-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 :: Rémission :: Corbeille :: Les rps Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Lequel des deux loups mangera l'autre?

Anonymous





Invité
Invité
Jeu 29 Jan 2015 - 21:28
Voilà deux jours que je suis entre ses quatre murs, accompagné d’un décérébré complètement contrôlé par ses désirs sexuels et maso. Deux jours….j’ai l’impression que ça fait une éternité que je suis ici, je m’emmerde comme un rat mort. Je ne fais rien à part dormir et fixer le plafond, ce n’est quand même pas très intéressant. Je sais que je pourrais sortir d’ici et me balader comme les autres mais, je dois passer avant, il me semble, un contrôle médical approfondi….Ils veulent dire quoi par approfondi ? …A croire que sans ce contrôle médical, on pourrait ramener la peste de dehors.

Je me lève de mon lit en soupirant pour aller récupérer mon verre d’eau sur la table, je tourne a deux à l’heure, mon cerveau ce ramolli a force de rien faire. Quand on est chez soi, qu’on a la liberté de choisir de s’ennuyer c’est quand même différent. On prend un livre, on regarde la télé, ou on étudie, comme j’aime faire, mais là, y a strictement rien...le néant…on a juste envie de ce foutre en l’air. Je porte mon verre à mes lèvres, regardant en coin mon colloc qui pionce dans un sommeil agité. Même endormi il ne peut pas se tenir tranquille celui-là. Je repose mon verre quand j’entends des pas remonter le long couloir qui mène à ma cellule.  Un gardien s’arrête en face et m’observe, d’un geste de la tête il me fait comprendre d’approcher. Je suis un peu réticent, on ne me parle pas comme ça. S’il veut quelque chose il a cas ouvrir sa gueule. Au lieu de venir à lui, je retourne m’installer confortablement sur mon lit, ignorant sa présence.

Gardien : Hey ! T’es aveugle ou t’es con ? J’te dis de venir aux barreaux.

Je lève un sourcil, le regarde en coin, il m’agace avec ses grands airs. Je suis sûr qu’il ferait dans son froc si j’avais ce qu’il fallait sous la main pour travailler mon art sur son corps. C’est toujours facile de faire le paon quand on est en sécurité derrière des barreaux ou qu’on entrave la personne dite dangereuse. Mais si cette personne se débrouillait pour être face à lui sans artifice qui le bloquerait, il partirait la queue entre les jambes.

Gardien : Bouge ton cul Jaeger ! C’est l’heur de ta visite médical…Mais bon, si tu préfères croupir dans cette cellule h24, libre à toi de rester sur ton lit miteux.

Aaaah le sale type…il sait très bien que je vais me lever maintenant. Il en profite bien. Je vais rester zen, évitons tout accro surtout s’il doit m’accompagner je ne sais où. Je me lève et approche les barreaux, l’observant sans ciller, d’un air neutre et calme.

Gardien : tend les bras entre deux même barreaux

Je m’exécute et voilà qu’il me menotte. Je me laisse faire, restant placide. Il ouvre la cellule et je sors dans le couloir. Je pourrai l’étrangler avec les menottes….je soupir, oubliant mes idées d’agression.  Il valait mieux que j’évite de trop me faire remarquer pour le moment. Il me pousse dans le dos avec une matraque, j’avance tranquillement. On marche quelques minutes pour arriver devant une porte blindé, il l’ouvre et m’indique d’entrer d’un geste de la tête. Encore une fois, je m’abstiens de faire une remarque et j’entre dans la pièce. Elle est complètement noire, il n’y a aucune fenêtre et reste très désagréable et froide. La porte se referme derrière moi, je reste planté au milieu de la pièce, dans l’ombre, attendant le médecin pour mon contrôle médical.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Ven 30 Jan 2015 - 13:34
Lequel des deux loups mangera l'autre ?
Lequel des deux loups mangera l'autre? 5410
Avec : Jiro Jaeger

La journée venait de commencer tranquillement, le soleil offrait un peu de clarté, passant a travers les rideaux tirés du dortoir du personnel, dans lequel le docteur avait passé la nuit. Trop fatigué pour rentrer...  Il ouvrit les yeux en remarquant que ce n'était son chez lui, sinon une boule de poil orange serait venu se frotter a son visage dès le matin pour réclamer un câlin en ronronnant. Se redressant doucement, les cheveux en bataille, les yeux mi clos et sa respiration lente, Andrew bailla directement, rien qu'a l'idée qu'aujourd'hui , il devrait inspecter deux détenus.  Sortant de ce lit, qui était plutôt confortable, malgré le fait que son propre lit était bien meilleur, le médecin attrapa rapidement un teeshirt dans son sac et un caleçon avant de filer vers les douches.

Une fois requinquer par ce moment de détente sous l'eau chaude, Andrew revient vers son sac pour enfiler son jean et sa blouse blanche, pour enfin filer vers son bureau, pour examiner les dossiers des deux patients de la journée. Les couloirs étaient désert et tranquille, en même temps, à cette heure ci , les détenus devaient être au réfectoire pour prendre leurs petit déjeuner.  Pensant a rien, avançant tout simplement, avant d'atteindre le coin médicale. Il entra dans son bureau, sur la porte il y avait écrit *Médecin en chef : Andrew Blackless*...  A peine arrivé, celui ci fit en sorte que sa machine a café fonctionne, tout en regardant le premier dossier, apparemment c'était un détenu normal, puis jetant un œil au second, il vit le mot Aliéné en gras a coté de sa photo. Un sourire se dessina sur son visage, car non seulement il était intéressant, mais en plus son dossier en disait long sur lui. Prenant sa tasse en main, celui ci observa le ciel de sa fenêtre pour enfin soupirer de lassitude face au tant dehors; le soleil n'avait pas duré longtemps, des nuages gris se formaient déjà au dessus de la prison.

Terminant son café, celui ci prit son sac de soin qu'il prenait toujours avec lui pour les examiner, son stéthoscope autour du cou, celui ci sortit de la pour se rendre dans les sous sol. Oui le gardien qui avait prit soin de déplacer le détenu de la cellule n°2, lui avait indiqué qu'une cellule d'isolement serait mieux qu'un bureau remplit d'ustensile. Lisant son dossier, celui ci pu lire qu'il ne nommait Jiro Jaeger, qu'il faisait 1m70, que d'après son poids, il ne devait pas être large. Arrivant devant la cellule, celui ci regarda a travers le petit cache qui donnait sur l'intérieur, il remarqua qu'il faisait sombre la dedans.

Un frisson le parcouru d'un coup, le médecin ouvrit la porte de la cellule d'isolement, respirant un grand coup en entrant. Appuyant sur l'interrupteur, celui ci fit apparaitre la lumière, la pièce ne présentait pas de fenêtre, ce qui pour un claustrophobie pourrait poser problème. Referme la porte puis regard le détenu en gardant son visage froid, même s'il le trouvait beaucoup mieux en vrai que sur la photo jointe avec le dossier. Passant devant lui sans s'arrêter, Andrew posa son sac sur la table dans le fond, prenant ensuite le dossier pour en sortir une feuille d'examen médicale, préparant un stylo pour cocher ou répondre aux divers phrases. Notant le nom et prénom du détenu, celui ci porta enfin son attention vers lui, disant d'une voix rassurante :

"Tu peux t'asseoir Jiro, je m'occupe de toi dans quelques secondes."

Oui il aimait bien tutoyer les détenus, peut être par naïveté ? Qui sait ? Enfin bref, il lui avait montré du doigt le lit qui servait pour examiné les patients ou encore qui servait quand les détenus étaient enfermé ici pour la nuit. On avait le droit de les torturer, mais on les bichonnaient tout de même un peu. Termine de griffonner sur la feuille puis pose son stylo pour pointer son regard rouge vers lui. Respire calmement avant de se lever et d'approcher de lui en disant :

"Je vais regarder si tu n'as pas de problème de respiration, mais avant tout, j'aimerai que tu retire ta combinaison, du moins pas entièrement, juste assez pour que je puisse accéder a ton torse et ton dos sans qu'un vêtement me gêne..."

retire son stéthoscope de son cou avant de le garder dans sa main en observant le détenu, pour enfin dire , car il avait oublié de se présenter :

"Je suis le Docteur Blackless. Au cas ou tu te le demandes. Mais tu peux m'appeler Doc ou Docteur, ça suffira"

Il ne donnait presque jamais son prénom, ou alors juste pour avoir le plaisir d'entendre son amant ou partenaire soupirer celui ci pendant qu'il fait l'amour. Ses pensés furent ramener a la raison quand il posa ses yeux dans ceux du patient aliéné devant lui. Pour le moment il ne l'avait pas toucher, ne voulant pas le brusquer, car dans son dossier, il était écrit qu'il n'aimait pas qu'on le touche, mais pour l'examiner il n'avait pas le choix, alors il lui annonçait d'avance qui allait faire, le prévenant en quelques sortes...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Ven 30 Jan 2015 - 17:48
L’obscurité totale dans laquelle je me trouve ne me permet pas de bouger des masses. J’essaie de me faire à la pénombre, mais vu qu’il n’y a aucune trace de lumière qui filtre à l’intérieur, je pourrais essayer encore longtemps. La seule chose que je peux observer, c’est le contour du hublot qui est légèrement lumineux par la lumière extérieur. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici exactement, peut-être 20 ou 30mn mais j’en ai déjà assez de patienter dans le noir. Ils auraient pu me chercher un peu plus tard si c’était pour me laisser poireauter comme ça. Ou alors, peut-être que ça les amusent ?

Je me demande quand même à quoi va ressembler ce médecin. Quand j’y allais avec ma mère, c’était des mecs en blouse blanche, avec souvent des lunettes et un air de premier de la classe, très snobe ou parfois un peu bizarre avec leur vocabulaire scientifique.  Mais vu l’endroit, je ne pense pas qu’on laisse entrer ici un médecin aussi…..classique. Je me trompe peut-être, j’espère qu’il va bouger son cul parce que là, je m’impatiente. A peine pensais-je à cela que le hublot laissa entrer de la lumière. Etant face à elle, je n’ai pas pu bien distinguer le visage de la personne qui m’observe. Je plisse les yeux mais rien y fait. Le hublot ce referme pour enfin laisser la porte s’ouvrir.

La lumière arriva bien trop brusquement à mes yeux, je les ferme  deux secondes puis les rouvre lentement, m’habituant ainsi plus facilement à ce changement. Le cliquetis de la porte me fait comprendre que nous étions maintenant enfermés  tous les deux dans cette pièce à rats. Son regard se pose sur mon visage, il est placide, il semble avoir la tête sur les épaules. Et il ne ressemble pas du tout à ce que je pouvais m’imaginer. Je le suis du regard, il passe à côté de moi sans une once d’appréhension, je suppose qu’il a dû en voir des cas ici. Il s’installe tranquillement, posant ses affaires sur la table du fond, sortant un dossier et un stylo. En fait, il est comme les autres, ils ont tous ce petit truc quand on les regarde. On a envie…de les faire chier….de leur donner du fil à retordre. Ils sont souvent très placides et répondent avec des phrases qu’on a du mal à comprendre, afin de se protéger en cas de mauvais diagnostique. Je ne sais pas comment ce contrôle va finir, mais ça dépendra de lui…

"Tu peux t'asseoir Jiro, je m'occupe de toi dans quelques secondes."

Super ! Tu m’as fait poireauté 30mn dans le noir, ce n’est pas quelque secondes qui vont changer grand-chose. Je l’observe avec ses papiers, je reste aussi calme que lui attendant qu’il daigne commencer son foutu contrôle médical. Il m’avait montré du doigt le fond de la pièce ou se trouvait un lit. Je suppose qu’il veut que j’y aille et m’y installe tranquillement comme un bon garçon. Tss, naïf, même si j’y vais tranquillement, les choses finiront bien par tourner au vinaigre… Parce qu’il est hors de question qu’on me touche.

Je n’ai pas bougé d’un pas continuant de l’observer silencieusement. Il lève son regard sur moi, je peux prendre un peu plus de temps à l’observer. C’est quoi ces yeux rouge, il fait du cosplay ou quoi ? Ou alors il se donne de la force en croyant intimider els personne qui le regarde ? J’avoue que c’est un peu dérangeant car ça sort de l’ordinaire…je n’aime pas les choses qui reflète pas la société dite « normal »

Il me sort maintenant de me déshabiller pour m’ausculter… J’hésite, je ne sais pas trop quoi faire pour le moment. La situation est plutôt propice à la discussion, je pourrais peut-être tirer en longueur et cerner un peu ce personnage.

Je n’avais pas bougé de ma place, il se tenait maintenant face à moi, je pose mon regard sur son stéthoscope un peu agacé puis le fixe nouveau dans les yeux.

"Je suis le Docteur Blackless. Au cas où tu te le demandes. Mais tu peux m'appeler Doc ou Docteur, ça suffira"

Je connais son nom, c’est déjà bien. Je me passe la langue sur la lèvre supérieure, réfléchissant à ce que j’allais lui dire.

- Mr Blackless, je suppose que vous avez bien lu mon dossier et je n’accepterais donc aucunement qu’on vienne me toucher. Il est donc aussi certain que je n’enlèverais pas ma combinaison.

Contrairement à lui, je garde le vouvoiement afin d’instaurer pour le moment une certaine distance entre nous. Je lui tourne le dos pour aller vers le lit au fond de la pièce, puis me retourne fa ce à lui. Je m’assis tranquillement en croisant les jambes et les bras fermement.

- Que comptez -vous faire dans cette situation….Docteur ? Nous sommes dans une impasse pour le moment, il faut trouver une solution qui nous satisfera tous les deux. Sauf que je n'ai rien a vous proposer

Je voulais tester les limites de cet homme et sa façon de procéder. Ca me permetrait aussi de comprendre les limite d'action des employés de cette prison. Pourrais-je le manipuler, ou devrais-je m’en méfier ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Lun 2 Fév 2015 - 10:16
Lequel des deux loups mangera l'autre ?
Lequel des deux loups mangera l'autre? 5410
Avec : Jiro Jaeger

C'est fou comme les détenus adoraient tester les limites du médecin en chef de la prison. Mais comme ce n'était pas la première fois qu'on lui tenait un peu tête, celui ci garda son calme, même s'il ne fallait pas non plus poussé mémé dans les orties...La personne qu'il avait devant lui, était un aliéné, une personne ayant un passé par très joyeux, mais qu'en plus de cela, celui ci n'était pas bien mentalement, un malade pour faire simple. Revenant a la situation, le détenus était en train d'appuyer son dossier, disant qu'il refusait catégoriquement de se laisser toucher par qui que ce soit, et que de plus il n'enlèverait surement pas sa combinaison... Le docteur haussa un sourcil avant de l'entendre dire qu'il faudrait surement résoudre cette impasse... Mais quelle impasse ? Pour Andrew il était clair que celui qui flancherait ne serait surement pas lui, car généralement il avait deux solutions a ce genre de comportement. Soit il l'attachait pour pouvoir faire son travail tranquillement, ou alors il redemandait gentiment au détenu de bien vouloir obéir. Mais celui ci ne semblait pas du tout apte à accepter de coopérer, donc avec une voix calme mais froide, Andrew dit :

"Bon, je vois que je vais devoir t'exposer la situation..."

Soupire calmement d'amusement , puis avec un sourire malsain, il continua :

"Soit tu obéis sagement en retirant de toi même cette combinaison pour que je puisse faire mon travaille tranquillement, ou alors je fais appelle a mes pouvoirs... C'est a dire que je demande a des gardiens de bien vouloir venir m'aider..."

Le médecin s'approcha  du détenu et le regarda de toute sa hauteur avant de dire avec le même sourire :

"Mais si j'en crois ta réticence a être toucher... Je ne pense pas que tu aimerais voir ses gardiens te toucher, te déshabiller... Puis j'aimerai que ça soit clair entre toi et moi, si jamais je prends cette option, je suis persuadé qu'a la fin de l'examen, ces gardiens auront surement qu'une seule envie, après avoir vu son corps nu. Je te laisse deviner quoi ? "

Puis le garçon avait parler d'arrangement... Qu'est-ce que c'est ? Depuis quand on marchande avec le docteur ? Un radoucit son visage et se pencha légèrement vers lui a quelques centimètres de lui, le matant de haut en bas, passant de ses lèvres à son buste pour descendre plus bas. Puis il dit qu'une voix suave:

"Donc je te laisse le choix. Soit tu obéis, et passe un bon moment avec moi. Ou alors c'est l'humiliation et la perte de crédibilité pour toi... Et pleins d'attouchement pour les gardiens affamés de cette prison."

Se redresse puis va vers le lit qui devait servir pour l'auscultation, s'étire un moment puis saisissant son stéthoscope, celui ci regarda en arrière vers le détenus et dit :

"Alors ce choix ?"

Il s'attendait a ce que le détenu ronchonne certainement, mais il suffisait qu'il appui sur un bouton pour voir débarquer deux gardes. Mais il ne préférait pas avoir affaire a eux, car ils étaient un peu trop brutes à son goût. Oui pour eux, les détenus n'étaient que des bouts de viandes, et lancer un bout de viande dans la fausse aux lions...Hm... Andrew repensait tout de même au mot "arrangement"... Que pourrait il lui proposer ? un peu de sexe ? non rien que dit penser, ça pourrait l'exciter, donc il garda son calme et fit signe vers le lit doucement en souriant. Attendant la réponse de cet homme... Alors ? Lui ou les Gardes ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Lun 2 Fév 2015 - 14:48
J’observe le médecin assis sur le lit, chaque mouvement, le moindre changement de comportement peut être un indice crucial pour mon analyse. Pourtant il ne semble pas plus perturbé que ça, voir même, il semble habitué vu sa décontraction. Ça ne m’arrange pas des masses. Il va être plus compliqué que prévu.

Il commence à parler de façon lasse, pourtant son sourire malsain prouve qu’il trouve la situation plutôt comique. Combien de temps va t’’il seulement penser cela ? Je suis peut être jeune mais je sais réfléchir. Chaque chose qu’il me dira, je trouverais une autre solution pour contourner le problème.
Pourtant je dois avouer que je me retrouve dans une impasse. Alors qu’il se rapproche de moi il m’explique que j’ai deux choix. Soit je l’écoute et tout se passera bien. Chose que je me demande….Ou bien, il fait intervenir des gardes pour me maitriser. Il semblerait qu’ici, les hommes ont le droit au viol et aux attouchements. Il va vraiment falloir que je fasse attention à ce que je fais ici.

Je ne réponds rien à ses dires, attendant qu’il finisse son exposé. Il s’approche de moi, pourtant, sans ce soucié des risques qu’il prend. Je reste impassible à sa proximité. Soit il me sous-estime soit, il doit avoir quelque chose sur lui pour se défendre. Il va falloir que je sois prudent. Jouons pour le moment le choix de l’obéissance. Il y aura bien un moment où il baissera sa garde et ou je pourrais lui crever les yeux. La différence qu’il y a entre lui et moi, c’est que moi, je n’ai rien à perdre, je suis condamné à vie.

Je soupire puis décroise les jambes, je me mets debout.

- J’ai bien compris la situation. Pour le moment elle ne tourne pas en ma faveur. Mais jamais rien n’est certain, alors je vais attendre…

Je le regarde avec un sourire aux lèvres. Au moindre faux pas de cet homme, je me jetterais sur lui pour lui faire payer l’audace d’insister autant. Je n’aime pas qu’on me tienne tête, je n’aime pas perdre. Et quand je perds, je me venge. Je serais curieux de voir son visage crispé alors que je lui éclate ses petits yeux arrogant.

Je reste à ma place puis je commence  à dé zipper ma combinaison en le regardant d’un air provoquant. Je la laisse glisser le long de mon corps, celle-ci tombant à mes pieds. J’espère qu’il apprécie le spectacle ce pervers.  C’est surement la dernière chose qu’il verra.

- Je suis prêt. Faites donc votre travail…Monsieur Blackless.

Je reste calme, observant ce médecin qui semble si sûr de lui. Il aurait plutôt intérêt à appeler ses gardiens s’il tiens à la vie. Mais je suppose qu’il est trop sûr de lui et ça m’arrange bien.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Ven 6 Fév 2015 - 12:10
Lequel des deux loups mangera l'autre ?
Lequel des deux loups mangera l'autre? 5410
Avec : Jiro Jaeger


Comme il était amusant de voir que le détenus face a lui, ne voulait pas du tout obéir aux ordres donnés par le docteur. Donc celui avec la plus grande patience et aussi l'habitude que les individus le test, expliqua les deux choix que l'aliéné avait. Soit il exécutait ce que le médecin voulait, ou alors les gardes se feraient une joie de le déshabiller ou encore de le toucher ici et là. Surtout que vu son minois plutôt sympathique a regarder, les gardiens seraient bien heureux de toucher a un tel mâle. Respirant tranquillement avec son stéthoscope dans les mains, il ne pu que sourire quand Jiro acceptait a condition, du moins vu son sourire aux lèvres, Andrew gardait dans sa poche une seringue remplit de calmant, il ne fallait pas le prendre pour un imbécile. Car oui, des détenus il en avait vu, mais de toute sorte... Il se souvient avoir été mordu pour l'un des aliénés, donc ne voulant pas avoir un quelconque problème, le chef du service médical restait sur ses gardes.

Finalement le bruit du "zip", indiquant que la combinaison grise du détenus le quittait, le fit revenir a lui. Levant les yeux vers lui, il pu remarquer qu'il avait un corps tout a fait alléchant. Passant ses yeux sur ses jambes en remontant jusqu'à son torse, celui ci garda un œil médical et professionnel. Mais il fallait avouer qu'il était quand même bien foutu ce Jiro. Approchant donc du détenus avec quelques instruments, celui ci l'écouta dire qu'il pouvait faire son job... Il ne se le fit pas dire deux fois, Andrew était méfiant et quand il approcha il fit en sorte de prendre une corde, qui était poser sur le meuble et il l'accrocha aux menottes du détenus avant de lever celle ci pour la passer entre la barre au plafond. Ce qui fit lever les bras de l'aliéné en l'air. Il accrocha la corde correctement et regarda la position pas très confortable que devait avoir le patient, puis il dit :

"Je vois à ton air un peu dégouté, que cette position ne doit pas t'arranger, mais c'est une procédure, afin d'évité tout problème."


Bien évidemment, la corde laissait un peu de moue, histoire de laisser le médecin pratiquer son examen. Mettant son stéthoscope correctement, celui ci posa la surface plat sur le torse de Jiro et dit:

"Respire normalement s'il te plait "


Il écouta la respiration de son patient puis déplaça le bout de son instrument vers son cœur, écoutant une fois de plus si tout allait bien. Le médecin lui adressa un regard toujours méfiant et passa derrière Jiro, avant de poser a nouveau le bout du stéthoscope sur son omoplate puis vers le milieu. Puis il repassa devant avant de détacher le détenu, laissant ses bras retomber, avant de retirer la corde pour la déposer plus loin avant de prendre son stylo et de marquer sur la feuille de soin ses analyses. Puis revient devant lui avec de quoi mesurer sa tension et dit:

"Tend ton bras et pas de mouvement brusque..."


S'apprête a lui prendre la tension et plonge son regard dans le sien, décidément, il le dominait de sa taille mais en plus de cela, il semblait un peu trop calme. Allait il faire une bêtise ? Andrew soupira car son instrument avait décidé de ne pas fonctionner et il se retourna pour aller prendre le second dans un tiroir... Il lui tournait le dos, était-ce une bonne idée.. ? Ne se préoccupant pas de cela, Andrew marcha vers son meuble ...

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous





Invité
Invité
Mar 10 Fév 2015 - 11:59
Le médecin me regarde de haut en bas, il doit bien ce faire plaisir ce pervers.  Ses yeux me parcours sans retenu mais ça me fait ni chaud ni froid. Il approche de moi en attrapant une corde qu’il passa entre mes menottes. Je le regarde faire sans broncher, je ne montre aucune animosité sur ce qu’il fait. Il peut bien accrocher mes bras que mes jambes sont toujours libre, je ne me sens pas du tout oppressé. Il tire sur la corde, me forçant à lever mes bras. Toutefois je ne suis pas suspendu comme un sac, il doit juste prendre ses précautions. Je me demande quand même ce qu’il a déjà pu subir par les autres détenus pour être sur ses gardes comme ça. Mais j’avoue que cette position ne m’enchante pas vraiment, je ne peux pas protéger le haut de mon corps sans mes bras. Je fronce le nez un peu agacé, jamais on ne m’avait traité de la sorte, moi sortant d’une riche famille ayant toujours eu et fait ce que je veux. On ne m’imposait jamais rien et ce gars venait chambouler mes habitudes si agréables.

Je l’écoute parler sans un mot, le silence est parfois pire que la parole. Les mots nous disent nos intentions mais sans ses petites phrases nous ne sommes jamais sur de ce que l’autre pense. Il pose son stéthoscope froid sur ma peau, je frissonne, c’était vraiment désagréable, je n’aime pas qu’on me touche aussi impunément. Il regrettera son geste, je vais attendre le moment propice pour me le faire en bonne et due forme.

Il me demande de respirer normalement, ce que je fais, mais mes yeux restent braqués sur son visage comme un fauve attendant le moment ou sa proie laisserait une faille. D’ailleurs il m’observe aussi, il semble sur ses garde, peut-être parce que nous sommes plus poche et que les risques sont bien plus grands. Il fait le tour de mon corps, je ne sais pas ce qu’il cherche mais il trouvera rien, j’ai une santé de fer. Il passe devant moi et me détache enfin, je laisse retomber mes bras devant moi en l’observant toujours silencieux. Il marque a l’aide d’un stylo ses donné sur mon dossier puis reviens vers moi avec un tensiomètre. Je tends mon bras comme il me le demande, qui entraine le deuxième vu qu’ils sont liés par les menottes. Je baisse mon regard sur l’instrument qui semble défectueux. J’ai une sensation bizarre, mon sang ne fait qu’un tour quand je le vois s’éloigner lentement en me tournant le dos aussi aisément. Mon visage affiche un sourire malsain, s’étirant de plus en plus de chaque côté de ma tête. Ahh je la sent, cette sensation de pouvoir, ce désir irrépressible de posséder, dominer, frapper, torturer, tout ce mélange en moi me rend dingue. Ce corps que j’observe de dos serait  tellement mieux si je pouvais travailler mon art dessus.

Je lève silencieusement mes pieds de ma combinaison, la laissant au sol, je marche comme un chat dans le dos du médecin, je lève mes bras et aussi rapidement je les rabaisse devant lui et les tire en arrière, collant les chaine de mes menottes contre sa jugulaire avec force, l’obligeant  a ce coller a mon torse. Une de mes main, viens prendre tout son visage et le plaque fortement, l’immobilisant.
Aaah quel bonheur de ce sentir au-dessus de tout, je viens poser ma langue a la base de son cou, remontant jusqu’à lobe de son oreille que je viens mordre pour y laisse une marque. Je la lache et viens lui susurrer a l’oreille

- Si je mettais ce corps en kit, quelle exaltation cela me procurerait-il ? Mon corps en tremble de plaisir à l’idée de le maltraiter. Tu le sens mon cœur, comme il bat pour toi ?

J’utilise maintenant le tutoiement, signe que j’étais complètement hors de contrôle. Je me sens terriblement bien, tellement bien que je pourrais avoir la trick. Je regarde autour de moi les instruments que le médecin avait apporté avec lui. Je me demande si je pourrais utiliser quelque chose pour le faire crier un peu.
Revenir en haut Aller en bas





Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Lequel des deux loups mangera l'autre?
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Un, deux, trois, nous n'irons plus au bois...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Behind The Cell  :: Rémission :: Corbeille :: Les rps-
Sauter vers: