KUROKUMO DUNKELBAUER
Avatar : Hijikata Toshiro - Gintama
Identité
Nom: Dunkelbauer
Prénom: Kurokumo, Caïn
Surnom: Prof
Âge: 33ans
Nationalité: Germano-japonais
État-civil: Célibataire endurci
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)
Dans la prison
Poste dans la prison: Maitre-chien
Depuis combien de temps ? 6 mois
Motivations pour travailler ici ? Reconversion professionnelle
Caractéristiques physiques
Taille: 1m87
Poids: 80,7 kg
Corpulence: Musclé mais pas sec
Cheveux: bruns
Yeux: bleus, gris
Famille ethnique: Eurasien
Modifications corporelle: tatouage
Bien que rare chez la communauté asiatique, Kurokumo possède des yeux bleus hérités de ses gènes germains. Selon le climat et ses humeurs, ses yeux peuvent également prendre une teinte grise. Fierté absolue pour lui contrastant parfaitement avec sa peau claire et une chevelure d’ébène. Il lui arrive de porter des lunettes notamment lorsqu’il sort le soir – histoire d’éviter les poteaux qu’il n’a que trop bien connu – viennent accentuer ce contraste. Il pourrait correspondre à l’archétype du « brun ténébreux » mais ces « conneries » l’ « emmerdent » profondément. De plus, il ne joue du côté ténébreux que pour séduire la gente féminine, friande là encore, de ces « conneries ». Sa voix grave n'arrive rien à ce côté ténébreux. Il est certain qu'il ne pourrait se faire passer pour un benêt ou un idiot. Une tell voix est également utile lorsqu'il s'agit de s'imposer et effrayer quelques idiots. Son regard peut paraître froid et distant mais si vous le surprenez dans un moment d’inattention en train de s’occuper de ses plantes ou de son chien, vous verrez le regard d’un gosse. S’il vous voit, il se peut même qu’il rougisse et adopte une mine boudeuse, embarrassé, avec le regard confus d’un chaton qu’on aurait surpris dans un moment de folie. Repensez au brun ténébreux et vous comprendrez pourquoi il s’agit de conneries pour lui...
Plutôt grand, bien que cela devienne commun en Asie, il est ce qu'on pourrait qualifier de bien bâtit grâce à des années d’arts martiaux et de boxes qui n’ont cependant pas empêché une petites mollesse en bas du ventre. Kurokumo n’est donc pas du genre trop sec pour sa plus grande joie. Les mecs bodybuildés ou déshydratés comme il les qualifie, peu pour lui. Il en va de même dans ses goûts pour les femmes mais ce n’est pas le sujet…Il arbore un tatouage dans le dos reprenant une partie d’un poème de Peter Handke, à la verticale, le long de la colonne. Je vous direz à quoi cela correspond lorsque nous aborderons son histoire.
Concernant son style vestimentaire en dehors de ce passionnant métier, on ne peut pas dire qu’il ait un style particulier. Le plus souvent, il se limite à un jean ou un pantalon en toile accompagné d’une chemise qui laissera souvent deviner ses magnifiques avant-bras. Oui oui il est fan de ses avant-bras et de son dos mais pas narcissique pour un sous.
Dernière chose, au niveau de la santé : si pour le moment il semble en pleine forme, le fait d’avoir constamment ou presque, une cigarette au bec laisse présager une baisse d’endurance physique alors mesdames, soyez indulgentes.
PS : il a déjà agonisé sur un trottoir après avoir couru sur deux cents mètres en faisant la course avec un ami pour épater une belle qui est finalement partie avec cet ami…échec.
Dossier psychologique
Défauts et qualités: lunatique, sadique, calme, patient, imprévisible, impulsif, charmant, de bonne compagnie, pas très bavard, souriant parfois, maladroit dans sa manière de s'exprimer, papa gateau avec son chien, méticuleux, soigneux, attentionné parfois
Objectifs et ambitions: pas d'ambition particulière. Son objectif est de ramené par la peau du cul le jeune dont il a la garde et qui a fugué.
Tocs et manies: fait tourner une craie entre ses doigts et claque la langue lorsqu'il s'agace
Peurs/phobies: peur qu'on le surprenne dans sa petite bulle de bisounours
Kurokumo Dunkelbauer. A croire que son nom le prédestinait à un certain caractère. Son autre prénom est Caïn. Celui que lui donna son père mais il s’en sert peu. De l’un ou de l’autre, c’est à se demander quel genre de vie antérieure a-t-il pu mener pour devoir porter ces deux prénoms. Si le second, biblique, nous rappelle les liens sacrés du sang – herm…– et de l’amour fraternel inconditionnel – herm…– le premier révèle quant à lui un tempérament de feu, accumulant patiemment ce qui le dérange jusqu’à exploser. C’est alors une tempête qui s’abat sur la première personne venue ayant, pour son plus grand malheur, prononcer un mot dont elle aurait dû s’abstenir. Kurokumo arrive cependant à prendre, parfois, du recul face aux verbes acerbes et provocateurs ou face à certains évènements contrariants. Il préfère alors s’isoler ou partir à la recherche d’une douce et charmante compagnie.
Si il peut paraitre imprévisible, voire puéril dans certaines situation et face aux gamins, certains signes ne trompent pas et annonce son châtiment. Le premier, qu’il a hérité de ses années d’enseignant est le jeté de craie. Craie qu’il va au préalable faire tournoyer entre ses doigts accompagné d’un jolie rictus. C’est de là aussi que ses élèves ont commencé à le qualifier de professeur sadique. Pourtant, sadique il ne l’est pas physiquement. Je veux dire par là qu’il préfère la torture psychologique, bien plus jouissive qu’un lynchage. Après il n'est pas contre une ou deux fessés.
En tant que maitre-chien, il est constamment accompagné de son fidèle berger allemand qu’il aime faire aboyer, grogner, voire lâcher sur les pauvres inconscients afin de leur rappeler qui commande et que comme à tout bon supérieur, on lui doit respect et obéissance. Il s’agit là d’un autre trait de caractère surprenant pour cet homme qui semble pourtant plein de mépris. En effet, même si dans sa conception des choses il lui arrive souvent d’être en désaccord avec ses supérieurs, il ne protestera pas ou essaiera alors, subtilement, d’apporter une autre solution. Et s’il se permet parfois quelques écarts non ordonnés par la hiérarchie c’est qu’au fond, il sait que ses actes n’iront pas à l’encontre de cette dernière.
Au fond, ce n’est pas un être bien méchant. Il a seulement des problèmes d’expression et manifeste son affection au travers du sarcasme et de l’ironie qu’il maitrise à la perfection. Cependant, vous en conviendrez, cela peut s’avérer plus blessant que réconfortant. Une tape sur l’épaule ou sur la tête signifiant « gentil garçon » ou « gentille fifille » sont là aussi des marques de sympathie. Certes froides et surprenantes mais elles n’en restent pas moins de la sympathie. Sa douceur et sa sensibilité ne se manifestent qu’à deux moments : lorsqu’il est seul avec son chien et qu’il ressemble plus à un papa gâteau qu’à un sadique et lorsqu’il s’occupe de la dizaine de petites plantes en tout genre alignées méticuleusement sur son bureau. Un homme aussi viril s’occupant de plantes…mais ne vous attendez pas à le surprendre dans cette petite bulle de verdure. Il vous claquerait immédiatement la porte au nez et se retrouverait fort embarrasser si il venait à vous recroiser plus tard.
En soit, un homme plein de charme et de délicatesse.
Santé
Etat de santé générale: Bonne santé
Allergies ou addictions: fumeur inconditionnel
Soins réguliers (traitements): aucun
Histoire
Kurokumo, Caïn Dunkelbauer. Aujourd’hui 33 ans a grandi en Allemagne élevé par ses deux parents et une petite sœur qui décèdera après deux ans de vie. Pas le temps de s’attacher. Depuis tout petit, Kurokumo est une personne d’apparence calme vivant dans une petite bulle que seules sa mère et la femme qu’il considère comme une seconde mère ont su percer. Plutôt bon élève bien que très discret, il était souvent félicité par ses enseignants pour ses capacités. Pourtant, le petit Kurokumo passait son temps à rêvasser en regardant par une fenêtre ou en fixant les horloges. Ce qui l’intéressait réellement étaient ses peluches, ses livres et les quelques plantes de la maison dont il prenait grand soin. Sa mère, loin d’en rire lui apprit les bases du jardinage et de l’entretient. Les plantes nécessitent de l’attention et de la douceur. Lorsqu’il s’énervait ou angoissait, il s’asseyait face à celles-ci et les contempler jusqu’à ce qu’un sourire apparaisse sur son visage. Il s’agit donc d’une habitude ancrée profondément dans sa personnalité mais qu’il apprit à cacher avec le temps. Il n’a jamais particulièrement aimé la solitude mais sa timidité et son calme ont toujours pris le pas dans ses rapports avec les autres. En grandissant, il s’est réfugié dans le sport, la musique et ses livres mais également l’alcool et les femmes sans pour autant devenir un dépravé.
Après avoir obtenu son diplôme de fin de lycée, sa mère lui proposa d’aller faire ses études supérieures au Japon. Après tout, elle-même est japonaise. Il ne s’y opposa pas mais avait quelques appréhensions. Sa mère étant du genre à faire des surprises auxquelles on ne s’attend pas. Kurokumo y était habitué et acceptait avec fatalité et soupirs ces surprises souvent foireuses. Il se doutait également que sa mère ne l’y envoyait pas pour se la couler douce mais il ne le compris que deux jours après la rentrée universitaire avec effroi et résignation.
Kurokumo vécu chez la meilleure amie de sa mère. Il la considérait et considère toujours comme sa seconde mère. Elle venait souvent leur rendre visite en Allemagne. Elle en profiter alors pour martyriser ce cher petit. Elle disait qu’il devait apprendre à extérioriser ses émotions et à se retirer « le balais que je ne sais quel idiot t’as enfoncé raide dans les fesses ! ». Elle le faisait rire, l’emmener en sortie, lui faisait honte mais avec elle il était à l’aise. C’est pour cela qu’il accepta facilement de s’installer chez elle et son époux. La chose qui l’ennuyait le plus au final était de devoir dormir dans la chambre d’un gamin de six ans également tête mule et relativement hyperactif. Autant vous dire qu’il ne fallut pas plus de trois heures aux deux garçons pour se battre. Non parce que si étant gosse, Kurokumo était plutôt calme, il devenait de plus en plus impulsif en vieillissant. Il avait retenu la leçon concernant l’extériorisation de ses sentiments. Un peu trop bien d’ailleurs. Les deux jeunes étaient comme chien et chat mais dès que le petit rencontrait un souci, Kurokumo venait l’aider. Il lui donna également des cours particuliers et c’est à ce moment-là que son côté sadique ressortit mais surtout, qu’il décida de devenir enseignant pour le plus grand malheur de ses élèves.
Kurokumo obtint donc son diplôme à l’âge de vingt-quatre ans. Il apprit le Kyudô (tir à l’arc traditionnel), le kendô mais également le shodô (calligraphie) et l’art de l’ikebana en parallèle de ses études. Il abandonna les trois premiers mais poursuivit le quatrième. Le plus viril donc. A la maison, le gosse avec qui il était toujours collé se moquait régulièrement de cet attrait pour les fleurs et la nature. Il se construit un petit jardin avec différentes variétés plantées dans de petits pots posés sur son bureau. Cependant, lorsque le gamin osait une remarque, ni une ni deux, Kurokumo le mettait à la porte, allait prendre une douche et s’emmitouflait dans ses draps en cachant un visage rougi avant de revenir bâillonner le « petit con ».
La seule chose qu’il regretta sans doute fut de passer son permis…Si seulement il avait su que ce gosse se retrouverait non seulement dans ses classes mais qu’en plus il allait devoir le récupérer au commissariat à peu-près une fois par semaine… Il est certain qu’il n’aurait alors jamais passé ce foutu permis. Ce jeune était tellement turbulent que Kurokumo demandait parfois, tout sourire, aux flics de le garder plus de 48h. Bien entendu, ceux-ci refusaient avec une expression dépitée. Si Kurokumo devait s’occuper de ce gosse c’est qu’entre temps, sa mère fut internée et le père parti avec une riche russe refaire sa vie. La mère avait, lors de son internement demandait à Kurokumo de devenir le tuteur du petit. Ce qu’il ne put refuser. Ils vécurent même ensemble pendant un an et demi avant qu’il ne disparaisse.
Six mois après que le calme soit revenu chez lui, Kurokumo démissionna sans prévenir. Il venait de recevoir une lettre lui indiquant que l’autre andouille s’était installé aux USA chez des connaissances après avoir économiser pendant plusieurs années. Cependant, Kurokumo savait qu’il risquait d’avoir des ennuis en tout genre. Pendant deux ans, Kurokumo prépara alors un diplôme express pour devenir maître-chien et partir pour les Etats-Unis où il se fit embaucher dans cette prison macabre. Là, il pourrait laisser aller ses pulsions tout en étant prêt à agir s’il mettait la main sur le gosse.
Côté joueur
Pseudo : Koko
Âge : 21
Comment as-tu trouvé le forum ? Kiwi me l'a recommandé
As-tu des remarques à faire ? Je me suis laissée embarquer par Kiwi mais cela doit bien faire deux ans que je n'ai plus fait de RP, j'espère donc pouvoir me remettre à niveau.
As-tu un double compte: Non