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Salem Wren - Moi, je ne joue pas

Salem Wren
Messages : 6
Date d'inscription : 26/08/2017

Dossiers privés
Âge du personnage: 52 ans
Taille: 1.83m
A savoir:





Salem Wren
Chef du personnel
Sam 26 Aoû 2017 - 23:33

image

SALEM WREN

MEMBRE DU PERSONNEL



Age: 52 ans
Nationalité: Jordano-américain
État-civil: Célibataire éternel
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)

Poste dans la prison: Chef du personnel
Depuis combien de temps ? Un an

Caractéristiques physiques


Taille: 1m83
Poids: 75kg
Corpulence: Fin, sans option sport depuis des années
Cheveux: Noirs avec des débuts de mèches argentées
Yeux: Bruns
Modifications corporelles: Une moitié de visage avec des cicatrices au front et à la joue

- - -

Salem, Salem, Salem… Tu sais à quoi tu ressembles ? A un vieil hipster, mon cher, et à rien de plus. Je sais bien que ça t’agace, cette comparaison, mais tu t'es regardé dans un miroir dernièrement ? Tu as toute la panoplie : la barbe longue, l’undercut, même les cheveux remontés en catogan brouillon et le bon air blasé. Et les lunettes… Les lunettes rondes à monture noire, dont tu as vraiment besoin pour voir mais qui te donnent de sérieux airs de rat de bibliothèque ou de crétin prétentieux, c’est la cerise sur le gâteau.
Et puis tu ne fais rien vestimentairement pour aider non plus. Tu te balades partout avec tes grands cabans de laine, tes t-shirt en coton bio dont tu remontes les manches longues et tes jeans de qualité, parfaitement propres et coordonnés. Tu as réalisé que c'était l'uniforme même du créatif blasé amateur de café du Nicaragua et de bières brassées au fond de l’Alaska ? Peut-être pas. Peut-être que tu ne le fais que pour être confortablement vêtu et parce que tu as les moyens de prendre des tissus hors de prix pour le faire. Peut-être que c’est ta nièce qui t’habille. Peut-être que dans l’absolu, tu te fiches de ton apparence…
Ca doit être ça en fait. Sinon, tu ne te moquerais pas des cicatrices sur le côté droit de ton front et ta joue assortie. Tu ne rirais pas à chaque fois qu’on t’appelle Harry Potter et tu n’inventerais pas non plus d’histoire débile pour justifier les marques.

Ca, ça fait vraiment papa. Et tu le sais, c’est sûr, parce qu’après tout tu es père et que c’est un manteau que tu portes avec fierté. Ca se voit bien dans tes airs bonhomme, ça s’entend dans tes blagues douteuses, et quelque part entre tes rides d’expression et ta vigilance bienveillante on ne doute plus.
Il n’y a qu’à te parler de tes enfants pour te voir éclater de fierté, avec un sourire adorable sur les lèvres. Et c’est encore plus drôle quand les garçons sont avec toi, parce qu’ils sont plus grands que toi mais que tu les traites encore comme s’ils avaient treize ans et un chagrin d’amour : tu les décoiffes, tu les couves du regard. Tu prends ta voix plus calme pour leur parler.

Mais tu n’es pas toujours calme. Tu voudrais bien, sauf que tu t’impatientes vite et tout le monde peut le lire sur toi quand ça arrive. Tu souffles, tu grognes, tu éclates des claviers contre des tables. Oh, jamais tu ne feras de mal à quelqu’un, c’est évident, mais les objets tendent à un peu plus souffrir entre tes mains qu’entre celles d’un autre.
Sauf tes jeux.
Ca on ne déconne pas avec, tu en prends soin, tu caresses les pièces du bout des doigts en les sortant des boîtes. Tu les regardes comme certains regardent leurs animaux de compagnie, parce que c’est un peu ça pour toi. De petites bêtes familières qui passent le temps.

Que pourrais-je dire d’autre sur toi, Salem ? Que tu ressembles à un professeur parfois ? Ca oui, je peux le dire. Tu serais à ta place à Harvard -tu pourrais le faire, tu sais ?- à enseigner à de petits jeunes de grandes choses. Tu as cette morphologie sèche, élancée du professeur de mathématiques… Ou du lévrier. Peut-être les deux à la fois, si les lévriers étaient des chiens de bibliothèque. Le visage long, le nez fort droit et les sourcils bien marqués, tout pour une impression de sévérité racée.
Tu n’es pas spécialement beau, tu n’as pas envie de l’être non plus. Tu ne prends pas soin de ton corps et ça se voit une fois nu, mais dans les vêtements personne ne s’en rend compte : tu caches très bien l’absence notable de muscles, les décennies sans véritable sport, la passion pour les soirées pain-houmous-carottes tout sauf équilibrées. Tu n’es pas en bonne santé, très cher. Mais comme tu es maigre comme un clou à tapisser, personne ne te dit rien.
Et puis tu ne fumes pas, tu ne bois pas, tu ne te drogues pas, alors tu t’estimes presque sain même si faire plus de deux cent mètres en courant est presque impossible.

J’allais oublier quelque chose, quelque chose d’important en plus. Tu es, et c’est particulièrement visible, bien loin d’être un bon américain bien blanc et propre. Ton métissage se lit dans la couleur de ta peau, le noir d’encre de tes cheveux, sur tes traits aussi. Certains y trouvent un bon prétexte pour te traiter de terroriste, de danger ou de traître, et ils parviennent souvent à te blesser de leurs mots. Mais tu es fier de ta double nationalité, des traits que tu dois à ta mère autant de ceux qui viennent de ton père, alors tu as décidé de ne plus t’excuser de ton sang arabe.

Dossier psychologique


Défauts et qualités: Impatient - Déconcentrable facilement - Grand enfant - Manipulable || Joyeux - Plein d’humour - Passionné - Méthodique
Tocs et manies: Il ne faut pas lui laisser de jouet de construction dans les mains, il adore monter et démonter tout ce qu’il peut. Il trie sa nourriture par couleurs. Appelle les gens manifestement plus jeunes que lui “gamin” ou “gamine”. A beaucoup de mal avec le vouvoiement.
Peurs/phobies: Les habituelles peurs de parent concernant ses fils, l’effort physique, les endroits vraiment étroits, les pornstaches, finir chauve.

- - -

Un gamin aux commandes d’un corps de cinquantenaire, voilà ce que tu es. Tu as la paie d’un adulte mais les passions d’un adolescent, tu en as même fait tes métiers alors Salem, si tu nies ton enfance qui s’attarde, tu es le pire des hypocrites.
Certes, tu as fait de longues études. En plus de ton master en management, tu es expert en théorie des jeux, en mécanismes psychologiques et cognitifs liés au ludique, tu peux faire office d’encyclopédie pour ce qui est des jeux de société. Tes capacités sont indéniables.
Mais au fond, tu restes un môme fasciné par le jeu et ce qu’il fait sur les hommes. C’est pour ça que tu as décidé de travailler en prison après avoir ouvert des cafés-jeu à San Francisco : parce que tu t’ennuyais et que tu te disais que la réhabilitation par le ludique devait être possible.
Et on a voulu de toi parce que tu es un bon gestionnaire de personnel, malheureusement. Tu l’as prouvé avec tes cafés, tu recrutes des gens capables de tenir leur place sans faire de discrimination et malgré ta tendance à faire des blagues et à avoir l’air d’un gentil bouffon, tu es un professionnel efficace lorsqu’on te lance.

Le problème, Salem, c’est cette couche de gaminerie bas-de-plafond que tu traînes et qui te fait passer pour un gentil couillon. Tu aimes faire des blagues, raconter des âneries, citer des musiciens has-been et demander si c’est “comme ça que disent les jeunes” et ça te dessert. Je sais que tu ne t’en formalises pas mais c’est dur de te prendre au sérieux et quelque part, c’est triste. Tu peux être parfaitement mature, d’une intelligence certaine et même parfois brillant, personne ne le remarque parce que tu as ton étiquette de “papa hipster marrant”.
“Papa”, d’ailleurs ça c’est important parce que tes deux fils sont bien adultes maintenant -l'aîné va sur ses trente ans, le cadet est à la moitié de la vingtaine- mais que tu continues de les voir comme des gamins, quelque part. Et maintenant qu'ils ne vivent plus chez toi, c’est ta nièce qui a le droit au mode parent. Elle vit chez toi pour faire ses études à Los Angeles, sa mère profite de ta grande maison et du fait que tu aimes la gamine, et toi… Tu te fais manipuler par la jolie demoiselle comme un bleu. Tu participes au groupe de reprises de Pink Floyd dont elle fait partie, tu te plies à ses lubies vestimentaires, tu l’aides à faire ses devoirs lorsqu’elle en a besoin. C’est un peu ta solution imprévue au syndrome du nid vide depuis plus de deux ans, tu t’en accommodes très bien.

Et puis vous avez un peu le même fond, Savannah et toi. Vous avez du mal à supporter l’attente, vous vivez à cent à l’heure, vous multipliez les passions et les coups de tête. Elle c’était l’apprentissage de la guitare, toi… Toi c’était “on peut changer des gens avec des jeux”, et l’embauche dans une prison. Ta version est un peu plus dangereuse que la sienne, tu dois bien l’admettre.
Malheureusement, tu es borné. Te faire changer d’avis est un épreuve. Te voilà donc parti à faire le gestionnaire de personnel dans un cube de béton, avec la fleur et fusil et l’espoir de changer les choses, de faire des essais. On t’a dit que tu pourrais approuver des initiatives du personnel, tu as signé. C’était aussi simple que ça.
Un véritable enfant sans sens du commun. C’est tout ce que tu es.

Santé


Etat de santé générale: Banalement inintéressant
Allergies ou addictions: Aucun
Soins réguliers (traitements): Une attelle de poignet parfois, les lendemains de concert

Histoire



Il y a fort longtemps, dans un royaume lointain, vivait un très beau prince. Comme chaque prince de conte de fée, il tomba amoureux d’une non moins belle princesse. Il eut à affronter des dragons et des…
Non. C’est n’importe quoi. D’abord le royaume lointain, c’est juste la Jordanie. Ensuite il n’était pas prince, il était assistant d’ambassadeur. Et elle n’était pas princesse non plus, c’était une mannequin. Et pour finir la vérité, c’est qu’il n’y a jamais eu le moindre dragon, ni la moindre épreuve.

Mon père était diplomate à Amman, en Jordanie. Ma mère était fille de propriétaire d’usine et mannequin. Ils se sont rencontrés à une soirée, ils se sont assez lamentablement dragués j’imagine, et ils ont fini par se marier au bout d’un an de couple pour vivre ensemble. Voilà. C’est assez nul, assez banal, et ça n’a rien du tout d’une histoire intéressante.
Moi ? Oh. Hé bien moi je suis leur fils aîné. Wren, Salem, né un 3 août à 4h de l’après-midi, parce que je suis à peu près urbain. Taille normale, poids normal, très normal. Je vous assure que je n’ai rien de spécial. La seule chose que j’ai fait d’un peu intéressant aux alentours de ma naissance, c’est de créer un débat pour savoir comment je m’appellerais. Saleem était un peu trop connoté arabe, Mike était bien trop américain. Salem, c’est un peu l’entre-deux tolérable, et c’est ce qui a été choisi.

Mon enfance ? Normale. Déménagement à 6 ans aux Etats-Unis avec papa et maman, double-nationalité bien en poche, quand papa a changé d’affectation. Installation à Washington, DC. Une soeur cadette qui naît quand j’ai dix ans. De bonnes écoles, de l’argent, aucun soucis. Je suis fasciné par les jeux, les simples comme les plus complexes, et je pense que mes parents ont senti venir le coup fourré : je ne les déçoit même en me lançant dans des études exotiques à base de ludologie ou de théorie du jeu, puisqu’au final je fais tout de même mon joli diplôme de management pour leur faire plaisir ensuite. Ma vie n’est qu’une longue et plate suite de banalités jamais tristes.
Il n’y a que l’accident de voiture qui a un peu pourri mon mojo, mais même ça… Un platane, moi, une belle Porsche qui roulait peut-être un peu trop vite. Peut-être que j’avais bu aussi. Et que je sortais de boite. Peut-être que c’est de ma faute… Mais c’est même pas grave. Je suis passé par la vitre et j’ai fini à l'hôpital avec une belle commotion accompagnée de pas mal de points. Depuis j’ai mes cicatrices du côté droit et les gamins me surnomment Harry Potter, c’est le seul effet que ça a eu.

Que raconter d’autre… J’ai eu une copine à longue durée vers mes vingt ans, et on a eu un fils. Ca c’est un peu plus intéressant que des histoires de pare-brise.
Kai. C’est le nom de mon aîné. Sa mère s’appelle Ariane, elle est canadienne, elle a de magnifiques cheveux noirs honteusement longs. Ca fait trois ans qu’on est ensemble quand on a notre fils, et elle part à peu près deux ans plus tard. Rien de grave, franchement : juste des désaccords stupides. On est tombés amoureux et puis on est dé-tombés amoureux, c’est tout, le train-train a eu notre peau. On est restés en contact. On continue de communiquer même maintenant.
Garde partagée du gamin, elle déménage, moi aussi. Je vais faire mes suites d’études sur la côte ouest, elle remonte au Canada et pour les vacances, c’est moi qui prend l’avion pour aller chercher mon fils. C’était un rythme qui m’allait bien, j’avais du temps pour être un jeune con et je pouvais quand même voir mon môme assez souvent pour ne pas oublier son visage. Mon père finançait une bonne partie de la pension alimentaire, j’étais au Paradis des glandeurs.

C’est certainement pour ça que je n’ai pas stressé quand Noah est arrivé. Six mois avec sa mère à l’époque, j’étais en train de finir mon master de management, je me disais que c’était le bon timing. J’allais sortir d’école, j’aurais la copine et les deux gamins et il ne manquait plus que la grande maison avec une pièce à moi dans laquelle inviter mes amis et jouer à des jeux… Maintenant je me dis que la belle n’aurait pas laissé passer ça. Zoë est plus jeune que moi, mais elle est bornée comme une mule. Je me faisais un peu manipuler dans tous les sens vu que c’est elle qui a choisi de garder l’enfant, d'emménager avec moi, et de partir quand il a eu quatre ans.
Je ne sais toujours pas pourquoi. On s’entendait pourtant bien, j’avais trouvé un bon travail dans une grosse boite, elle avait l’air plutôt heureuse… Peut-être pas quand je fréquentais mes amis ou quand je sortais le soir. D’accord. Peut-être pas quand je l’ai trompée une… Deux ou trois fois, d’accord encore. Ou quand je ne respectait pas ses règles du jeu. Mais en même temps, ne pas voir mes potes, ne pas jouer si elle était à côté, lui rendre compte de mes déplacements et de mes horaires de travail, c’était certainement abusif.
Bref. On s’en fout. Elle est partie avec Noah, je l’ai poursuivie en justice pour avoir la garde partagée, je l’ai obtenue. Et j’ai décidé de ne plus jamais avoir d’autre enfant. Deux fils de deux femmes différentes, c’est déjà bien assez.

Après le procès et les appels, vu que j’étais libéré de ma stupidité et que j’étais pile en âge pour faire ma crise de la trentaine, je l’ai faite assez magistralement. J’ai quitté mon poste dans la grande boîte pour ouvrir un café-bar-salle de jeux. Je n’ai jamais eu de problèmes d’argent, ça n’a pas fait un trou énorme dans ma trésorerie d’ouvrir cet établissement, et ça me semblait être une bonne idée.
C’était complètement le cas. Un peu plus de dix ans avec celui-ci, des boulots de rédacteur pour des magazines orientés sur ma passion, des conférences aussi. De quoi vivre tranquillement, me poser et voir grandir les garçons. Retour au très normal. Il n’y a eu qu’avec les attentats sur le sol américain que j’ai eu du mal : soudainement, ma double-nationalité est devenue un fardeau. Mais je ne vais pas me plaindre parce que ma soeur porte son voile et c’est elle qui a le plus souffert de la paranoïa. Tellement qu’elle est venue vivre chez moi quelques temps avec son mari et sa fille en espérant échapper à l’hystérie. Ca n’a pas trop mal marché, ça nous a rapprochés. J’ai pu commencer à connaître ma nièce comme ça.
On a ouvert d’autres cafés-bar-à-jeux avec des associés. C’était toujours bien, je courais partout. Ma soeur est repartie à Washington, j’étais de nouveau un célibataire séduisant et relativement riche, j’avais le monde devant moi.

Jusqu’à ce que je commence à m’ennuyer. J’avais fait la crise de la trentaine, j’allais pas échapper à celle de la cinquantaine. Et puis les garçons étaient partis de la maison, ne repassaient que tous les étés, j’avais assez d’argent pour vivre tranquillement même si je me foirais… Franchement, tout était prévu pour que je fasse des choses stupides. C’était comme si le destin me poussait.
En donnant une conférence sur la coopération dans les jeux et ses effets sur l’Homme, je me suis retrouvé en contact avec une responsable des achats pour la prison de Guantanamo. Oui, Guantanamo, tout à fait. Le fait que je sois à moitié jordanien n’a pas spécialement eu l’air de la gêner malgré le gentil racisme latent des autorités pénitentiaires, et j’ai fini par faire partie de la liste de personnes donnant leur avis sur les jeux qui figurent dans la ludothèque de la prison.
Forcément que pour travailler, je me suis retrouvé à me documenter sur les expériences ludiques derrière les barreaux. Et forcément encore, ça m’a donné envie de tenter des choses dans une vraie prison, pour voir.
Il s’avère que personne n’embauche d’expert en jeux dans des prisons. C’est tragique.
Un manager de personnel, par contre…

J’ai postulé à la CSP. J’ai eu le poste.
Le précédent chef du personnel était un grand ours, ça a dû faire tout drôle à la directrice d’en changer pour moi. Mais je suis efficace, appliqué, je ne me laisse pas démonter et je fais bien les comptes. Elle n’a rien à redire, moi je peux faire des plans pour des programmes de réhabilitation, tout le monde est content.

Côté joueur


Pseudo : Vi
ge : 26 ans, mon capichef
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As-tu des remarques à  faire ? -
As-tu un double compte: Catiel L. Vega, Ruka Nell-Stigsson
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La Directrice
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Date d'inscription : 07/07/2014

Dossiers privés
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La Directrice
Directrice
Dim 27 Aoû 2017 - 14:11

Tu es validé !

Re bienvenue ici ! Que dire à part.... J'adore ? J'adore le fait que ce mec soit normal et humain, c'est ce que j'aime le plus dans le monde du RP je crois, les gens normaux avec une vie normale, avec ses tracas du quotidien et ses erreurs humains.
Amuse toi bien avec Salem !

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !
Amuse toi bien parmi nous !
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