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CANIS - it smell like rotten flesh [U.C]

Anonymous





Invité
Invité
Ven 24 Mar 2017 - 20:19


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CANIS STANDFIELD

GARDIEN



Âge: 36 ans
Nationalité: Americano-germanique
État-civil: Incertain
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)

Poste dans la prison: Gardien
Depuis combien de temps ? 4 ans

Caractéristiques physiques

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Taille: 1m69 (oui, il est petit.)
Poids: 82 kg
Corpulence: trapus, Musclé
Cheveux: Brun, mi-long, ondulé
Yeux: Maron clair, proche du Miel ou du doré
Modifications corporelles: Il a une cicatrice à gauche de la machoire, proche du menton, faite à l'arme blanche, pas mal d'autres cicatrices de combats et de balles, ainsi que de graves marques de brûlures dans le dos et diverse marques de frottement au niveau de certaines articulations. Ses mains ont été rendues caleuses par le travail manuel. Il porte un tatouage au bras gauche, deux bandes noires horizontales superposées, avec une pyramide en dessous en épaisses bandes noire aussi.

Le sang à taché le cuir de ses veilles Rangers. Il sait qu'il devrait les changer, mais ses veilles affaires le rendent plus confiant. Ces godasses assouplies par le temps n'ont pas encore rendu l'âme alors il ne compte pas s'en débarrasser de si tôt. Elles ont connu tellement d'histoires avec lui, tout comme ses gants noirs qu'il porte lorsqu'il désire renforcer sa poigne (ou ne pas laisser d'empruntes). Ce ne sont que des détails, des accessoires que pouvaient porter quelques rockers en mal de sensation. Mais Canis, il a toujours su à quoi servaient la plupart des choses qu'il possédait. Une ceinture de qualité, qui ne craquerait pas au moindre choc, des godasses coquées pour être sûr de faire mal, s'il désirait en donner un coup. Bien évidemment, il ne parlera du couteau dans la poche intérieure de sa veste, pas plus qu'il ne l'ouvrira sur les quelques taches qui se trouvent parfois sur ses cols de chemise ou ses manchons. Whisky, bière, sueur, sang, vomit, parfois, on ne veut pas toujours savoir. D'ailleurs, il n'y a pas besoin d'être devin pour comprendre que Canis est bien plus manuel qu'intellectuel et qu'il ne serait pas contre l'idée de casser quelques dents en sortant d'un bar. Mais, malgré ces petits détails, ce gars a presque l'air sympa.

Canis a le dialogue et le sourire facile. Peu de chose semblent le tendre ou vraiment le déranger, et contre une bonne bière au Pub du coin, il n'hésitera pas à écouter vos histoires, ou à raconter les siennes. Son regard est étrangement vif, énergique. Ce n'est clairement pas le genre de gars qui se laisserait crever d'ennui sur place. Il a besoin de bouger, de faire continuellement quelque chose. Ses gestes s'en ressentent lorsqu'il ne cesse de faire tourner le liquide à l’intérieur de son verre ou qu'il fait tourner diverse objets entre ses doigts habiles et abîmés. Il n'a aucun mal à avoir l'air passionné. Par moment, il ressemblerait presque à un ado en mal de sensations, bien que sa barbe de quelques jours ne mente aucunement sur son âge, tout comme les cernes sous ses yeux, ou sa peau tirée. Mais la vie est ainsi. Nos corps ne restent pas éternels, et Canis le sait.

Certaines expressions d'ailleurs, semblent parfois dysfonctionner chez lui. La gêne est plus proche d'un agacement, les rougeurs sont teintées d'un malaise lubrique, la surprise ou la peur, sont imprégnés d'intérêt. Parfois, ces décalages peuvent créer un profond malaise chez ses interlocuteurs, surtout pour ceux qui n'ont pas l'habitude de le côtoyer. D'ailleurs, Canis n'a pas les manières les plus douces qui soit. Sa sympathie n'a rien à voir là-dedans, mais certaines réactions qu'il peut avoir tiennent souvent de l'instinct. Les coups sont fermes, précis. Canis n'est pas de ceux qui brassent le vent en espérant toucher quelque chose. Lorsqu'il cogne, c'est soudain, violent, et c'est pour briser quelque chose la plupart du temps. Sachez cependant que ces réactions ne sont que rarement gratuite, bien qu'il préférera ne pas avoir à justifier les raisons de ces gestes la plupart du temps. Canis est de ce genre de gars, qui vont d'un point A au point B sans se perdre dans toutes les étapes intermédiaires, surtout s'il estime qu'un danger quelconque envers lui est présent.

Si vous ne venez pas piétinez ses plates-bandes, il n'y a cependant aucune raison que vous voyez autre chose en Canis que ce mec un peu bourrin mais sympa quand même, à la voix moins rauque qu'on ne l'aurait cru, et légèrement négligeant. Après tout, il ne montre que ce qu'il désire.  

Dossier psychologique

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Défauts et qualités: Canis est quelqu'un d'assez égoïste. Son bien-être passera majoritairement au premier plan vis à vis d'autrui. Il fait preuve de peu de Compassion face à la souffrance. D'ailleurs, il s'agit de quelqu'un de très possessif, ce qui peut facilement conduire à des comportements violents lorsqu'il perd le contrôle. De plus, Canis est capable de Sadisme et d'un important désir de domination, en particulier dans ses relations privées ainsi que lorsqu'il est rancunier envers quelqu'un. Sinon, il sait faire preuve d'une grande détermination et efficacité lorsqu'il porte de l'intérêt à l'activité qui lui est demandé. La plupart du temps, il peut même être tout à fait amical et avenant. Cependant, certaines situations violentes ou comportements trop affectueux le rendent facilement excité, et son excitation est un mauvais présage.
Tocs et manies: Il a une tendance à remonter ses doigts sur le poignet des gens lorsqu'il leur serre la main, ce qui peut mettre légèrement mal à l'aise. Il se lèche le coin droit des lèvres lorsque quelque chose lui fait envie. Aussi, il ne supporte pas de rester sans rien faire, et insupporte de rester assit bien sagement. Alors, il est du genre à tripoter les affaires des autres, les cadres photos, les stylos, à faire craquer ses doigts ou là essuyer soigneusement ses chaussures sur le tapis. D'ailleurs, il est de ceux qui tiennent les tasses par le haut plutôt que par la hanse et qui ont tendance à les poser un peu n'importe où. Aussi, lorsqu'il est en relations avec quelqu'un, il veillera à le marquer physiquement, et à emprunter quelques objets à lui sans lui dire.
Peurs/phobies: Canis a un rejet de la présence de son père. On pourrait presque parler d'une phobie de son autorité. D'ailleurs, il n'en parle quasiment jamais, et lorsqu'il le fait, il en parle comme de quelqu'un de décédé (alors qu'il est toujours en vie.) Il n'aime pas beaucoup les flics aussi, probablement parce qu'ils ne comprendraient pas la façon qu'il a d'exprimer son attrait pour les autres. D'ailleurs, il ne ramène quasiment personne chez lui, de peur qu'ils découvrent Raspberry. Sinon, il est phobique de l'eau depuis qu'il a manqué de se noyer.

Lorsque mes yeux se sont posés sur lui pour la première fois, j'ai réalisé que c'était peut-être la première fois que je désirais sincèrement quelque chose, quelqu'un. Raspberry avait toujours eut les mains froides, du plus loin que je le connaissais, aussi froides que celles d'une femme... Le cou fin, la peau presque translucide. On pouvait voir ses veines bleuâtres à travers elle, tout comme on pouvait suivre la douce pulsion qui les agitait. C'était un gars bon, tendre, dont le sourire n'avait pas manqué de m'attirer à lui.
Il avait suffi de quelques mots, d'une attention à mon égard pour que je sente le désir bouillonner dans mes veines.
Raspberry.
Je sais que ce n'était pas son vrai nom, mais ça n'a plus vraiment d'importance. Parfois, je me demande si je regrette, si je n'aurais pas pu m'y prendre autrement. Que peut-être, si tout était à refaire, je m'y prendrais autrement. Puis, mon regard se pose sur l'être à mes côtés. Mes doigts viennent se perdre dans ses boucles noires, sur son cou si fin bradé de ce collier électrique que j'ai choisi spécialement pour lui. Ils descendent sur son dos, ses hanches encore marquées par les coups de mon excitation. Et....
Je ne le regrette aucunement.
Raspberry est là. Je le sens, à chacun de ses cris, chacune de ses larmes, de ses supplications. Raspberry est là. Chaque jour, il attend, souriant à ma présence, m'apportant son désir, son obéissance, son amour qu'il me crie du fond de ses tripes. J'ai arrêté de compter les jours depuis notre rencontre, depuis qu'il a voulu partir, m'abandonner.
Mais ce n'est plus le cas.
Raspberry ne m'abandonnera plus à présent.
Je ne le laisserais jamais partir.

L'amour de Canis a l'effet d'une bombe. Un besoin insatiable est glissé au fond de son ventre. Une idée, aussi basique que dangereuse. Raspberry le sait mieux que personne. Pour Canis, on apprend réellement à connaître une personne lorsqu'on la voit souffrir, frôler la mort. Les expériences traumatisantes révèlent qui sont ceux qui se trouvent face à lui. C'est un besoin. Un besoin mortel de sincérité, de sentiments forts, tangibles, bien plus puissant que tout ce qu'il peut côtoyer. Les cœurs brisés, la rage, la douleur, les cris sont d'une beauté sans égales à ses yeux. Il a besoin de le sentir, de voir aux fonds des yeux des corps sans noms qui défilent devant lui ces sentiments violents lorsqu'ils réalisent que tout pourrait prendre fin en un instant.
Canis a besoin de le voir, pour chercher à les comprendre, essayer de les aimer... Et espérer être aimé en retour.
Raspberry lui, l'a compris. Raspberry lui, est toujours là, à ses côtés, mais... Dans le fond, personne n'est jamais partit.
Son sous sol à cette odeur de chair, de sang séché et de péchés inavouables. Son sous sol porte la marque de ses excès, de ses dérapages, de ses attirances.
L'expérience doit... sans cesse être renouvelée, encore et encore. Canis ne connaît pas la limite. Canis ne sait pas comment il pourrait bien être raisonnable alors que ses envies se mettent à tordre son bas-ventre. Les images dansent encore dans son esprit des corps calcinés, des plaisirs violents qui n'ont de cesse de le tourmenter. Il en a besoin... Il en a tellement besoin...

J'admets être quelque peu....Possessif. Lorsque qu'une chose m'appartient, je ne supporte pas que l'on vienne me l'envier. Ce détail lié à mes aspects légèrement rancuniers font que je peine à lier des relations « bienfaisantes » avec la majeure partie de la populace qui vient à ma rencontre. Oh bien sûr, cela ne m'empêche pas de bien présenter, ou de garder un air amical la plupart du temps pour ne pas les alarmer (et parce que je trouverais impensable d'être exécrable à vivre sans raison, aussi) Alors, j'entretiens quelques connaissances, pour garder contact avec le monde, que se soit au travail, ou dans les quelques pubs que j'ai l'habitude de fréquenter. Les boites où la musique vient nous vriller les tympans sont certes, de bien meilleurs terrains de chasse, mais les traînées noyées dans l'alcool et incapables d'aligner deux phrases ne m'attirent pas plus que ça.
Oh.. Je m'égare.

Les métiers bien sages n'ont jamais été ma tasse de thé. Que se soit durant mon adolescence ou aujourd'hui, je n'ai jamais vraiment su rester à ma place dans ce genre de lieux. Gardien de prison était une bonne opportunité, surtout lorsqu'on se trouve dans un cas comme le mien, avec ce besoin de rapport de force. Ce substitut n'est pas aussi libérateur que mes autres activités, et j'admets qu'il m'est arrivé quelques fois de déraper gratuitement, d'aller trop loin. Mais je suis encore à ma place aujourd'hui, peut-être parce que je ne suis pas le seul à dépasser les bornes. Il suffit de voir le contenu de la salle de torture Un léger rire ironique s'échappa de ses lèvres  Il me semble que nous sommes choisi ainsi après tout. Je dois avouer que cette idée me plaît énormément.

Santé


Etat de santé générale: Relativement bon
Allergies ou addictions: Allergique aux piqures d'abeilles. Fumeur, appréciateur de la violence, de l’adrénaline
Soins réguliers (traitements): Il prend souvent des anxiolytiques pour arriver à dormir.

Histoire

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Les mains d'un enfant de 16 ans ne sont pas faites pour tenir un fusil.
Pas plus qu'elles ne le sont pour presser la détente.
Pourtant, c'est à cet âge que l'on vient te dire que tu as raté ta vie, que ta mère n'est qu'une trainé, que tu peux bien crever la gueule ouverte dans un caniveau. C'est à cet âge que l'on piétine tes rêves, que l'on te crache à la gueule, que l'on comprend que non, tu ne seras pas un de ces élèves moutons bien rangé dans le système, qui finira dans un mignon petit bureau à te faire ouvertement pissé dessus par ton patron qui aura juste eut du bol d'obtenir une chaise au dessus.
Et tu diras « oui monsieur. », « merci monsieur » alors que ton salaire suffira à peine à nourrir tes propres gamins qui finiront à la même putain de place.
Mais tu es chanceux, gamin.
Le monde à décidé que tu n'avais pas ta place dans cette vie bien rangée.
Non.
Le monde à décidé que tu serais un de ses héros.

Lorsque toute les portes se ferment, l'armée est la seule à t'ouvrir les bras. Elle te promets monts et merveilles de son essence teintée de miel. L'aventure, l'exploration, la capacité d'obtenir un diplôme malgré tes échecs, et surtout, de devenir un héro aux yeux de cette patrie qui est la tienne. Celle qui ne t'a laissé d'autre choix que de servir de chair à canon.

Les véritables héros, ceux ne sont pas les plus courageux, ou les plus braves, non. Se sont ceux qui survivent. Lorsque l'on met un fusil entre les mains d'un enfant, on sait que l'on vient de le condamné à l'enfer, tout comme nous. Que ses yeux se teinteront de larmes, ses nuits de cauchemars, ses mains de sang, ses tympans de hurlement et ses espoirs de peur. On sait qu'on le condamne à porter sur ses épaules le lourd secret de la réalité.
Félicitation petit, pour ton engagement.

Les mains de Canis s'étaient resserrée sur sa candidature acceptée. Beaucoup lui avaient dit que vu son caractère, c'était la meilleure des choses à faire. Après tout, il était plutôt mauvais en tout, à l'exception des domaines sportifs. C'était un garçon nerveux, qui avaient quelques tendances à la violence. Beaucoup avaient supposé qu'il subissait quelques sévices de sa famille, mais personne n'avait pu rien prouvait tant le gosse s'obstinait à défendre celle ci. Un autre détail les avaient alarmé. Canis était un garçon qui semblait souvent attiré les ennuis. Plus d'une fois, on l'avait retrouvé couvert de bleu, non loin de l'établissement. Mais à présent, il savait rendre les coups. Ils lui avaient vendu ce projet comme une chance unique d'utiliser ses forces pour faire quelque chose de bien. Canis avait vu ça comme une chance de pouvoir fuir ce monde qu'il haïssait. Il y avait cru, à cette histoire de héro, de voyage, d'aventure. Il y avait cru à l'idée d'être un des chevalier blanc, garant de la liberté contre ces étrangers qui venaient la menacée.
Il était partit plein d'espoir, plein d'ambition vers cette route qui ne ferait que le révéler à lui même...
Dans ses plus sombres aspects.

« Standfield ? Non mais attends... tu es le fils de Rafael ? » demanda l'un de mes supérieurs alors que je venais de passer sous son commandement. J'avais gardé la tête haute et prononcé un fier
« Oui Chef » comme on m'avait si bien appris. Ce n'était pas la première fois qu'on me parlait de mon père depuis mon entrée dans l'armée. Mon père, cet homme, qui avait le respect de beaucoup d'entre eux, qui avait même été décoré, vu comme un sauveur, pour moi ce n'était que le batard qui avait mis ma mère en cloque, qui s'était marié avec elle par obligation, la maltraitant selon les vas et viens de l'alcool avant de fuir comme un lâche.
« Un soldat admirable » qu'ils disaient. Je leur aurais bien foutu au cul, mais mon statut ne me le permettait pas. Puis, une nouvelle fois, on me répétait que ce n'était pas parce que j'étais fils de militaire que j'aurais droit à un traitement de faveur, et je n'en désirais pas.
Tout ce que j'avais, c'était moi qui l'avait gagné. Au départ, je m'étais laissé emporté, faisant preuve d'insubordination, laissant mes nerfs débordés et m'en prenant à quelques uns de mes camarades...
Puis, j'ai fini par comprendre.
L'importance du sourire, de la bonne figure, de l'aspect amical.
Puis j'ai fini par comprendre.
Il fallait que je mérite ma place sur le champ de bataille si je voulais atteindre ce que l'on m'avait promis.

Le fils du héro de guerre Rafael Standfield savait déjà ce qui l'attendait. Là où les autres gamins ignoraient encore qu'ils allaient pouvoir goûter à une parcelle de ce qu'il y avait de pire sur terre, Canis se découvrait un tout autre intérêt. Il avait entendu mainte fois son père hurler sur les atrocités qu'il y avait là bas, sur l'horreur de regarder des gens de son age qui ne savaient plus trop où se trouvait leur bras, leur jambe, qui tentaient en vain de tirer le corps des morts tombés au combats au lieu d'avancé. Ce qui faisait le plus jubiler Canis, c'était l'idée de les voir, désillusionnés, eux qui plus d'une fois s'en étaient pris à lui, persuadé que ses bons résultats étaient dus à celui qui l'avait engendré, celui qui l'avait créé de toute pièce. Il avait hâte de les voir tomber.
Pourtant, il continuait de jouer le jeu, de jouer les gars un peu concon, un peu bonne poire, trop gentil peut-être, se disant qu'il était le mieux préparé à l'enfer qui les attendaient.
Mais personne ne peut être préparé à ça.

Côté joueur

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Pseudo : Canis
Âge : 20 balais
Comment as-tu trouvé le forum ? Partenariat.
As-tu des remarques à  faire ? Je veux faire des bébés à Vince car il m'a BEAUCOUP aidé.
As-tu un double compte: Non.
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Aaron Harrington
Messages : 182
Date d'inscription : 12/02/2016

Dossiers privés
Âge du personnage: 39 ans
Taille: 1.85 mètres
A savoir:





Aaron Harrington
Maître chien
Ven 24 Mar 2017 - 20:27
BIENVENUE :DDD

Si t'as des questions hésite pas hein ! ♥
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Anonymous





Invité
Invité
Lun 22 Mai 2017 - 16:54
Bonjour Canis !!!

Je venais voir un peu où tu en étais ?
Ta fiche était presque fini je crois ?
Tiens nous au courant ^^
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CANIS - it smell like rotten flesh [U.C]
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