Méfaits accomplis. |Terminée|

Taille: 1m69.
Poids: 49 kg.
Corpulence: Fin, sec, maladif.
Cheveux: Noirs.
Yeux:  L'un noir, l'autre gris.
Famille ethnique: Anglaise.
Modifications corporelle: Niet.

D'un naturel assez fin à l'origine, le corps de Jack n'est pas arrangé par ses divers troubles alimentaires. En effet, dès son plus jeune age, le petit brun souffrait déjà d'une pathologie assez lourde et handicapante plus ou moins méconnue, l'empêchant d'avaler quoi que ce soit ou alors en très petites quantités ; l'anorexie mentale. Aussi, et comme je le disais un peu plus haut, son corps s'en voit fortement affecté. Tant dans sa taille que dans son épaisseur. Comment se développer correctement et grandir, lorsque l'on ne nous fourni pas de quoi ?

Ajoutons à cela que le garçon n'a rien de sportif. Et de toute manière, même s'il en avait l'envie, la force ne suivrait pas. Constamment tenaillé par la fatigue, il ne peine pas pour autant à se déplacer. L'habitude, dirons-nous. La plupart du temps, son manque en apport calorique se traduit pas de longs, voire très longs moments de phase totale, durant lesquels il fixe un objet, un mur, ou même une personne et ce, jusqu'à ce que quelque chose de plus intéressant entre dans sa ligne de mire.

Oui, ces troubles lui ont occasionné des dommages. Tant psychiques (profonde dépression, idées suicidaires...) que physiques (fatigue constante et handicapante, maigreur critique, perte de cheveux...), pour autant et malgré ce que ces troubles engendrent, le jeune homme a tout de même réussi à se développer et à atteindre l'âge respectable de 22 ans. Mais l'anorexie restant ce qu'elle est, et même si aujourd'hui, il s'en trouve plus ou moins guéri, son corps en garde les séquelles.

Cela se traduit par une maigreur inquiétante, donc, mais aussi :

Des cheveux extrêmement fins, et fragiles. Bien que ceux-ci soient assez longs. Il n'en prend guère soin et les laisse pousser au gré de leur envie.  D'ailleurs, de ce côté là aussi, Jack à son petit toc. En cas de stress intense, en couper quelques mèches et les brûler fait partie de ses hobbys. D'où la taille de certaines assez inégale à d'autres. Les yeux souvent dissimulés sous un fins rideaux noirs, il se plait à observer plus ou moins discrètement le monde autour de lui. Même si en réalité, il ne voit quasiment rien.

Eh oui, car le jeune homme est myope sinon borgne. Ses yeux vous apparaissent vairons, n'est-ce pas ? Ce n'est pas une fantaisie de la nature, un cadeau original offert par sa génitrice à la naissance, et encore moins une paire de lentilles. Non, il s'agit là d'un défaut, d'une hérésie peu présente à la base, mais qui s'accentue au fur et à mesure que les années s'écoulent. Jack, à la base, souffre d'un strabisme. Un strabisme, c'est tout bête un strabisme, la plupart des gosses en souffrent. Deux ans de patch et de lunettes et hop, on en parle plus. Oui, mais à ceci près qu'il faut encore veiller à le soigner. Nés de parents négligents, quoique aimants, Jack n'eut pas droit à ces soins pourtant essentiels. Les années passèrent, sa vision chuta fortement, et la visite médicale scolaire passa par là. Une ordonnance, et un rendez-vous pris chez l'ophtalmologue plus tard, le verdict tomba : Myopie sévère, et diabète à l’œil gauche. Pour vous donner des chiffres, moins de 2/10 pour l’œil malade, et 4/10 pour son frère, pas beaucoup plus performant, mais clean, au moins. Le diabète, c'est héréditaire. Une raison en plus pour haïr papa. Cette pathologie, et même si en ce qui concerne Jack, reste un cas d'école, a pour mérite de dépigmenter peu à peu l'iris de son œil gauche. Aujourd'hui, celle-ci est grise. A terme, elle sera totalement blanche.

Quant à son teint, régulièrement privé de soleil et conditionné par une mauvaise alimentation, celui-ci se trouve être terne, presque grisâtre. Sous ses yeux, des cernes noirs, profonds, inquiétants.

Oui, Jack n'a semble-t-il rien pour lui. Et rien pour survivre dans ce monde qu'est le milieu carcéral. Ni carrure imposante, ni même le moindre muscle. Questionnons-nous sur le pourquoi du comment a-t-il réussi à survivre en étant un si petit poisson dans un aquarium rempli de requins.


Défauts et qualités: Égoïste, égocentrique, fier, réfléchit, vicieux, sarcastique, lâche, vif d'esprit, cinglant, mauvais, envieux, discret.
Objectifs et ambitions: Marquer l'histoire, devenir aussi tristement célèbre que de grands noms tels que William Palmer ou encore le Dr Crippen.
Tocs et manies: Couper et brûler ses cheveux, se ronger les ongles, faire craquer ses articulations.
Peurs/phobies: Etre enfermé dans le noir, l'indifférence.



Si vous le demander à ses proches, ou bien à ceux qui ont pu le côtoyer, tout le monde s'accordera à vous dire que Jack est quelqu'un de très réservé, timide, voire refermé sur lui même. Qu'il se cache, qu'il n'aime pas que les regards se posent sur lui. Qu'il n'est pas à l'aise avec les autres, qu'il n'est pas sociable. Qu'il n'aime pas le contact humain, que tisser des liens, ce n'est pas son truc.

Eh bien notez que ces gens là ont raison. A quelques détails près.

En effet, le contact humain, ce n'est pas sa tasse de thé. Très affecté, semble-t-il, par le décès de sa mère des suites d'un accident vasculaire cérébral alors qu'il n'était âgé que de 4 ans seulement. Il en ressortira des troubles dans son développement, et notamment dans sa capacité à interagir avec autrui. Ainsi que divers problème plus préoccupants, l'anorexie mentale pointant déjà le bout de son nez.
Échanger, partager avec les autres, très peu pour lui. Il n'aime pas lorsque les sujets de conversation portent sur lui, il n'aime pas faire l'objet d'un quelconque débat et aime encore moins débattre des autres.

L'intérêt que le petit cercle qui gravite autour de lui lui porte ? Peu importe. Il n'en à que faire. Ce qu'il veut lui, c'est toucher les masses, laisser sa trace, asseoir l'emprise qu'il peut avoir sur chaque être humain. Et même sur chaque être vivant.


Enfant intelligent, depuis ses 8 ans, Jack cultive une passion ;  la lecture. Et un livre en particulier : Mein Kampf, d'Hilter. Il relira encore et encore l'ouvrage très régulièrement et avec une avidité certaine, peu prise en compte par ses proches. L'adoration que l'enfant portait et porte toujours, d'ailleurs, au dictateur, est telle que sur les pages de ses cahiers d'écolier, des croix gammées furent gravées. Ainsi que des passages de la fameuse autobiographie et autres dessins faisant son apologie. Un comportement inquiétant en somme, mais là encore peu pris en compte par les membres de son entourage malgré les mises en gardes des divers professeurs qu'eut l'enfant. "C'est un fétiche de gosse. ça lui passera." Et pour "lui faire passer" quoi de mieux que la punition ? Oh bien sûr, les dessins sur ces cahiers cessèrent. Mais un coin de mur reculé de sa chambre, bien à l'abris des regards derrière une étagère, fit correctement l'affaire.   


Aussi, d'un naturel peu ambitieux, Jack eu du mal à grandir, à se projeter dans l'avenir. Touché très jeune par le deuil, cela lui provoqua quelques soucis de développement et pas des moindres. L'anorexie mentale, donc, mais une profonde dépression également. Animé par des pulsions suicidaires, il en gardera les traces sur ses poignets toute son adolescence, la scarification étant alors le seul moyen pour lui d’évacuer ce mal qui le ronge.  
Malheureusement d'un naturel refermé et peu communicatif, ses proches ne s'alertèrent jamais des divers signes que pouvaient laisser apercevoir le garçon. "Il est comme ça, c'est sa nature." Il aurait pourtant suffit de soulever les longues manches de ses sweats pour s’apercevoir de son mal-être.


Jack étant du genre à observer avant d'agir. Il ne réagit que s'il juge que la situation n'en vaut pas la peine. Et il juge très rarement qu'elle en vaut la peine. De ce fait, son comportement peut changer radicalement d'une personne à une autre. D'un naturel assez angoissé, il a la fâcheuse manie de se ronger les ongles. En revanche, il est essentiel de noter que ce qui pourrait offusquer le commun des mortels glisse sur lui. De nature mauvaise malgré les apparences, il possède une analyse des choses très fine, et une répartie pour le moins cinglante.

Aujourd'hui devenu adulte, le garçon refermé n'a pas beaucoup changé semble-t-il. Semble-t-il. Bien plus confiant en réalité, il se laisse même aller à sourire par moments. Même s'il s'agit alors d'un rictus ne disant rien qui vaille. Aussi, il s'est découvert une nouvelle passion bien plus dévorante, perverse, et surtout nuisible que la première : les poisons. Oh, n'allez pas croire qu'il a laissé tomber son adoration pour Hilter, il n'en est rien. Il relit d'ailleurs encore et toujours ce qui demeure une bible pour lui, Mein Kampf, avec la même avidité.

Il s'est découvert cette lubie à l'age de 10 ans, lorsque son père lui a offert son premier kit de chimiste à la suite de bons résultats scolaires. Assidu dans ce qui aura été des mois, et même des années d'apprentissage, il devint assez rapidement un maître dans l'art d'élaborer des cocktails mortels. Un de ses passes-temps favoris fut d'ailleurs de les tester sur des sujets vivants. Sur ses proches. Les voir agoniser, se tordre de douleur, et puis voir les effets de ses mélanges, surtout.  C'est ainsi qu'il fut sa première victime. Il s'agissait alors de son petit frère, Andrew, issu du second mariage de son père, et âgé de seulement 7 ans. Mais Jack, alors âgé de seulement 13 ans, ne fut pas inquiété, ses proches pensants à une intoxication alimentaire. Ce fut son premier homicide. Dans son journal intime, découvert bien plus tard, l'enfant décrit l’expérience comme incroyable. Et expliqua ô combien son emprise sur les autres, son droit de vie ou de mort, lui conférait des frissons.







Etat de santé générale: Correct, disons-nous. Il demeure assez maigre, mais peut se tenir debout c'est l’essentiel. Et paradoxalement, il résiste plutôt bien à la maladie.
Allergies ou addictions: Le bonhomme est allergique au CEBENICOL, un traitement antibactérien alternatif. Il l'a appris des suites d'une grosse conjonctivite. Voilà voilà. Et sinon non, aucune addiction si ce n'est l'ivresse d'avoir le choix.
Soins réguliers (traitements): Niet.



Jack Neil Silver naquit avec sa sœur jumelle Lise Emma Rose Silver, un premier novembre, en Angleterre. Malheureusement, celle-ci succomba à une malformation cardiaque quelques semaines plus tard, à l’hôpital.
Bébé très calme, Jack ne pleurait jamais, faisait ses nuits, et ne mangeait pratiquement rien. Inquiétée par ce bébé définitivement trop sage, sa mère, Alice Silver, consultât divers pédiatres et experts. Le réponse au problème demeura unanimement la même ; le petit vivait le deuil de sa sœur. Un manque, un vide, comme une part de lui même lui faisant cruellement défaut. "C'est rien, ça va passer".  Et effectivement, sans aller jusqu'à dire que l'enfant s'en est remis, il parvint tout du moins à grandir.

Lorsqu'il eu atteint l'âge de 4 ans, c'est la perte de sa mère que le garçonnet du affronter. Une épreuve terrible qui ne fit que refermer un peu plus l'enfant, déjà très solitaire, sur lui même. D'ailleurs, et même si celui-ci n'en su jamais rien, Jack supporta très mal le second mariage de son père, un an à peine après le décès brutal de sa mère.

C'était une serveuse, elle s'appelait Amber dit Amy, avait de longs cheveux châtains, un teint d'albâtre, et un sourire à vous damner. Amy était plus jeune que le père de Jack, Allister James Silver, d'environ dix ans. Elle pratiquait la danse, et aimait chanter.
Avec elle, Allister eu un autre fils seulement quelques mois plus tard ; Andrew. Un véritable petit ange, beaucoup plus bruyant que son aîné Jack, et surtout, à l'instar de lui ; plein de vie. Oui, nous avions là le parfait petit schéma familial, la petite vie en banlieue paisible où il fait bon vivre, le chef de famille bien installé dans son fauteuil le journal posé sur les genoux, tendis que madame prépare le repas assistée de son petit, aux bouclettes fines et dorée assis sur le carrelage, à regarder maman faire avec attention.

Et c'est dans cette petite cage faite d'amour et de détergeant que Jack du se construire ou plutôt tenter de se reconstruire. De l'amour, il y en avait, c'est certain. Mais assez pour lui, rien n'est moins sûr. Amy avait tenté deux trois fois de tâter le terrain, d'approcher Jack, de faire sa connaissance. Mais le jeune homme la repoussera sèchement à chaque fois. Pour Allister, ce n'était rien de bien grave. "Il a du mal à accepter le départ de sa mère, ça ira mieux plus tard."

Après l'école primaire, durant laquelle il demeura un enfant gauche et solitaire, Jack passa les examens qui sacrent les études primaires en Angleterre, afin de pouvoir entrer en sixième. Quelques temps auparavant, le garçon se vit offrir son premier kit de chimiste, des suites de bons résultats scolaires. il fut dès lors pris d'une véritable fascination pour les produits chimiques de toutes sortes, jusqu'à s'intéresser aux produits ménager d'Amy.
Désormais en études secondaires, et même s'il tenta dans un premier temps de faire l'effort de se mêler à ses petits camardes, l'adolescent se désintéressa très rapidement de tout ce qui ne touchait pas à la chimie.

Il commença à emprunter à la bibliothèque de son école des livres traitants de la médecine et en particulier des poisons. Il dévorait également et ce, depuis un moment déjà, des ouvrages sur Adolf Hitler et le mouvement nazi. Passion alors peu prise au sérieux par ses proches, à ce moment là.

Jack avait également un fétiche. Une petite fiole sans laquelle il n'aimait pas se
déplacer. A 11 ans seulement, Silver était devenu un expert en poison.
Le contenant était plein d'une sorte de poudre verte, ou plutôt grisâtre, étrange ; de la Belladone séchée, puis écrasée. Cela lui conférait un sentiment de puissance, et le rassurait.


Un jour, et alors qu'elle rentrait après avoir fait quelques commissions chez l'épicier, Amy Silver trouva son fils Andrew en train de se tordre de douleur sur le carrelage de la cuisine et Jack, maintenant âgé de 13 ans, replié sur lui même, et assis juste à côté de lui. Le regard vide et terrifié à la fois. Elle appela les secours, Andrew fut évacué d'urgence vers l’hôpital. Ne trouvant pas la cause de ses maux, les médecins ne surent alors quoi faire, tendis que l'enfant se vidait littéralement. Il agonisa la nuit entière, et, face à l'impuissance du personnel médical, succomba au petit matin à l'âge de 7 ans.

Jack ne fut pas incriminé. L'espace d'une seconde, l'idée qu'il ai pu contaminer la vaisselle lors d'une de ses expériences de chimie, traversa l'esprit de sa belle-mère. Idée rejetée alors violemment par l'adolescent. Andrew fut d'abord autopsié puis enterré une semaine plus tard, déclaré officiellement mort d'une intoxication alimentaire.

Quelques mois plus tard, ce fut Amy elle même qui fut prise de violents maux de ventre. En buvant le thé que Jack s'était proposé de lui préparer, elle y avait senti un goût amer. Et alors qu'elle était en train d'agoniser, elle demanda au jeune homme ce qu'il avait mis dans sa tasse. Sous le silence de l'adolescent, la femme alors pliée de douleur haussa le ton. Il n'en fallut pas plus. En quelques secondes à peine, Amy se retrouva plaquée sur le sol, Jack assis à califourchon sur elle, tentant de l'étrangler avec un torchon noué autour sa gorge. Il fut arrêté de justesse par son père Allister, venant tout juste de rentrer du travail.

Placé alors en détention, et se sachant coincé de toute manière, il dévoila fièrement l'homicide dont il était coupable. Celui d'Andrew. Il déclara qu'il n'avait jamais rien pu ressentir pour le garçon avant de le voir agoniser. Que ça avait d'ailleurs été fascinant, et qu'il l'en remerciait. A 14 ans, l'adolescent se targuait d'avoir pu mettre fin à la vie de son frère en un claquement de doigts. Il déclara également  "Lorsque je sortirai d'ici, je tuerai une personne pour chaque jour passé enfermé." Paroles alors peu prises au sérieux par son auditoire.

Silver fut enfermé à l'hôpital Ashworth, en Angleterre, une institution psychiatrique carcérale, d'où il ressortira 4 ans plus tard, à l'âge de 18 ans, pour bonne conduite, déclaré guéri, et donc apte à reprendre une vie normale.
En effet, durant 4 années, le jeune homme ne commis aucun impaire. Peu après sa libération, le petit brun devenu adulte, se mis à travailler afin d'avoir de quoi vivre. Il ne s'agissait que d'un enchaînement de petits boulots, afin de ne pas avoir à rendre de compte notamment en ce qui concerne son casier judiciaire, mais histoire d'avoir de quoi mettre de côté quand même. Environ un an après sa libération, et avec ce qu'il a pu économiser entre temps, Jack décida de quitter le pays. Possédant la double-nationalité Anglo-américane, c'est tout naturellement qu'il se dirige vers les États-Unis et plus particulièrement Denver. Là, il reconstruira sa vie, et se fera même quelques amis. Il trouvera un travail et passera son permis de conduire. Guéri, il semblait l'être oui. Même si régulièrement, ses camarades se plaignaient de violents maux de ventre.

Mais un soir de mars, alors qu'il rentrait de soirée, il percute un jeune couple et tue la demoiselle. Mis en garde à vue, les forces de l'ordre découvrent alors ses antécédents. Placé en détention pour homicide involontaire, il est enfermée dans l'attendre son jugement dans une petite prison du Kansas. En prison, il tue alors un détenu par empoisonnement au Datura, une plante qui poussait à côté du pénitencier.

Considéré comme une menace sérieuse pour la société, et déclaré responsable de ses actes, l’empoisonneur fut alors condamné à 135 ans de prison, autrement dit la perpétuité. Il est également décidé d'un commun accord par le jury que Jack Neil Silver devra être placé dans un établissement de haute sécurité qui saura le gérer. Un nom ne tarda pas à tomber ; Lancaster dans le comté de Los Angeles.



Pseudo : Loki.
Âge : 19 ans, sa race.
Comment as-tu trouvé le forum ? Eeeeeuh..Si je vous dis "Pokipoki", vous voyez de quoi j'parle ?
As-tu des remarques à  faire ? Vous êtes beaux, vous êtes gentils.
As-tu un double compte:  ................... Non.