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Un petit loukoum Russe ? [PV Harvey]

Anonymous





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Lun 30 Mar 2015 - 13:19


Un petit loukoum Russe ?

Un petit loukoum Russe ? [PV Harvey] 997148888
Cela faisait quelques temps que le Russe était arrivé et avec lui, nombreux problèmes. Non pas qu'il était du genre violent ou indiscipliné, c'était même tout le contraire. Non, c'était surtout des soucis d'adaptations alimentaires pour la plupart du temps, au point que l'homme déjà sec de nature en avait perdu quelques kilogrammes. Ses joues s'étaient creusées, son ventre était devenu douloureux et ses digestions bien difficiles par les plats composés de burgers et de frittes trop grasses. Ce genre de nourriture convient à ces Américains habitués depuis des années à la "mal-bouffe" industrielle. Il en est tout autre en ce qui concerne notre Russe qui ne vit dans ce pays que depuis deux petites années et convié à des repas raffinés à l'ambassade. Bien entendu, c'était un militaire, il a connu la famine et les rations, la dureté de la guerre avec les nuits sous une tente en plein hiver sibérien et les douche à même la rivière à peine dégelée.

Cela ne justifiait en rien son état de santé dans cette prison américaine, bien éloignée des conflits armés et de la rudesse communiste. Ce n'est pas Geori qui s'inquiétait de ce fait mais bien forcé d'admettre qu'il ne pouvait plus se permettre de nier un probable effet de faiblesse dans un milieu tout aussi hostile. Ces crampes d'estomac, en prime de ses soucis de sommeil, le forçaient en ce jour à frapper à la porte de l'infirmerie en tentant de faire taire les grognements de faim que celui-ci émettait en signe de rébellion. Le Russe ouvrit la porte, passait juste sa tête pour voir si le lieu était vide ou non. La pièce était propre, sentait un peu la javel, quelques bruits de fond lui venaient aux oreilles. Parfait ! Timidement, il passait le reste de son corps fins, pire qu'un chat -et n'allez pas le lui faire la remarque- se faufilant en silence à l'intérieur.

L'on pourrait croire qu'il était venu dans une mauvaise intention. Et bien non. A peine la porte franchie que son estomac torpillait sa discrétion par un son sorti tout droit d'un film d'horreur entre grincement et torture d'intestin grêle. Geori s'en tient le ventre comme pour le sommer de se taire mais sans succès. Mal à l'aise et cherchant du regard si ce son là avait alerté une garnison de blouses blanches, il murmurait à son ventre des mots en Russe qu'on ne cherchera pas à énoncer ici de peur de choquer quelques âmes sensibles pour peut que ceux-ci étaient bien loin d'être doux ou aimant envers la traîtrise exercée par son abdomen. Abandonnant l'idée même de se faire "discret", affligé par le constat que cette notion était dorénavant et définitivement rayée de sa superbe prestation, le Russe fit un pas, puis un deuxième, toujours les mains sur cette bouche ventrale qui ne voulait aucunement taire ses grouillements.

Il penchait même la tête sur le côté, un paravent lui cachant la vue en partie sur un lit et dont une ombre camouflée derrière semblait bouger. Devait-il encore signifier sa présence ? Inutile : Son estomac le faisait pour lui, bien déterminé à crier sa faim à qui veut bien l'entendre. Geori se sentit rougir, légèrement, presque désolé à la place de ce formidable appareil digestif qui mettait à mal sa fierté de Russe.


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Mar 31 Mar 2015 - 9:36
A peine quelques jours d’adaptation et il avait déjà l’impression de perdre pieds. Non que le travail fût difficile mais surtout qu’il n’arrivait pas à se retrouver dans les dossiers des médecins. Il était de la nouvelle école et les normes, les transmissions avaient été apprises différentes. Il savait bien que ça changeait d’un médecin à un autre, mais là… c’était au petit bonheur la chance et se doutait même que parfois, certaines données n’étaient pas écrites. Il eut même un moment le soupçon de croire qu’ils le faisaient exprès et qu’ils cherchaient à cacher quelque chose… Avant de se raisonner et de se dire qu’il devenait parano ! Il fallait juste qu’il s’organise, qu’il arrive à comprendre leur logique et surtout… qu’il les rencontre enfin ! C’était impressionnant comme il avait l’impression qu’il côtoyait des fantômes. Chacun de son côté et pas de mise en commun… A moins que ce ne soit que le fait qu’il était juste trop débordé et inquiet de faire correctement son travail et que ce soit seulement ça le problème ?

En attendant, il était derrière un paravent, accroupi au sol, en train de lire le dossier d’un détenu. C’était impressionnant tous les traitements qu’il possédait… Etait-ce vraiment nécessaire ? Harvey repoussa une mèche de cheveux qui tombait, rebelle et se redressant, retenant un grognement concernant son dos maltraité. Bon, encore une note qu’il allait rajouter à la liste qu’il avait créée depuis son arrivée… Il était à la deuxième page de questions qu’il devait aborder avec les médecins. Ça paraissait un peu absurde mais il voulait vraiment connaître chaque patient, savoir les prendre en charge et leur apporter un maximum de soutient ! Après tout, c’était son métier.
Alors qu’il était en train de penser qu’il fallait qu’il passe par un supérette pour se prendre à manger ce soir, il entendit vaguement quelqu’un toquer à la porte…A moins que ce ne soit que son imagination ? Mais la suite confirma une présence… Non une voix mais le grondement caractéristique d’intestins récalcitrants.

Le jeune homme se frotta le visage, façon inconsciente de retirer la poussière des dossiers et quitta le coin des dossiers pour se retourner, un sourire dessiné sur ses lèvres. Son regard bleu tomba rapidement sur un visage inconnu et il marqua un temps d’arrêt surprit. Il faut dire qu’il ne s’attendait pas à voir quelqu’un, ainsi dans son dos. Involontairement, ses pensées allèrent rapidement sur la couleur de la combinaison et la conclusion qui en ressortait. Etait-ce un homme qui avait toute sa tête en face de lui ou bien… ? Il se fustigea de ce soudain jugement de valeur et secoua la tête pour le chasser, se rapprochant pour tendre la main, en salutation.

« Bonjour, vous m’avez surprit, désolé…J’étais plongé dans la lecture. Je suis Harvey Stintson, le nouvel infirmier…. Je peux vous aider ? »

Certainement, puisque l’homme, grand et certainement étranger était ici. Il quitta le coin caché par le paravent, invitant ainsi par ce geste le détenu à le suivre pour aller s’assoir face à un bureau. Rapidement, il avait noté le nom russe et se confirma qu’il n’avait pas encore eu accès à son dossier. Mais qu’importe, il allait faire en fonction et le lirait au besoin.
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Ven 10 Avr 2015 - 14:15



Le Russe dévisageait tout autant l'individu, pour peu qu'à lui aussi il lui était inconnu. Se tenant toujours le ventre, visiblement affamé plus qu'autre chose, il regardait cette main tendue  et relevait les yeux vers l'infirmier en s'excusant.

- Jé né sers pas main, jé souis Rousse, difficile contact. Coultoure différente, nouritoure différente ...

Explique-t-il assez rapidement. Il essaye de se redresser et de ne surtout plus contracter le ventre qui continuait de réclamer pitance.

- Mazloff être mein nom. Jé voudrais chouse pour taire mein estoumac ... Burger mé faire mal, pas bon manger, perdre dou poids beaucoup.

Il luttait à la fois contre ses maux et la pratique de cet anglais barbare, une gymnastique qui s'avérait bien plus difficile en la circonstance. Il espérait juste que son explication suffirait amplement pour avoir ne serait-ce qu'une ou deux barres de protéines et ce assez rapidement avant qu'il n'en vienne à vouloir découper les quelques rats circulant dans la prison pour s'en nourrir à défaut d'autre chose.

- Faim !

Finit-il par dire comme par désespoir de cause. Fixant toujours l'infirmier, il ne pu se retenir plus longtemps de se plier à nouveau en deux tellement son ventre lui faisait mal. Une véritable torture s'opérait dans ses intestins. Bien que le Russe ait déjà connu les privations, il était clair qu'il était arrivé aux limites de son propre corps avant de venir réclamer de l'aide.

- S'il vous plait ...

Ajoutait-il avec une certaine difficulté. Le Russe arrivait à peine à aller jusque sur la chaise, histoire de ne pas tomber, là comme ça, sur le sol, par la fatigue et la faim, sans compter que le carrelage n'est pas un très bon amortisseur et qu'il voyait bien mal l'infirmier arriver à le hisser sur un lit. Non pas qu'il ne le trouvait pas fort, ni sous-entendait qu'il n'était pas un professionnel, loin de là, lucide tout simplement en prenant compte de son immense taille et des difficultés d'avoir un corps à moitié mort sur les bras -ou sur le sol de l'infirmerie. Bref, Geori préférait de loin éviter une telle situation et usait ces dernières force à une assise plus concrète sur la chaise en face du petit bureau de l'infirmier. Cela calmait un peu les crampes qui tiraillaient son abdomen, lui laissant un léger répit. Il en pris une grande inspiration, une goutte de sueur sur la tempe avant d'essayer de s'exprimer un peu mieux bien que décider à avoir sa foutue barre de céréales (ou autre) qui pourrait d'avantage soulager son estomac.

- Nouritoure troup gras, parfois jé né peux pas manger, céla mé rendre malade. Jé boire beaucoup dé eau mais céla né pas souffire.


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Sam 11 Avr 2015 - 12:00
l resta la main en l’air, surprit de ne pas avoir le salut conventionnel avant de sourire et de récupérer sa main, comprenant aux excuses de l’homme. Il acquiesça et inclina légèrement la tête en avant pour expliquer qu’il ne se sentait pas insulté par ceci, d’autant que c’était pas une question d’impolitesse mais juste de culture ou tout simplement d’habitudes.

« Oh, excusez-moi. L’habitude américaine.. Comment dit-on bonjour dans votre pays ? Je crois que c’est comme les français, non ? »

Pas dit qu’il s’adapte. C’était une coutume qu’il avait un peu de mal. Il avait eu des patients français qui se jetaient sur lui pour lui faire la bise. Un peu déstabilisant… Enfin, du moment qu’il était prévenu, c’était le principal. Il retourna au bureau pour essayer d’aller chercher le dossier avant de relever son regard bleu sur l’individu qui tentait de lui expliquer ce qui lui arrivait. Rapidement, Harvey fit le tour. Maigre, grand, asthénique, douloureux, pâle.. Il écouta avec attention les explications alors qu’il se laissait tomber sur la chaise, semblant à bout de forces.

Le jeune infirmier opina du chef en silence et alla se nettoyer les mains tandis qu’il analysait ce qu’il venait de recueillir en données. Semblait-il que c’était un problème de nourriture et d’adaptation. Il songea qu’il avait des crèmes protéinés et des milkshakes du même genre. Barres protéinés ? Possible… Il alla fouiller dans un frigo et en sorti les trois propositions qu’il posa devant le russe, sur son bureau, avec cuillère au besoin.

« Tenez.. Déjà, soulagez un peu votre estomac si vous avez si faim que ça… Pas en grande quantité surtout, sinon, la douleur ne sera pas soulagée… Prenez votre temps pour avaler quelques bouchées et recommencer après une bonne pause. Ne surchargez pas votre corps trop vite… »

Alors qu’il terminait de donner les conseils d’usage, il alla de nouveau se nettoyer les mains puis prendre ce qu’il fallait pour récupérer les constantes : Tensiomètre, saturation, pouls, températures. Les basiques.

« Est-ce que vous voulez bien que je vérifie vos constantes… ? Et que je vous ausculte un peu.. ? »

Il s’était placé au côté du détenu, patientant son consentement. Ce n’était pas parce qu’il était prisonnier qu’il avait l’obligation de faire tout ce qu’on lui disait. Du moins, c’était ainsi qu’Harvey voyait son métier. Il avait un homme devant lui et non un animal enfermé. Il avait le droit de s’exprimer, de refuser ou d’accepter… C’était le respect et la dignité humaine. Tranquillement, il patienta, ne se doutant pas pour l’instant que le contact pourrait poser un souci à Geori. Mais bon, il le lui dirait, non ?

« Vous pourrez aussi vous peser… ? Je ne comprends pas qu’on ne fasse rien pour vous si vous n’arrivez pas à tolérer la nourriture de la prison…En avez-vous parlé au docteur… ? »

S’inquiéta-t-il d’une voix douce et patiente, ne voulant pas brusquer le russe. Pourtant, il en avait des questions Mais chaque chose en son temps… non ?
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Jeu 16 Avr 2015 - 12:35



Un léger sourire s'affichait sur le visage du Russe, quelque peu rassuré de ne pas avoir vexé l'infirmier et légèrement amusé par la question. Loin de se douter de la manière qu'avait les Français de saluer -Et il espérait ne pas le découvrir trop vite sous peine de sentence immédiate de sa part- ni même les autres d'ailleurs bien qu'il ait remarqué que les Américains étaient friands d'une poignée de main, il se faisait plaisir à expliquer comment on s'y prenait dans son propre pays en fixant l'homme à la blouse blanche.

- Dans mein pays, faire grand accoulade, taper dos doucément et faire beuzou sour la bouche.

Explique-t-il en mimant les gestes.

- Ca être extrême poulitesse dé faire coumme ça mais jé né fais pas, jé avoir proublème avec countact physique.

Précisait-il alors qu'il suivait des yeux les mouvements de l'infirmier et à peine les mets posés sur la table que le Russe se jetait sur l'un des pots de crème dessert, l'ouvrant prestement, cuillère à la main pour lui faire sa fête. Il engloutissait cela comme un goinfre avant même que l'homme ne le prévienne et levait alors le nez, la bouche pleine, les joues gonflées prêtes à déborder, la bouche maquillée de cette pâte ivoire protéinée en une espèce de bouille de marmotte.

- Hum ? D'accourd !

Répondait-il avec difficulté, sa bouche étant encore prise par la pâte remplissant ses joues. Il se mit donc à mâcher et avaler ce qu'il avait déjà stocké pour l'avaler à petite dose, lâchant quelques gémissement de plaisir, rien que d'avoir enfin quelque chose à manger. Une fois sa bouche libérée, il ouvrait le papier d'une barre, celle ci encore barbouillée, pire qu'un enfant de 4 ans qui tentait d'apprendre les bases de la nourriture solide. Le russe acquiesça quand à la proposition de se faire ausculter et se redressait doucement en croquant dans la barre. En prime d'avoir de la crème tout autour de la bouche, voilà qu'il avait en prime les miettes de céréales.

- Jé dois aller où pour ça ?

Demandait-il en grignotant avec appétit, attendant les prochaines directives. Sans doute devrait-il se dévêtir ? Tout su moins, c'est ce qu'il pensait. Alors le Russe pris les devant en allant se mettre plus à son aise, quittant ses chaussures et sa combinaison dans un coin de l'infirmerie et restant en simple boxer-chaussettes-marcel devant l'infirmier tout en maintenant en bouche sa barre de céréales qu'il ne comptait absolument pas lâcher. Cet état ne semblait pas le gêné, habitué déjà à l'armée à subir les nombreuses visites médicales. Geori se tournait, le fixant avec cette même barre en bouche, clignant des yeux, ressemblant sans doute à un gros gamin tout sale qui aurait fait une grosse bêtises mais qu'importe, il s'en moquait bien maintenant que son ventre était apaisé. Car oui ... Tous les hommes fonctionnent uniquement avec leur estomac et le Russe n'échappait pas à la règle.


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Sam 18 Avr 2015 - 9:19
A peine le temps de poser les apports protéinés sur la table que déjà le russe s’était jeté sur elles, laissant le jeune homme un peu interloqué par cette réaction. Etait-il si affamé ? Pourquoi laisser un homme dans cet état ? si les repas ne convenaient pas, il fallait les adapter ! Franchement… alors qu’il se faisait ces réflexions, il alla se prendre un petit papier pour se le noter et voir avec la direction comment faire pour que ça ne se reproduise pas. Oui, oui, il était plein de bonnes attentions le Harvey.

Il sourit légèrement en voyant le visage de l’homme qui se comportait presque comme un enfant, songeant qu’il n’avait pas trop l’allure d’un meurtrier ou d’un voleur. Il allait devoir lire le dossier le plus vite possible pour être certain qu’il ne se laissait pas abuser par les apparences. Enfin, dans tous les cas il n’avait pas l’impression d’être en danger. Il avait déjà noté mentalement que l’homme n’aimait pas les contacts. Il devrait faire attention avec, juste pour les constantes, déjà.


Ayant l’autorisation, avec prudence, il lui passa le brassard du tensiomètre et le mit en place, lui prit la saturation, concentré sur ses gestes, jetant par moment un regard vers l’homme qui était un géant comparé à lui. C’était toujours étrange pour lui de devoir s’occuper d’hommes bien plus grands que lui. Certains se comportaient comme si ça ne les affectait pas. D ‘autres étaient gênaient ou se moquaient de sa petite taille. Pas vraiment complexé, Harvey faisait avec, mais il était vrai que c’était parfois difficile de trouver sa place de soignant quand il ne pouvait s’imposer physiquement. Heureusement, il avait d’autres qualités, n’est-ce pas ?

Une fois fait, essayant de ne pas l’empêcher de manger, il lui tourna le dos pour aller ranger son matériel, répondant que la balance et le mètre était sur le mur de droite. Enfin, il se retourna et bugua quelques secondes en tombant sur un homme en petite tenue devant. Il eut un fard qui monta avant de sourire et de secouer la tête, tentant de ne pas se laisser déconcentrer par la situation. Quand il s’y attendait, ça allait, mais la surprise l’avait pris de court.

« Vous pouviez garder votre tenue, je ne voudrais pas que vous attrapiez froid… Il l’invita de la main vers le mur où se trouvait le matériel, l’invitant à monter sur la balance tandis qu’il mettait en place le mètre, obligé de se rapproché au plus près de Geori pour cela… qui plus est sur la pointe des pieds, frôlant plusieurs fois l’homme. Ce dernier sentait la crème protéiné et il sourit légèrement, reposant son regard au même niveau que celui du détenu durant quelques secondes. J’ai l’impression que ça vous plait … Les protéines ! Est-ce que vous voulez que je vous en laisse un peu en réserve… vous êtes un peu maigre… vous avez perdu beaucoup de poids en peu de temps, j’ai l’impression non ? il faudrait qu’il aille comparer avec le dossier qu’il n’avait toujours pas sorti ! C’est dommage… Vous êtes musclé, vous avez besoin de vous tenir en forme… »

Ah, ça y est, taille prise, il recula satisfait, pas du tout conscient qu’il pouvait avoir des propos qui pouvaient porter à confusion. Il fit un clin d’œil en direction de son patient pour le mettre à l’aise et retourna au bureau, lui demandant son poids au passage.

« Vous pouvez vous rhabiller, M. Maslov.. »

Enfin, il trouva le dossier et put prendre connaissance de ce russe géant rapidement, prenant quelques minutes de lecture.
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