certains hommes qui exposent leurs muscles comme un trophée. La couleur de ma peau se trouve être assez pâle, je le tiens du côté de ma mère, j’ai eu beau essayer de me mettre au soleil afin de prendre un peu de couleur mais ce fut sans succès, une peau douce au toucher, sans cicatrices, sans éraflures. Je pense que c’est tout ce qu’il y a à dire, pour le reste il suffit de me regarder !
Cela ne sert à rien de vous parler de ma tenue vestimentaire préféré, je ne pense pas que je vais pouvoir la remettre de sitôt.


Défauts et qualités: Mes défauts sont l’agressivité, la couardise et l’impulsivité et  mes qualités sont la fidélité, la minutie et l’honnêteté
Objectifs et ambitions: Je veux sortir d’ici, je ne suis pas fautif ou même déséquilibré
Tocs et manies: Je suis toujours en train de regarder par-dessus mon épaule.
Peurs/phobies: Le noir car je ne peux distinguer si il y a quelqu’un ou non

Bonjour, je m’appelle Logan et je vais tenter de me décrire, de vous expliquer qui je suis. Jusqu’à l’âge de 19 ans, j’étais une personne des plus sociables, enjoués. Qui aimait faire la fête avec ses amis, folâtrer de filles en filles sans attache mais sans pour autant être un salaud avec elle. J’avais le contact facile, je m’épanouissais dans mes études d’ébénisterie, travaillant avec passion et précision. Hormis le bois, j’aimais bricoler, ce que je faisais après mes cours mais à l’heure actuelle, je le fais avec moins d’entrain.
Vers l’âge de 20 ans, on m’a diagnostiqué le syndrome de Fregoli. Ce délire consiste à croire que plusieurs individus qui ne se ressemblent pas sont tous les incarnations d'une seule et même personne persécutant. C'est comme si le persécuteur employait le corps de tiers pour mieux persécuter sa victime. Cette petite phrase n’est autre que la définition de ce qu’ils pensent avoir trouvé comme problème chez moi.
Ils me pensaient tous fou, mes parents compris mais moi, j’étais persuadé et je le suis toujours que je n’ai rien inventé. Après un moment, mon morale devint terne, plus rien ne me faisait envie. Même travailler le bois ne me procurait plus le plaisir d’avant. L’impression d’être observé en permanence ne cessait d’accroitre et la peur s’y mêlait, devenant de plus en plus craintif de tout et de rien.
A présent, je fuis le contact d’autrui hormis celui d’Eliane, une condisciple que j’ai rencontré lors de mon passage en hôpital psychiatrique, la seule qui me croit, la seule qui me reste. Oui j’ai peur de tout, j’ai peur de l’inconnu que je ne peux maitriser. Je suis devenu l’inverse de ce que j’étais, rejeté par ma propre famille, qui me regarde comme si j’étais un démon. Mais pourquoi ne peuvent-ils pas me croire alors que je ne cesse de répéter que l’on veut me faire du mal, que l’on veut m’enlever, me détruire psychologiquement.

Je ne demande pas grand-chose, juste que l’on me croit, que l’on me dit que cela va se calmer. Il est vrai que la prise de médicaments me fait du bien, mais j’ai l’impression que l’on me drogue pour que je ne dévoile pas la vérité. Pour éviter cela, je suis bien décider à ne plus les prendre, plus jamais.



Etat de santé générale: Correct hormis des crises de convulsions
Allergies ou addictions: Aucunes pour le moment
Soins réguliers (traitements): Antipsychotiques, antidépresseurs et des anticonvulsifs ainsi qu’un traitement psychologique.



Je suis né dans une famille des plus traditionnelles. Un père né au Canada et qui s’est installé en Amérique pour son travail d’ingénieur. Une mère qui a succombé au charme de ce canadien à présent Américain et qui n’est jamais retournée dans son propre pays. Une sœur de deux ans plus âgée, enfin une famille aimante et qui faisait tout pour leurs enfants.
J’ai passé une enfance joyeuse, où j’ai pu faire mes propres expériences grâce à mes parents qui me permettaient de faire des erreurs sans pour autant me juger. Au contraire, ils m’accompagnaient plutôt à résoudre les problèmes. Une sœur qui prenait toujours soin de son petit frère, le défendant si nécessaire dans les cours de récré. On peut considérer cela comme un petit paradis, un oasis dans un monde qui par certains côtés est des plus violent, mais chance pour moi, j’ai été protégé de tout cela.

Contrairement à mon père, un intellectuel, je suis plus manuel qu’autre chose et je suis doué de mes mains. J’ai commencé des études d’ébénisterie, afin de restaurer des vieux meubles d’époques car j’ai une réelle passion pour les artistes d’antan, qui d’un vulgaire morceau de bois créaient des véritables œuvres d’art. Bien évidemment, je ne me suis pas attaqué directement à cela, mais bien par des études de menuiseries classiques, un processus courant avant de prétendre étudier l’ébénisterie, au même titre que vous ne pouvez prétendre être chirurgien sans passer par la médecine générale.

C’est à ce moment-là, à la fin de mes études que j’ai commencé à avoir des soucis, l’impression que l’on me surveillait tout le temps, que l’on me suivait. Tout d’abord j’ai mis cela sur le compte de mon imagination pour finir par vraiment croire que l’on me voulait du mal. Vous n’imaginez pas le nombre d’histoire que l’on peut entendre sur les stalkeurs, sur leur obsession pour une personne. En parlant avec des amis, ils me confortaient dans mon idée, me sommant d’être prudent face aux étrangers et tout ce qui va avec. Mon comportement ayant changé, mes parents ont commencé à se poser des questions sur la véracité de mes dires, surtout que je commençais à voir de drôle de choses ; mon poursuivant prenait divers formes humaines, tantôt un noir, un blanc ou encore celle d’une fille, mais pas moyen de me tromper, je savais, je l’avais reconnu, c’était la même et unique personne qui me poursuivait.

Après une crise de convulsion et de délires assez importants, ils m’ont envoyé passer un séjour dans un hôpital psychiatrique, bourré de médicaments de toutes sortes car ils pensaient avoir diagnostiqué ce que j’avais … mais je savais qu’ils se trompaient …mais personnes ne voulaient me croire hormis une fille, au même étage que moi, avec qui j’ai lié une amitié qui s’est vite transformée en une histoire d’amour. Grâce à elle et non au médoc, j’ai pu sortir de l’hôpital … mais dehors, sans elle, tout a recommencé, pour finir par une tragédie selon eux mais moi je suis et je reste persuadé, qu’il s’agissait de lui, de mon persécuteur, et il a pu s’en sortir même si ils prétendent le contraire.

La tragédie, c’est déroulé un samedi, où je rentrais, un après-midi pluvieux, d’un petit boulot dans un magasin d’antiquité. Il était revenu, je courrais pour lui échapper mais il se rapprochait de plus en plus, prenant plusieurs apparences. Il me talonnait, il me faisait peur car si je ne faisais rien, il allait m’attraper. Hors de question d’être une victime … je me suis retourné et je lui ai enfoncé la pointe de mon parapluie dans l’abdomen, hurlant qu’il ne m’attraperait jamais…

Ils disent qu’il est mort
Je sais que non, il était là, dans la salle d’audience.
Au moment où ils m’ont condamné, mes parents ont détourné le regard et lui … il a souri.




Pseudo : Yaya
Âge : Bien plus de 18 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? C’est Aïsha qui m’a montré le chemin
As-tu des remarques à  faire ? Je vous prie de m'excuser pour la fiche, mais c'est vraiment ma bête noire de les faire *honte à moi*
As-tu un double compte: Nope