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Jethro Davies- [Terminé]

Anonymous





Invité
Invité
Mar 24 Nov 2015 - 22:55

Jethro Davies


Avatar : Oc Daniel- Alexzappa

Identité
Nom: Davies
Prénom: Jethro
Surnom: La grande Duduche. Le Lâche, Jet.
Âge: 32 ans
Nationalité: Américain.
État-civil: Célibataire.
Rumeur(s) à votre sujet: Jethro Davies adorerait montrer ses parties génitales à qui le voudrait, y’a quelqu’un qui m’a dit qu’une fois il a baissé sa combinaison debout sur une table du réfectoire pour faire l’hélicoptère…

Incarcération

Motif d’incarcération: Atteinte à la pudeur en état d'ébriété sur la voie publique. Extorsion. Homicide volontaire.
Durée de la peine: à perpétuité
Incarcéré depuis: 10 Ans. Ici depuis 6 ans. Avec un peu de chance tu peux espérer être libéré pour bon comportement...Que dis-je, toi avoir de l'espoir, pff, et les cochon voleront!
 Nom du gang : Othala's Blood
Poste occupé : Membre.



Caractéristiques physiques

Taille: 2m06
Poids: 85kg
Corpulence: Fin, allant presque sur l'anorexique parfois, athlétique.
Cheveux: Noir, avec un peu de gris, long
Yeux: Noisette
Famille ethnique: Caucasien
Modifications corporelle: Un tatouage sur la poitrine, les oreilles percés, boucles d'oreilles, et piercings.

Sur le papier, tu parais potable, même presque sympathique. On s'attend à voir quelqu'un de grand, de musclé, qui profite de cet avantage physique. Peut être un peu maigre. Mais en réalité, si on t’aperçois dans la foule...

T'es blanc, pas juste blanc, mais vraiment blanc, comme un cul, qui peut tourner au vert un peu moche, ça te donne un air malade parfois, tes cheveux noir et les cernes que tu as le plus souvent n'aident pas. As-tu un jour vu la lumière du soleil ? Les yeux noisettes que tu as ressortent sur ton visage carré aux joues un peu creuses, et à la barbe incontrôlé. Tu ne fais pas dans l'air très frais, non, et tu te donnes des airs un peu frêles. Peut être est-ce le fait que tu te tiens toujours de manière à paraître plus petit que tu ne l'es ? Le fait que tu essayes toujours de disparaître parmi les autres, abaissant les épaules, pliant le dos, te voûtant comme si tu avais sur les épaules le poids de quatre maisons ? Ou peut être est-ce simplement le fait que malgré ta fine musculature, le fait que tu ne sois pas excessivement épais, tu paraisses presque anorexique. De profile, t'as un aspect brindille, de face, t'es pas beaucoup mieux. Tu flottes dans ton uniforme en plus.

Non, franchement, t'as vraiment pas l'air de grand chose.

Quel étrangeté tu es. Toi qui est musclé par nécessité, faisant un sport quotidien pour ne pas perdre la musculature que tu as gagné pour avoir ta place dans l'équipe de sport de ton lycée, puis de ton collège, tentant à tout prix de garder une certaine agilité au cas où tu devrais t'enfuir en courant, toi qui travail ta souplesse afin de pouvoir te faufiler dans les recoins.

Toi qui ne montres au monde que ta maladresse, ton manque de sûreté, tout ce qui te présente comme malade, maigre au point où une bourrasque risquerait de t'emporter, pas très grand, pas très fort..

Tu es un être étrange, une contradiction à toi tout seul.

Redresses donc le dos, lève la tête, arrêtes de regarder tes pieds, et pour l'amour de dieu, ranges tes cheveux ! Tu vas les manger avec ta barbe !

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Nerveux, lâche, pessimiste, craintif, sans pitié, gauche.- Indépendant, méticuleux, calculateur, imaginatif.  
Objectifs et ambitions: La survie. Car oui, tu veux survivre, à cette prison, à cette vie, à ta famille, à ta situation. Et tu veux t'en libérer, tu veux pouvoir sentir l'air libre sur ton visage, tu veux pouvoir te dire que tu n'as plus l'obligation de ta famille qui pèse sur toi. Mais c'est un peu loupé. Alors survis.
Tocs et manies: Tu ne te tiens jamais droit. Mais ce que tu fais, les gestes que tu répètes encore et encore sont nombreux. Tu vérifies toujours plusieurs fois que les portes ne sont pas fermées, tu te ronges les ongles, ou tu laisses ta jambe battre un rythme inconnu lorsque tu ne fais rien de tes mains, de ton cerveau. Tu te dois de triturer quelque chose, tes mains, ta peau, tes cheveux ou tes oreilles. Parfois un peu trop violemment.
Peurs/phobies: Tu as peur, oh, pas de la mort non, de pire. Tu as peur du noir, et de ce qui s'y cache. De ces espaces clos, sans fenêtres, sans sorties, ces quatre murs qui se referment sur toi lentement, au point de t'étouffer.


Tu n'es pas un homme courageux, ça c'est peut être la seule chose dont on soit sûr. Tu n'es pas  non plus un homme très doué, tu trébuches sur tes pieds, tu laisses tomber tout et n'importes quoi. Tu donnes l'impression de ne pas contrôler ton corps. Et peut être est-ce dû à ta peur du noir, ta peur de tout, au fait que tu sois toujours aux aguets. C'est peut être aussi ton manque de concentration constante. Tu es toujours prêt à prendre tes jambes à ton cou au moindre bruit un peu fort, tu sursautes face à ton ombre, tu te détruis les mains dans ta nervosité, et tu as du mal a rester en place. Tu es pire qu'une biche effrayée,

On aurait pu croire qu'avec ta taille, tes muscles, ton agilité, tout ce qui est un avantage dû à ton corps te permettrait de t'imposer, mais cela n'est pas dans ta nature.Oh bien sûr, tu sais te défendre, mais tu ne montres au monde que ton aspect bien trop maladroit, presque incertain de ta personne. Tu ne montres que ton côté de lâche, ton côté d'homme qui ne s'assume pas, qui ne s'imposera pas, qui s'écrasera face aux plus dangereux, aux plus forts. Ainsi, tu donnes uniquement l'impression de ne pas vouloir la violence, le conflit, de ne pas vouloir faire de mal aux autres. Tu apparais comme un gros peureux, et plus d'un se demande ce que tu fais ici. Et surtout, ils se demandent comment tu ne t'es pas encore fait bouffer.

Mais ce que ces gens qui ne voient que cet aspect là, ne voient pas ce qui t'as permis de survivre, ce désespoir constant qui habite chacune de tes actions, chacun de tes gestes. Tu n'as aucune pitié lorsque tu cherches à conserver le peu d'indépendance que tu possèdes, et tu n'as jamais rien laissé à la chance. Enfin, sauf quand tu baignes dans l'alcool au point de ne pouvoir distinguer ton pied de ton cul, mais ce n'est qu'un détail. En fait, ce que ces gens qui t'observent, qui ne voient que le pathétique de ta personne -et bon Dieu a quel point peux-tu sombrer dans le désespérant ?!- oublient que lorsque tu ne peux fuir le combat, lorsque l'on t'a acculé, tu frappes, vite, bien et de façon destructrice. Tu ne fais pas dans le spectacle, pas non plus dans l'épreuve de force, non, toi tu te bats sans aucun honneur, sans aucun scrupule, tout les moyens son bon pour retrouver ton espace de sécurité, ta pseudo paix ambiante. Et tes adversaires ne se relèvent pas.

Tu fais dans le fourbe en fait. Et même si tu n'oses pas te l'avouer; oui, tu vis dans le dénie; tu joues sur l'apparence que tu donnes,  tu joues sur le fait que l'on te sous-estime pour te battre.

Tu es une sorte de chien vicieux, qui peut paraître presque innocent, presque abordable, jusqu'à ce que les crocs soient planté dans le bras. Tu es un être sauvage, presque constamment terrifié, qui ne peut vivre sans bouger pour s'assurer de son état de vie et qui se défendra de toute ses forces uniquement dans un ultime recours.

Tu n'étais pas toujours comme ça avant, mais la prison ne fait qu'exacerber ta nervosité. Et on va dire que tu aurais pu être autrement, tu aurais pu ne pas être une lavette, un lâche... Mais manque de peau pour toi, il semblerait que tu n'ai jamais eu le cran que l'on aurait pu associer à ton physique.


Santé

Etat de santé générale: relativement bonne, hormis une hypoglycémie importante, et des vertiges parfois.
Allergies ou addictions: Aucune connue
Soins réguliers (traitements): prescription spéciale d'aliment plus riches en sucre rapide et lent. Traitement réguliers des mains, griffures et coupures plusieurs fois par semaines.

Des blessures, des petites choses que tu te fais régulièrement, dans ta nervosité, tu te ronges les ongles, parfois au point où tu n'en as plus. Tu te tritures les mains, les bras, les cheveux ou les oreilles, parfois trop fortement, trop répétitivement. Tu t’abîmes, tu te blesses, c'est involontaire. Ou presque. Parce que cela te rassure, avec les petits élans de douleurs, tu te sens en vie, tu te sens présent, tu sais que tu es dans la réalité.

Histoire


Quand on regarde ton enfance sans vraiment regarder, on se demande comment tu as fait pour finir comme ça. Et quand je dis comme ça, c'est comme le lâche de cette prison. Parce qu'en soi, tu viens d'une famille de péquenaud, une famille de fermier dans le fin fond du Texas. Tu es le troisième fils d'une famille de blanc bec, le genre de famille chrétienne pour la forme, qui va à la messe tous les dimanches, mais qui ne connaît que vaguement la Bible, et qui ne cherche pas à comprendre ce que leur dit leur curé. Le genre de famille qui enseigne à leur enfants que les noirs c'est une sorte de parasite, le genre de famille qui sans jamais vraiment t'expliquer t'inculque depuis ta plus tendre enfance à haïr ce que tu ne comprends pas, que cela soit les « déviants sexuels » ou les personnes de couleur.

En soit, c'est une famille comme on en trouve par centaine aux États-Unis, et qui ne manque pas dans le Texas. Et ton enfance paraît sur le papier l'enfance la plus banale du monde. Tu as grandi parmi tes frères, tu es allé à l'école du coin, tu as continué à apprendre que l'étranger, c'était le mal, c'était le parasite des gens travailleurs. Tes amis et toi ne connaissiez que cela après tout. Et puis, quand t'es gamin, tu ne penses pas à remettre en doute la parole de ton père, ni de ta mère, ou le reste de la famille, parce que tu sais que ce sont les seules autorités qui auront un impacte sur ta vie.

Le reste de cette vie aurait pu se poursuivre sur cette vision clichée du blanc lambda. Malheureusement pour toi, t'avais quelque chose que n'avait pas le reste de tes frères. T'avais quelque chose qui a intéressé ton oncle. Alors oui, sur le papier, tu as une enfance normale, une adolescence qui ne change pas. Sauf que.

Sauf que ton oncle a commencé à s’intéresser à toi. D'abord de façon presque innocente, pour te parler, pour te tapoter la tête, puis peu à peu, tu as commencé à craindre ces moments, parce que ton oncle te rendait inconfortable. Tu ne savais jamais si c'était normal, et tu n'osais pas demander. Dans ta confusion, dans ta rage, tu as commencé par t'attaquer à ce que tu pouvais, à tes amis, aux étrangers, puis tu as arrêté. Au fil des mois, puis des années où cela continuait. Tu es devenu ce que tu es maintenant. Tu as laissé de côté cet orgueil qui semble se transmettre chez les Davies, cette fierté qui semble accompagné la taille des hommes de ta famille, leurs fiertés pour leur couleur de peau, pour leur éducation, pour leur travail.
Cette fierté qui te mettait mal à l'aise, en grande partie à cause de ton oncle.

Tu as grandi avec difficulté, toujours en te demandant et en cherchant des réponses à tes questions sans jamais dire ce secret qui te semblait trop lourd pour toi. Tu as fini par douter de la véracité des propos de ton père, de ta mère, puis du reste de ta famille. Oh bien sûr, tu n'as pas réussi à te détacher de cette culture, pas complètement. Après tout, tu as grandi parmi eux, tu as pris leurs habitudes, leurs pensées, leurs idéologies.

Mais tu as découvert que ce que faisait ton oncle n'était pas dans les normes de la société, même les normes de ta famille. Où du moins ne devrait pas l'être. Alors tu as cherché par tous les moyens de t'en débarrasser, de t'échapper, de t'enfuir, de retrouver cette liberté perdue.

À dix-huit ans, tu avais une bourse pour aller dans une université, une opportunité unique pour quitter cette campagne du Texas, où seuls les porcs que ton oncle et ton père élevaient semblaient compatir à ton sort. Une université de Louisiane qui t'acceptait pour tes résultats pas forcément très bons, et pour tes capacités sportives. C'était peut-être l'occasion pour toi de fuir cet endroit, ces gens.

Malheureusement pour toi, ton espoir a été soufflé, lorsque ton oncle, dans le silence de la nuit t'as avoué qu'il te retrouverait là-bas. Parce que, tu comprends, tu étais devenu son préféré. Tu n’avais pas de chance à cette époque. Non pas que tu en ais plus que ça maintenant, mais au moins, tu as résolu le problème de l'oncle, et tu as pu fuir la campagne.

Mais reprenons. À tes dix-huit ans, tu étais désespéré. La nouvelle que ton oncle te suivrait, accompagné quelque jours plus tard par le refus catégorique de ton père de te laisser quitter le Texas, t'avais mis dans un état d'esprit relativement nouveau. Une recherche de liberté presque désespérée t'avait poussé à trouver tous les moyens pour quitter cette ferme. Tu as réussi à le trouver, parmi les papiers de ton père. Le secret qui t'a permis de négocier ta liberté.

Oh tu n'avoueras jamais que la première personne que tu as extorquée était de ta famille. Non, tu préfères garder cela pour toi. Parce que l'avouer serait avouer beaucoup trop de choses que tu préfères taire et oublier. Oui, le tribunal est au courant, et les personnes qui étaient sur ton affaire, mais cela ne veut pas dire que tu aimes le gueuler sur tous les toits.

Mais passons, tu as pu, grâce à ton père, et aussi en parti grâce à ton oncle, te payer un appartement près de LCU, l'université de Louisiane. Tu as aussi pu te payer pendant un petit moment tout ce que tu souhaitais. Tu avais trouvé la liberté que tu cherchais en Louisiane, tu as découvert le monde, les gens, les différences et les ressemblances entre ton patelin et cette grande cité. Tu as trouvé des gens qui avaient la même idéologie que tes parents, alors tu les as suivis. Tu as utilisé cette nouvelle manière de te faire de l'argent sur des innocents, ou peut-être pas, tu t'es débrouillé pour les faire chanter, pour les forcer à te donner de l'argent.

Tu es devenu riche. Un étudiant en sociologie riche, qui pouvait boire, s'amuser, profiter comme tu le souhaitais de la vie. Mais tu savais que cela ne durerait pas. Et tu savais aussi que tu te battrais bec et ongles pour conserver ta dignité, pour conserver ta liberté.

Tu as malheureusement atteint un point de non-retour, alors que tu revenais voir ta mère, ta pauvre mère qui ne comprenait pas la brusque tension dans la famille, qui s'inquiétait de ton état, de tes études, de ta vie. Ta pauvre mère complètement innocente dans cette famille. Ta pauvre mère qui n'a jamais su que l'été de tes vingt ans, lorsque vous avez du déclarer ton oncle disparu, lorsque tu as aidé les autorités à chercher pour cet homme, tu en étais la cause.

Tu as toujours eu un peu de peine pour ta mère cet été-là, elle qui se réveillait en sursaut lorsque tu cauchemardais parce que tu étais persuadé que quelque chose ou quelqu'un s'était glissé dans ton lit. Elle et ton père, qui ne se sont jamais demandé pourquoi tu avais nourri les porcs un matin, volontairement. Ta pauvre mère qui n'a jamais su te calmer après tes nuits de terreur parce que ta chambre était trop noire, que tu avais rêvé les doigts glacé, rigide dans la mort, de ton oncle sur ta peau. Des doigts que tu as gardés d'ailleurs. La seule preuve de cette liberté durement achevée.

Après cet été-là, tu étais beaucoup plus stupide. Le jour, tu faisais tout pour oublier que tu avais tué un homme. T’empêchant tant bien que mal de voir son fantôme dans ta vision périphérique, dans l'ombre d'un immeuble. La nuit, tu ne dormais pas, ou peu, cauchemars, terreurs nocturnes, l'impression coupable de sentir le corps de ton oncle dans ta chambre, dans ton lit, à tes côtés. Tu as aussi dû trouver de nouvelle victime, tu avais besoin d'argent, et le chantage et l'extorsion étaient le meilleur moyen que tu avais trouvé pour toi pauvre étudiant en sociologie.

Cette nouvelle liberté et surtout cette nouvelle stupidité a été ta perte. Tu es allé chercher les soirées, dans l’espoir de noyer dans l'alcool ta culpabilité. Finalement. Il a fallu que tu fasses la chose la plus stupide du monde.

À tes 22 ans, alors que tu devenais un étudiant presque brillant en sociologie, tu t'es fait gauler. Pour une raison vraiment stupide d'ailleurs. Simplement parce que complètement bourré, tu as refusé de remonter ton pantalon devant l'officier. C'est à ce moment-là que l'on se demande si tu n’as jamais eu un cerveau.

Parce qu'a cause de cela, à cause de ta visite au poste, tes bavardages d'alcoolique, la confiscation de ton téléphone, et la nature de fouine des flics, ils ont découvert le reste. D'abord le chantage que tu faisais à des salarié respectable, à des fonctionnaires aussi, grâce aux preuves dans ton téléphone. Puis dans le brouillard qui a suivit ton arrestation, lors de la perquisition de ton appartement.

Ensuite, ils ont découvert les doigts.

Évidemment, tu les avais gardés comme preuve de ta liberté, pour t'assurer en plein milieu de la nuit parce que tu n'arrives pas à dormir que tu as bien tué l'homme qui t'a fait tant de mal, que tu as bien réussi à le nourrir aux cochons de la ferme familiale.

Ce que tu as pu être couillon.

Tu aurais pu t'en sortir avec seulement les charges d'atteinte à la pudeur en état d'ébriété sur la voie publique et l'extorsion, quoiqu’encore, l'extorsion, si les flics l'avaient vraiment voulu cela aurait pu être considéré comme une atteinte à l'état, parce que tu étais suffisamment stupide pour toucher à des fonctionnaires. Mais avec la découverte des doigts, c'est bon, tu étais foutu.

Oh, bien sûr, tu as pleuré, tu as essayé de plaider ton cas, d'expliquer que c'était de la légitime défense. Mais les doigts donnait un aspect un peu trop morbide à ton personnage, et ton attitude ne semblait pas stable, le juge préférait te voir derrière les barreaux.

Ta famille t'a renié, et pour le coup, ça t'a un peu soulagé. Tu ne voulais plus jamais mettre les pieds chez eux, mais tu étais condamné à la prison à perpétuité.

Cela fait maintenant dix ans, 4 ans dans la prison du Texas, où tu as pu cultiver cette éducation familiale, cette capacité spéciale qu'ont beaucoup de Texans d'être profondément raciste sans même essayer.

Puis on t'a bougé ici, à California State Prison, et en 6 ans tu as réussi à chercher la protection du seul gang qui te rappelle un peu chez toi. Tu ne veux pas te battre ici, tu veux seulement sortir d'ici, même si tu sais pertinemment que cela n'arrivera jamais. Et a défaut, tu préfères ne pas te faire tabasser dans un coin parce que tu as encore fait montre de ton côté péquenaud texan. Le gang est peut-être la seule solution pour ta survie ici, alors tu fais tout pour ne pas être dégagé.

Combien de temps penses-tu que tu vas tenir? Quand penses-tu qu'ils réaliseront ton inutilité? Ta stupidité? Allons, arrêtes de paniquer!


Côté joueur

Pseudo : Void
Âge : Majeur et vacciné, je peux boire dans le monde entier \ o /
Comment as-tu trouvé le forum ? On m'a poussé ! Oui oui ! C'est lui m'sieur !
As-tu des remarques à  faire ? Pas à ma connaissance.... Ah si, le forum est très beau.
As-tu un double compte: Nope, premier du nom èwé
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Anonymous





Invité
Invité
Mar 24 Nov 2015 - 23:00
Heeeeeey ♥

Bienvenue ! J'ai hâte de voir ce que ça va donner :)
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Anonymous





Invité
Invité
Mar 24 Nov 2015 - 23:05
Je suis plus le petit nouveau, ah ah ah ah ! Bienvenue !
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Anonymous





Invité
Invité
Mar 24 Nov 2015 - 23:16
Hello~~

Merci beaucoup!!!

J'ai hâte d'avoir fini!
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Gabriel Goodman
Messages : 290
Date d'inscription : 20/08/2015
Age : 32
Localisation : Là où il y a du café !

Dossiers privés
Âge du personnage: 26 ans.
Taille: 1m78
A savoir:





Gabriel Goodman
Psychologue
Mar 24 Nov 2015 - 23:17
Bienvenu !
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Sasha William
Messages : 62
Date d'inscription : 28/04/2015

Dossiers privés
Âge du personnage:
Taille:
A savoir:





Sasha William
Aliéné
Mer 25 Nov 2015 - 1:40
BIenvenu Jethro.
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Anonymous





Invité
Invité
Mer 25 Nov 2015 - 5:46
Bienvenue à toi et hâte de te voir à l'oeuvre en rp! :)
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Anonymous





Invité
Invité
Mer 25 Nov 2015 - 12:25
Bienvenue à toi ! Si t'as des questions hésite pas !
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Anonymous





Invité
Invité
Mer 25 Nov 2015 - 19:56
Bonjour et bienvenue !!!
Très bon choix d'avatar ! J'ai faillit le prendre pour mon DC n.n
Amuses-toi bien à faire ta fiche ! : )
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Anonymous





Invité
Invité
Mer 25 Nov 2015 - 22:01
Que d'accueil! Merci beaucoup!! je n'hésiterais pas si j'ai une question!

(et je suis heureuse de savoir que tu ne l'as pas pris Curtis, j'aurais été bien dans la mouise >< )
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Anonymous





Invité
Invité
Jeu 26 Nov 2015 - 9:26
bienvenu :)
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Anonymous





Invité
Invité
Ven 27 Nov 2015 - 22:14
Merci !

J'ai fini ma fiche!

Duduche est donc maintenant prêt à être observé sous toutes les coutures pour voir s'il passe l'entrée. èwé
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Haydhaänn Vöstanya
Messages : 95
Date d'inscription : 16/11/2014





Haydhaänn Vöstanya
Sam 28 Nov 2015 - 14:49
Tu es validé !


Bienvenue sur BTC! Très jolie fiche, un personnage torturé et terriblement humain, gauche à souhait, empoté, prisonnier d'un corps trop grand pour lui/ Bref un personnage intéressant, j'aime beaucoup j'ai hâte de voir comment il va s'acclimater avec les autres personnages présent dans la prison.  

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des colocataires .

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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Jethro Davies- [Terminé]
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