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La curiosité est un vilain défaut. (Terminé)

Anonymous





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Mer 24 Fév 2016 - 11:07
Je faisais de la paperasse quand le commissaire est venu me voir me demandant de venir dans son bureau illico. Qu'est ce qu'il me voulait encore ? Ça faisait une semaine qu'il m'avait collé à faire de la paperasse et que je me faisais chier. Trier les plaintes gnagnagna. Franchement j'avais pas fait une seule boulette de la semaine, je m'étais tenu à carreau et j'avais rangé ses putains de papiers. J'avais pris quelques plaintes aussi, rien de très important, un vol à l'arrache entre autre. Je savais qu'on retrouverait jamais le voleur, un parmi des milliers et la pauvre petite dame n'avait pas vraiment pu nous donner une description précise, ça n'aidait pas. Je sais pas ce que me voulait mon chef mais je le sentais moyen. Quelque chose dans le ton de sa voix peut être.... bon d'un côté il n'avait jamais été spécialement amical avec moi, ce n'était pas différent de d'habitude. Avec un soupire je rangeais un dernier papier et me levait pour rejoindre son bureau.

Y avait un autre gars dans son bureau. Un grand.....très très grand. J'avais l'air d'un nabot à côté. Un inconnu au bataillon. C'était qui ce type ? J'avoue que sur le moment je me suis emballé. Il ressemblait à un mec... coincé de bureau. Un espèce de bureaucrate ouais. Je me suis dit ça y est on m'a collé la police des police au cul. Pourtant je n'avais rien fait de mal....ok j'avais sans doute fait foirer deux trois enquêtes, je n'avais pas toujours été une lumière mais j'avais jamais frappé un suspect pendant un interrogatoire, ni été corrompu....ni...J'avais tué personne quoi. C'était quoi cette merde. Je fronçais un peu les sourcils sur la réserve tandis que le commissaire m'invitait à m'asseoir.

« Un indic nous a balancé qu'il se passe des trucs pas très clair dans un cabaret je veux que vous alliez là bas farfouiller. »

Quoi ?.... J'en restais sur le cul. Ouais j'avais les deux yeux rond comme un flanc pendant que le commissaire nous expliquait le peu de chose qu'avait balancé l'indic....soit pas grand chose. Des trucs pas clair.... hyper concret dis donc. Un cabaret....de la drogue ou de l'argent sale...ou les deux. Peu importait....ce qui me choquait le plus c'était le vous. Vous...J'étais inclus dedans ? J'allais aller sur le terrain enquêter ? Quitter la paperasse de merde ? Et moi qui croyait qu'une merde allait encore me tomber dessus. C'était mon jour de chance en fait. Enfin l'occasion de prouver ce que je valais, de montrer que j'étais pas juste.... un boulet. Non pas que je me considère comme tel, j'ai simplement.... manqué de chance jusqu'à présent.

« Des questions Shigemori ? »

« Oui...non... je vais tout de suite prévenir Soffien et j'y vais commissaire. »

A la tête de mon chef je sentis que j'avais dis une connerie....bah quoi …. il a bien dit que fallait aller enquêter non ?

« Tu vas faire équipe avec Angel Macmahon. Il est sorti premier de la promo...et tu seras sous ses ordres. »

Le....quoi ? Pardon ? Je tournais mon regard vers la grande gigue.Euh....c'était une blague. Regard vers le commissaire et son sourire mauvais. Non ce n'était pas une blague. Sous les ordres de ce... de... d'un nouveau. Merci l'humiliation, il avait fait exprès ce connard je pari. Je t'en foutrais moi des premiers de promo. Ce mec avait jamais fait de terrain, c'était un bleu et j'allais bosser sous ses ordres ? Alors que j'avais fois plus d'ancienneté ? Et puis...Soffien c'était mon coéquipier quoi, on faisait une équipe d'enfer ensemble. Non ce n'était pas possible. Angel trouduc je lui en foutrais moi. C'était quoi ce prénom de merde en plus. Ouais je l'avais mauvaise et alors ?

« Mais.... »

« Oui ? »

« ...Soffien c'est un très bon flic et.... »

« Tu veux que je te rappelle la dernière fois que vous avez fait équipe ? »

« Non commissaire.... »

La dernière fois....la dernière fois..... il était resté la dessus ? C'était un malentendu absurde. Franchement on avait compris la leçon. Y avait eu un meurtre dans un hôtel 4 étoiles. On était à l'étage tout en haut avec Soffien pendant que les collègues en bas s'occupait de ne laisser sortir personne et interroger le personnel et...Soffien il a vu un fantôme. C'est son truc à lui, il y croit dur comme du fer. Franchement....en voir un pour de vrai....ça l'avait vraiment excité. Evidemment c'était juste un mec sous un drap blanc, ce n'était pas vraiment un fantôme mais il y avait cru. Et moi...et bien moi j'avais repéré un nid de pigeon avec un bébé près à se casser la gueule alors j'avais réussi à ouvrir la fenêtre du couloir pour essayer de remettre bien le nid et le fantôme là...ben il s'est sauvé par les toits. Franchement on a pas réellement laissé s'échapper un suspect, c'est juste un concours de circonstances malheureuses. Je maintien qu'à nous deux on fait un duo d'enfer. Je gardais néanmoins mes réflexions pour moi et puis c'était parti avec ce.... Angel. Avec un sourire un peu crispé je quittais le bureau pour suivre ce type.

Je le laissais conduire dans un silence pénible. J'avais rien à lui dire et visiblement lui n'avait rien à me dire non plus. Juste une phrase banale comme quoi qu'on allait le choper. Choper qui ? Le gérant ? Il déconnait j'espère. D'après ce que j'avais compris c'était un ancien avocat alors il allait falloir être subtile parce qu'il allait nous balancer les articles de procédure pénale en pleine gueule sinon et on serait bon pour rentrer au bercail les mains vides. Mais vu que je ne commandais pas je n'allais pas lui faire part de ma réflexion. Autant qu'il se démerde et montre ce qu'il valait le petit, premier de mes cou*** va. Je n'étais pas quelqu'un de vulgaire mais ça m'énervait profondément.

Phase un l'observation....  très très longue observation de ce cabaret. On est resté des heures dans cette bagnole sans avoir rien à se dire à observer les clients qui rentraient ou sortaient. On a pris quelque photo, rien d'hyper intéressant. D'un côté en pleine journée ça n'avait rien d'étonnant. Parfois je regardais les gens qui promenaient leur chien mais le bleu me rappelait à l'ordre direct. C'est que notre cher commissaire avait du lui parler de ma réputation en plus. Quelle plaie. On se faisait chier y a pas à dire, autant que trier la paperasse. Je l'ai laissé un moment pour prendre un sandwich et un café puis après ça a été son tour. Rien de lumineux à signaler. J'aurais été avec Soffien au moins on aurait rigolé, on aurait parler en attendant, fait des blagues, mis de la musique là c'était juste.... horrible, limite t'a envie de te tirer une balle dans la tête quoi.

Enfin le soir ça commençait à devenir un poil plus actif. A un moment j'ai repéré une tête connue que j'avais déjà vu. Impossible de me souvenir ou et qui alors j'ai juste pris sa tronche en photo. Un bon point pour moi quand même parce que le bleu là....Il connaissait encore aucun délinquant, tout droit sorti de l'école, aucune expérience. Même s'il avait étudié nos dossiers et nos fichiers je doute qu'il ait retenu la tête de qui que ce soit. Gentiment je lui fis part qu'il était peut être temps de rentrer la bas, se mélanger aux clients parce que y avait un type là qui me disait quelque chose. Dieu merci il m'écouta j'en pouvais plus de cette bagnole.

On rentra donc dans le cabaret. Pas l'habitude vraiment de ces endroits là moi.... je n'y avais en fait jamais mis les pieds. L'autre là qui ressemblait à un bureaucrate et moi à … je ne sais pas trop. J'avais un jean et une veste. Je trouvais en tout cas qu'on se fondait pas hyper bien dans le décor, surtout la grande gigue mais bon. Je commandais deux cocas, pas d'alcool en service évidemment et je tachais de me rapprocher du type que j'avais repéré. J’eus soudain une illumination....  c'était un gars défendeur des grandes cause quitte à faire des choses illégal pour faire entendre parler de ses projets. Genre faucher les gens d'OGM quoi.... il n'avait rien d'un dealer de drogue en fait. Merde.... merde..... je regardais les autres clients du bar, puis le barman.... bon il allait falloir rattraper ça, trouver autre chose... une chance pour moi la grande gigue ne savait pas tenir sa vessie et m'abandonna. Si je pouvais j'effacerais bien la photo prise peu de temps auparavant mais je ne pouvais pas. Je m'approchais du comptoir histoire d'écouter un peu à droite à gauche et puis surtout voir un peu …. y avait un escalier là au fond. De toute façon si trafic il y avait ça ne se passait surement pas au milieu du bar. Le patron l'avait l'air occupé et mon collègue pas la....tant pis il est temps d'un peu d'initiative non. J'allais fouiner et avec un peu de chance je trouverais un truc. La femme du bar avait l'air aussi occupée. Je pris l'escalier tranquille l'air de rien...les toilettes. Ah oui...bof.... une autre porte. Hm...privée surement. Y avait personne ? Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche et hop là on y va.

Je me retrouvais dans un lieu très sombre ;..la cave. Ah.... ouais. Pas sur qu'à part des bouteilles il y ait grand chose d'intéressant ici. Je m'approchais d'une caisse vers le fond, je jetais juste un coup d'oeil e je remontais en haut trouver l'idiot promis. Juste...un coup d'oeil rien de plus. Je touchais à rien je faisais que regarder. J'entendis soudainement un bruit qui me fit bien sursauter faut l'avouer. Non de zeus, y a pas une barrique vide ou se planquer ? Ça allait être difficile de faire croire que je m'étais perdu. Seul dans une cave.... merci le merdier.
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Wayne Vincentini
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Wayne Vincentini
Gérant de Cabaret
Mar 1 Mar 2016 - 14:13
« Franky, on a des mecs bizarres. »

Parce que tu crois que des flics, ça se sent pas ? Amateur. Tu vois, le Wayne's World, c'est un repère de bizarres, si bien que les « normaux », on les repère vite à l'odeur. J'étais dans mon bureau en train de fumer mon cigare tranquillement, lorsque Michaël vint m'annoncer que quelque chose était louche, ce soir. En me redressant, je demandai de me décrire les deux énergumènes. Un mec habillé en costard, et un petit « jeune » en jean's, j'approuvai. Soupirant — à la base, je comptais passer une soirée tranquille —, je sortis du bureau. Le cigare coincé entre mes dents, je trouvai vite Mélinda dans la foule, et je lui ordonnai de se charger du premier. Une punkette rose, ça devrait suffire, non ? Au pire, j'avais d'autres atouts dans ma main. Le second fut plus difficile à débusquer ; plus passe-partout, plus malin, sans doute. Heureusement, comme je suis loin d'être con, j'allais voir les caméras pour savoir où il était passé.

Grattant ma barbe, pensif, je levai les yeux au ciel. Lui, il n'est clairement pas malin ; il va m'expliquer comment ce qu'il fout dans la réserve ? Et qu'est-ce qu'il espère trouver ? De la drogue fourré dans les bouteilles ? Les flics me prennent vraiment pour un amateur ; je viens des années 70, ils croient que je vais faire un truc aussi con ? Secouant de nouveau la tête, je pris la même route que le policier. Ouvrant la porte en silence, je le cherchai des yeux dans l'obscurité ; oui, en gros, j'ai juste perdu quinze secondes à essayer de trouver sa silhouette entre les étagères. Finalement, j'allumai. La pièce n'était pas trop mal éclairée, mais il y avait de quoi se cacher avec les cartons, les étagères, le bordel environnant. Je ne comptais pas l'abîmer, rassure-toi, mais j'appréciais moyen qu'un flic soit venu fouiner ma réserve. Je décidai d'en parler une fois à James ; on m'avait fiché ?


« Bon. »

Lâchai-je en débusquant le gamin.

Ah pour information, j'étais brun aujourd'hui, avec des lignes blanches dessinées dans mes cheveux ; oui, j'ai la gueule de mon avatar. Cette fois-ci, du moins. Je croisai les bras en fixant mon regard brun sur le jeunot — tout le monde est jeune pour moi en dessous de cinquante piges —, et je penchai la tête sur le côté. On aurait dit un père venant de prendre son fils en pleine connerie, et qui attendait des explications. Qu'il fasse gaffe, ça me donnait envie de le punir.

« On va pas tourner au tour du pot pendant trente en minute, en jouant le jeu de l'inspecteur et du coupable. Ne me fais pas croire que tu t'es perdu, le Wayne's est très grand, mais la cave, ce n'est pas spécialement facile de s'y trouver “par hasard”. Tu vas me faire le plaisir de sortir, et de m'expliquer ce que tu fous ici. Ah oui... »

Petit sourire de convenance, là... tu sens clairement que j'ai Satan derrière moi, posant sa main sur mon épaule et me lançant : « je suis fier de toi, mon fils ». Je fis un pas vers l'intrus, et j'ajoutai :

« Ton petit copain est déjà entre nos mains. Vous les flics d'aujourd'hui, c'est de l'amateurisme à fond de balle ; j'en ai les yeux qui saignent. »

Juste histoire de poser les bases ; ce n'est pas à un ancien avocat que tu apprendras les lois. Je suis même certain que je les connais bien mieux que lui. D'ailleurs, je me préparais déjà mentalement à toutes les cités, afin de lui faire comprendre qu'il était dans la merde. Et selon ce qu'il ferait, je prendrais la peine — ou non — de mettre sa carrière en péril. Je ne connaissais pas son histoire, mais... il n'avait pas la tronche du flic qui comme Les Experts te résoud des enquêtes en regardant les indices laissés dans la tasse de café. Bon, je raconte n'importe quoi, mais tu as maintenant l'idée précise que me donne le jeune lorsque je le regarde.

Je suis seul, s'il veut tenter quelque chose, c'est le moment. Toutefois, j'ai fait de la boxe, je frôle le mètre quatre-vingt-dix, et ce que je crains le plus, ce n'est pas lui. Mais mon vieil ami le tour de reins, tu vois le genre ? Je remue les épaules, je m'écarte un peu, et d'un grand geste de la main, je lui fais signe de sortir. On va pas se regarder dans le blanc des yeux pendant trois heures, on est pas dans un film de Tarentino tout de même.
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Mar 1 Mar 2016 - 20:02
La lumière m'avait surpris de plein de fouet. Surpris oui mais même quand on est quelque peu dans la merde on trouve un million d'excuses – pas fort lumineuse – pour expliquer le merdier. J'optais précipitamment pour le client bourré venu chourer des bouteilles.... un plan foireux. Oui très. Surtout qu'un mec qui surpris à voler...tu peux aller direct les flics et là j'aurais pu dire euh salut les collègues et le merdier se serait transporté dans le bureau du commissaire. Ouais....des plans foireux pas étudiés, quand on avait pas réfléchit deux minutes on pouvait en trouver des milliers et aucun ne passait la route. J'avais aussi dans l'idée d'expliquer que je cherchais les loges parce que je voulais me faire embaucher ? Toutes les excuses étaient plus pire les unes que les autres.

Dans ma grande chance.... ou pas, j'eus même pas le temps d'avancer une quelconque explication ni de jouer la comédie. Je fixais le type qui m'avait surpris...hoho...le patron en personne. J'étudiais attentivement sa carrure, bien taillé. Voilà un homme qui était franc...très franc. C'était....assez perturbant je devais l'admettre. J'avais rarement l'habitude de voir quelqu'un...je ne sais pas si on pouvait qualifier d'honnête mais qui en tout cas ne machait ses mots. En d'autre circonstance ça aurait pu me faire sourire sauf que y avait la petite voix derrière la tête qui me rappelait à quel point j'étais dans la merde....

Merde....fin de carrière ? Elle n'avait même pas commencé, d'ailleurs...oh mais oui. Mais oui mais oui. Je n'étais pas responsable. Après tout le commissaire m'avait clairement laissé entendre que j'étais qu'un pauvre idiot sous les ordres de monsieur le premier de promo. Et bien monsieur aura qu'à assumer tout ce bordel. C'était assez drôle la manière dont en parlait le gérant ;... mon petit copain ? Sûrement pas, qu'ils se le gardent.

« On est plutôt bien dans cette cave non ? Bien qu'il fasse un peu frais il faut l'admettre.... juste la bonne température pour des bouteilles. »

Je souris légèrement en pensant à mon collègue. J'avais une excellente raison de sourire. Rien n'a foutre de me retrouver de nouveau à la circulation. Au moins ça allait clouer le bec à l'autre co*** pendant un moment. Fallait pas m'enlever mon coéquipier. Ouais je l'avais pris en grippe profondément mon collègue, j'avais aucune solidarité. Il m'avait horripilé dès le premier coup d'oeil et ça ne s'était pas arrangé au fil de la journée. Contrairement à ce qu'on pouvait croire je ne jouais pas le malin du tout, j'étais juste.... je m'en foutais en fait de ce qui pouvait arriver à mon copain. Je chopais une bouteille pour la regarder de près.

« Grand cru.... elle est sûrement très bonne. En fait.... vous m'enlevez une sacré épine du pied, peut être que je devrais vous remercier monsieur....Vincentini ? C'est bien ça ? »

S'il pensait me désarmer et me foutre dehors coup de pied au cul il avait perdu. Mais c'était un avocat....évidemment qu'il savait ce que foutait un flic chez lui. Peut être était ce parce qu'il avait été un homme de loi qu'il était aussi franc.... allez savoir si c'était lié ou pas. Pas le genre à se laisser intimider en tout cas et il devait connaître les méthodes des flics de manière générale, les mauvaises comme les bonnes. Je fis tourner la bouteille entre mes mains lentement l'air songeur. Je n'étais pas spécialement connaisseur mais j'avais eu l'occasion une fois de gouter un vin...un bon vin de grande cru, ça n'avait rien à voir avec la piquette du supermarché, mais pas tout à fait le même prix aussi en général. Il y avait longtemps que je n'en avais pas bu, faut dire que je buvais très rarement, je n'en avais pas vraiment l'occasion. Boire seul après tout...ça fait un peu alcoolique et j'étais plus fan de bière que de vin.

« Importé de France ? »


Ouais normal je me tapais la discussion sur son vin....mais oui tout à fait normal. Non je cherchais pas de l’illégalité dans son importation de vin. Je ne pensais pas que ça soit ce pourquoi on nous avait envoyé fouiner. Non c'était juste....histoire de dire un truc en fait. Fallait pas chercher bien loin, je n'étais pas entrain d'enquêter sur son vin et je n'expliquais pas ma présence dans ma cave par le fait que je contrôle ce qu'il fournissait à ses clients. Quoi que ça aurait pu être une excuse presque plus crédible que celle que j'avais imaginée auparavant.
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Wayne Vincentini
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Wayne Vincentini
Gérant de Cabaret
Mar 1 Mar 2016 - 22:18
Le gamin se moquait de moi. Bah... je ne pensais pas qu'il allait me prendre au sérieux dès le début, ce n'était pas dans mes plans. Et puis, tout le monde sait que Wayne, c'est le mec le plus cool du quartier. Je souris au coin, soufflant du nez ; en le fixant, je caressai un bout de ma moustache. Lui, il n'avait pas inventé l'eau chaude ; un point commun avec Michael. Je croisai les bras, puis je commençai à lui donner tout un tas de lois qu'il venait d'enfreindre, notamment :

« Intrusion sans mandat de perquisition. »

Je ne vais pas tous te les faire, c'est particulièrement chiant. J'ai juste tout un tas d'articles sous le coude pour le foutre dans la merde ; son « copain » était déjà occupé, et lui, il n'avait pas essayé de fouiller mes réserves. En le voyant pendre la bouteille de vin français, je lui lançai :

« Si tu ne la poses pas dans les deux minutes, tu vas devoir la payer. »

Et je lui donnai le prix. Exorbitant, tu t'en doutes ; ça devait représenter plusieurs mois de loyer. Quoi ? Je grossis le truc ? Tu serais étonné. En collant mon épaule au mur, je lui fis signe une deuxième fois de sortir ; s'il n'avait pas envie de bouger, je pouvais toujours appeler les « vrais flics », et lui dire que j'avais un tiers, entré par effraction dans la cave, qui ne voulait pas bouger son cul. En soutenant mon coude de la main gauche, je tirai sur le bout de ma moustache, une lueur amusée dans les yeux. Lui, j'étais surpris que ses collègues ne l'aient pas éliminé d'entrée de jeu.

« Sinon, mon fils travaille à la Police, Aiden Vincentini, tu as dû en entendre parler ? Le petit génie du profiling ? »

C'était histoire de peser, tu vois ; je ne pense pas qu'Aiden décrocherait si je l'appelais. Dans le meilleur des cas, il ne prendrait pas la peine de décrocher. Aiden avait trente ans, il était charismatique, zélé, et particulièrement intelligent. Respcté malgré son âge, car il avait foutu sous les barreaux un taré de vingt-un qui tuait les nanas qu'il stalkait. Alors qu'on avait soupçonné un type de mon âge, Aiden avait établi le portrait psychologique du gamin, et il l'avait débusqué, seul.


« Donc... Derrick, tu vas gentiment me suivre en silence... je ne pense pas que tu veuilles qu'on apprenne tes délits ? Un flic voleur, corrompu, ça n'est pas si surprenant. »

Et puis, s'il comptait toujours refuser, je décidai de l'enfermer dans la cave. Ensuite, j'irais appeler la police, afin d'expliquer la situation. Comme j'avais pas mal de contact, notamment James Riddle, avocat de Lancaster — entre autres —, Madame Amy, Aiden (il ne comptait pas réellement), d'anciens collègues... ou même une poignée de sympathisants, je pouvais vraiment le mettre dans la merde. Je ne savais pas exactement ce que le gosse avait espéré faire en se foutant dans la cave, mais j'allais lui faire passer l'envie de recommencer. Chaque homme a une partie sombre, et ce n'est pas parce que je suis habillé comme une cougar de soixante pige que je n'en suis pas dénué.

De plus, il tenait une bouteille très chère dans la main, faisant mine de savoir ce qu'elle coûtait. Maintenant, oui, il le savait, mais je m'attendais à le voir reposer la bouteille délicatement, après s'être assuré que son trône serait propre, le nettoyant limite à a langue... d'une seconde à l'autre. Ne t'en fais pas, je suis quelqu'un de patient ; j'ai géré Raven Oewe durant toute ma carrière d'avocat, rien que pour ça, on aurait dû me donner un prix. J'étais le père d'un sale con prétentieux et intelligent, pour ça aussi, on devait me remercier. Je suis rôdé, et ce n'était pas une crevette de cette taille qui allait m'effrayer. Je craignais davantage le tour de rein que Mikio.

« Je suppose que je vais devoir appeler tes amis ? As-tu des parents, tiens, la bleusaille ? »

Bah ouais... tout chez lui me criait qu'il était nouveau, ou pas très doué dans son travail. La bleusaille, c'était assez insultant pour qu'il m'en veuille, et suffisamment vrai pour qu'il n'ose pas répliquer. Finalement, je me décollai du mur, et encore un geste lui ordonnant de me suivre. Wayne, c'est un mec bien, il laisse plein de chances aux gens. Pour lui, c'était la dernière.
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Mer 2 Mar 2016 - 19:09
Et bien il était de mauvais poil notre patron ou quoi ? C'est dommage pour lui. Il faut vraiment pas faire un drame de si peu de chose. Moi personnellement j'étais de très bonne humeur et j'allais pas me gacher la vie pour si peu. Je reposais la bouteille, non pas pour les beaux yeux de notre cher propriétaire mais parce que j'étais quelqu'un d'assez respectueux des choses sommes toute. Je n'avais aucune envie de la casser, de l'ouvrir et de la boire devant lui pour me foutre de sa gueule ou de la voler sous ses yeux. Il ne fallait pas être débile non plus. Enfin si ça pouvait lui faire plaisir et le dérider un peu.

« Ne vous foutez pas de ma gueule monsieur Vincentini. »

Les lois je les connaissais aussi bien que lui. Je n'avais pas fait l'injure de nier être éventuellement un policier alors qu'il s'amuse pas à me jouer son avocat. Mon problème n'était pas la méconnaissance des règles. Non...jusqu'ici on n'avait jamais pu me reprocher une faute de procédure. Non mon problème était plutôt mon manque de concentration dans certaine situation...du genre celle ou il y avait des animaux. Il est vrai que c'était une première de visiter une cave sans mandat mais.... peut être au fond avais je inconsciemment fait exprès de foirer notre mission parce que je n'aimais pas mon partenaire ? Qui sait.... toujours est il que je savais très bien ce que je risquais, quels étaient les droits de monsieur et les miens. Puis je ferais pas l'injure à un avocat de lui faire croire que je pouvais faire ce qu'il me plaisait.

Et puis franchement qu'est ce que je m'en fichais de son neveu, son cousin, son fils, son filleul ou que sais je. Encore un crétin premier de promo ? Tant mieux pour lui. Je n'avais pas eu un mauvais classement et pourtant sur le terrain ce n'était pas vraiment ça. J'haussais un sourcil en le fixant. C'était quoi cette info bidon ? Je devais faire copain copain avec le fils pour rentrer dans ses bonnes grâces et le choper ? Ou alors c'était sensé me faire peur ? J'en avais rien à cirer de son rejeton. S'il avait le caractère de son père ça devait être sympa en tout cas.

« Vous devez être fier de lui dans ce cas. »

Est ce que mes parents étaient fier de moi et pouvait se vanter ainsi ? Bonne question.... ils étaient fier que je réussisse mais depuis....ils attendaient ma promotion....sans succès. Je n'étais en tout cas ni un flic corrompu, ni un voleur mais bon.....je voulais bien admettre que les apparences jouaient contre moi. Je me dirigeais enfin vers la sortie. Rester dans cette cave ne servait pas à grand chose et puis j'avais connu meilleur ambiance. Je passais devant lui très zen.....peut être trop ? Je tournais néanmoins la tête et je du la lever, petit gabarit oblige, pour le fixer.

« Vous devriez sourire...ça vous dériderait. »

Sans mauvais jeu de mot parce qu'il était un homme plus agé que moi. Non mais se détendre et sourire...relaxe quoi, y avait pas mort d'homme. Sauf s'il avait effectivement quelque chose à se reprocher ? Dans ce cas effectivement on pouvait comprendre qu'il veuille à tout prix me mettre dehors et qu'il n'ait point envie de faire connaissance. Les avocats je vous jure..... y en avait des sympas mais y avait aussi ceux qui défendaient les criminels et finissaient par passer du côté de la force obscure. Dans le fond je ne trouve pas que ça soit un métier si noble que cela mais chacun son point de vu.

« Et c'est peut être un peu tôt pour que je vous présente mes parents non ? Vous avez l'âge d'être mon père en plus. »

Ouais ouais parfois je disais des trucs pas bien malin, un peu d'humour n'avait jamais fait de mal dans ce monde de tordu. Soffien aurait beaucoup ris.... faudra que je lui raconte celle là ce soir en rentrant. Je suis sur que ma journée va beaucoup l'amuser. Pour que je prenne mal les choses fallait pousser le bouchon plus loin qu'une insulte. C'était assez rare de réussir à m'énerver, je n'avais qu'un seul point sensible et ce n'était pas celui de mes compétences éventuelles.
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Wayne Vincentini
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Wayne Vincentini
Gérant de Cabaret
Jeu 3 Mar 2016 - 0:05
Me déride ? Je soupirai, que s'imaginait-il ? Enfin, en réalité, je m'en foutais. Une fois que le gosse fut dehors, je refermai la porte de la cave à clef. Blabla, je suis un vieux décrépi, blablabla. Bref, le discours normal des jeunes gens de son âge, je suppose. En passant devant Mélinda, je lui désignai le gamin, et lui demandai d'appeler un nom de la police. Comme la personne n'a pas d'imagination pour les noms, ce sera Monsieur Bob. Un policier que je connaissais depuis pas mal de temps, et avec qui j'avais discuté pas mal de fois, lorsque je m'étais occupé de Raven. Je savais que la police me soupçonnait, mais quand bien même j'aurais caché des choses pas très chrétiennes dans la cave (genre, des enfants), ce n'était pas ça qui me faisait chier. Je connaissais mes droits, et je n'aimais pas qu'on vienne fouiner dans mes affaires. Tout d'abord parce que n'importe quel flic pouvait voler un truc, prétextant qu'il s'agissait d'une preuve, enfin... les excuses sont nombreuses quoi.

Je fis emmener la bleusaille dans mon bureau ; Michael était derrière moi. Il faisait sacrément tache dans le paysage : il devait faire pas loin d'175 cm. Toutefois, il avait les cheveux noirs, en pagaille, dont les épis sortaient de tous les côtés. Sa pomme d'Adam était marquée, de même que son visage de trentenaire. Il avait des cernes bleus sous ses yeux bruns, les sourcils épais, et une peau à faire pâlir une adolescente en plein bourgeonnement. Des rides se situaient au coin de sa bouche mince, sur son cou, les veines ressortaient. Il n'était pas blanc, mais gris. La chemise sortie du pantalon, les épaules cabossées, Michael était un chien errant que j'avais déguisé en serveur. Le plus bizarre de nous trois, ce n'était pas ce flic en jean's, ni moi et mon accoutrement, mais ce type.

Michael nous ouvrit la porte de mon bureau, et comme tout canidé se respectant, il attendit dehors. Au cas où.Rassure-toi, si je comptais abîmer le flic, ce n'était pas Michael qui interviendrait. Si Michael frappait le jeunot, il avait plus de chance de se briser les os que de lui véritablement mal. Bon, c'est une pauvre chose, passons.

Je contournai mon bureau, et je me servis un verre de Scotch. M'asseyant, je posai mes pieds sur le bureau ; après tout, je faisais ce que je voulais. Un petit secret : parfois, lorsque j'étais certain que personne ne me verrait, je faisais tourner la chaise comme un père l'aurait fait avec son gosse. Sauf qu'Aiden était trop grand désormais pour accepter de prendre place sur mes genoux.


« Bon... bon... bon... je suppose que tu n'es pas là pour prendre du bon temps, et profiter du spectacle. »

Toutefois, ça ne m'empêcha pas de faire bouger légèrement la chaise, les mains derrière la tête. Je me redressai pour boire une gorgée de mon alcool.


« Laisse-moi te dire une chose, c'est sacrément con de payer une entrée à ce prix pour se taper un voyage dans la cave. Pour un flic, tu manques de pragmatisme. »

J'allais pas le laisser se mêler à la foule ; il était là, gardé, le temps que les poulets arrivent pour le ramasser. Wayne est gentil, il est même très sympathique, mais c'est un trop gros poisson. Je ne suis pas le PNJ de base que tu vas escroquer dans un jeu vidéo, tu comprends ? Je suis bien au-dessus, le genre de vendeur de haut niveau. Je sais comment pense un flic, et le gamin n'est pas très discret, il est même transparent. J'ignorais son rapport avec les animaux, mais je comprenais très bien le genre de personne qu'il était. Je reposai le verre, puis je penchai la tête sur le côté :


« Sinon, tu peux me sortir ta plaque et ta carte d'identité ? Histoire que je vérifie que tu es vraiment un flic. »

Détail auquel je n'avais pas pensé auparavant. Oui, je savais qu'il était flic, mais... bah, au pire, ça le ferait chier. Il ne faisait pas très « américain », si tu vois ce que je veux dire. J'entrelaçai mes doigts les uns avec les autres, mon pouce jouait avec l'autre pouce. J'attendais une réponse donc, une mauvaise répartie, les autres... J'avais un oeil sur une caméra donnant sur l'entrée, et si je remontais le temps, Machin pourrait voir comment je les avais débusqués. S'il comptait refaire de l'infiltration, il devrait se montrer meilleur, pensai-je non sans sarcasme.
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Jeu 3 Mar 2016 - 14:30
Aaah le fameux bureau. Il m'emmenait là alors ? Intéressant...et il comptait me garder comme ça comme un criminel en attendant les flics ? Je prix appui contre la porte et le fixait bras croisé. Non mais.... c'était complètement risible. Ce mec me rappelait vraiment mon père c'était perturbant. Pas méchant mais....le côté autoritaire ou tu peux juste fermer ta gueule. Quoi que tu dises le mec il s'en branle, il a pas d'humour, il s'en tape voir pense que t'es un troll. Le portrait tout craché de mon père. Quand je faisais une connerie il était inutile que je cherche une excuse ou que j'essaie de détourner la conversation. Il me faisait vraiment peur quand j'étais même. Tout est dans le regard...l'attitude...je sais pas ; C'est une sorte de charisme naturel de commando ou dieu sait quoi. Je n'avais pas hérité de mon père.

Aujourd'hui...j'avais grandit et ce genre d'attitude ne me faisait plus aussi peur. Je n'étais plus un môme et puis j'avais été habitué. Malgré tout ce n'était pas très confortable. J'allais pas le supplier à genou d'être sympa et je ferais tout ce qu'il voulait. J'avais quand même un minimum d'orgueil et s'il était vraiment comme mon père ça serait en plus juste inutile et se ridiculiser donc.... De toute façon ça n'avait pas d'intérêt, je savais que je ne risquais pas grand chose. Si j'avais réellement eu un truc à me reprocher je sais peut être un poil plus inquiet mais ce n'était pas le cas.

« Navré mais vous n'avez pas le pouvoir de me demander mon identité sauf si vous pensez que je suis mineur et que cet endroit m'est interdit... »

Ola mais il s'excitait le propriétaire. Carrément il me demandait ma plaque mon identité et tout ? Mais bien sur oui, il s'y croyait vraiment. J'haussais un sourcil, ouais il était peut être temps que je parte. Je perdais mon temps, lui perdait très certainement le sien aussi. Qu'il 'appelle son fils chéri ou je ne sais pas qui tiens.... tsss franchement. Il croyait sincèrement que j'allais m'exécuter et faire mon bleu terrorisé ? He woh y a des limites à la connerie.

« Monsieur Vincentini il ne vous est pas venu à l'esprit que si je ne suis pas venu vous voir et vous poser des questions en me présentant c'est peut être que je comptais effectivement profiter du spectacle. C'est ma tenue qui vous dérange ? Navré la prochaine fois je viendrais avec une chemise rose et un jean qui me moule le cul. »

Moi je m'énervais ? Non pas du tout. Non mais deux minutes quoi....le gars prétendait savoir que j'étais flic, je n'ai pas nié mais je n'ai jamais dit être en mission non plus. J'avais tout à fait le droit de passer mon temps ou je voulais et dans un cabaret un peu.... euh...très sympa. Si tel était mon plaisir après tout. J'avais même le droit de me perdre à la cave en descendant au toilette. Techniquement je n'avais rien volé donc il pouvait guère porter plainte contre moi. Même si les flics arrivaient... qu'est ce qu'ils feraient de plus ? Écouter le propriétaire et sa plainte gentiment ? Me mettre dehors... super. Un avertissement peut être...tout au plus. Non je ne craignais pas grand chose. Et franchement demander ma carte une fois rendu dans son bureau... il aurait du y penser dès le début j'envie de lui dire. Mais il était tellement sur de son intuition, de ce qu'il savait et de ses droits....pourquoi le contredire ?

La seule chose qui m'arriverait et ça.... quoi que fasse monsieur Vincentini..... c'était la bonne engueulade de mon chef. Parce que lui bien sur savait que j'avais foiré et que je n'étais pas sensé profiter du spectacle même si j'en avais envie. De toute façon mon collègue lui raconterait sûrement ce qui c'était passé. Et même si l'autre avocat là avait des relations....il ne m'arriverait rien de très grave. Adieu la promotion....je crois que celle là je peux l'attendre encore au moins dix ans.

« Soyons franc.... qu'est ce qui vous fait si peur pour refuser des flics comme client ? C'est un poil discriminatoire. A moins que vous ayez des choses à cacher pour être aussi pressé de me voir dehors. Il vous est pas venu à l'esprit que peut être certain de vos clients m'intéressaient plus que vous ? Je ne vous connais pas mais je pense pas que vous soyez mon ennemi public numéro 1 si vous voyez ce que je veux dire... »

Enfin non il ne devait pas voir..... de manière générale il n'avait pas écouté grand chose de ce que je lui racontais jusqu'à présent. Je lui avais dis qu'il m'avait retiré une épine du pied....m'est à mon avis il n'avait pas vraiment compris la référence, ni écouté. J'étais ravi qu'il ait foutu mon collègue....euh...dehors ? Au diable je m'en tapais de ce qui avait pu lui arriver à celui là. Quand à mon ennemi public numéro 1 il avait un nom....ouais....mais c'était pas un pauvre propriétaire de bar qui avait sans doute un trafic louche. Je m'en tapais des histoires de drogue ou blanchiment d'argent. J'étais devenu flic j'en étais ravi mais ce qui me bottait vraiment c'était d'arrêter un autre genre de criminel et ça...ah ça...seul Soffien le savait. Il connaissait mon rêve le plus profond. Je pouvais être vraiment méchant et beaucoup plus tenace avec un autre genre de mec. Alors le monsieur Vincentini il était gentil mais je m'en battais les guignols de ce qu'il pouvait penser. Je lui avais limite fait un monologue mais tant pis. Ecoutera ou écoutera pas j'attendais qu'une chose passer à la suite, sortir et puis basta.... ou profiter du spectacle mais apparemment ça ne m'était pas autorisé. Je pouvais raconter ce que je voulais de toute façon ce n'était pas un interrogatoire et il n'y avait pas de témoin alors tant pis si je me lachais un peu.
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Wayne Vincentini
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Wayne Vincentini
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Jeu 3 Mar 2016 - 17:50
« Si tu comptais t'amuser, tu ne te serais pas dirigé dans la cave. Tu veux que je te montre les caméras ? »

Concours de mauvaises fois, ça va durer longtemps. Qu'il estime que je ne l'écouterais pas ou que je perdrais plus que lui mes précieuses minutes, à son aise. Le souci, c'était qu'il n'était pas un simple client ; finalement, ça peut arriver de se tromper. Non, il était flic, et je n'appréciais pas qu'on aille se fourrer dans mes affaires. Parce que tu crois que ce n'est pas le premier à essayer ? J'ai eu pas mal d'histoires, et le cabaret s'est implanté depuis dix ans ; on sait que ma picole, elle vaut cher. Je l'observai alors de haut en bas, et de bas en haut, j'haussai alors les épaules :

« Disons que ta tenue n'est pas appropriée, mais bon, je n'ai jamais refusé les clients mal habillés. »

C'est juste... qu'un cabaret, ce n'est pas un bar. Il faut venir un minimum classe, ça m'était arrivé que des jeunes entrent sans trop y penser par exemple. Mais il n'appartenait pas à mon public, il n'en avait pas le genre, ni l'âge ; tu l'auras compris, ma clientèle, c'est plutôt les classes bourgeoises. Je ne savais pas s'il avait de quoi payer une vraie consommation — pas un verre d'eau par exemple. Je soupirai à la suite de son discours, voilà... voilà ce que je craignais. Je ne savais pas exactement ce qu'il ne comprenait pas. Je secouai la tête, blasé.

« Je me fiche que tu sois flic, mais tu comprendras que je n'apprécie pas qu'on aille fouiller dans mes affaires. Franchement, un flic viendrait chez toi en cachette, et irait voir tous les fichiers pornos de ton ordi', ça te ferait pas chier ? Voilà, c'est le principe. Dans la vie, tout n'est qu'une question de principe. »

Instant donneur de leçon, il en faut parfois ; histoire que je justifie mon âge. Cinquante, c'est censé être l'âge de raison. Je ne devinais pas que Machin m'associait à son père, et au final, je m'en foutais assez ; le seul lien que j'aurais vu, c'était mon âge. Je regardai ma montre, nonchalant ; le temps allait être long.

« D'ailleurs, ton nom ? T'es sourd ? Ou bien tu fais exprès ? »

Parce que lui savait comment je m'appelais, et ça devenait lourd de devoir le nommer « Machin ». D'ailleurs, son copain devait s'être fait vider les poches par Mélinda à l'heure qu'il était ; les coincés, derniers de leurs promotions, c'était les proies les plus faciles. Qui sait ? On le retrouverait peut-être sous la table, beurré comme un paon ? Je passai ma langue sur ma lèvre inférieure, puis je repris mon verre pour le terminer. Je n'aimais pas spécialement me répéter, en plus. Il devait être sacrément désespéré dans son travail pour ne pas avoir peur d'un avertissement, au mieux, il rirait de son collègue ou supérieur. Si la situation avait été plus alléchante, j'aurais pu menacer l'autre de mort ; je n'étais pas certain que ça lui aurait fait quelque chose.

« Et concernant mes clients... que veux-tu savoir ? James Rddile, je ne sais pas s'il est ici ce soir est avocat à Lancaster. Madame Amy en est la directrice, et elle vient voir ses amies quelques fois. »

Ces informations étaient totalement anodines, toutefois je ne savais pas s'il les connaissait. Le plus drôle, c'était d'imaginer James dans un endroit pareil à devoir partager sa sueur avec autrui ; une image effrayante. Quand tu verras James, tu comprendras. Les mains de nouveau sur le ventre, je faisais jouer mes doigts les uns contre les autres, pensif. Ça m'étonnait qu'il vienne pour ma clientèle, je n'avais pas de personnes « excentriques » venant par ici ; juste les bourgeois en mal de distraction.

« Ou mon équipe t'intrigue aussi ? »

Je comprenais les danseurs, les chanteurs, les transformistes dans « l'équipe », même si pour certains... c'était d'une manière très anodine. Oui, j'étais en train de le cuisiner, et de lui poser les questions en songeant qu'il ne répondrait sans doute pas. Juste pour m'ennuyer ? À moins que ma contre-psychologie ne marche ? Enfin bon. Je lançai un regard à la caméra à l'entrée, vérifiant si les autres flics ne venaient pas. Je n'étais pas spécialement contrarié, mais c'est un peu comme si tu t'étais apprêté à passer une soirée en bouffant de la pizza tout seul, et qu'un pote soit venu à l'arrache en bouffant ta pizza et en buvant ta bière. Ce n'était pas gênant, mais blasant, tu vois ?
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Ven 4 Mar 2016 - 11:47
« La cave est à côté des toilettes. »

Concours de mauvaise foi ouais et alors ? Je pouvais m'y mettre moi aussi. Je visitais pas je m''étais trompé de porte. Oui oui tout à fait j'étais bigleux et j'avais besoin de lunette et aloooors ? Non plus sérieusement ce mec commençait à me taper sur le système, est ce qu'on pouvait avoir une conversation deux minutes ou ça allait continuer comme ça ? Je n'étais pas méchant vraiment mais bon … je n'étais pas entouré de mignon petit champignon coloré plein de joie de vivre. Dommage ça rendrait le monde un poil plus agréable mine de rien. Mais c'était la vie, je lachais un soupire en levant les yeux au ciel. Heureusement que je restais calme, un calme quasi à toute épreuve.

« Un flic viendrait fouiller chez moi si j'avais quelque chose à reprocher je n'apprécierais pas et ferait tout pour le foutre dehors oui...mais si je n'avais rien à ne me reprocher je serais un poil irrité mais je n'en ferais pas un drame, ils font leur travail après tout et ce n'est pas tous les jours facile. »

Ouais....ok même si j'avais rien à me reprocher j'apprécierais pas mais voilà.... je n'étais pas un trouduc pour autant. On me pardonnera l'expression mais bon. C'est vrai quoi. Il m'a pas trouvé entrain de fouiller dans ses papiers dans son bureau. J'étais juste dans une putain de cave inintéressante ! Quoi que je serais tombé sur des cadavres d'enfant torturés euh..... je sais pas comment j'aurais réagis. A priori le monsieur n'était pas un tueur de môme pédophile....ou alors on était pas au courant. Ouais si j'étais tombé sur un truc bien glauque je crois que....ça aurait été encore plus la merde. Je n'aurais pas su comment réagir. Est ce que j'aurais paniqué ? Vomis ? Comment savoir quand on a jamais vécu la situation....ou peut être que j'aurais gardé mon sans froid et rameuter tout le commissariat. Mais de toute façon il n'y avait rien dans cette cave et encore heureux. Donc pas de quoi faire un drame. J'avais noté toutefois le nom de monsieur Riddle et madame Amy bien que je doutais que ça ait vraiment un intérêt.

« Je m'appelle Shigemori et on pourrait continuer cette charmante conversation autour d'un verre que je vous offre. Vous pouvez aussi juste me dire de partir ou bien me laisser profiter de votre spectacle. Bien sur vous pouvez appeler les flics si ce n'est déjà fait... c'est votre droit mais c'est une perte de temps pour tout le monde. M'enfin si ça satisfait votre orgueil d'homme de loi. »


Il comptait mettre quoi dans mon dossier ? Me charger à mort en inventant des trucs ? Il avait trouvé un mec dans sa cave wouhouuu....le scoop du siècle. En parlant de flic.... ils avaient foutu quoi de mon collègue ? J'étais peut être sensé m'inquiéter....bof.... il fallait bien qu'il apprenne à se débrouiller tout seul le petit. Quand au flic.... y avait pas cinquante hypothèses. Il avait peut être appelé son géni de fiston, l'affaire du siècle ou alors juste les flics. Soit ils prenaient l'affaire au sérieux et envoyait un bon lieutenant bien diplomate régler l'affaire avec tact...dans ce cas il devrait être assez rapide à venir. Soit ça les gonflait et ils cherchaient qui envoyer d'inutile comme..... Soffien. Oh oui....c'était bien possible qu'ils envoient Soffien. Ça ferait une belle jambe à notre avocat si c'était ça. J'eus un sourire amusé perdu tout seul dans mes pensés.
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Wayne Vincentini
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Wayne Vincentini
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Ven 4 Mar 2016 - 12:52
Sa théorie se tenait, mais... je dirais que chacun était différent. Au final, flic ou non, ça ne changeait rien ; il s'était glissé là où je cachais mes bouteilles. En soupirant, je me redressai, puis traficotai sur la caméra face à moi pour retrouver le moment, où Shigemori était entré par « erreur » dans la cave. Ensuite, je tournai la télévision vers lui — un truc d'appoint, hein —, et je le lui montrai. Mon expression lui conseillait de ne plus trop se foutre de moi. Je remuai mes épaules, puis je me remis sur la chaise, croisant les jambes avec nonchalance ; le talon droit sur mon genou gauche (Quoi ? As-tu déjà essayé de poser ton talon sur ton genou avec la même jambe ? Si c'est le cas, je peux t'offrir une prestation chez moi.)

« C'est déjà fait, tu t'en doutes bien. »

Lâchai-je en finissant par me relever, coupant court à la conversation. Les concours de mauvaise foi avaient tendance à vite m'ennuyer, si bien que j'ouvris la porte. Michael se tourna vers moi, l'air interrogateur, et il haussa les épaules. Je fis signe à Shigemori de me suivre ; ses petits amis ne tarderaient pas. Les mains dans les poches, je descendis, et je jetai un coup d'oeil à la fête ambiante. Sur scène, une jeune femme toute ronde faisait un numéro de burlesque, avec un serpent autour du cou. Je soufflai du nez, puis je me glissai entre les clients. Je croisai Mélinda sur mon chemin, et je lui demandai de ramener l'autre flic pour les faire sortir. Une fois dehors, encadré par Michael et moi-même, Shigemori pouvait entendre ses petits camarades arriver. Je relevai le col de ma chemise, c'est qu'il ne faisait pas méga chaud ! Léchant ma lèvre inférieure, j'eus un petit sourire en reconnaissant le flic sortant de la voiture.

Il était accompagné par un drôle de gusse qui sembla reconnaître Shigemori, tandis que je m'exclamai :


« Hey ! Bob ! Ça fait longtemps ! »

S'ensuit une embrasse avec le flic plein d'embonpoint, il sentait fort le café et le donuts. Il me donna une tape amicale dans le dos, puis il lança un regard à Shigemori :


« Un souci, Wayne ? »

Prenant un air faussement embêté, je lui expliquai la situation. Les bras croisés sur son énorme poitrine, il se contenta de soupirer en réponse. Je ne savais pas à quel point Bob était lié à Shigemori, et si la présence de Soffien était due au hasard, mais... la situation était bizarre. Une information gratuite : si tu veux rentrer dans les « bonnes grâces » de Bob, il suffisait de lui offrir un beau plateau de Donuts. Il grimaça, et il me promit de régler lui-même cette affaire. On savait très bien ce qu'il se passait, en réalité, mais rien de compromettant ne fut échangé. Bob paraissait juste bien emmerder. Je commentai simplement :

« Non, ne t'en fais pas, Bob, je comprends tout fait ; après tout, votre travail n'est pas si facile. »

C'est sûr que devenir obèse en s'empiffrant de soda et de Donuts, ça faisait de la police un travail difficile. Ouais, j'étais méchant, et je venais de renvoyer les paroles de Shigemori en pleine figure. De toute façon, il fallait toujours se méfier des Chinois. Japonais ? Non, chinois ; même chose. Son collègue s'écrasait, ne disant rien ; d'ailleurs, il faisait moins « propre » et « coincé » depuis qu'il était entre les mains de Mélinda. À mon avis, il venait de connaître les vingt minutes meilleures de sa vie. Je soufflai du nez, et je discutai avec Bob. Enfin, je retournai mon attention sur Mikio, intrigué par son « pote » et lui-même. Franchement, tu m'aurais dit qu'ils étaient tous les deux flics, je t'aurais ri au nez en me faisant un tour de reins. Je ne sais pas ce qu'ils étaient venus chercher par ici ; tu me crois assez con pour ranger ma drogue par ici ? Amateur. Finalement, peut-être qu'on avait envoyé Shigemori en bizutage ? Je n'étais pas une proie facile.

Mélinda sortit fumer sa cigarette, et elle m'en file une en proposant aussi aux flics. Coinçant le bâton de cancer entre mes dents, je fixai mes yeux sur Shigemori :


« La prochaine fois, lis ce qu'il y a de marquer sur les portes. »

Ou bien, il ne savait pas lire ? Après tout, c'était un bridé ; je ne savais pas comment il était arrivé à la police, mais je n'étais pas sans savoir que l'on engageait tout et n'importe quoi là-dedans. Si tu étais flic et raciste, tu avais un petit bonus sur ta paye.
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Mar 8 Mar 2016 - 10:02
Oui je m'en doutais qu'il avait appelé les flics mais je voyais vraiment pas l'intérêt sauf s'il avait appelé son fils chéri à la rescousse. Mon dieu comme cela sonnait tragique non ? Ironie quand tu nous tiens. Je trouvais ça dommage mais chacun réagissait comme il le voulait après tout. Personnellement je n'aurais pas réagis comme ça.... enfin ça m'était jamais arrivé, peut être que si.... je n'étais peut être pas très objectif. Je creuserais la question avec Soffien autour d'un bon jeu vidéo ce soir s'il était disponible. Il arrivait qu'on soit en horaire décalée pour mon plus grand malheur. Ma vie sociale se résumait à mon voisin de palier, c'était triste à dire mais vrai. Je le suivis donc hors de son bureau et regardant le spectacle un instant. Une femme avec un serpent....ce qui retint le plus mon intention c'était le serpent. J'aurais peut être du rester à ma place et profiter du spectacle plutôt que d'aller visiter sa cave. Pour le coup ouais j'avais une pointe de regret. Je m'étais figé quelque peu comme si j'observais cette charmante jeune femme.

« Elle fait souvent ce numéro ici ? »

Bah ouais quoi, j'avais le droit de me renseigner sur les prestations non ? Ça me turlupinait de voir ça, ça titillait quelque chose en moi. Qu'est ce que j'aimerais sentir la sensation d'un serpent autour de mon cou. Ça devait être étrange. J'avais déjà vu des émissions télés avec des spectacles du genre, ça m'émerveillait vraiment, un vrai gosse. Mais je n'avais jamais eu l'occasion d'en approcher de près. Et là y avait cette meuf pas loin de moi juste...wouuuh. Je m'étais posé la question d'avoir des serpents chez moi et puis finalement j'avais renoncé. Je ne m'y connaissais pas assez pour savoir comment m'en occuper et puis ça n'aurait pas été raisonnable j'avais déjà pas mal de bestiaux.

« Qui est elle ? »

Ouais j'étais captivé mais le gérant lui il pensait qu'à une chose me foutre dehors, tiens mon collègue avait été ramené par une jeune femme, la barman il me semblait. Ouais à regret je du détacher mes yeux de la femme et finir de le suivre dehors pour voir les flics..ah tiens ils étaient donc venu. Bob et...Soffien. Je détournais la tête pour ne pas montrer un sourire amusé. Bob détestait Soffien...réellement. Il m'avait confié un jour que ce type était bon pour l'asile. J'avoue je n'avais pas défendu Soffien ce jour. Disons que bon... Bob détestait beaucoup de monde, du genre les mecs pistonnés et autre et je sais pas par quel miracle il n'avait encore rien trouvé contre moi. Mais ça viendrait sans aucun doute, ce type n'était pas l'altruisme même. Il aimait les gens méritant, ceux qui bossait bien. Pauvre Soff en tout cas...faire équipe avec un type qui pouvait pas voir votre face ça devait être dur.

Le Bob en question semblait connaître Wayne....intéressant. Je souris à la remarque comme quoi que notre travail n'était pas facile. Il avait peut être de l'humour finalement le papi. Je regardais mon pote un instant dans les yeux, on avait pas besoin de parler. On aurait le temps en privé pour ça et se comprenait d'un regard, je pense que comme moi il pensait « blablabla ». Je laissais Bob s'excuser pour nous – bah voyons – et arrange ça. Avant de partir je me tournais soudainement vers le propriétaire tandis que les autres étaient montés dans la bagnole. Je lui attrapais la main pour la serrer, bonne poignée de main. Allez je n'étais pas rancunier.

« Aurevoir Monsieur Vincentini je pense que l'on se reverra. »

Moi le provoquer ? Du tout. Je lachais sa main et regardais la jeune femme pour lui faire un signe de tête avec un beau « Madame. ». J'étais poli, et je montais à l'avant à côté de Bob. Bon.... maintenant ça allait être la fête. J'allais sûrement devoir m'expliquer.... ou donner ma propre version des choses...quoi que ça regardait plutôt le commissaire non ? Bon n'empêche qu'il avait pas l'air ravi... wai ça va quoi, y avait pas eu mort d'homme pour une petite visite de rien du tout dans une cave.

« Dis moi Bob.... ce Wayne tu le connais bien ? »

Autant essayer d'en apprendre plus le temps du trajet. Il savait que son « pote » il était quand même louche ? Fin... simple présomption qu'il était pas très clair sur certain truc. Moi je disais ça je disais rien. N'empêche ça aura été une drôle de journée.
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