J'étais dans ma cellule à regarder ce plafond humide et terne où je pouvais constater quelques craquelures orner celui ci, pfff quelle journée de merde encore une fois, cetait bien trop calme depuis quelques jours. Oui j'avais calmé certaines activités qui commençaient à devenir chaud pour moi, j'étais le " Renard " depuis peu, à mon arrivée j'étais la " Fouine ". Mes bêtises avaient mis la pagailles entre certaines personnes dans la prison, j'aimais bien faire tourner en bourrique les autres c'était divertissant et Ca tuait l'ennui. Aujourd'hui je n'avais rien de prevu malheureusement cetait assez calme jusqu'au moment où un gardien et son acolyte débarquaient dans ma cellule afin de me sortir de ma torpeur sans vraiment de délicatesses. Ils m'annonçaient alors que j'avais une visite au parloirs, je ne connaissais personne pourtant ca m'iintriguuais tout de même.
J'arrive dans la salle où de multiples tables etaient placées et des familles etaient assises face à des détenus, l'endroit etait calme aussi, tsss quel ennui... Mais cetait un bon moyen et une opportunité pour moi de glaner des informations perdues, je me fiche de ma visite je connaissais déjà la durée de ma peine. Jarrive a ma table où une blondasse m'attendait cetait mon avocate lors de mon procès, habillée d'un tailleur saillant elle espérait quoi l'appâter ? Désolé elle m'intéressait pas suis je un homme idiot ? Peut être, cest zvec sa langue mielleuse qu'elle entama le blabla classique, comment vas tu ? Çe n'est pas trop dur ? Bla-bla-bla....
Mais sur une table voisine une conversation attira mon attention, le mot transaction a mon oreille je les regardais en coin, mon œil du renard perçu un mouvement suspect, une passe de drogue sous le nez de tout le monde ! Quelle obène on m'offrait là, je regardais le détenu avant d'attendre quil ait fini pour mettre froidement fin à ma visite, je me leve le regard toujours vide, blazé alors que je jubilais en moi. Bref je me contente de suivre ma proie que je bloque à un détours d'un couloirs désert attendant detre daans les angles mort des caméras, j'empoignais son col pour le mettre a terre un pied sur sa tete et l'autre sur ses doigts.
LOVE ∞ « Ta came... Donne la moi... Pour quî elle etait ? »
Je ne lui laisse pas le temps de se plaindre et lui ecrase les doigts tout en appuyant sur sa tete alors qu'il tente de sortir çe que j'espérais, il le laissa au sol et je m'agenouille pour le reccuperer.
DÉTENU ∞ « Raven...te fera la peau...»
Je ris alors avant de lui asséner un coup pour l'assomer afin de ramasser tranquillement pour le mettre furtivement dans ma poche, je retourne alors dans ma cellule réfléchissant à quî je pourrai la revendre contre des information ou la garder un peu. Je devais cacher ceci réfléchissant je me déshabille vite fait avant d'enrouler la dose dans une capsule avznt de l'installer dans mon calecon coincé sous mon trois piece avant de me rhabiller. Je m'assis cogitant et curieux de savoir si le "Lion" de la prison se déplacera. Moi qui voulais de l'action je risque de m'en mordre les doigts mais voilà une occasion de prendre contacte. Tsss et merde.... .
Quand on est un chef de gang. On ne peut pas se permettre des risques inutiles. C’est pourquoi il faut savoir acheter les gens, user de ruses diverses et variées afin de parvenir à ses fins. Généralement, quand des nouveaux tests de drogue doivent parvenir au sein de mon gang, je me débrouille pour envoyer quelqu’un au parloir. Il s’avère qu’un petit gars pas trop méchant doit souvent s’y rendre. C’est naturel pour lui d’avoir de la visite. Il n’éveillera donc pas les soupçons. Il doit juste me récupérer un nouveau paquet de bheu, et moi je ferais le reste. En contrepartie, ce gentil jeune homme bénéficiera de produits gratuits. Et aujourd’hui, il avait une visite.
Cependant c’est ce même petit gars paniqué qui arriva près de moi, alors que j’étais en train de m’entrainer dans le quartier sportif avec quelques uns de mon gang. Je soupirais. Une merde venait d’arriver, c’était certains. Mes hommes l’accueillirent et le menèrent jusqu’à moi. J’avais chaud à cause de l’effort produit pendant le sport. Torse nu, ma combinaison orange retombant sur mes hanches, les manches nouées autour de mon bassin pour ne pas perdre mon froc. Que s’était-il passé ?
Il parlait si vite, il était si paniqué que je ne parvenais pas à déceler son mal-être. Je fronçais les sourcils et fit signe à l’un de mes gars de le faire taire. Il lui donna une puissante gifle qui eut pour effet de lui remettre les idées en place. Enfin, il reprit son récit plus calmement. Et tout plus clair. On m’avait volé ma drogue. Le salaud.
Mes hommes me proposèrent d’aller le tuer directement, de lui casser la figure ou d’autres formes de punitions plus ou moins intéressantes. J’écoutais d’un air las, laissant la colère monter en moi. Je bouillais déjà. J’allais le défoncer. Qu’est ce que cette petite fouine voulait obtenir avec cette drogue hein ?! J’inspirais, et finis par me lever de mon banc, enfilant mon débardeur blanc avant d’avancer en dehors des quartiers sportifs.
« Restez en dehors de ça, dis-je en me dirigeant vers les cellules, Je vais lui montrer ce que c’est qu’un chef de gang. »
J’en entendis certains râler, d’autres rires, se disant que l’homme était déjà mort… En effet, c’est tout ce qu’il méritait pour avoir osé me voler. Le regard noir, je marchais droit devant dans les couloirs. Je croisais un maître chien, le chien m’aboya dessus, je lui grognais dessus en retour, sans un sursaut et je continuais ma route. Les gens semblaient comprendre mon humeur rien qu’à me voir passer car je ne rencontrais aucun obstacle jusqu’à la cellule du voleur. Love Simpson. Une petite sous-merde de bas étage.
J’arrivais à l’entrée de sa cellule, j’entrais, sans un mot. Je pris un drap et l’installais devant l’entrée de la cellule afin que nous soyons que tous les deux. Je ne souriais pas, j’avais le visage fermé. Et lui, il était là à se la couler douce.
« J’ai cru comprendre que tu avais quelque chose qui m’appartenait. Tu vas être mignon et me le rendre tout de suite et peut-être alors que je te laisserais la vie sauve. » Dis-je de ma voix rauque.
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Mar 13 Jan 2015 - 2:47
Passe de la poudre magique ratée
Encore dans cette piece qui me sert de refuge, les yeux rivés au plafond ayant investi la couchette du haut çe qui me crea un petit perchoir comme une securité, cest ce que je co vains a penser meme si cetait futile car on pouvait facilement me déloger suivan le gabarit de l'intrus. Mais je savais pertinemment qu'un invité de marque allait se pointer et pas avec de bonnes intentions, je me resoud donc à descendre avant que l’on me projette au moment où je m'y attend le moins. Je m'assis donc sur ma couchette avec l'énorme envie de fermer l'œil mais ici on sait tous le prix à payer si l'on bàissé sa garde, surtout quand on sait le genre d'énergumènes quî traîne ici.
J'avais les yeux fermés méditant sur le sort que je risquais de subir qvant d'être sorti de là par les bruits de pas lourds s'approchant de ma cellule et je le vis lui, le Lion, un baleze hors normes cest qu'il en jete le bonhomme cetait impressionnant en fait et je commençais a me sentir assez derangé mais Apres tout je l'ai cherché. Il me surplombe sans probleme mais je garde mon air blazé, çelui qui me permet de rester neutre mettant le doute sur mes adversaires, je le toise du regard et je savais çe qui allait me tomber dessus ma be elle gueule allait prendre un coup dans l'aile, javais connu Ca plus jeune avec ma famille de barjots. Evidemmnent il n'irait par Quatre Chemins, cetait Ca came quil voulait reprendre et rien d'autre, peut être ma tete aussi..
LOVE ∞ « Ta came... Oooh cetait la tienne...pardon...je suis confus...»
je fais MIND de fouiller dans ma poche, cetait de la provoque pure et dure vous allez me dire pas fin le fameux renard, non je l'étais pas pour çe coup mais avec ce genre de client quelque soit ma manière de l'aborder je finirai mal sauf si je sors une botte secrète dont Jai le secret. Je pénche mon visage sur le côté avant de le regarder dans les yeux.
LOVE ∞ « Bin voyons...ta came je ne l'ai plus.. Et puis me tuer me délivrera de l'ennuie de cet endroit et puis...me tabasser...met égal et puis.. Ça fait trois de vos transaction que je mûri.. Dur de trouver les bonnes poires en dehors d'ici pour t'emmener ta merde en parloir non ? Figure toi que je connais ton petit réseau de dehors les noms ? Je peux les citer..et Evidemmnent compromettre çe filon pour ton buisness... .mais je ne menace en rien...»
Je m'enfonce encore plus quelle stupidité affligeante Evidemmnent je voulais me faire paraître pour plus idiot que je ne suis tant que mes fessses sont à l'abri je n'ai a le craindre car on ne me domine que par une chose qui n'est pas la violence. De plus le combat rapproché je connais mais je ne dois pas prendre à la légère sa colere... Sans fouilles je garde la came... .
Ce mec. Oh mon dieu ce mec. J’ai envie de le tuer déjà. Alors que ça ne fait que cinq minutes même pas que je suis dans sa cellule. Et il doit le savoir, il doit savoir qu’il m’énerve, en plus, il s’amuse à jouer au plus malin avec moi. Je reste debout, droit devant lui et je l’observe. Il ne l’a plus hein ? J’ai un petit sourire malsain, faisant lentement craquer mes phalanges. Elles me démangent déjà. J’ai tellement envie de lui refaire le portrait. En plus de ça, il ose me faire croire qu’il connait les noms de tout le monde ? Il me prend pour un débutant ou quoi ? Il vaut mieux rester sur ses gardes tout de même, on ne sait jamais avec ce genre de sous-merde fouineuse.
« Oh, tu ne l’as plus ? Et qu’est ce que tu en as fais si tu ne l’as plus hein ? Tu as été rapide pour t’en débarrasser dis moi… » Dis-je non sans cacher l’énervement dans ma voix.
Je plisse les yeux, passant ma langue sur mes lèvres alors que je réfléchis. Où aurait-il pu cacher cette bheu ? Je fronce les sourcils, je déteste perdre de la marchandise, surtout quand ce sont de nouveaux échantillons à tester. Je finis par lâcher un grand soupir et me décolle du mur contre lequel j’étais appuyé.
« Tu me menaces. C’est clairement une menace, triple buse. » Ajoutais-je en fronçant à nouveau les sourcils. « Mais si tu crois que ça va m’empêcher de récupérer ce qui m’est dû… »
Je m’approche de lui, et me penche sur lui, j’observe son visage de petit minet, ses cheveux rouges, si facile à empoigner. C’est ce que je fais d’ailleurs, j’empoigne ses cheveux et l’attire vers moi, mon sourire malsain revenant.
« Si tu comprend pas quand on te demande gentiment, je vais devoir user d’une autre manière ! »
Je le plaque contre le mur d’en face, et plaque ainsi mon corps contre le sien pour l’empêcher de fuir et me permettre d’avoir les mains libres. J’approche mon visage du sien et vient souffler contre la peau de son cou à proximité. J’écoute, mes lèvres posées contre sa peau, son rythme cardiaque. C’est tout une ruse. Comme ça, je saurais s’il ment. Puis, agacé, je plante mes crocs de lion dans sa peau, le mordant avec rage, je me redresse ensuite, un léger goût de sang dans la bouche.
« On en était où mon petit Love… ? Love, quel nom merdique. T’es une tarlouze à ce point ? Ah oui. Tu ne m’auras pas aussi facilement, où t’as planqué mon matos ? »
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Ven 16 Jan 2015 - 20:41
Passe de la poudre magique ratée
La relativité çe concepte de merde, depuis que ce lion avait passé le seuil de ma cellule j'eus l'impression qu'une minute etait devenue une heure, je n'aimais pas Ca, evidemment le berner de la sorte comme Jai tenté de le faire fut une bien belle erreur et prise de risque. Çe n'était pas pour rien qu'il etait dn haut de la hiérarchie dans notre domaine, c'était un dominant pur et dur auquel je me suis frotter rien que son attitude etait une aura écrasante et intérieurement je commencais non pas à paniquer mais à méfier pret a décamper a la premiere occasion car Jai le mauvais pressentiment que mon cauchemar est pret a émerger.
Il se rapprocha de moi dangereusement mais mon corps refusa de bouger, que m'arrivait il ? Ce n'était pas bon du tout c'était lui quî avait la mise sur la situation à mon grand regret, je restais impassible pour garder enfouit mon état de faiblesse que br pourrait contenir trop longtemps s'il enclenchait lz quatrième vitesse. Il etait trop pres de moi et je n'eus le temps de reculer la tete qu'il m'empoigne les cheveux sans délicatesse pour me tirer contre lui. Je n'étais pas d'accord evidemment et j'essaye de le repousser posant mes mains sur son torse puissant.
LOVE ∞ « Tsss Je l'ai plus ta came couillon ! Alors va la renifler ailleurs ...»
L'homme me plaqua au mur et je lacha un bruit de suffoquement impromptu voulant réagir de nouveau mais cette fois son corps puissant vint me bloquer mais contrairement à d'habitude je ne pouvais plus m'empêcher de réagir et je gesticulais sans aucune sensualité serrant les poings avant de retenir un çri douleureux lorsqu'il me mord, non mais il lui manque une case !
LOVE ∞ « h...! Va te faire...! Quest çe que !!! .»
Ce n'était pas bon je n'arrivais pas à m'imposer comme je l'aurai voulu... Ca aller recommencer... Ma phobie... Mon cauchemar...jen écarquillais les yeux .
J’eus un simple sourire. C’était facile. Si facile. Il mentait, ça se sentait à son rythme cardiaque, ça se voyait à son regard paniqué. Il était coupable et il le savait autant que moi. Le pire, c’est qu’il continue d’essayer de me mentir. Il doit être complètement con ou bien complètement masochiste pour continuer dans cette direction. Non mais sérieux. Enfin, toujours est-il qu’il semblerait que mon pouvoir ait un impact sur lui. J’arrive à m’imposer assez facilement, je pourrais le détruire tout aussi facilement… Si nous ne sommes pas interrompus bien évidemment.
Il se débat un peu, mais ça n’a aucune importance, je le domine par ma taille et par ma force. Il gueule, un peu trop, il va nous faire griller. Du coup, je plaque ma main sur sa bouche afin de le faire taire. Bon sang, quel débile celui là.
« Voyons voir, tu m’as l’air assez égocentrique comme gars. Tu dis ne pas l’avoir, je suis certain qu’elle est quelque part ici. Tu n’aurais pas eus le temps de la refourguer… » Dis-je en laissant planer ma voix dans l’air.
D’un coup d’œil circulaire, je visualise toute la cellule. Il ne semble pas il y avoir grand-chose ici. Où est ce qu’il pourrais avoir caché ça… ? Je réfléchis. Et repense aux nombreuses fouilles que font les gardiens parfois ou encore les maîtres chiens. Puis je souris en coin et soupire, retirant ma main de sa bouche, mais l’empêchant toujours de bouger.
« Ne me dis pas quand même que tu l’as planquée sur toi ? » J’ai un petit rire moqueur. Erreur du débutant.
Je commence alors à le palper, tout du long, son torse, ses hanches, ses jambes, je remonte et tâte même ses fesses. Etrange, rien du tout. Je fronce les sourcils et le regarde à nouveau, sévère.
« Non… ? »
Si c’est obligé, c’est ici, mon flair me le dit. Je grogne un peu et finit par ouvrir sa combinaison d’une main. J’ai un sourire narquois, presque moqueur. On va fouiller au plus près du corps alors. Je plaque toujours ma chaleur contre la sienne avant de baisser sa combinaison d’un coup. Je regarde son corps, hausse un sourcil, puis fini par lui demander.
« Tu es sûr de ne pas vouloir me dire où tu l’as planquée… ? » Je ris. « C’est ta dernière chance. »
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Lun 2 Fév 2015 - 21:02
Passe de la poudre magique ratée
je sens que je vais passer un sale quart d'heure mais dans quel sens ? Malgré la douleur j'espérais quil me roue de coups plutot de venir souiller mon corps.. Quest çe que je dis, il est plutot du genre violent aimant´ utiliser ses poings non ? Je devais juste me préparer a pouvoir encaisser çe qu'il allait m'envoyer c'est alors que je serre les poings lorsquil continue de m'entraverai lz bouche. Bon sang.. Pourquoi tu me colles blaireau...! T'as un corps de rêve oui je peux le sentir mais les circonstances ne s'y pretes pas...
Je me mîs à gesticuler pour chercher une ouverture où je peux me faufiler mais je compris tres vite que cetait peine perdue. J'ai failli me trahir quand je le sentais me palper un peu partout car je ne voulais quune chose poser ma main au niveau de mon membre mais Jai reussi a Resister a cette sensation.
LOVE ∞ « Penses çe que tu veux...elle...elle n'est pas ici !!...»
Pourquoi Jai hesité ? Pourquoi je commençais a perdre mes moyens ? Mais la se fut trop il défit ma combinaison jusqu'aux chevilles me retrouvant en calecon dos a luî, grand Dieu que je me sens mzl comment faire.. Ma phobie m'empêchait de réfléchir comme j'avais l'habitude de faire rien que cela me trahissait plus ou moins. Je voulais fuir çe lion allait literalement me croquer...mais je suis entêté !
LOVE ∞ Je...une dernière chance ? Bien... .»
Je rassemble mon courage pour tenter de luî envoyer un coup de coude... .
Quelle couille molle. Je soupire longuement avant de me redresser, toujours en le gardant contre moi. Le pire c’est qu’il essaye presque de négocier. Mais ce petit con là, il ne m’aura pas comme ça. Je me décale quand il tente de me donner un coup de coude. J’attrape son bras et le maintient fermement contre moi, poussant un grognement plein de rage et de colère.
« Attention gamin. Ne me dis pas que tu as essayé de me frapper ?! » Dis-je toujours en grognant.
S’en est fini de lui. Je termine de le déshabiller. J’arrache tous ses vêtements, s’il proteste, je lui donne des claques, pas trop fortes pour ne pas le mettre K.O mais assez puissantes pour le sonner qu’il se tienne tranquille. Non mais oh, il m’a pris pour qui ce gars ? J’en ais fini de jouer. En moins de deux, il est complètement nu. Mais je ne vois toujours pas de drogue sur lui. Pourtant j’en suis certain, il l’a, il doit avoir quelque chose.
J’arme mon bras, et finis par lui donner un puissant coup de poing dans le ventre. Quel con. Je suis certain que ça l’excitait ce petit jeu en plus. Une fois le coup donné, je le pousse avec violence sur le lit et lui grimpe dessus pour le surplomber de mon poids. Là c’est sûr il n’a aucun moyen de fuir.
« Voyons voir… » Dis-je en laissant glisser ma main le long de son corps nu.
Il n’est pas trop mal foutu ce petit gars, mais je suis bien trop agacé pour penser à des choses pareilles. Ma main descend le long de son corps, j’effleure ses tétons, son nombril, un petit sourire malsain se dessinant sur mes lèvres. Je remonte à ses tétons et en pince un avec une force que je me découvrais destructrice. Tiens, dans tes dents tarlouze.
Puis, une fois cela fait je passe ma main sur ses flancs, avant de les poser sur son bas ventre. Pitié, ne me dites pas qu’il a planqué la drogue en lui parce que sinon je vous jure que j’appelle un gardien ou le doc’ pour lui faire une fouille rectale.
Pourtant, je m’arrête d’abord à son sexe. Je ricane en l’effleurant lui aussi d’un doigt. Petit truc. Je prends sa queue entre ma main et en faisant cela je sens quelque chose d’étrange sous sa hampe. Je regarde et remarque un petit paquet de la nouvelle drogue que je voulais tester. L’enculé. Le tout collé avec un sparadrap. Haha. C’est simple, je tire dessus sans aucune pitié, quitte à lui arracher les poils, j’en ai rien à branler. Je me redresse, le sachet en main.
« C’est quoi ça… ?! » Connard.
Je le choppe par les cheveux et lui administre un nouveau coup de poing dans le ventre. Histoire de le sonner à nouveau.
« Tu veux jouer avec la drogue ? Très bien, on va jouer. Je ne sais pas encore les effets de ces pilules tu vas être mon cobaye. » J’en prend une au pif dans le sachet et la lui fourre dans la gorge sans ménagement.
« Maintenant. Avale. » Et on verra bien si elles sont cool ces pilules.
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Mar 17 Mar 2015 - 9:58
Passe de la poudre magique ratée
Je n'étais plus vraiment à mon aise face à lui, sa prestance m'écraser complètement je n'avais plus du tout le contrôle de la situation d'ailleurs je ne me rappelle pas l'avoir eu une seule fois depuis qu'il est rentré dans ma cellule. Je vais me sortir de situations délicates mais c'est vrai que je n'ai jamais eu affaire à lui ni à faire à des hauts lieux placé dans les gangs je côtoyais souvent les sous-fifres qui est déambuler dans les couloirs, dans la cour, j'arrivais à trouver les informations assez facilement mais évidemment c'était des personnes faibles dont il était facile de trouver les faiblesses ce qui était ma spécialité. Mais aujourd'hui c'est moi qui ai les prendre leur place l'homme devant moi parvint à me donner des coups dans le ventre qui criait douleur à chaque fois que son poing est au contact de ma peau, puis évidemment c'était la drogue et ma rebellions était forcément mal vie.
Me voilà retrouver totalement nu il allait la trouvé cet enfoiré il allait la trouvé, hélas je ne donnais pas cher de ma peau dans ces cas là, il vint me balancer contre le lit je voulais alors mon fuir une fois être défait de lui mais il était bien trop agile, il vient alors à califourchon sur moi son corps puissant me clouer littéralement sur le lit je ne pouvais quasiment plus bouger c'est alors que ses mains commencèrent à parcourir mon corps, des frissons chatouillaient mon échine, aux grands dieux qu'il ne fallait pas qu'il commence à me toucher aussi surtout que malgré la colère qui émanait de lui ses mains caresser ma peau frêle avant de venir ça attardé sur mes tétons qui pense violemment, cela extirpa un cri de douleur mais à la fois un cri suave c'était une sensation particulière je la détesté mais en même C'est assez plaisante mais ce côté là j'essaye de le dissimuler tant bien que mal. Essaye de contenir mes allaitement lorsqu'il empoigne mon membre j'ai essayé de me contrôler pour ne pas qu'il y ait de réaction et surtout j'étais pris de peur sachant qui se rapprocher du sachet où était la drogue.
La cachette a été découverte et c'est alors qu'il arrache violemment d'ailleurs j'en lâche un cri de douleur tout de même c'était pas vraiment agréable cette sensation, mais ce qui me fait vraiment peur c'est son comportement sa réaction c'est émotion facial il avait l'air malsain il avait quelque chose à la tête et je tarda pas à découvrir réellement ce que c'était il avait envie de me faire goûter cette drogue pourtant je suis totalement contre ces merdes là je pouvais très bien aller dealer ou les subtiliser mais simplement dans le but de la rencontre je n'avais aucune envie de toucher à cela, seules mes clopes étaient ma drogue. Essaye de détourner la tête à droite et à gauche mais c'était assez compliqué et je vais sûrement me recevoir encore des coûts et ça je l'apprécie guère que mon corps soit abîmé surtout par ce genre de brutes.
Une couleur rose bonbon on aurait pu penser que cela allait est appétissant mais je doute fort que les effets soit aussi agréable que celle d'une friandise, il me lancera de force dans la bouche et j'ai lu le choix de la vallée c'est là que je me demandais vraiment qu'est-ce qui rime arrivé quel genre d'effet ça allez avoir sur moi est-ce que je serai ravagé du premier coup tant de questions venaient se bousculer en moi. Du attendre quelques minutes avant de sortir quelque chose de pas normal en moi là je ne pu contenir mes allaitement qui se faisait un peu plus fort alors que mon corps commencé à brûler de l'intérieur se consumer d'une façon que je pourrais qualifier comme une sorte d'excitation serait-ce des pilules aphrodisiaques elles en avaient tout l'air.
Si tu les de nouveaux essayant de cacher les parties intimes car je savais que je n'étais pas très loin de la limite de non retour mais je ne voulais pas montrer à cet homme les effets que pouvaient avoir cette pilule alors que mon membre s'apprêté à réagir. Je veux mais à cacher mon visage entre la pomme demain tout en étant dans la tête alors que quelques mèches cache une partie de mon visage je veux commencer à serrer les dents agrippant les draps de l'autre main alors que mon corps a semblé ça animé seul en arquant ma chute de reins ce qui fit coller mon bassin contre celui de l'homme, je fini trouver le haut qui était non loin de moi et c'est pour cela que je t'enduis le bras mais difficilement car il se mit à trembler et je continua à l'été d'une façon assez indecente.
LOVE ∞ « Pitié....pas ces merdes là !!! Haa....aaaa...»
C’était à prévoir, on m’a encore arnaqué sur la marchandise. Je n’en ai rien à foutre d’aphrodisiaques de merde. Bon je dirais au fournisseur qu’on ne retient pas sa demande. Pendant ce temps là je regarde l’autre espèce de merde qui dégouline à mes pieds… Il me dégoûte. Je soupire et roule des yeux en appuyant avec mon pied sur son entre-jambe dans l’unique but de lui faire mal. Surtout qu’avec des pompes comme celles qu’on a ici ça ne doit pas faire du bien par où ça passe.
Je me redresse ensuite et soupèse le petit sachet dans ma main. Heureusement il n’y a pas grand-chose là dedans, je vais pouvoir facilement le foutre aux chiottes. Je vends certes de la drogue mais je ne vends pas de la merde dans ce genre là. Je repose mon regard une nouvelle fois sur Love. Je roule des yeux et constate qu’il ne peut vraisemblablement pas se contrôler mais qu’il tente tout de même de masquer son sexe grandissant. Je roule une énième fois des yeux pour finalement me détourner.
« Tu ne me sers plus à rien petite chienne. Va lécher les couilles d’un autre, et arrête de fourrer ton nez dans mes affaires. » Dis-je en arrachant d’un coup sec le draps qui cachait l’entrée de la cellule.
Je vois un gardien passer à ce moment là, il me regarde, je le regarde, puis lui souris, de par ma stature, il ne doit pas voir Love encore par terre en train de se battre avec lui-même. Il me rend mon sourire avec un petit air surprit avant de continuer sa ronde. Je me retourne vers Love et souffle.
« Adieu… Love. »
Sans un mot de plus, je quitte les lieux pour retourner auprès de mon gang, raconter à quel point nous nous étions fait arnaquer sur la nouvelle marchandise. Oubliant totalement le jeune homme seul dans sa cellule… Le pauvre.
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