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Ayden Sanders

Anonymous





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Dim 25 Oct 2015 - 15:17

Ayden Sanders


Avatar : Uta -  Tokyo Kushu

Identité
Nom:Sanders
Prénom: Ayden
Surnom: Ayd
Âge: (Minimum 21 ans)sur son état civil, il a 26 ans.
Nationalité: américaine
État-civil: (Célibataire, marié, divorcé, veuf)célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: Ayden Sanders serait complètement fasciné par le psychologue  Gabriel Goodman, on l’aurait surprit en train de construire des figurine en pâte à modeler de lui et Gabriel pour les faire jouer et s’embrasser comme des poupées vaudou…

Incarcération

Motif d’incarcération: Meurtre sans préméditation
Durée de la peine: perpétuité
Incarcéré depuis: 6 mois.  
Aliéné? psychotique
Type d’aliénation: « psychose délirante chronique à tendance paranoïaque se traduisant par de la déréalisation et de la dépersonnalisation. Aussi tendance à de la cénesthopathie et à de l’automatisme mental. Son discours est parfois discordant et non systématisé.  »



Caractéristiques physiques

Taille: 1.59m
Poids: 57 Kg
Corpulence: finement musclé
Cheveux: noire d’origine, coloration rousse/rouge
Yeux: mélange de bleu/vert
Famille ethnique: occidentale
Modifications corporelle: Ayd ne paye pas de mine du haut de son 1.59m. La plupart du temps, c’est lui qui lève les yeux pour observer ses interlocuteurs. Et si on doit rajouter son poids à sa physionomie, il a une apparence fragile. D’autant qu’il porte facilement des vêtements amples,  ce qui n’arrange pas cette allure maladive.  Il n’est pas anorexique, mais il ne mange pas beaucoup, la nourriture n’étant pas sa priorité. Pour le faire manger, il faut user de nombreuses techniques de ruse… Si chez certains, la petite taille peut provoquer un sentiment d’infériorité, lui il en a fait une expérience. A chaque fois qu’il ‘parle’ avec quelqu’un, il l’observe du haut de sa petite taille, comme si c’était lui qui était dans la norme et qu’il vit dans un monde de géants. Pourquoi serait-ce lui qui devrait s’adapter. Ceux qui ne sont pas normaux, ce sont les autres…

Commençons sa description. Tout d’abord, ce qui marque le plus lorsqu’on le rencontre : Ses tatouages. Ils partent de ses avant-bras jusqu’au bout de ses doigts, couvrant pratiquement chaque centimètre de peau. La plupart représente des fleurs tribales. Un soleil noir est dessiné à l’emplacement de son cœur, cachant de ses faibles rayons un cœur obscur. Mais le tatouage qui est particulièrement impressionnant est celui qui lui sert de collier autour de son cou. Ecrit en grec ancien, tiré d’une citation, peut-être qu’il vous donnera sa traduction… Peut-être…

Une fois la surprise des tatouages, on ne peut qu’observer les nombreux piercings qui complètent sa panoplie. Attirant eux aussi l’attention. Tout est bon pour ne pas le voir réellement. Un piercing à la lèvre, un autre à l’arcade gauche ou encore plusieurs aux oreilles. Ils lui servent de protection efficace à son psychisme.
Attardons nous aux cheveux… Roux. Etonnant dans une famille où il n’y en a aucun… Les histoires de famille, nous y reviendrons. Ses cheveux donc, sont assez longs mais il les garde attaché, version improvisé, sans chercher à se donner un style. Heureusement que ces derniers sont assez souples et donne presque que c’est une coiffure recherchée.

Nous avons fait les tatouages, piercings et cheveux…. Nous sommes encore loin du compte. Les yeux ! Ah, des yeux variant entre le bleu, vert très foncés. Ils sont rarement clairs, même en présence de beaucoup de lumière – qu’il fuit d’ailleurs.

Quant au visage, il a  des traits réguliers, harmonieux, très fins. On pourrait presque le croire asexué. Aucune forme masculine si ce n’est ce qui lui tombe entre les jambes ou forme féminine : aussi plat qu’un œuf ! Ses hanches rappellent celle d’un ado qui a oublié de prendre sa testostérone.
Tient, oui, parlons du corps ! Ayd n’est pas vraiment ce qu’on appelle un costaud. Musculature classique d’un homme mais qui aurait tendance à être à la limite de la dénutrition. En même temps, quand on oublie de manger, ça n’aide pas. Il s’est un peu remplumé depuis son incarcération de fait qu’on lui donne un régime protéiné et qu’on lui donne un rythme.

Sa peau est laiteuse et il a tendance à rougir bien vite au soleil. Il évite d’ailleurs tous les endroits ensoleillés. Elle pourrait être belle mais si ce n’est qu’elle a été mutilée par les tatouages et les piercings, elle est porteuse de nombreuses scarifications. En particulier sur les jambes, faciles d’accès. Par moment, ce sont les bras qui prennent ses humeurs. Tout dépend de ce qu’il a en mains et de son autonomie physique à ce moment-là.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: hum…. égoïste, violent, solitaire, fragile, farouche, honnête, discret
Objectifs et ambitions: aucune, pour cela, il faudrait qu’il arrive à appréhender l’avenir.
Tocs et manies: scarifications et aime le gout du sang
Peurs/phobies: peur d’être touché, de se voir vivant.

Si on devait lire le dossier médical d’Ayd, on devrait certainement lire « psychose délirante chronique à tendance paranoïaque se traduisant par de la déréalisation et de la dépersonnalisation. Aussi tendance à de la cénesthopathie et à de l’automatisme mental. Son discours est parfois discordant et non systématisé.  »
Ça, c’est la version officielle et administrative de le ranger dans une case, histoire de comprendre qu’il n’est pas comme les autres.

Si nous analysons Ayden en fonction de sa pathologie, voilà ce qu’on noterait et analyserait :

Tout d’abord, Ayd parle facilement de tout et surtout de rien… Quand il a décidé qu’il parlerait. Si il est dans un mauvais ‘moove’, comme on dit, vous aurez bien du mal à lui tirer quelque chose si ce n’est un regard complètement mort.
Il regarde tout ce qui se passe autour de lui comme si il n’était pas présent en tant qu’individu mais juste en tant que spectateur. C’est assez déstabilisant pour celui qui se trouve face à lui. Et parfois, il revient et se montre complètement normal, comme si de rien n’était. Enfin… normal, tout est relatif, hein ?

Si l’envie vous prend de lui faire la conversation, il ne faut pas vous étonner de parfois son manque de logique ou de sa vision des choses. Encore une fois, il ne vit pas sur le même point de vue que vous. Comme tous psychotiques, il a du mal avec le second degré ou les métaphores. Il va plutôt tout prendre au pied de la lettre.

Cependant, méfiez-vous ! il est dit ‘malade’ mais il n’est pas stupide. Le contrôle de ses pensées reste très abstraits pour quelqu’un d’extérieur. Mais Ayd sait faire avec et survit avec ses automatismes mentaux. Il est dans un déni complet de sa maladie et reste persuadé de tout contrôler. Comme il contrôle tous ses gestes volontairement. D’ailleurs, il est furieux qu’on puisse dire qu’il a agi sous le coup d’une crise d’hallucination et d’une compulsion. Pour lui, il est seul maitre à bord et tous ceux qui cherchent à lui faire dire le contraire sont des ennemis. Dire qu’il est méfiant est un euphémisme.

Atteint de cénesthopathie, cela expliquerait ses scarifications selon les psy… qui pensent qu’il cherche à se débarrasser de ses hallucinations. Ayd voit des choses... Que personne d’autre ne voit. Cependant, il ne cherche pas à les tuer. La recherche de la douleur est une façon pour lui de se maintenir dans son corps. Le sang et son gout métallique une sorte de vaccin pour le maintenir dans la partie vivante de son corps.

La version médicale est faite. . Mais les quelques mots noirs sur une page blanche ne suffisent pas à dire ce qu’il est :
Ayden est un survivant. Un survivant de sa famille décomposée – sens stricte du terme. Un survivant de ses addictions.

Il se cache, se renferme derrière sa pathologie. Il fuit, dès qu’il peut, ce corps qui le rattache à un monde qui ne lui parait pas fait pour lui.
La mort ne lui fait pas peur et il en a une sorte de fascination. L’instinct de survie n’existe pourtant pas vraiment chez lui. Il est passé plusieurs fois à la case hôpital et presque morgue grâce à ses overdoses et quelques scarifications mal placées – ces quoi ces veines qui trainent au mauvais endroit ! –
Il est attiré par la lumière comme il la fuit, se doutant que ce n’est pas pour lui. Il cherche à être sauver d’une certaine manière. La pire qu’elle soit, en se perdant tout seul. Il n’a besoin de rien ni personne pour cela.

Concernant ses relations aux autres, là encore, il y a beaucoup à dire. Evoluer avec les autres, c’est le propre de l’être humain. Mais lui, il ne l’est plus vraiment. Entre deux mondes, il subit plus qu’il n’apprécie les relations. Il a horreur d’être touché, manipulé, voyant cela comme une agression. C’est en général ce petit détail qui a tendance à entrainer une crise de panique. Dans ces moment-là, il devient violent et dangereux, aussi bien pour lui que pour les autres.

Cela fait désormais 6 mois qu’il est incarcéré et qu’il prend un traitement et qu’il est suivit en thérapie.
Depuis, il est assez effacé et pour lui parler, il faut venir vers lui avec calme et patience. Il reste méfiant et garde son attitude paranoïaque. Il arrive à force de thérapie comportementale à serrer la main de temps en temps à quelqu’un. Normalement, le traitement est assez efficace mais il arrive à ruser et ne pas le prendre tout le temps, ce qui entraine des rechutes, obligeant à l’isolation.
Santé

Etat de santé générale: « psychose délirante chronique à tendance paranoïaque se traduisant par de la déréalisation et de la dépersonnalisation. Aussi tendance à de la cénesthopathie et à de l’automatisme mental. Son discours est parfois discordant et non systématisé.  »
Allergies ou addictions: aucune allergie. Addiction à l’héroïne et la morphine. Un joint aussi ne fait pas de mal.
Soins réguliers (traitements): anxiolytiques, psychotropes, thérapie, régime protéiné et traitement de substitution à l’héroïne

Histoire

Il a fallu 25 ans pour que  Ayden soit déclaré malade… 25 ans où il avait réussi à vivre dans la « normalité » et à éviter les situations d’angoisses. 25 ans où il avait réussi à ignorer les hommes et à vivre selon leurs règles. Comme son père  le lui avait appris à raison de semonces et de quelques coups de fouets. Ahlala, je vous entends déjà dire qu’il y avait mauvais traitement ! Peut-être… mais tout le monde ne devient pas fou pour quelques coups mal placés, si ?
Sa mère, Natasha était russe et était arrivée aux Etats-Unis avec des papiers tout ce qu’il y a en règle. Vive les mariages arrangés ! Son père l’a choisi sur catalogue. Un vieux – 51 ans – fermier veuf qui avait besoin d‘une femme à domicile. Il a payé cher mais a récolté une belle femme, blonde aux yeux bleus. Il l’exhibait comme un trophée dans la ville de péquenauds où se trouvait sa ferme.  
Je vous laisse imaginer la suite logique : un mariage d’amour bien entendu et une magnifique nuit de noce et encore quelques-unes après –notez l’ironie – pour donner 18 mois plus tard la naissance d’un petit minot. Pas bien grand mais avec l’envie de vivre. Sa mère n’eut pas cette chance, faisant une embolie pulmonaire après un accouchement pas mal sanglant… La vie n’était déjà pas tendre à son arrivée dans le monde réel.

Le père, vieux et dépassé tenta de l’élever avec ses valeurs de bon catholique pratiquant – trop ? –. Il lui apprit la politesse, les règles, les lois. Le tout… avec beaucoup de rigueur et de sévérité. Il en sortira un jeune garçon poli par nécessité, silencieux, ne se faisant jamais remarqué, se dépêchant d’anticiper les demandes de son paternel pour  éviter les corrections.

Son adolescence se passa sous le coup des reproches de l’homme qui se disait son père et qui l’accusait de tous les maux ! Oui, tous les maux ! Même la crise financière était de sa faute. Les guerres, etc. Vieil ivrogne qui ne faisait pas attention à ses propos, déchargeant simplement la frustration de sa vie sur son fils naturel. Quoi que… fils naturel ?! Il lui sortait régulièrement qu’il n’y avait pas de roux et que sa pute de mère devait avoir fauté ailleurs. Et puis, ça se voyait qu’il n’était pas net dans sa tête, ce gosse ! Il avait une apparence trop maladive et trop fragile ! Rien à voir avec lui, fort et costaud, hein !

Ayd grandit loin de tout contact. Allant à l’école, collège mais ne se mélangeant jamais à ses camarades. Pas de contacts déjà à cet âge. C’est peut-être une des raisons pour lesquelles on n’a jamais pensé à lui comme un psychotique ?
En revanche, si il ne se faisait pas remarqué dans les cours de récré et dans les clubs, il ramenait toujours les notes qu’il fallait. Au départ, elles étaient excellentes. Et bien que cela attirait l’attention et la jalousie, il continuait, considérant que c’était les autres qui n’étaient pas à niveau et pas lui. Très vite, il imagina un complot qui visait à le rendre moins intelligent et il évita les jeunes de son âge.

Les années passent et il reste à la ferme, aidant son père trop autoritaire. Il est vu comme un jeune homme sans histoire, réservé, timide. Bref, rien qui parait anormal. Lorsque le père meure d’un anévrisme, il quitte la ferme sans même se soucier de la vendre, laissant en plan les animaux et quitte la ville de sa naissance. Il a alors 21 ans.

New York… Grande ville qu’il ne connaissait pas mais qui l’accueillit les bras ouverts dans l’anonymat. Il pouvait être celui qu’il pensait être. Le fantôme, celui que personne ne remarque. Rien de bien passionnant dans sa vie. On l’ignore, il ignore. Il se montre suffisamment indifférent et hautain pour que personne n’ait envie de se lié à lui.
Mais comme tous jeunes qui arrivent et qui n’a pas d’argent, il se retrouve à trainer dans les rues, en mode survie. Il commence à toucher à ce qu’il ne faut pas et se rend compte que ça le change… le rendrait presque normal. Il se drogue, et s’arrange pour trouver de l’argent en volant. Il dort dans des squattes, dans la crasse et la misère humaine. Il ne côtoie ses semblables uniquement par nécessité. Dans la rue, il est vu comme un marginal. Ça lui convient.
Les associations qui aident les SDF le connaissent bien. Il refuse toujours l’aide et les évite temps qu’il peut. Sauf quand il est en overdose et qu’on le récupère, pas loin de clamser dans son coin. Mais dès qu’il peut, il remet le couvert, se donnant l’impression qu’il peut réussir dans ce monde qui n’est pas le sien.
Cependant, la drogue le fait décompenser et déclare sa pathologie.

Jusqu’à ce jour, à ses 25 ans… Tout bascule. Il traine dans un quartier peu recommandable, après un shoot.  Il n’est pas vraiment sur ses gardes, ne réalisant pas vraiment ce qui se passe autour de lui. Une bagarre se déclenche devant lui. Il apprendra plus tard que c’était un proxénète et une de ses employées. Les mots fusent, une gifle est donnée puis une seconde. Ayd ne réagit pas vraiment à la violence, se demandant juste si il doit partir ou non ? Qu’est-ce qu’il devait faire ? L’homme le remarque  alors que la femme pleure, par terre. Il se dirige vers lui, furieux et l’incite à partir, l’insultant de tous les noms. Au départ, il pousse Ayden. Ce dernier n’aime pas être touché et averti de ne pas recommencer, sentant la tension de l’homme et l’angoisse qui monte. Le macro continue, l’agressant…

Trou noir pour Ayd. La prostituée témoignera plus tard qu’il  était devenu comme dingue. Un vrai démon et avait tué à mains nus son employeur. Il s’était défoulé sur lui, même une fois que le corps ne respirait plus.

La première réaction des autorités est de l’enfermer et le faire suivre par un établissement pour personnes dérangées – disons-le clairement !
Sauf qu’encore une fois, alors qu’il est en entretien avec une infirmière, celle-ci fait un geste dans sa direction et le touche… Encore fragile de sa crise et encore dans un mode d’angoisse intense, Ayden se jette sur elle et l’étrangle puis s’acharne sur elle avant de reculer, tituber et tomber en arrière. Cette mort, il la ‘voit’, il s’en souviendra. Surtout l’agression qu’il vit ensuite – oui, oui, tout est relatif, mais c’est lui la victime, il ne faut pas l’oublier ! –

Le sang coule sur ses mains alors que la vie quitte le corps allongé sous lui. L’homme fixe la femme, ses cheveux blonds désormais tachés de sang et perdant bientôt leurs brillances pour ne devenir que ternes. Il fixe la poitrine qui se soulève avec des soubresauts, difficilement. Le cœur se bat pour continuer sa fonction, pour survivre. Mais le coup porté dans l’œil a frappé le cerveau. L’hémorragie cérébrale est inévitable et il sait que ce n’est qu’une question de secondes. Il sait ? Il pense qu’il sait. Son esprit est fixé sur le sang qui quitte l’orbite détruite. Il le fixe, hypnotisé. Etait-il réellement là ? Etait-ce la réalité ou encore un de ses cauchemars… ? Il se pose encore la question tandis que dans un brouillard audible, il sent que plusieurs mains l’agrippent, des voix crient. On le plaque à terre. Il se laisse faire, complètement déconnecté de la réalité, les yeux tout aussi vides que le corps qui ne contient plus d’âme à ses pieds… Il vient de tuer pour la seconde fois…On le plaque par terre, il grimace à peine sous la douleur de la rencontre de son menton avec le sol. On lui injectera une camisole chimique et on lui mettra des contentions…

On le diagnostiquera plus tard comme psychopathe… La suite, vous la connaissez…

Trop dangereux, le juge décidera de l’envoyer ici… Dès son arrivée, il est complètement instable et on ne peut le contrôler. On prescrit l’isolement le temps de gérer son traitement. Par la force des choses, les gardiens, psy et docteurs y arrivent et autorisent enfin, au bout de six mois, sa sortie de l’isolation… sous grande surveillance.

Côté joueur

Pseudo : ziza
Âge : ~
Comment as-tu trouvé le forum ? je me suis perdue °°
As-tu des remarques à  faire ? yé vous aime encore <3
As-tu un double compte: voui, Harvey et Ty
[/b]
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Anonymous





Invité
Invité
Lun 26 Oct 2015 - 19:22
Tu es validé !


Wow ! Il est bizarre celui là ! J'ai pas envie de lui chercher la merde même s'il est tout petit. Vous êtes tous fous de toute façon ! GRRR ! Mais j'aime ce personnage, je sens que je vais aimer tous tes personnages en fait. xD

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des colocataires là, si tu es un aliéné.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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