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Have no fear, for i shall heal you ◄► Brian Evans.

Brian Evans
Messages : 60
Date d'inscription : 29/08/2016
Age : 27

Dossiers privés
Âge du personnage: 29 ans.
Taille: 1m65.
A savoir:





Brian Evans
Psychiatre
Lun 29 Aoû 2016 - 3:00

   
Brian EVANS

   

   
Avatar : Levi Ackerman ◄► Shingeki no Kyojin.
   

   
Identité
Nom: EVANS
   Prénom: Brian
   Surnom: Fantôme.
   Âge: Vingt-neuf ans.
   Nationalité: Américaine.
   État-civil: Célibataire.
   Rumeur(s) à votre sujet: Brian Evans boit du thé avec des hormones en espérant prendre des centimètres, pourtant, il a peur des géants, d’ailleurs, sa thèse en psychologie serait basée sur les nains dans l’histoire.

   
Dans la prison

    Poste dans la prison: Psychiatre.
    Depuis combien de temps ? Il vient tout juste d'arriver.
    Motivations pour travailler ici ? La motivation de Brian est assez simple, il a toujours voulu un boulot stimulant et la prison est un endroit parfait selon lui, mais il cherche aussi à comprendre pourquoi les détenus sont comme ça, pourquoi ils ont commis ses crimes, il veut analyser le comportement des détenus, comme s’ils n’étaient que de simple puzzle. Il est là pour les aider en gros, mais aussi pour les comprendre.

   


   
Caractéristiques physiques

   Taille : 1 m 65
   Poids : 60,3 kg.
   Corpulence: Fin.
   Cheveux: Noir.
   Yeux: bleus-gris
   Famille ethnique: Caucasien.
   Modifications corporelles : Il a des tatouages dans le dos et sur les bras.

Brian, c’est juste un nabot. Il est petit, il parait tout maigre, ouais, il n’est pas le beau mec d’un mètre quatre-vingt que tout le monde aimerait avoir.

Ses yeux sont d’un gris comme l’acier, les yeux que possèdent Brian dissuadent assez facilement la plupart des remarques sur sa petite taille et sa taille bien trop fine. Oui, ce regard noir qu’on lance quand on entend un mot qu’on n’aime pas. Il a ce regard qui est toujours impassible, ce regard qui ne nous permet pas de savoir ce qu’il pense réellement, nous ne distinguons pas ses émotions via ses yeux. Parfois, il a l’air blasé, parfois en colère, c’est rare de croire qu’il est détendu.

Ses cheveux sont rasés sur les côtés et l’arrière du crâne de façon « undercut », sa chevelure entoure son visage qui n’exprime aucunes émotions.  Effectivement il a cet air blasé tout le temps, cet air qui lui va bien, mais c’est une expression qu’il n’aime pas particulièrement, il est rare de le voir sourire et encore plus rare de voir un sourire sincère sur son visage pâle.

Sa peau pâle semble sans imperfection, mais quand il remonte les manches de sa chemise ou de son pull nous distinguons parfaitement les multiples cicatrices qu’il a au bras gauche. Ce bras qui maltraite sans cesse quand il commence à stresser, quand quelque chose l’énerve, quand il a peur. Ce bras cicatrisé est la preuve qu’il n’est pas parfait physiquement.

Au niveau vestimentaire, il ne va pas chercher loin, il a cette fameuse la veste et ce fameux pantalon d’un noir classique, la chemise d’un blanc éclatant, il a aussi ce que l'on nomme mocassin noir comme le reste, mais il ne porte pas que ça, parfois il arrivera avec un pull et un jean et des bottes, ça sera selon son envie du jour, il faut le dire, il aime bien avoir la classe sans aller chercher trop loin.

Les accessoires, ça jamais en prison il en portera, chez lui ou dans la rue vous pourrez le voir porter des bracelets, des colliers ou on ne sait quoi, mais jamais en prison, ce n’est pas qu’il ne fasse pas confiance aux détenus -même s’il devrait être méfiant. - juste qu’il ne veut pas en porter au travail.


   
Dossier psychologique

   Défauts et qualités: Souvent dans la lune quand il ne bosse pas, parle très peu, n’essaye pas de s’attacher aux autres, il enverra plus facilement voire ailleurs les autres plutôt que de dire « Je t’apprécie ». Méticuleux dans ce qu’il fait, Il a parfois cette attitude qui le pousse presque vers un comportement asocial.
   Objectifs et ambitions: Son seul objectif est de vraiment comprendre les détenus, ceux qui peuvent se faire réinsérer en société, il aimerait les aider, pour ceux qui ne pourront jamais réellement retourner dehors, il aimerait comprendre, savoir pourquoi ils sont comme cela, pourquoi ils ont choisi ce type de victime, etc..
Il aimerait en gros que pendant sa carrière, trouver des solutions pour des cas que le gouvernement ne juge pas utile. Puis aussi redonner une image positive des psychiatres. Prouver qu’ils ne sont pas si méchants quoi. Qu'on peut faire confiance aux psychiatres et aux psychologues.
   Tocs et manies: Depuis ses onze ans, il a une vilaine manie de se griffer le bras gauche (il a donc souvent un bandage à ce bras), mais il se prince le bras droit. C'est souvent quand une situation l'énerve, quand il est triste ou quand il a peur.
Il tape souvent sur ses cuisses quand il est assis et aussi il tire souvent sur son haut, il le tire vers le bas sans savoir pourquoi, mais il ne peut pas s'empêcher de le faire, même quand il est assis.
   Peurs/phobies: Il a peur de l'abandon (ironique étant donné que lui-même il abandonne les autres, hormis ses patients)./De l'orage/de l'échec.

Il parle peu.
C’est la première chose qu’on peut dire de Brian. Les mots sont rares et parfois quand il ouvre la bouche ses mots sont cruels, tranchants comme des lames de rasoir. Il ne tourne pas autour du pot quand il s’adresse à quelqu’un, il ne cherche pas à cacher la vérité, il préfère dire les choses directement, être clair et précis pour qu’il n’y ait aucun malentendu.

Quand on lui demande quelque chose, quand on lui pose une simple question de routine, il ne répond pas forcément par une longue phrase, s’il peut répondre « Oui » ou « non » tout simplement, il répondra ainsi. Il ne dira son prénom et son nom que s’il estime qu’il veut revoir la personne, sauf avec ses patients bien entendu, car il veut établir un lien de confiance histoire de pas perdre tout ce qu’il fait au boulot.

Généralement quand il commence à bien parler avec quelqu’un que ça soit un patient ou non, c’est qu’il apprécie la compagnie de cette personne. Cependant, il peut vite changer d’avis, car très peu de personnes piquent réellement son intérêt.


Il s’énerve que très peu.
Il est là, vous pouvez l’insulter, vous pouvez le taper (mais pas trop sinon il part dans une crise d’angoisse), il ne dira rien. Il ne joue pas les victimes, mais il ne s’énervera pas, il restera calme. Il attendra juste que vous ayez fini votre petit manège à deux francs six sous. Généralement, il balancera juste une petite pique histoire de dire qu’il se fout bien de votre gueule et il partira par la suite.

Il y a juste le sujet de sa taille qu’il ne faut pas aborder, il s’énerve très facilement dessus. Il n’aime pas qu’on lui dise ou qu’on lui rappelle qu’il n’est pas dans la norme. Là, il deviendra vraiment méchant et il aura des réactions vraiment extrêmes, il sait se retenir, mais si on appuie trop sur ce point, il risque vraiment de devenir un méchant psychiatre.

La peur.
On ne sait pas, ça ne se voit pas, mais il a peur. Au début nous ne le remarquons pas, il parait fort mentalement, son visage ne laisse rien exprimer, la peur ne semble jamais présente, mais en réalité, il est là, il vous voit, il vous parle, mais il a peur.
Vous le touchez, il commence à stresser, vous faites tomber quelque chose sur lui il va paniquer à mort, en racontant des choses incompréhensibles, il hurlera presque qu’il ne faut pas l’approcher, qu’il faut reculer, qu’il faut rester loin de lui. Le plus loin possible. Il s’éloignera et vous regardera comme si vous étiez Satan en personne. Il a peur pour sa vie.

Il sera méfiant avec les personnes qui ne seront pas ses patients, il est méfiant aussi concernant ses patients, mais il le sera moins. Il ne laissera pas sa peur paraitre, il ne veut pas paraitre faible.

« J’ai peur. »

Le calme.
C’est un homme très calme, comme dit il parle peu, il s’énerve peu, il provoque peu, sauf quand il veut obtenir quelque chose, il n’est pas du genre à faire du bruit sans aucune raison. Brian passera tel un fantôme vers vous et vous ne le remarquerez sans doute pas. Il est d’une nature calme depuis tout petit, il n’a jamais osé faire quoi que ce soit qui pourrait le faire remarquer. -Malgré qu’on le remarquait pour autre chose. -

Brian est l’homme qu’on voit là dans un coin, entrain de lire un livre dans le plus grand des calmes, il ne se mêle à personne et ne parlera à personne.

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Il encourage ses patients, pour lui il ne faut jamais abandonner, c’est un homme très déterminé, jamais il n’abandonnera quelqu’un une fois qui lui a promis de l’aider, si quelqu’un se jette dans ses bras il ne le rejettera pas, il le va le serrer doucement, il est lui aussi en manque d’affection, il n’est donc pas du genre à dire « Dégage » quand quelqu’un lui fait un câlin, même si parfois il sursautera si vous êtes un parfait inconnu -comme dit plus haut, il a vite peur, donc si c’est une personne qu’il connait vraiment pas ou une personne qui parait « mauvaise, il se reculera automatiquement.-

Quand Brian commence à stresser pour quelque chose, il commence à se pincer le bras droit, mais quand il est vraiment en stresse, qu’il commence à avoir peur ou bien qu’il commence à s’énerver, il se griffe le bras gauche.  Ça ne semble pas le déranger de se faire du mal ainsi, il trouve ça même « normal ».

Il n’a que ses patients dans sa vie, il fera tout pour eux et qu’importe si personne ne l’aime du moment qu’il aide ses patients, il est heureux.




   
Santé

   État de santé générale: Il est considéré comme une personne ayant une santé fragile, il tombe souvent malade qu’importe la saison. En hiver c’est sûrement le premier à s’attraper une rhinopharyngite.
   Allergies ou addictions: Accro au thé, allergique au pollen et à la poussière.
   Soins réguliers (traitements): Il doit souvent soigner ses petites plaies qu’il se fait au bras gauche. Mais rien aucuns traitements du moins de traitements réguliers.

   
Histoire


 
« J’ai peur…Peur de ne pas réussir, peur de tout mal faire, peur d’être abandonné... »

On ne choisit pas de naître en ce monde, on ne choisit pas la famille, mais il y a bien une chose que nous pouvons choisir : Notre avenir.

Brian adore écouter la vie des autres, mais il déteste raconter la sienne.
Il vous dira qu’il est né un jour comme un autre, qu’il avait un père et une mère, un frère sans doute si nous pouvons appeler l’homme qui gâche votre enfance un frère.

Il a eu une vie assez facile, ses parents étaient des avocats assez doués, il avait donc un grand-frère, celui-ci avait deux ans de plus que Brian. Il a toujours été jaloux de son frère. La jalousie était son plus grand défaut étant petit. Son frère n’était pourtant pas si « doué que ça, il était juste plus grand et plus sociable. Brian lui c’était juste un fantôme, sans importance.

Pendant dix ans, il a porté ce surnom, il était là tel un fantôme et il n’essayait pas de s’en défaire. Il ramenait les bonnes notes à la maison, mais juste les bonnes notes, jamais un ami venait, les bonnes nouvelles n’arrivaient jamais, il vivait sa vie sans vraiment savoir ce qu’il faisait ici dans ce monde. Il était dans l’ombre de son frère qui lui ne se privait pas de le surnommer le « fantôme » devant tout le monde en disant qu’on pouvait ignorer Brian, car il ne ferait pas un bruit de toute façon, c’est donc ce que Brian fit. Jamais il ne parlait, il ne faisait qu’écouter et étrangement ça lui plaisait. Il ne parlait pas, il écoutait tout simplement les personnes raconter leurs aventures, leurs vies, il a commencé à apprécier à ne faire que ça.

Il s’est même découvert une passion pour les maladies mentales. C’était son « délire » à lui ouais. C’était sa passion, sa seule raison de vivre pour le moment, de toute façon personne ne le comprenait vraiment, alors il allait essayer de comprendre les autres, qu’importe s’il doit rester seul pour le restant de ses jours.
C’est ainsi qu’il décida qu’il allait devenir psychiatre, à l’âge de onze ans, il savait déjà ce qu’il voulait faire.

C’est une vie sans importance. Il ne survivra pas dans ce petit monde. Il n’arrivera jamais à être psychiatre. Pourquoi vous ne l’empêchez pas ? Il est juste idiot. Aider des malades ? Il est vraiment stupide de croire ça.
Psychiatre, un métier bien inutile.


Personne ne croyait en lui, ses parents ne l’encourageaient pas plus que ça, son frère n’en parlons pas, il se foutait littéralement de sa figure, en disant que c’était peine perdu, son caractère trop effacé ne mènerait à rien et surtout, il était trop petit.


D’ailleurs, son frère pour montrer que Brian était faible et petit, un jour, il l’a enfermé dehors sans qu’il ne puisse rentrer, mais ce jour-là, il y avait de l’orage et ça cognait très fort. Brian avait très peur que l’orage tombe sur lui, il avait peur que les éclairs viennent le foudroyer, il s’était mis en boule par terre en attendant que ça passe, mais son frère n’était pas venu, il était à la fenêtre, il le regardait avec un sourire narquois. De la méchanceté gratuite. Il a vite compris que c’était une mauvaise idée, car la peur avait envahi Brian et du coup, il se griffait son bras gauche jusqu’au sang et ça Jason ne l’avait pas prévu. Il avait ouvert la porte vite fait bien fait, il était allé voir son petit frère en boule qui pleurait, tout ce qu’il arrivait à dire, c’était :

« J’ai peur… J’ai peur… Aidez-moi. »

Tout simplement. Son frère ne savait pas quoi faire pour le calmer, il l’avait juste ramené à la maison, il l’avait soigné, mais Brian ne lui parlait pas, il s’était enfermé dans sa chambre, il s’était encore plus renfermé sur lui-même, se disant que s’il ne pouvait pas faire confiance à son frère, à qui pouvait-il faire confiance ?
C’est depuis ce jour qu’il se pince le bras droit et se griffe le bras gauche quand tout va mal. C’est devenu une habitude. Une habitude malsaine.

Il a passé une adolescence un peu plus chaotique, car il passait pour un suicidaire avec ses bandages à son bras, c’était moquerie sur moquerie, mais jamais il ne se laissait faire, il se fichait bien de tout ça, il s’en fichait qu’on l’insulte, qu’on lui dise qu’il n’arrivera à rien, qu’il n’avait pas les couilles de mourir, car lui, il savait qu’il ne voulait pas mourir, il savait qu’il allait arriver à devenir psychiatre. Il s’en fichait bien de tout ça. Il n’avait besoin de personne pour vivre et il n’avait besoin de personne pour réaliser ses rêves, s’il devait être seul pour le faire, il allait être seul, bien sûr que ça le rendait triste que sa famille ne l’aide pas plus que ça, mais il s’était fait à l’idée avec le temps.

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Puis vint le temps de l’université. Ce fut une expérience merveilleuse pour Brian.

Il a connu des personnes là-bas, il s’était même fait deux trois amis, comme quoi tout était possible. Cependant à force de côtoyer des personnes, il a eu cette dépendance, il ne voulait pas être abandonné. C’était la première fois dans sa vie qu’il ne voulait pas. Il en avait même peur. Pendant ses six années de médecine, il est resté avec le même groupe.
Ils rigolaient tous bien, ils s’aimaient tous, des couples s’étaient formés sans vraiment comprendre comment c’était arrivé. Brian lui est resté seul, il avait reçu des déclarations pourtant pas de son groupe d’amis, mais d’autres personnes. Cependant, il n’a pas jugé bon d’avoir quelqu’un dans sa vie, il était toujours là, le nez dans les études, il n’avait pas de sentiment pour les personnes qui avaient osé se confesser, alors il préférait dire non. Il était très bien tout seul de toute façon.

Les six ans de médecines se finirent bien vite au goût de Brian, mais ça ne l’a pas dérangé plus que ça. Ils étaient tous fiers de sortir diplômés de l’université de médecine, maintenant tout le monde allait prendre un chemin différent, tout en restant amis, du moins c’est ce que se disait Brian, jusqu’à ce qu’il finisse par se dire que c’était inutile. Il s’était lassé de cette relation. C’était étrange, il ne voulait pas être abandonné, mais cette amitié pour lui n’avait plus de valeur, il ne comprenait pas pourquoi, mais ça a toujours été comme ça, il était incapable de garder une relation durable avec qui que ce soit, même avec sa famille il ne parlait presque plus.

Il avait encore quatre à cinq ans d’études pour devenir psychiatre, il devait se spécialiser dans quelque chose, il avait longuement hésité, mais alors vraiment, il a juste pris trois maladies qu’il aimait depuis tout petit :


- Le trouble Dissociatif de l’Identité (TDI) – Trouble de la personnalité multiple
- Le trouble schizo-affectif
- La schizophrénie.

Il s’y connaissait dans les autres maladies, les études étaient là pour ça, mais ce sont les trois maladies qu’il a étudiées le plus, il vivait d’ailleurs presque pour ça, vivre pour les patients qu’il allait avoir, vivre tout simplement pour son boulot. Il a eu quelques difficultés, il doit bien l’avouer, que ce n’était pas facile, mais il tenait bon. Il était déterminé. Notre petit nabot voulait montrer à toute sa famille qu’au final qu’importe si personne n’a cru en lui, il pouvait devenir ce qu’il souhaitait vraiment avec un peu de volonté. C’est ce qu’il fit.
Diplômé, heureux, déterminé, c’était Brian EVANS. Il s’est donné du mal pendant dix ans de sa vie, il s’est donné à fond pour réussir ce qu’il voulait vraiment. Aider des personnes, les écouter, les comprendre, tout ceci c’était l’objectif de notre jeune psychiatre.

Pendant un an il n’a rien fait, des petits boulots par-ci par-là, des petites consultations, il cherchait un endroit où il pourrait vraiment bosser, il y avait bien une prison qui l’attirait, il avait même envoyé sa candidature, car il savait qu’une place de psychiatre était libre. Bien sûr il a eu toute la paperasse, bien sûr il a eu le fameux entretien, mais il a réussi à avoir le poste et il était bien content, il se faisait vraiment chier à ne rien faire.  

Brian, c’est un peu le gars il a vécu des trucs, mais il ne raconte pas. Il donne que des passages qui l’intéresse, il a toujours peur de faire du mal ou de ne pas réussir. Il veut aider, mais parfois il se demande si quelqu’un sera là pour lui, il sait que maintenant en travaillant dans cette prison, sa vie va changer et il espère pouvoir changer des vies.
Il cherchera à vous comprendre, mais il cherchera surtout à vous écouter et vous aider du mieux qu’il peut, car maintenant les détenus seront sa vie.


   
Côté joueur

   Pseudo :Blblbl/Zinovia/William.
   Âge : 19 ans.
   Comment as-tu trouvé le forum ? Partenariat/puis par devinette.
   As-tu des remarques à  faire ? Non, c'est tout beau, rien à redire. ♫ +> Je rajoute juste : DEANNNNNN.  eyes  hm  Jel'aimeptain. Donc je vous aime.
   As-tu un double compte: Non.
   
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Invité
Invité
Lun 29 Aoû 2016 - 11:32
T'as aimé la devinette hein hein hein.
Pt'ain pis c't'avatar quoi. PFFFFFFFFFF. Tu l'fais exprès voilà.
Blblblb bon courage pour ta fiche !
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Brian Evans
Messages : 60
Date d'inscription : 29/08/2016
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Dossiers privés
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Brian Evans
Psychiatre
Mar 30 Aoû 2016 - 5:08
Ouais je l'ai grave aimé.
Beuh oui je l'ai fait exprès j'savais que tu allais réagir comme ça, keur sur toi. ~
Merci, j'la termine au plus vite promis !
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Anonymous





Invité
Invité
Lun 12 Sep 2016 - 12:03
Tu es validé !


T'as vu je te valide avec Uriel krr krr krr ♥
Je ne sais pas de quoi tu avais peur, parce que franchement, ton personnage est très bien et je suis certain que vous pouvez faire de belles choses Gabriel et toi. Un psychologue et un psychiatre, la belle équipe de choc ! :D


Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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