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Waldo Sina [Terminé pour validaiton]

Anonymous





Invité
Invité
Dim 8 Fév 2015 - 13:28

Waldo Sina


Avatar :

Identité
Nom:Sina
Prénom: Waldo
Surnom: ?
Âge: 22 ans
Nationalité: Américaine
État-civil: Célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)

Incarcération

Motif d’incarcération: Accusé de meurtre
Durée de la peine: En attente d’une stabilité psychologique accepté par le psychiatre pour un transfert dans un hôpital psychiatrique.
Incarcéré depuis: Transfert en prison au mois de février
Aliéné? Oui
Type d’aliénation: schizophrénie et aliénation de l’image spéculaire, possiblement dû à un traumatisme



Caractéristiques physique

Taille: Petit, autour du 1mètre 60
Poids: En dessous du poids santé à son arrivé.
Corpulence: Mince et sec
Cheveux: Brun foncé
Yeux: Noir
Famille ethnique: Espagnole  
Modifications corporelle: Cicatrice au niveau de la gorge. Prothèse du pied jusqu’au-dessus du genou gauche.

Des yeux sombres et mort, comme un poisson sur la glace. Il n’est pas un bel homme et ne le sera jamais. Sa peau plus foncée qu’un américain moyen a toujours connu le soleil et risque de déteindre légèrement derrière les barreaux de fer. Toutefois, elle reste plus foncée et présente trois paires de cicatrice sur la gorge. Formé et faisant ressembler à des branchies, ces dernières ont été faites avec de l’hésitation, car elles ne sont pas assez franches. Bien que la peau a été soignée et recousue pour minimiser la visibilité, l’épiderme reste marqué d’une nette coloration. Le nez semble avoir été cassée à de nombreuses reprises et une cicatrice sur le bord de ses lèvres ne déforme pas ses traits et lui permet de faire toutes les activités qu’il désire.

Pour l’instant, il est en état de trouble alimentaire, son corps est maigre et a dû dévorer ses muscles pour protéger ses organes contre la faim : On peut remarquer la fragilité de la charpente, la perte des cheveux et la transparence de la peau. Dans quelques semaines, grâce à son âge et surtout à de l’alimentation adéquate, il devrait reprendre une allure en santé.

Il n’a pas de style vestimentaire, il ne semble même pas avoir de présence physique à remarquer. Il fait partie de ces êtres décharnés et sans-présence qui existe partout. Aucun charisme, ni énergie, il ne prend pas de place et se fait facilement oublié. Silencieux lorsqu’il ne bouge pas, on peut cependant entendre sa prothèse lorsqu’il boite. Il guérit bien de l’amputation et des autres blessures pour l’instant.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Respectueux, sincère, franc, maladroit, chaleureux, lunatique, peu de confiance en soi, s’écrase rapidement devant l’arrogance, désire aider et rendre service, présence une anormalement haute chance aux jeux de hasard, aucun charisme, crédule.
Objectifs et ambitions: Attendre que l’état réalise qu’elle a fait une erreur et le libère / finir son temps ici et prendre un bateau pour retourner sur l’île afin de récupérer sa famille.
Tocs et manies: Fixer les choses ou les gens / toucher les personnes ou les choses / suivre des sons ou vision qu’il est seul à entendre ou voir
Peurs/phobies: Aucune

Un détachement quasi-complet de la réalité est remarqué par thérapie. Généralement c’est un renferment qu’on voit dans ces cas-là, mais pas pour Waldo. Il semble avoir totalement abandonné qui il était, au point de ne plus être capable de se souvenir du nom de sa mère, du visage de ses sœurs ou de son propre reflet dans le miroir. Il refuse d'identifier les corps de sa famille comme étant ceux-ci. Les spécialistes sont d’accord pour dire que le jeune homme s’est créé une histoire fantasque pour masquer son crime et se rassurer sur son état mental. Néanmoins, le déni de la réalité et son comportement vis-à-vis son reflet sont dans les seuls éléments qui trahissent son instabilité.

Pouvant sourire et discuter avec les autres, il peut se repérer dans le temps et l’espace. Il aborde une personnalité intravertie et très commune pour les jeunes garçons de son âge ayant été pauvrement préparée à la vie en communauté extra-familiale. Néanmoins, il présente plusieurs valeurs civiles et une capacité à être facile à vivre.
L’attitude de soumission chez les gens souffrant de schizophrénie n’est pas toujours une bonne nouvelle, car c’est souvent accompagné d’une explosion de violence qui ne marque pas de graduation ou d’avertissement avant de se produire. Nonobstant Waldo n'en a pas montré de signes.

Lors d’attaque ou de confrontation verbale et physique, le squelette boiteux ne réagit pas et on note l’absence de réflexe de survie. Cependant, aucune marque de lacération n’a été remarquée sur le corps depuis qu’il a quitté l’hôpital qui l’a amputé.

Santé

État de santé générale: Famélique à son arrivé
Allergies ou addictions: Aucune à signaler
Soins réguliers (traitements): Suivi physiologique pour ses plaies et psychologique pour rétablir la stabilité mental.

Histoire


La vie est belle, on ne manquait jamais de quoi faire et même si le vent tombait on s’amusait. Les jours disparaissaient rapidement, les nuits encore plus, mais on riait et souriaient sans arrêt. En tant que garçon et frère ainé, j’ai grandis le plus vite. Tout mon corps était constamment exercé par les corvées et le travail. Le soir, en famille, s’était les devoirs par correspondances. Mère était une fervente lectrice qu’aucune eau hourleuse ne pouvait déranger.

C’est seulement quand les grandes compagnies de pêches sont arrivées que les choses se sont mises à être plus difficiles et que nous avons dû rationnaliser nos dépenses. Néanmoins, mère réussit à trouver une zone de pêche. Nous y avons été…

Il faisait vraiment beau sur la côte, bien que l’air frais et vif du matin fasse frissonner les touristes, les bateaux regardaient vers le grand large. Notre coque avait été nettoyée, nos filets resserrées et le nom sous la proue, Le Recklessness, semblait encore plus brillant sous le soleil ardent de cette journée brulante. Nous n’attendions que le signale de mère pour nous éloigner de la côte sèche et grise.

Mère disait être certaine qu’une zone oubliée de pêche nous permettrait de sortir de notre mauvaise passe financière. Nous n’avons jamais été pauvre, mes deux petites sœurs et moi on avait déjà l’université assurée, mais nous étions endettés.
Lorsqu’on a fait voile vers les grandes eaux, les cris des oiseaux chantaient haut et le tango des vagues contre la coque ravissait notre troupe. À quatre, nous faisons le travail de 8 hommes. Élevé à même les cordages, on ne craignait aucune tempête et aucun chavirement. Notre mère était plus grande que la plupart des hommes et sa beauté avait quelque chose de sombre à ce que disaient les hommes qui foulaient du pied notre pont. De mes sœurs, j’ai le sang de ma mère, mais nous n’avons pas les mêmes pères. On s’en fichait, comme des commentaires sur nos allures grotesques.

Lorsque j’entendis les moteurs, je me jetais sur l’avant du bateau, croisant ma cadette qui allait déjà à son poste. Pas un mot, seulement des regards et la conversation était faites. Certes, je rêvais parfois de rencontrer des filles –et des garçons- de mon âge, mais il m’aurait fallu être un autre pour pouvoir bien m’entendre avec eux…

Si durant l’avant-midi de navigation, mes sœurs et moi nous courrions et exécutions sur le pont, ma mère restait au gouvernail. Elle dirigeait la tête du vaisseau, fendant les vagues avec douceur et fermeté. Pendant ce temps, ma cadette s’occupait de garder toujours à l’oreille la salle des machines. Il y avait deux ans qu’elle avait été entrainée par ma mère et moi à ce poste qui était mien avant. Elle restait à l’intérieur du bateau le plus souvent du temps. On pouvait l’entendre par jour de calme tapoter sur les machines, avec ses mains solides et couvertes de cornes aussi épaisses que les nôtres, au rythme de la musique de son baladeur audiophile. Elle s’amusait souvent seule alors que ma benjamine et moi étions sur le pont. Bien que ma plus jeune sœur n’est que 4 ans de différences avec moi, mère refusait qu’elle travaille seule. À deux, pour que je puisse la surveiller, on s’occupait du pont, des écoutilles, du treuil, etc. Rien ne devait nous échapper de l’avant à l’arrière. Elle faisait hurler ma mère à jouer dans les cordages au point de risquer de s’égorger tant elle semblait y faire peu attention.

En deux jours, on n’avait toujours pas trouvé la zone dont ma mère avait parlée. Deux jours de carburant était couteux si on ne ramenait pas du poisson et ma mère semblait si convaincu qu’on fit encore deux journées de plus. La zone cherchée devait contenir en son centre une île trop petite pour un village, mais assez grande pour être repérable par radar.
Quand une tempête semblait se former au nord, mère choisit de faire demi-tour plutôt que de risquer de perdre plus d’argent. Comme souvent sur les eaux, les tempêtes éclatent en un instant et ce fut sans surprise le cas avant même qu’on ne put atteindre la vitesse suffisante pour combattre la force des vagues. Mère nous enjoint de retourner à la chambre que nous partagions pour les prochaines heures, je viendrais la relever de dans quelques heures pour qu’elle se repose. Je l’embrassais sur la joue et j’allais avec mes sœurs dormir. Pendant que ma cadette allait dormir avec la musique dans les oreilles, ma benjamine ne cessait de sauter sur son lit. J’étais si fatigué que je ne me souviens pas m’être couché.

Quand mon réveille sonna, je l’arrêtais et mis mes souliers. Sortant de la chambre plongée dans les ténèbres et sans bruit, je me dirigeais vers la partie avant pour permettre à ma mère de se reposer. Sauf qu’en arrivant là, elle n’y était plus et nous avions accosté. La tempête avait disparue et nous avions la coque dans le sable brillant d’une île trop petite pour abriter un village. Heureux, je sortis et me ruait vers l’avant du pont, convaincu de voir ma mère souriante et confiante. Elle n’y était cependant pas, il n’y avait qu’une douce odeur de bois humide et de rosée matinale. Quittant le bateau, j’avançais et découvrit une flore si grande qu’un seul arbre poussait sur l’île, mais il atteignait les nuages. Les insectes étaient de taille colossale et se battaient les uns contre les autres. Craintif, je n’osais pas approcher et me tournais vers le bateau. Toujours là, fier et puissant, il avait toutefois quelque chose d’invraisemblable. Des milliers de poissons sautaient contre la coque comme s’ils voulaient grimper à l’intérieur. Ils étaient de milliers de couleurs différents, de formes et de grosseurs, sautant et étincelant comme des arcs-en-ciel aquatique désirant rentrer dans notre cale.

Retournant à l’intérieur, j’entendis soudainement un craquement venir de l’île : Il s’agissait d’un mille-pattes de près de deux mètres de long sortir et accourir vers notre bateau. Remontant rapidement et avec l’inquiétude face à cette étrange créature, je l’observais à moitié caché par le rebord du pont. L’insecte ne semblait pas oser aller sur le rivage et tapait de ses innombrables pattes sur le sol sablonneux. Dans un sourire soulagé, je me retournais pour aller réveiller mes sœurs. Arrivée là, je ne les trouvais pas dans leur lit, je ne me souvenais pas non plus de les avoir vues lorsque j’avais quitté la chambre.

Retournant vers l’avant, je voyais toujours le grand monstre sur le sable, semblant creuser et mordre dans la terre, furieux de ne pouvoir s’approcher alors que les poissons multicolores continuaient de sauter de plus en plus haut.
Trop anxieux de devoir m’approcher de la bête, j’allais utiliser l’hautparleur et appelait ma famille en prévenant de la présence de ce monstre. Je dû m’endormir en le faisant, car je m’éveillais sur le sol de la cabine de pilotage, juste au côté du gouvernail. En me levant, je pris appuis sur le manche de bois : Ce dernier était chaud et doux, sentant la sueur humaine et l’odeur des vieux livres. Une fois debout, je vu avec stupéfaction que des poissons avaient réussi à sauter sur le pont. Il y en avait une dizaine et ne semblait pas mourir. Il respirait et sautait joyeusement les uns sur les autres, comme des gamins jouant à chat. Sans voix, je sortais m’assurer de ce miracle invraisemblable. En quittant la cabine, j’entendis la porte se barrer derrière moi alors qu’il n’y avait personne. Puis, un choc fait trembler le bateau. Me tenant à une corde pour éviter de tomber, les chocs recommençaient encore, encore et encore. Presque dix fois avant que je vu qu’elle en était la raison.

L’insecte aux puissantes mandibules chargeait avec force le navire et s’y agrippait par la suite. Il prenait son élan et venait toujours plus haut. Je le regardais impuissant gravir les mètres qui me séparaient de lui. Impensable monstre, je pouvais voir ses yeux aux centaines de facettes refléter un ciel sans astre : Affreusement vide et mort. Je ne réussis qu’à faire quelques pas en arrière sans quitter le regard funeste de la bête décidément plus intelligente que ses semblables miniature. Ce monstre utilisait une stratégie. Pendant mon hypnotique fuite, mon pied glisse sur un poisson et m’entraine dans une chute où je me connais la tête et restait au sol étourdit pour une poignée de seconde. En regardant autour de moi, je remarquais qu’il devait y avoir une quarantaine ou une cinquantaine de poisson à bord maintenant!

Me relevant et me dirigeant vers la cabine, je devais prendre garde où je mettais les pieds. À peine arrivais-je à la porte barrée que mon prédateur arrivait à se hisser sur à bord. Je dû briser la vitre pour déverrouiller la porte du bateau qui prenait le large, délogé par les charges frénétiques du centripète. À peine à l’intérieur, je barrais la porte de mes mains tremblantes. Me ruant sur l’émetteur de secours pour envoyer en boucle un message d’appel à l’aide et me cachant ensuite derrière le gouvernail : accroupis et saignant à cause de la vitre. J’espérais que le sang sur mon bras ne me trahisse pas, mais il le connaissait déjà.

Il enfonça la porte avec tant de violence que des éclats traversaient toute notre petite pièce. D’un coup de ses puissantes mâchoires, le monstre m’agrippa entre ses mâchoires, arrachant de son socle le gouvernail d’un même mouvement. Le bois du le blesser, car à peine m’écrasait-il qu’il dû me lâcher, la gueule percée par les éclats de bois.
Blessé et complètement effrayé, je réussi à fuir la bête meurtrie. Scellant la trappe menant au pont inférieur, je dû pleurer autant que deux femmes réunies, oubliant toute virilité, je me sentais petit et faible sur mon propre bateau. Pendant près de deux jours, je me cachais, alors que nous dérivions sans gouvernail et que nous nous enfoncions toujours plus vers les profondeurs à cause des poissons qui formaient maintenant une couche sur le pont. Permettant au monstre de survivre et de retrouver des forces… mais surtout, de m’oublier.

Quand nous fut assez loin, les poissons cessèrent de sauter sur notre bateau et à nouveau le nécrophage explosa de colère et frappait partout sur le bateau à la recherche de terre à creuser pour trouver son prochain repas. À force de l’entendre hurler sa rage, je partie me cacher dans la salle des machines. Il y avait là un doux son, un rythme dans les valves qui continuaient de fonctionner tant que l’essence n’allait pas manquer. Tap, tap, tap, tap-tap, pffff pffff… il faisait chaud et bien que l’eau me coulait sur les joues à cause de la chaleur, je tentais de me convaincre qu’il n’y avait pas de quoi avoir peur.

Combien de temps je suis resté là? Est-ce que je m’y suis endormi ? Je ne saurais le dire, mais c’est un grincement ressemblant à un cri de folie qui me fit sursauter : La trappe vers la partie basse du vaisseau venait de se faire forcer avec tellement de violence que même le métal n’avait pu tenir. La faim m’avait condamné à l’immobilisme, mais la peur m’a permis de me lever à temps pour voir dans l’entrebâillement de la porte l’arrivée du rampant. La fureur de sa course couvrait le son des moteurs. Quand le cadre de la porte brisa en éclat sous la charge du mastodonte, je me mis à courir, mais la salle n’avait qu’une sortie. Évitant à tout prix la tête de mon prédateur nocturne, ce dernier se frappait contre toutes les machines et faisait voler en des centaines de morceaux les machines. Ces pauvres pompes et cylindres furent complètement démembrés par la puissance de ces milliers de pattes et de cette tête aux yeux vides. Incapable de faire la différence entre moi ou la bruyante mécanique, c’est à plat ventre que je m’éloignais de cette zone de destruction, de violence et d’acharnement. Ma jambe avait reçu un morceau de fer à travers mon mollet et je n’arrivais plus à me lever. C’est uniquement par la force de mes bras que je pu monter l’échèle me menant à l’extérieur. Passer l’immense balafre faite à la trappe me fut compliqué, car rien n’était solide et près d’une 200kilo d’acier me menaçait de me tomber dessus au moindre mouvement brusque.

Finalement, j’atteignis l’extérieur où l’odeur putride des poissons à trois-quarts mangé avait fermenté au soleil. Mon cœur était soulevé, mais mon estomac vide depuis sans doute des jours me fit oublier mes pensées et je mangeais dans les restants de mon prédateur. Je ne vu jamais la lune se lever et pourtant je restais à l’extérieur des jours durant, à me promener du treuil, à l’écoutille et à dormir dans les cordages égorgées et arrachés durant l’une des colères de la bête.  
Lorsque j’ouvris les yeux, des agents de la côte étaient là. Je tenais de les prévenir, de la présence de la bête, mais le manque de force retenait tous mes mots.

Le garçon du nom de Waldo a été retrouvé sur un bateau volé et à la dérive. Il est l’unique survivant d’une boucherie qui semble être attribuable à lui seul. Des parties du corps de sa mère ont été retrouvée attachées à des filets et descendu à l’eau. La sœur cadette a été démembrée dans la salle des machines et son crâne a été brûlée. Finalement, le corps de la plus jeune de la famille a été rassemblé presque entièrement suite à une fouille du pont. La poitrine se trouvant dans les bras de son frère, qui a coopéré avec les agents. Vu l’état des corps, toutes les femmes ont été torturées et violées avant leur mise à mort. Le plus étrange est que le corps du criminel a subit les mêmes sévices.

Suite à l’histoire racontée par Waldo, les spécialistes conclu à de la schizophrénie post-traumatique. Il n’est cependant pas possible de connaitre la raison qui l’a déclenché. Bien que Waldo ne parle que d'une semaine de voyage, la disparition de leur navire remonte à plus de 4 mois et l'état de décomposition suggère quelques semaines.  
Étant retrouvé avec  le mollet gauche gangréné du pied jusqu’en dessous du genou, il sera amputé pour prévenir l’évolution de la bactérie.
Jusqu’à stabilisation du criminel, pour transfert dans un centre de réhabilitation mental, il sera placé dans un lieu où la surveillance est adéquate à son état. Il est recommandé à la California Stat Prison.


Côté joueur

Pseudo : Waldo
Âge : 439 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? Une dérive
As-tu des remarques à  faire ? Oui
As-tu un double compte: Caleb
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Invité
Invité
Dim 8 Fév 2015 - 14:03
omg Bordel arrêtez de faire des DC aussi bandant ♥️....

Donc Re-bienvenue, on s'occupe de ta fiche ! ~
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Anonymous





Invité
Invité
Dim 8 Fév 2015 - 16:04
Tu es validé !


Et bien et bien et bien... Magnifique. Comme je l'ai déjà dis, le début de l'histoire me fait penser à l'Odyssée de Pi, c'est beau, frais, on ressent cette peur de la créature étrange qui détruit tout.... Puis la chute est dure. La réalité frappe d'un coup. Tu es grandiose dans cette peau, tes personnages aurons mis fin à mon coeur !

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des colocataires là, si tu es un aliéné.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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Waldo Sina [Terminé pour validaiton]
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