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Law McKenzie

Anonymous





Invité
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Mer 22 Avr 2015 - 0:51

Law McKenzie


Avatar : Sui de Mezamero on DA

Identité
Nom: McKenzie
Prénom: Law
Surnom: Lake
Âge: 25 ans
Nationalité: Américaine
État-civil: Célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: Law McKenzie a les cheveux roses… Mais apparemment c’est une coloration qui a mal tourné mais il n’oserait pas l’avouer donc fait croire à tout le monde que c’est voulu.

Incarcération

Motif d’incarcération: Viol avec séquestration de plusieurs jours entraînant la mort.
Durée de la peine: Perpétuité
Incarcéré depuis: Vient d'arriver.



Caractéristiques physiques

Taille: 1M88
Poids: 80 kilogrammes
Corpulence: Plutôt musclé, avec une bonne carrure sans pour autant être bodybuildé.
Cheveux: Longs, teints en rose.
Yeux: Chocolats
Famille ethnique: x
Modifications corporelle: A part les veuch, R.A.S.

Sans avoir l'air d'une armoire à glace, je me tiens sans problème dans une bonne moyenne de personnes grandes et fortes. J'ai des muscles, et ils sont pas arrivés par l'opération du saint esprit. Bizarrement la nature m'a fait de façon à être plutôt bien proportionné et sans trop de troubles physiques. J'ai simplement la colonne vertébrale qui se voûte un peu, parce que je me tassais souvent en étant plus jeune. Puis de toute façon, on s'en branle de ma colonne. J'ai la peau claire et des yeux bruns, des cheveux naturellement lisses d'une couleur rose. Bien sûr, gros malin, c'est une teinture, mais c'est la seule chose que j'aimerai garder et je ferais bien des choses pour qu'on m'donne l'opportunité de prendre soin de ça. Je me les teinds depuis mon adolescence, c'est pas maintenant que ça va changer ! Pour ma couleur dite "naturelle", je suis brun. Et je trouve ça relativement moche. Mmmh. Niveau physique, je pense pas que j'ai autre chose à ajouter, vous voyez bien non ? Et peu importe de vous raconter comment je me fringuais avant, bien que j'aimais plus ou moins le cuir et les trucs relativement serrés, t'façon ici on est logé avec des combinaisons un peu moche quand même.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Arrogant | Violent | Protecteur | Ambitieux | Misogyne |  Vulgaire | Impulsif | Courageux | Paresseux | Bizarre | Narcissique | Pervers | Dragueur | Presque amical | Souriant | Bitch please I'm fabulous ?
Objectifs et ambitions: M'casser de ce trou à rats, baiser et dormir.
Tocs et manies: Craquage de phalanges à répétition, sinon, rien.
Peurs/phobies: Dégoût profond des femmes, peur de la parentalité et il a le vertige.

Je ne sais pas qui tient ce dossier, mais il doit être folklo. Bref, si je devais me décrire en quelques mots... Je me trouve pas si insupportable, je crois même que si j'étais vous, je m'aimerais et j'aurais plutôt envie de coucher avec moi-même. Mais de là où je suis, ça s'appelle la branlette, et c'est pas chouette mais on s'y fait quand on a que ça comme... Quoi je suis porté direct sur la chose ? Vous m'avez demandé de parler de moi, je parle de moi, putain. Vous êtes peut-être pudique, pas moi, malheureusement. Ou alors vous avez un problème avec les hommes. Ah ça, toutes les femmes ont un truc qui tournent pas rond avec les hommes. On a toujours été supérieur et ça vous a toujours énervé. D'ailleurs je sais même pas pourquoi je réponds, ça avance à rien de parler avec le sexe faible. Bref. J'aime le cul, et ça a toujours été, mais vous en faites pas, vu vot' gueule j'oserais pas tremper le biscuit. T'façon je préfère le café au yahourt alors je passe mon tour.
Sinon, avec les membres membrés et intelligents de la planète, je pense que je m'entends relativement bien, que je suis pas trop trop chiant mais qu'il faut pas me chercher trop non plus. J'en viens rapidement aux poings et je défends ce qui est à moi. J'aime bien l'exclusivité, m'voyez, chacun chez soi. Et chez moi, il n'y a que moi et ma perfection naturelle, bien que je crache jamais sur de la compagnie sans attache. Mais ça vous pouvez pas comprendre, vous les femmes.

Santé

Etat de santé générale: Bonne
Allergies ou addictions: Aucune à ce jour
Soins réguliers (traitements): x

Histoire


Dans la fratrie McKenzie il y a l'aîné, c'est-à-dire moi, et les deux sous-merdes qui me servent de suivants. Je suis leur aîné de deux ans pour le cadet et de quatre ans pour la benjamine. C'est à mes neuf ans que nos parents biologiques sont morts d'un accident de voiture et que nous, fratrie McKenzie, sommes séparés pour partir dans deux familles d'accueil respectives. Maksim et Klara d'un côté, et moi, seul de l'autre.

Je ne sais pas comment ça s'est passé pour eux, mais pour moi, c'était un enfer sans nom. Le couple m'ayant recueilli, d'adorables et nobles personnes, me donnait autant à penser que j'étais gâté, autant à penser que je n'avais rien. Ils m'avaient recueilli avec, semble-t-il, l'espoir que je sois leur fils. Mais merde, j'avais déjà neuf putain d'années, et s'ils pensaient me lobotomiser le cerveau avec leur amour à deux dollars et vingt cents, ils pouvaient se carrer l'avant-bras dans l'oignon.

Pardon, je m'emporte. Bref, toujours est-il que j'ai grandi dans cette atmosphère pseudo-familiale reconstruite, avec un couple au-dessus de moi qui enchaînait de plus en plus les disputes. J'étais un pré-adolescent, tout ce qu'il y a de plus fripon et de rebelle, prônant son existence et se démarquant des autres mecs, à coup de teinture et de coups de poings. J'ai souvent été traîne dans les bagarres à l'école, et ça ne me dérangeait pas plus que ça. J'étais presque devenu une petite terreur, mais j'avais mes amis, les filles qui papillonnaient autour de moi. Quoi rêver de mieux. J'avais oublié mon frère, et ma sœur derrière moi. Mais voilà, mon calvaire reprenait quand je rentrais chez "moi". Ils se disputaient encore, parfois c'était à cause du chien, parfois à cause du travail. Parfois c'était à cause de moi, n'étant pas une étoile dans mes résultats scolaires, et passant plus de temps à foutre des gnons au voisin ou à faire du basket qu'à étudier. Mais je faisais profil bas, et je mangeai la tête baissée.

Bien que je crache sur mes deux parents adoptifs, j'avais beaucoup de compassion pour Morgan, mon "père". Des deux, c'était le seul qui semblait me favoriser au fil des années, et à toujours essayer de me faire plaisir. Il m'embarquait voir des matchs, ou m'achetait une BD que je suivais à l'époque. Il n'était pas très costaud, pire que ça, Morgan était l'archétype d'une crevette soumis à sa femme. Mais je l'aimais beaucoup. Alors, ce fut un choc monstrueux pour moi, gamin de quatorze ans, de le voir se faire battre. Battre par une femme, alors que je rentrais plus tôt des cours. Il y avait eu une histoire entre la voisine et lui, si je me souviens bien et ma mère avait péter un plomb. Il s'en est sorti avec des lésions et des séquelles, devenu aveugle suite à cet incident. Ma mère est partie, comme on peut l'imaginer et je suis resté un long moment en tête à tête avec Morgan.

Cet incident m'a profondément marqué, si marqué que j'ai commencé à me méfier de la gente féminine de mon lycée quand j'y suis entré. Pourtant, quel lycéen refuserait les avances de jolies demoiselles, dans l'espoir de tirer un coup le samedi soir ? Aucun. Sauf les gays. Et même si j'avais déjà à l'époque une sexualité assez ouverte, je n'avais pas envie de tout envoyer en l'air. Malgré ma réticence de relation, ayant bien saisi plus jeune que faire écarter les jambes d'une demoiselle était plus simple que garder son cœur, j'ai eu des aventures, avec des filles, avec des garçons. J'ai même fait grimper mes notes après un cours de maths, en flèche.

Et puis il y a eu cette fille, plus jeune que moi. J'avais 21 ans, comme je l'ai dit j'étais un peu un cancre et j'ai souvent retapé. En vérité, j'ai retapé trois fois, mais je ne me souviens plus quelles années exactement. Bref. Cette fille, qui entrait au lycée que j'allais quitter à la fin d'année. Une tête dans son genre, un peu marginale, avec des cheveux bleus ciel, et des piercings. Elle est devenue ma protégée en très peu de temps, et j'en oubliais ma méfiance. Mais je n'aurais pas dû. Déjà parce qu'elle est très vite devenue chiante, collante, trop affectueuse avec moi. Au début ça allait, je me disais que c'était peut-être un stratagème pour mieux me la faire au final, même si j'avais beaucoup d'attachement pour elle. Mais pour que je l'avoue, grattez-vous le cul sur un épluche-légume. Ça commençait a devenir relativement ambigu entre nous, au final et on a fini par coucher ensemble. Au début naïvement, chez moi, au lycée puis un peu partout. On s'entendait bien, de corps comme d'esprit. Pourtant, le coup de couteau que je me suis pris ensuite a fait de moi ce que je suis maintenant.

Un jour de pluie, normal, banal. J'avais froid et elle aussi, on est parti s'abriter chez elle. Au final, ses parents au boulot, on a fini par s’adonner à nos plaisirs communs. Jusqu'à être dérangé par son frère, revenu plus tôt du lycée. Vous connaissez la main du destin qui vient vous gifler tellement fort que vos dents se font la belle ? Moi, oui. J'étais nu, elle aussi, je vous fais pas un dessin, et le mec qui venait de débarquer avait eu le même bug cérébral que moi.

« Maksim ? » que j'avais dit. J'avais mis ma main au feu. Je n'étais pas heureux de le revoir. Parce que j'avais été lâche et j'avais fui en étant môme. Et parce que, si il se tenait devant moi, celle avec qui je couchais... C'était ma sœur. Pire que le dégoût de moi-même, de cette sale sensation d'avoir violé les lois de l'inceste, elle le savait. Depuis le début. Elle savait que c'était moi. Et moi, j'étais là, comme un con.

Après quoi, je les ai rayé de ma vie en décidant de partir en lâchant mon diplôme même pas obtenu. Dupé, et surtout profondément trahi, j'ai quitté notre petite région pour survivre ailleurs. J'évitais les femmes comme la peste, devenant ce genre de sale type qui crachait à la gueule d'une supérieure ou de siffler mollement les jupes trop courtes. Les femelles, très peu pour moi. J'ai été barman dans une boîte pendant le reste de mes jours de liberté. Parce qu'évidemment, pour raconter mon histoire derrière les barreaux, vous vous attendez à dat epic péripétie qui explique le pourquoi du comment je suis arrivé ici.

C'était un soir où je bossais, la boîte de nuit battait son plein. Une de ces boîtes gays à t'en filer une trique monstre rien qu'en regardant les étalons se remuer entre eux. Mais évidemment, moi, j'étais là, derrière mon bar à astiquer les verres et rien d'autre. Bref. Parmi les beaux étalons y'avait évidemment des lesbos par-ci par-là, qui retenaient mon attention que parce qu'elles me donnaient du fric. Je faisais exprès de corser les doses d'alcool d'ailleurs. Mais sinon, elles n'avaient pas mes regards ni rien d'autre. Sauf une, au bout du bar, qui avait pleuré du petit soir au petit matin. J'aime pas les femmes, c'est chiant, c'est collant et ça hurle. Mais une femme qui pleure, ça devient pire que tous mes soucis réunis. Et le patron, entre deux paires de fesses ramenées de la soirée, allait gueuler si je ne virais pas tout le monde à la fermeture. Elle m'a demandé si je pouvais l'accompagner, elle avait trop bu qu'elle disait. Alors j'ai voulu la raccompagner, je vous le jure, mais en chemin j'ai découvert que cette demoiselle aux yeux si bleus était en fait un garçon. Ça m'a un peu rassuré, je crois, et on a commencé à bien parler, je l'ai même invité chez moi. Après tout, pourquoi diable me parler autant pour ne rien faire ensuite.

Parce que très sincèrement, moi j'avais envie de soulever sa jupette. Et bien que ça m'avait énervé de voir un travelot, la lingerie fine sur un mec apparemment délicat, ça me dérangeait pas. Au contraire. Passons... Ça avait commencé dans ma voiture, que j'avais coincé dans le parking au sous-sol, en prenant soin d'érafler la carrosserie. Il avait un corps fin, très mince, si il n'avait pas été dans la boîte de nuit, j'aurais jugé bon de lui donner une quinzaine d'année tout au plus.  Peut-être était-ce à cause de mon abstinence de quelques semaines ou par toute cette lingerie, je n'ai pas su m'arrêter à la bonne limite avec ce mioche.

Le pire, c'est que sur le coup, je savais que je m'embourbais dans une connerie. Mais c'était si bon, que j'aurais pu mourir sur place. Après quoi, je l'ai emmené dans mon appartement pour continuer mon affaire. J'ai dérapé, j'ai déconné. Son corps refusait, mais je lui arrachais ce qui semblait être un semblant d'innocence. Pour moi l'innocence, ça sonnait creux et vide de sens. Mais je pouvais pas le laisser repartir comme ça et finir aux griffes de la justice. Je devais le garder, quoiqu'il advienne, même s'il fallait que je le tue. J'ai vraiment pensé ça sur le coup et ça me glace les sangs d'y repenser. Deux jours plus tard, j'étais encore en train de le prendre, sur le lit défait qui puait le foutre. Je délirai totalement, en l'appelant ma muse, muse attachée au lit avec des ceintures en cuir. Muse que je traitais de salope, de travesti, de sac à foutre et de traîné.

Parce que j'avais peur à la fois, et le danger m'excitait encore plus. Malheureusement, une semaine et demi plus tard, alors qu'il commençait à maigrir plus encore, les flics ont débarqué. J'ai su après que c'était mon absence au boulot et mon absence de réponse aux appels qui m'ont trahi, les collègues ayant appelé les flics pour avis de recherche. Et pour me chercher, il n'avait pas trouvé que moi ! Pour une fois que la police est compétente dans ce domaine. Le mioche était bien mal en point quand ils sont arrivés, et a succombé aux blessures sur la route de l'hôpital, blessures que je lui avais administré au court de sa séquestration. Coup de ceintures, morsures, griffures et autres marques faites sous le coup de ma passion sexuelle et dévorante. Ce type, je ne connaissais même pas son prénom, et je ne le saurais jamais. Ma muse, c'était là la seule appellation que je gardais de lui, putain. J'avais totalement fantasmé sur lui, et à la fois je m'étais vengé de toutes ces femmes, ces femelles du sexe faible qui manipulaient les hommes comme de vulgaires poupées de chiffon.

« Viol avec séquestration, avec traitements cruels, coups et blessures entraînant la mort de la victime. » - Une peine maximale pour moi, me retrouvant dans un nouveau tournant de ma vie à purger la perpétuité. Chouette, plein d'occasion de me faire des nouveaux potes. Ahah... L'enfer existe.

Côté joueur

Pseudo : Aka
Âge : 19 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? Opération du dieu random
As-tu des remarques à  faire ? Nop
As-tu un double compte: Noplus
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Anonymous





Invité
Invité
Mer 22 Avr 2015 - 0:58
Tu es validé !


T'es qu'un con. Voilà. *Grogne* Je t'ai déjà dis ce que je pensais de ta fiche (plus ou moins) mais tu m'as foutu une belle claque. Je ne sais pas si on doit être triste ou le détester.... ♥

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens ou encore consulter la liste des colocataires ici si tu es un détenu.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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Law McKenzie
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