Syhan Lindgren
Avatar : Shye by SirWendigo dA
Identité
Nom:Lindgren
Prénom: Syhan
Surnom: Chef Lindgren - Cya.
Âge: 37 ans
Nationalité: Suédoise
État-civil: Divorcé - Célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: Syhan Lindgren a l’air bien trop gentil pour son propre bien, j’ai entendu des détenus se plaindre de vomissements ou de diarrhées suite à ses plats… Et s’il essayait d’empoisonner tous les détenus ?!
Dans la prison
Poste dans la prison: Chef cuisinier (celui au dessus des autres cuistos, oui. C'est moi.)
Depuis combien de temps ? 5 Semaines
Motivations pour travailler ici ? Faire goûter de bonne choses aux braves gars qui sont ici ! Tout le monde à droit au bonheur gustatif.
Caractéristiques physiques
Taille: 1m 92
Poids: 90 kilos
Corpulence: Assez muscler... Mais pas mister univers
Cheveux: Brun à l'origine, complètement déteint; ils sont donc blanc, mais pas naturellement.
Yeux: Bleues.
Famille ethnique: Caucasien
Modifications corporelle: Goddamn no !
Ce que l'on remarque chez toi, c'est ta carrure. Suffisamment fort pour protéger quelqu'un, mais pas assez pour te dire que tu gagnera toutes les batailles. Tu as forgé ton corps pour l'usage que tu en as. Tu étais maigre, et tu t'es développé au fil des ans. Se que certains remarquerons Syhan, se sont tes cheveux blancs. Ils ne sont pas naturels, tu les entretient de cette façon. Assez stupidement d'ailleurs. Ta peur prématurée de la vieillesse t'as poussé à vouloir prendre l'habitude de cette couleur. Ce n'est pas vraiment pas coquetterie, ce n'est pas non plus pour correspondre à un style, c'est pour te préparer. Tu est pourtant beau Syhan, même si cette beauté te laisse de marbre, même si tu n'as que faire d'elle. Tu ne t'aime pas. Mais tu ne te déteste pas. Tu n'est pas complexé par ton physique, mais tu as la chance que celui-ci soit avantageux. Tu le sais, mais tu n'en joue pas. Ce n'est pas ton but de séduire par tes formes. Ce n'est plus ton but de séduire qui que ce soit.
Tu as une grosse cicatrice au milieu de la figure, elle ne t'enlaidie pas, et tu n'est pas gêner par sa présence. Tu regrettes juste de la devoir à ta bien aimée épouse. Ton sourire Syhan, est étincelant, tes yeux bleus regorgent d'étoiles... Tu est parfois une lumière, une espèce de bonne humeur, un grain d'espoir dans la vie de certain. Tu souris beaucoup, car tu souhaite voir le monde sourire.
Parfois, tu impressionnes les autres Syhan, et tu ne comprends pas. Ta voix profonde les arrête, tes yeux, bien que brillant semblent glaciales, et les muscles de tes bras stoppent même certains téméraires.
Tu laisses tranquillement pousser tes cheveux, ils t'arrivent entre les omoplates. Lorsqu'ils t'ennuient et quand tu travailles, tu les attaches. Tu n'aimes pas qu'ils te gênent, mais tu n'as pas envie de les coupés pour autant. Ta peau est pâle. Nordique de ton état, tu as gardé les gênes de ta famille. Un nez assez droit, une bouche ferme mais pas trop fine. Une mâchoire anguleuse...
Rien n'est gênant chez toi, mais tu ne dégages pas vraiment la douceur qui fait partie intégrante de toi. Tu n'es pas "mignon", tu n'as pas la tête du type sympa facilement manipulable.
Bien que laiteuse, tu n'as pas la peau très douce, elle sèche facilement, et est habituée au travail. Tu la mets à rude épreuve, car sans pour autant être maladroit, il t'arrive de te couper, parfois de te brûler. C'est comme ça que tu apprends.
Dossier psychologique
Défauts et qualités: Tu es un chic type. Plutôt galant, généreux... Tu es assez doux aussi, pas violent de nature. Non vraiment, tu as tout pour plaire. Mais tu es un peu pénible, tu as tendance à être parano, et tu en devient chiant. Tu n'es pas un mauvais bougre, mais parfois, ça te fait agir stupidement. T'es une tête de mule qui fonce tête baissée dans tout est n'importe quoi. Tu es quelqu'un de franc, d'entier et de droit. Et tu n'aimes pas l'injustice. Mais vraiment pas...
Objectifs et ambitions: Tu n'aimes tellement pas ça, que tu trouvais complètement injuste que des types soient privés d'une nourriture de qualité... Que t'as eut envie de bosser dans les prisons. Tu as fait du bon boulot jusqu'ici. Ton truc, c'est ça, ravir le palet des uns et des autres. Ça te motive, parce que tu aimes voir leur sourire quand ils mangent.
Tocs et manies: Passer derrière les gars pour goûter leurs plats... T'aimes bien revenir avec tes ajouts. Mais t'évites pour ne pas les vexer. Tu n'as pas réellement de toc physique... Enfin si, tu te grattes souvent sur ta cicatrice sur ton visage, parce que tes nerfs ont eut du mal à se rejointer, et que ça te fait comme des fourmillements parfois.
Peurs/phobies: Oh, tu te gères bien Syhan. Tu n'as pas peur de grand chose hein ? Mmh... Mais je sais tout. Tu ne le montres pas, mais tu as peur de t'engager, tu as peur de te faire dévaster à nouveau par quelque chose qui te dépasse, quelque chose de plus fort, de plus puissant que toi. Tu refuses de retomber amoureux. Mais si ce n'était que ça... Parce que tu as peur de la solitude, tu as peur de la vieillesse, surtout si elle est solitaire. Tu as peur de finir ta vie seul, parce que tu n'es pas fait pour vivre sans compagnie. Tu as peur de la froideur de certains foyers, au point où... Tu as peur de rentrer chez toi, parce que tu sais qu'il n'y a rien.
Tu as clairement la main sur le cœur. Tu es quelqu'un de bien, à qui il est arrivé de mauvaises choses. Mais tu t'en fiches, parce que tu ne vis pas vraiment dans le passé. Ta vie t'a laissé des marques oui, mais tu as su comment passer outre, car ton esprit est fort. Malgré tous tes ennuis, toutes tes déprimes, tu as su avancer, mettre un pied devant l'autre. Certains t'admirent pour ça, et d'autres t'envient. Tu fais des jaloux auprès de ceux qui connaissent ton histoire. Rares sont les équilibrés qui en ont une comme la tienne. Plusieurs fois, tu t'es dit que c'était plus facile de tout laissé tomber, mais jamais tu ne l'as fait plus de cinq minutes. Il te parait inconcevable de baisser les bras.
Tu évites maintenant de laisser les autres entrées dans ton monde, tu n'as pas envie qu'ils aient des aprioris sur toi, ou des jugements. Ça ne t'a pas empêché de nouer quelques liens, mais tu as du mal à t'empêcher de quitter les personnes que tu apprécies, pour recommencer ailleurs. La peur de s'attacher, la peur de trop aimer. Sans être mystérieux, tu n'en dis pas trop sur toi. Tu n'en vois plus l'intérêt.
Syhan... Tu savais être doux. Bien sûr, tu l'es toujours, mais il y a un soupçon d'amertume dans ta nouvelle façon de l'être. Tu n'as jamais l'air triste, pourtant, tu aurais des raisons de l'être. Tu es arrivé ici avec le même espoir que dans les autres prisons. L'envie de relever le niveau en cuisine, le désir de voir des gars parfois déprimé aller mieux parce que tes capacités de chef sont excellente. Sans dire que tu les aimes, tu as conscience de nourrir certains des pires gars que la terre ait portés. Des tueurs en séries, des violeurs, des trafiquants... Mais tu ne les regardes pas comme ça. Tu leur pardonnes. Trop facilement oui, mais tu penses que ce sont des personnes comme toi, mais qu'ils n'ont pas eut la force de ne pas sombrer. Tu n'en as pas pour autant pitié. Syhan, tu te sens proche de ces personnes-là, et c'est ce qui fait que tu en es là.
Santé
Etat de santé générale: R.A.S.
Allergies ou addictions: R.A.S.
Soins réguliers (traitements): R.A.S.
Histoire
Ton enfance n'a pas été très heureuse. Tu ne voyais pas beaucoup tes parents, car ils étaient trop occupés à travailler. Quand ils étaient avec toi, tu te faisais souvent engueuler pour des absurdités. Tu te dis qu'ils devaient être trop fatigués et qu'un rien les énervaient. Tu te souviens vaguement de ton père. Mais il a quitté ta mère vers tes six ans. Tu es enfant unique. En fait, vers tes huit ans, ta mère t'a dit qu'elle n'avait jamais voulu d'enfant, de même que ton père. Tu étais un accident, et si elle ne t'avait pas fait passer, c'était par lâcheté. Elle ne s'occupait de toi que pour le minimum, de toute façon, elle n'avait pas vraiment le temps pour plus. Tu voyais ton père une ou deux fois par ans, et tu constatais que son état physique et mental empirait entre chaque entrevue. Tu t'en doutais, mais tu ne voulais pas l'admettre, en fait, ton père, c'était mit à boire. Et puis ta mère t'a dit qu'il avait toujours était alcoolique. Que quand tu dormais, il passait son temps à boire. Et toi, enfant de ton état, tu n'avais rien vu. Normal pour un enfant de vouloir créer des liens forts avec ses parents, mais tu n'y es jamais parvenu, car en face, ce désir n'avait jamais existé. Tu as grandi comme ça. À l'école, tu faisais en sorte que personne ne remarque rien, parce que tu ne voulais pas que tes parents aient des problèmes à cause de toi. Tu pensais que tout cela était de ta faute, que tu avais fait quelque chose de mal, et que c'était tout à fait normal que ta famille soit devenu comme ça.
Tu as évolué dans un milieu particulièrement hostile à l'équilibre mental, mais tu n'étais pas pour autant un élément perturbateur. Vers tes dix ans, tu as commencé à tout faire pour que ta mère soit heureuse quand elle rentrait du travail. Tu rangeais, faisais un peu le ménage, et puis tu lui faisais à manger. Tu ouvrais des livres de cuisine, puis tu faisais avec ce qu'il y avait dans le frigo. Au début, elle n'aimait pas, mais tu as persévéré.
Quel âge avais-tu Syhan...? Tu étais trop jeune pour connaitre ça. Certains pensent que la Suède est un pays où il fait bon vivre. Ils n'ont pas tout à fait tord, mais il y a aussi des déséquilibrées. Tu grandissais assez mal à l'époque. Tu avais onze ans. Tu étais un peu maigre, pas très grand. Tu rentrais à peine dans ta puberté. Pas de poils, une tête de gamin. Tu le connaissais bien, tu le voyais depuis tout petit. Ça arrivait qu'il te garde quand ta mère ne rentrait pas le soir. Ton oncle avait l'air d'être quelqu'un de bien, mais son célibat devait lui peser sur le dos depuis trop longtemps. Il s'est sûrement dit qu'avec toi, ce serait facile.
Tu te souviens de tout, tu es incapable de te défaire de tous les détails. L'odeur du thé sur la table basse, la lumière de la rue dans le salon. La douleur dans tes entrailles. Ton incapacité à bouger, figer par la peur et la douleur. Il s'est sûrement dit qu'avec toi, ce serait facile. Tu as tout de suite eux conscience de l'anormalité de la situation, tu as tout de suite su que ça n'aurait pas dû t'arriver, qu'il n'avait pas à te faire ça. Quand ta mère est rentrée, tu dormais déjà. Expérience traumatisante, tu étais prostré sur toi, et tu avais honte qu'elle te voit.
Ça s'est reproduit régulièrement jusqu'à ce que ta mère décide que tu étais suffisamment grand pour te garder seul. Jamais tu n'en as parlé, jamais personne ne s'est douter de quoi que ce soit. C'est à peu prêt à la période où ça a commencé, que tu as vu pour la première fois les sourires sincères de ta mère lorsqu'elle mangeait ce que tu lui avais préparé. Tu as adoré te dire que c'était parce qu'elle aimait ce qui venait sur son palet. Tu pouvais bien supporter tout le reste pour un sourire de ta mère. Alors tu as continué.
Plus tard, tu as décidé de ne pas considérer ce qu'il s'était passé, c'était mauvais, et n'avait alors pas d'importance. Évidemment, tu détestais ces soirées avec ton oncle, tu les redoutais.
Puis tu as grandi comme ça, en vivotant. Ça n'avait rien d'évident, mais tu parvenais à agir comme tout le monde. Tu as grandi d'un coup, tu es devenue un homme. Tu étais beau, ta mère avait un soupçon de fierté en te voyant grandir. Tu n'avais plus de contact avec ton père qui avait fini par totalement s'enfermer dans l'alcool.
Dans tes études de cuisines, tu as rencontré Katia. Tu la trouvais jolie. Elle était blonde, avec des cheveux courts, assez maigres. Elle était gentille, elle aimait rire. Tu avais dix-sept ans, et c'est avec elle que tu as voulu reprendre en main ta sexualité. Vous êtes sorti ensemble, et les choses se sont faites naturellement. Puis au bout de quelques mois, elle est devenue possessive. Elle voulait tout contrôler de ta vie, le moindre geste, la moindre conversation. Elle t'enfermait, et tu la laissais faire, te disant que ça lui passerait. À un moment, voyant que ça empirait, tu as voulu la quitter. C'était dur, tu te doutais bien qu'elle ne le supporterait pas. Alors tu es allé la voir. Puis tu as compris pourquoi elle ne voulait pas que tu lui montres ton amour en public. Elle ne te trompait pas non. C'était toi l'amant. Mais tu étais libéré, et tout était clair. Tu t'étais fait avoir, et c'était difficile de l'admettre. C'est comme ça Syhan. Tu ne vois pas les intentions qui sont derrière les sourires.
Tu as continué de vivre, tu t'es repris en main. Tu as travaillé dans de super restaurants après avoir eut ton diplôme. Tu as commencé comme simple cuisinier, parfois plongeur, et puis tu as fini second. Et tu as eut vingt-sept ans.
__________
« S'il vous plaît, laissez-moi le voir !
- Madame, ce n'est pas possible, il est en plein service ! Attendez au moins la fin.
- Et à la fin, vous me direz qu'il est trop fatigué et que ce n'est pas possible.
- Allez au moins finir votre repas. »
Quand tu es sorti ce soir-là, il y avait une petite femme qui attendait. Un peu ronde, mais très jolie. Tu l'as regardé un instant, elle fumait, attendant quelque chose. Tu l'as regardé, parce que c'était inhabituel de trouver quelqu'un ici.
« Le second est déjà parti ? »
Le second, c'était toi. Tu remplaçais le chef qui avait, comme toutes les semaines, pris son mardi. Tu as légèrement froncé les sourcils, te demandant ce qu'elle pouvait bien te vouloir cette petite femme...
« C'est moi... Quelque chose n'allait pas ? »
Elle t'a expliqué qui elle était, ce qu'elle faisait là. Tu as appris qu'elle s'appelait Danna, qu'elle était américaine, employée pour un célèbre guide touristique dans son pays, et qu'elle était en Suède pour goûter la cuisine, tester des endroits... Et ce que tu avais fait pour elle ce soir était merveilleux. Danna aimait remercier les chefs qui lui servaient de bonnes choses. Et puis elle est venue te revoir. Son caractère t'a plu, ses manières aussi. Finalement, elle est devenue ta bien-aimée, et quand, quelques mois plus tard et venue pour elle le moment de rentrer... Tu es parti avec elle.
Aux États-unis, vous vous êtes mariés pour que tu puisses rester. Vous viviez dans un appartement à New-York. Elle faisait son travail, toi le tiens. Tu avais trouvé un petit restau sympa. Tu étais contant de bosser là-bas. Le temps à passer, tu as eut trente et un an. Tu ne t'en es pas aperçu tout de suite, et tu as eut du mal à comprendre pourquoi Danna était arrivée derrière toi avec un couteau dans la main, l'air menaçant. Tu l'aimais, c'était ta passion. Tu avais du mal à saisir ce qu'elle te disait... Que c'était de ta faute, que tu avais gâché sa vie. Elle avait du mal à expliquer pourquoi elle pensait ainsi, mais elle avait sûrement raison de te dire ça, c'est ce que tu pensais sur le moment.
Le coup de couteau est parti alors que tu essayais de la retenir sans lui faire de mal. Tu as crié, ça faisait mal. Derrière toi, tu as entendu tes légumes s'accrocher à la poêle. Puis elle s'est enfoncé la lame dans le ventre, et tu as commencé à comprendre. Tu as essayé de l'arrêter, puis quand elle est tombée inconsciente, tu as appelé les secours par peur de la perdre. Quand tu as été soigné, on t'a expliqué qu'elle avait perdu le bébé. Et tu as recollé tous les morceaux. Elle ne supportait pas l'idée de devenir mère, ça gâcherais sa vie. Elle ne pourrait plus faire son métier. Tu savais qu'elle aussi avait eut une mère qui l'avait dégoûté d'en être, mais à bien y réfléchir, tu ne voyais pas comment ça pouvait être de ta faute. C'était comme ça.
Après cela, elle t'a quitté, parce qu'elle ne voulait plus de toi, tu avais foutu sa vie en l'air malgré tout. Elle a préféré partir, et tu l'as laissé faire, parce que tu as fini par te dire, que ce n'était pas plus la peine que ça de lui courir après alors qu'elle avait de ses mains anéanties ta confiance. Tu as quitté New-York, et tu as réfléchi. Tu as retourné ta vie de nombreuses fois dans ta tête. Et tu en as conclue que tu n'avais pas de chance. Mais que tu voulais en donner. Tu as vu le monde, tu as regardé ce pays. Tu aurais pu rentrer chez toi, mais tu n'en as pas vraiment eut envie, tu te trouvais bien ici. Tu as décidé te travailler dans les prisons. Ce n'était pas digne de tes capacités celons certains, mais toi, tu revoyais le sourire de ta mère quand elle mangeait tes plats. Tu as eut envie de voir d'autre sourire, tu as eu envie de croire que tout n'était pas perdu dans l'humanité, même dans ses endroits regorger de criminels.
Ça fait déjà six ans, tu en es à ta quatrième prison, bien incapable de te fixer plus d'un an ou deux quelque part. Tu te dis qu'ici aussi, tu seras sûrement de passage. Mais tes préceptes ont eut l'air de plaire à la direction de la prison. Tu sais faire bien, avec le budget, tu n'as pas eut besoin d'en dire plus, ton expérience à parler. Ça fait déjà cinq semaines, tu commences à faire tes marques en cuisine. Certains gars ne sont pas encore au mieux de leurs capacités dans ta nouvelle cuisine, mais tu te dis que tu sauras les formés.
Tu essayes de voir leurs sourires repus Syhan, tu as appris qu'il n'y avait que celui-ci qui était vrai.
Côté joueur
Pseudo : Morten Von Hesse
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