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Khad Amir Simon ; "Ici, y'a des gens qu'il ne vaut mieux pas connaître... Dont moi."

Anonymous





Invité
Invité
Dim 12 Juin 2016 - 16:00

Khad  A. Simon


Avatar :

Identité
Nom:Simon
Prénom: Khad A. (Amir)
Surnom: Zombie (pour son attitude) ; le terroriste (idem) ; l'arabe (pour ses origines)... Pour la suite, à vous de jouer !
Âge: 22 ans
Nationalité: Américaine
État-civil: Célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: Khad A. Simon serait en réalité le fils bâtard d'un grand roi arabe. Gare aux conflits si ce « Prince Arabe » rencontre l’autre « Prince » de la prison, Jay Ross.

Incarcération

Motif d’incarcération: Homicide  volontaire (ou pas en vérité) ; harcèlement moral et physique  ; possession de stupéfiants
Durée de la peine: 34 ans
Incarcéré depuis: Deux semaines
Aliéné? Effectivement
Type d’aliénation: trouble explosif intermittent ;
Comme son nom le suggère, le trouble de Khad fait de lui une véritable bombe à retardement.

Il s'agit d'un trouble comportemental qui se manifeste suite à une vague de stress, une provocation ou tout autre élément pouvant heurter la sensibilité du malade. Premièrement, l'attitude de l'aliéné semble normale. Il est calme, ne dit pas grand chose, et paraît détendu. Ensuite, généralement sans aucune transition et donc de façon très soudaine, Khad entre dans une colère noire, allant de la violence verbale jusqu'à l'agression physique. Ses sautes d'humeurs et ses réactions disproportionnées surviennent de façon aléatoire et peuvent être dangereuses. Le trouble explosif intermittent se résume donc à une agressivité disproportionnée et non contrôlée du malade.


Caractéristiques physiques

Taille: 1m81
Poids: 65 kilos
Corpulence: Plutôt maigre et légèrement musclée.
Cheveux: Châtains foncés
Yeux: Marrons
Famille ethnique: américano-arabe (je ne sais pas si ça dit °°)
Modifications corporelle: Aucune

La douleur. Elle se lit dans son regard charbonneux, accentué par ses sourcils froncés et souligné par ses cernes bistres.
La rage, Khad l'a dans son ventre maigre, agrémenté de quelques abdominaux semblant fondre petit à petit avec le temps. Il n'a plus la tête à faire du sport comme autrefois, ni à manger avec engouement. Seules quelques séries de pompes entretiennent les derniers muscles qui lui reste. Autrement, il ne serait certainement qu'un vulgaire tas d'os. Ses lisses cheveux bruns n'ont pourtant pas encore perdu leur douceur, tout comme ses lèvres et sa peau mate. Qui sait ce qu'il sera devenu à la fin de sa peine.

Lorsqu'il parle, on devine un léger accent arabe dans la prononciation de ses mots.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Paranoïaque ; a peu de confiance en lui ; apathique ; très lunatique ; susceptible; entreprenant ; débrouillard ; émotif ; attachant ;
Objectifs et ambitions: Comme tout oiseau enfermé dans une cage : être libre et pouvoir s'envoler !
Tocs et manies: Se ronger les ongles, lever les yeux au ciel et marcher en rond nerveusement.
Peurs/phobies: Les grondements du tonnerre, l'orage en général. Ça lui évoque de mauvais souvenirs et une vieille angoisse.

Personne ne sait vraiment ce qu'il se passe dans la tête de Khad. Tantôt dépressif, tantôt hyperactif, nous avons là un cas particulier de bipolarité : le trouble explosif intermittent. Le jeune homme est né avec cette pathologie mentale, mais la mort de son père en a plus que réveillé les symptômes.

Aujourd'hui, on le trouve souvent complètement shooté par les calmants et autres médicaments qu'on lui donne pour éviter ses crises. Ils ne font d'ailleurs pas nécessairement grand effet sur lui, sans compter tous les stratagèmes dont Khad use pour ne pas les prendre.

Quoi qu'il en soit, excédé ou en pleine forme, les autres détenus ne sont généralement pas très attirés par sa personne. Disons qu'il a tendance à délirer dans son coin, à devenir un peu plus chaque jour ce que la plupart des médecins voient en le regardant : un véritable fou.
Khad ne supporte pas l'indifférence. Plus il se fait ignorer, plus il essaie de se faire remarquer. C'est systématique. Si vous ne lui répondez pas alors qu'il vous adresse la parole, il risque de se vexer.
De plus, il est complètement imprévisible. Il peut paraître très calme et soudainement vous sautez à la gorge à la moindre insatisfaction. La prison ne fait qu'accentuer chacun de ses mauvais côtés, tandis que le jeune Simon se renferme toujours un peu plus sur lui même.

Il ne fait confiance à personne. Khad reste silencieux, n'ayant pas l'habitude d'exprimer ses sentiments et garde toutes ses peines à l'intérieur de lui, entretenant le risque d'exploser à tout moment. Certains gardiens préféreraient le voir en hôpital psychiatrique plutôt qu'à la CSP. Il a déjà causé quelques problèmes et bien souvent la torture ne fait qu’aggraver son cas ; il parvient cependant à se calmer la plupart du temps, sitôt qu'on évoque le nom de ce châtiment qu'il redoute.
Enfin, ce ne sont là que les aspects négatifs du détenu complexé qu'il est. Il arrive à Khad d'apprécier une personne, de temps en temps ; de lui trouver une certaine ressemblance avec une autre qu'il a bien connu, et de la suivre discrètement sans jamais l'assumer par la suite. Il a ce côté sensible qui se manifeste lorsqu'on lui prête l'attention nécessaire. Cette habitude qu'il a pris à ne pas juger les autres sur leur physique.

Il est capable de s'entendre très bien avec un individu très calme, zen, qui aurait le don de l'apaiser, de parler avec lui sans jamais s'énerver. Mais, à y réfléchir, même un moine bouddhiste ne pourrait accomplir un tel exploit : celui de calmer Khad en un clin d’œil.

Malgré tout, le jeune homme fait des efforts pour se contenir. Surtout quand il sait que la situation va très mal tourner pour lui, il fait de son mieux pour contrôler ses pulsions et emmagasine tout dans son fort intérieur... Du moins jusqu'à ce que ce dernier ne cède.

Santé

Etat de santé générale: Instable ; souvent malade ; très peu d'appétit
Allergies ou addictions: Légère addiction au canabis et au tabac
Soins réguliers (traitements): Suivi psychologique ; prise quotidienne de médicaments  (calmants, endorphine...)

Histoire

"
I-Les origines

Bagdad, Irak. La pauvreté y est proéminente. C'est pourtant là que j'ai grandi, avant de partir aux Etats-Unis. Ça me fait bizarre d'y repenser, de me dire que c'était tout de même une belle époque. J'y ai passé une enfance empreint d'une certaine chance et d'un certain malheur.

Ma chance, c'était mon père. Il s'appelait David. David Simon. Il était venu tout droit d'Amérique pour faire le tour du monde, et finalement, il s'est arrêté au Moyen-Orient, à Bagdad, car il a flashé sur ma mère. Ensuite, il n'était plus question de repartir. Après tout, c'était une très belle jeune femme, Yenma. Très douce, et très forte aussi. Un véritable exemple à suivre. Mais mon vrai modèle quand j'étais gosse, c'était mon père : il venait de la nation plus génialissime au monde, les Etats-Unis. Enfin, c'était mon point de vue quand j'était petit. Plus qu'un symbole de liberté, les States incarnaient à mes yeux l'avenir. Mon avenir. Je me souviens de tous ces rêves d'enfants qui faisaient rire maman aux éclats : jouer dans tous les casinos de Las Vegas, devenir riche puis explorer le Grand Canyon...
Ça me fait marrer aussi d'y repenser. Et dire qu'aujourd'hui je suis cette chose. Un bout de viande coincé entre quatre murs.


********


Á l'époque, ma mère refusait de partir en Amérique. Elle était trop attachée à sa famille, à sa culture. Seulement je n'aimais pas vraiment l'Irak. Mes parents et moi vivions tous les trois dans un petit appartement et malgré les voyages réguliers aux USA pour voir de la famille, je gardais l'impression de ne pas profiter suffisamment de la vie.
Et puis... Quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Papa me l'avait dit : "Amir, tu es si agressif... Dés que la situation ne te convient pas, tu deviens incontrôlable. Ce n'est pas normal."

Il avait ce foutu accent américain, très marqué, que j'avais essayé de copier tant bien que mal à l'époque. Et puis, il m’appelait par mon deuxième prénom, Amir. Il savait que ça m'énervait, mais il recommençait toujours avec une certaine malice.
Au fond, j'aimais bien. Ça le faisait sourire à chaque fois. Mais voilà, j'étais incontrôlable, comme il le disait si bien. D'ailleurs, maman s’inquiétait d'avantage à ce sujet. Elle souhaitait qu'on m'examine, parce que j'étais trop bizarre. N'avais-je simplement pas mauvais caractère ?
Il n'y a pas de fumée sans feu.


II-Un grondement sourd

2003, c'est l'année durant laquelle l'Irak s'est retrouvé en guerre contre les Etats-Unis.
Je me souviens d'une nuit particulière. Le prélude d'un changement de vie radical, et le pire souvenir que je puisse déceler à ce jour. Le pire.
Une nouvelle fois, les murs se sont mis à trembler tandis que de sourds grondements se faisaient entendre à l'extérieur. Mais ce soir là, ils semblaient plus proches. Souvent, la poussière se détachait du plafond. Souvent, je poussais un cri en pensant que cette fois-ci, les bombardements se déchaînaient sur notre immeuble. La guerre nous avait pris de court. Papa avait espéré qu'elle n'irait pas jusqu'à nous. Pourtant l'enfer était à notre porte. Juste là, dehors. Il y avait d'or et déjà du sang sur les murs, et mes parents se demandaient à chaque instant comment s'échapper sans défier la faucheuse.
En un coup de fil, mon père aurait pu nous faire évacuer, mais la ligne était coupée. De ma fenêtre on pouvait voir un poteau électrique renversé contre la supérette d'en face. Chaque secousse, chaque grondement accentuait ma peur de mourir ici, avec mes
parents.


****


Nous avons longtemps attendu dans l’appartement. Puis, alors qu'un long silence semblait se prolonger vers l'aube, nous avons pris la voiture et nous sommes partis.
En route personne ne disait rien. Les chemins se trouvaient parsemés de débris en tout genre ; on pouvait sentir l'air lourd et chaud chargé de poussière rien qu'en bougeant. La voiture s'est arrêtée devant un terrain dégagé, à quelque mètres de l'aéroport. Papa avait si peur... Je n'arrêtais pas de fixer son visage. J'attendais probablement qu'il me regarde et qu'il m'appelle une dernière fois Amir en souriant. Mais il est sorti du véhicule en nous faisant signe de rester là.

Il a fait quelque pas, scrutant le sol d'un air inquiet. Puis il a continué d'avancer, lentement. Il lançait des cailloux partout autour de lui. Ma mère et moi le regardions le cœur battant, alors qu'il semblait marcher peu à peu avec plus d'assurance. Soudain il s'est retourné et a crié, tout en reprenant sa marche vers nous : "C'est bon, on est s-"

Boom. Il a explosé. Ou du moins, la mine juste sous ses pieds. J'avais 9 ans. Je tremblais plus que tous les murs de la ville, de nouveau assiégée par les bombardements. À vrai dire, je n'y prêtais même plus attention. C'était le choc, la terreur. Mon cœur semblait ne plus savoir comment battre. Je me suis évanoui, comme si mon corps avait lui aussi cherché à fuir la réalité.

C'était l'élément déclencheur. La partie de mon histoire responsable de ce que je suis devenu aujourd'hui.


III-Premières étincelles

Philadelphia, Etats-Unis.
Après notre fuite en Amérique, la famille de papa nous a accueilli très chaleureusement. Pendant plus de deux ans, c'est ma tante qui nous a hébergé dans sa petite maison en banlieue. Maman m'a dit que les soldats américains qui nous avaient trouvé et évacué après l'accident. Il avait suffit de leur dire qui était papa pour qu'ils nous aident à quitter l'Irak.
J'ai été dépressif pendant quelque mois. Mon père me manquait. Heureusement, la musique, les amis, et la culture passionnante de ce pays m'ont peu à peu redonné goût à la vie.
Mon adolescence fut donc particulièrement mouvementée : première copine, première cigarette, première cuite et tout ce que vous voulez.. Je ne faisais que des conneries et situais les cours bien au delà de mes priorités. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'après deux ans passés sous son toit, ma tante m'a mis à la porte.

Un petit détail a tout de même forcé les événements : mon trouble explosif intermittent. C'est une maladie mentale. Le genre de truc qui se développe sérieusement lorsque on est sujet à un titanesque coup de stress ou de peur.
Pour faire simple, j'ai de graves pulsions agressives, complètement aléatoires et par conséquent, imprévisibles. Un comportement brutal et des réactions disproportionnées que je n'arrive pas à contrôler.

Moi, je ne m'en suis jamais vraiment rendu compte. Tous ces mots sortent de la bouche des médecins psychiatres. La seule chose dont je suis vraiment conscient, c'est de mon humeur lunatique.
Ma mère m'a emmener consulter suite à un petit incident avec mon beau père.. Ah je ne vous ai pas dit ? Ma mère s'est remariée avec un abruti. Un gros beauf qui se croit tout permis. Un jour, il m'a tellement énervé que j'ai essayé de l'étrangler. Sa gorge pleine de graisse a cependant peu flanché sous la pression de mes doigts. Ce gars-là était plus fort que moi à l'époque... Mais une nouvelle fois, je n'étais pas maître de moi même pendant la crise. C'est comme si la colère m'animait. C'est comme si je n'étais qu'un chien fiévreux.

Ma pathologie mentale a finalement fait de moi son instrument, malgré un suivi psychologique et une prise régulière de calmants. J'ai perdu beaucoup d'amis, dont la confiance de ma mère. Je n'avais plus rien. Plus personne.

IV-Explosion

C'est là que tout a commencé. Vous savez, le moment où je suis complètement parti en steak.

Voilà le topos :

À 17 ans, je refuse de continuer mes études. Ma mère, littéralement apeurée à l'idée de me garder plus longtemps à la maison, me propose de me prendre un petit appartement dés mes 18 ans, mais j'arrive à la faire céder avant. Son mari me déteste. Il m'ignore en permanence, sans comprendre que c'est ça qui m’insupporte le plus chez lui. Bref, c'est le bordel, alors je me tire en vitesse.

***
Dans le quartier où j'habitais, j'ai décroché quelque petits boulots, que j'ai perdu les uns après les autres. Mon caractère ne connaissait pas un franc succès dans le milieu du travail. J'ai ainsi ramé pendant plus d'un an, avant que ma mère ne cesse de me payer un logement. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Elle ne roulait pas sur l'or et dépendait entièrement d'un gros con qui me détestait.

Vers mes 19 ans, j'ai finalement rencontré Allian, un cubain assez étrange qui me proposait un boulot très intéressant aux yeux d'un paumé comme moi. Tout ce que j'avais à faire, c'était de distribuer des enveloppes à d'autres gars bizarres, discrètement et avec un air naturel si possible.
Bref, je faisais marcher son petit trafic en distribuant la drogue que les toxicos commandaient. De temps en temps, on en prenait tout les deux pour notre conso personnelle , histoire de décompresser.

Ensuite, Allian m'a demandé d'aller carrément sur le terrain, c'est à dire vendre son crack dans la rue. C'était bien payé mais j'ai finalement fumé toute la dose qu'il m'avait confiée en une soirée, avant de me casser vers une ville voisine.
Le gars ne m'a jamais retrouvé. Il aurait été dans une colère folle, et moi, je l'aurais tabassé en retour. Point final.

Une fois bien installé à Lancaster, j'ai essayé de vivre avec l'argent de mon ancien boulot. Cependant, j'étais déjà fauché au bout de 10 mois.
Par chance, un bar gay dans le quartier a accepté de m'employer comme agent de surface. J'étais payé une misère mais ça suffisait à louer un logement. Mon employeur m'offrait régulièrement le repas. Il jouait souvent le rôle d'un père avec moi.
Au bar, j'avais un collègue, Alexis. Actuellement, c'est mon ex-petit ami, mais également le responsable de mon arrestation.

On s'entendait bien au départ. Il était au courant pour mon trouble mental, et ça ne l'a pas empêché de m'aimer, au contraire. Même si c'était un gars, j'étais juste heureux que quelqu'un s’intéresse enfin à moi. Je n'ai jamais compris comment il arrivait à supporter toutes mes prises de têtes, mes problèmes avec la drogue, la violence de mes mots, de mes gestes ! Il souriait toujours en me regardant, comme si j'étais un ange. En retour, je le protégeais lui rendais des sentiments réciproques et apparemment, ça suffisait à son bonheur.

De temps en temps, je lui gueulais dessus, parce qu'il avait pas fait à bouffer, ou tout simplement parce que j'étais crevé. Il s'en prenait plein la tête pour toutes les raisons inimaginables, et j'en suis même arrivé à le frapper un peu chaque jour.
Disons que j'avais arrêté les médocs, les visites chez la psy et tout ce bordel qui ne faisait que reporter mes crises à plus tard. Mes pulsions revenaient me hanter chaque mois, puis chaque semaine, et finalement chaque soir, dés que je rentrais du boulot. Fallait que je me défoule. Je me sentais toujours mieux après avoir rabaissé Alexis de par mes poings ou ma langue.

Ce p'tit con, il a tout encaissé en pensant pouvoir m'aider. À la fin, je ne l'aimais même plus. Il était défiguré. Il ne sortait plus de chez nous. Il avait peur et semblait à la fois tenir à moi plus qu'à n'importe quoi au monde. C'est ce qu'il m'a sorti le soir où j'allais enfin le laisser partir. Les mots qu'il s'efforçait à articuler dans un dernier soupir, le soir où il est mort.

V-Brûlures

Lorsque je me suis retrouvé seul avec son corps inanimé dans le salon, j'ai réalisé à quel point je pouvais être dangereux. J'ai appelé une ambulance, complètement paniqué. J'avais encore de l'espoir, tout en sachant que mon sort était fixé. Ca m'a fait comprendre ce qu'Alexis pouvait bien ressentir pendant tout ce temps, alors que je le harcelait moralement et physiquement. De la haine et de l'amour. Le tout mélangé. Je me suis effondré à mon tour. À l’hôpital, j'étais seul quand la police est venue me chercher. Alexis avait bel et bien succombé à ses blessures, et moi j'avais gagné une entrée pour la California State Prison.

Peut être que mon histoire ne reflète pas tout à fait qui je suis réellement... À l'heure où j'écris ces mots, je me trouve dans le quartier médical de la CSP, et je suis étonnamment calme, certainement sous calmants... Je plane un peu. C'est le médecin qui m'a demandé de raconter mon passé. Alors j'écris. J'écris avant de me rendormir, et de me réveiller en enfer. "

Côté joueur

Pseudo : Asuka
Âge : 18
Comment as-tu trouvé le forum ? Très intéressant : j'adore le contexte, et puis quel design ! **
As-tu des remarques à  faire ? Hé bien... Tout les personnages du forum me semblent profonds et dignes d’intérêt ! C'est du moins mon point de vue après avoir lu une grande quantité de fiches. Je me suis régalée :3
As-tu un double compte: Nope.
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Gabriel Goodman
Messages : 290
Date d'inscription : 20/08/2015
Age : 32
Localisation : Là où il y a du café !

Dossiers privés
Âge du personnage: 26 ans.
Taille: 1m78
A savoir:





Gabriel Goodman
Psychologue
Dim 12 Juin 2016 - 17:07
Bonjour et (re)bienvenu !

En voilà un personnage intéressant, et qui annonce encore plus de boulot ;_;

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Aaron Harrington
Messages : 182
Date d'inscription : 12/02/2016

Dossiers privés
Âge du personnage: 39 ans
Taille: 1.85 mètres
A savoir:





Aaron Harrington
Maître chien
Dim 12 Juin 2016 - 19:03
Tu es validé !


Et bien mon petit Amir (hehe) tu es une personne explosive et très intéressante. Merci beaucoup pour tous ses compliments et j'espère que tu t'entendras bien parmi nous, on est un peu fous mais on ne mord pas (enfin sauf certains...)
N'hésite pas à passer sur la ChatBox pour raconter des bêtises avec nous !


Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des codétenus  là, si tu es un aliéné.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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Khad Amir Simon ; "Ici, y'a des gens qu'il ne vaut mieux pas connaître... Dont moi."
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