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kneel before god, because he won't forgive you || a m a r o k

Anonymous





Invité
Invité
Ven 4 Nov 2016 - 4:25

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Hateya Amarok Dezba

Gardien



Âge: 51 y.o.
Nationalité: Amérindien. [Nord du Québec / Canadien]
État-civil: Marié.
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)

Poste dans la prison: Gardien en Chef.
Depuis combien de temps ? 17 ans.

Caractéristiques physiques


Taille: 231 centimètres. [2m31] - Problème d'hypophyse durant son adolescence.
Poids: 222 lb.
Corpulence: Musclé.
Cheveux: Autrefois noir de jais- aujourd'hui ses dreads arborent des parurent en tout genre.
Yeux: Borgne- L'oeil gauche a été abîmé par un détenu. Le second est noisette pailleté d'or, il semble pencher vers le jaune.
Modifications corporelles: Borgne- Des cicatrices semblent dévorées sont corps entier. Son dos est marqué, de tel manière qu'on jurerais qu'un ours aurait tenté de le dépecé, ce qui s'avère à être une histoire vraie. Les affreuses balafres s'étendent jusqu'à son épaule droite, touchant presque la clavicule.

Monstrueux, tout simplement. C'est un nom que tu a appris à apprécier, que tu as adopté. C'est celui qu'on ta donner, que l'on ta imposé. Tu te souviens encore comment ce mot a été ton malheur de jeunesse, mais aujourd'hui, tu le remercie. Tu acceptes cette taille qu'est la tienne et ce, malgré quelques mal de dos occasionnels. Passé des journées entières, l'échine courbé, ne semble pas être la meilleure solution au monde, mais pas une fois tu ne t'en ai plaint.

Ta masse frôle vulgairement les deux mètres trente-et-un, problème de jeunesse qui semble se maintenir aujourd'hui grâce à une médication régulière et surveillée. Pour palier à cette taille titanesque, tu arbores une musculature qui pourrait en rendre plus d'un jaloux, taillé à même le rock de ta civilisation ancienne, c'est d'un entraînement acharné que tu vis, du lever de l'aube jusqu'au coucher et ce, malgré le temps qui passe et l'âge qui fait lentement son oeuvre funeste sur ton corps. Corps qui, désormais marqué par le temps depuis ta jeunesse, semble aussi engloutis par une histoire qui, tantôt pourrais être horrible, tantôt fascinante. Tu as fait la guerre, tu y as survécu. Tu t'es aussi battu contre un ours, bête qui ne te laissa point sans souvenir. Lorsque tu touches cette peau au teint sombre qu'est la tienne, peut importe le centimètre que tu parcours, tu ressasses ton histoire avec une certaine nostalgie. Les cicatrices sont trop nombreuses pour que tu ne les comptent, mais tu les aimes toutes, de la première jusqu'à la dernière.

Arborant un oeil unique, ce dernier semble tiré sur un doré animal, alors que le second, de ta droite, n'est plus en mesure de voir, traverser par une épaisse cicatrice et affichant un bleu, aussi clair que de la glace. C'est un visage vieillot que le temps semble t'offrir, les pattes d'oies se creusent dans ton épiderme aux coins de tes yeux. Mais tu ne perds en rien de ton charme d'antan, de cette virilité qui a fait tomber Ô combien de femmes- et d'hommes. C'est une large mâchoire, carré, qui se retrouve recouverte d'un épais duvet noir, aujourd'hui traverser de nombreuses tâches blanches. Et pourtant, tu sembles bien résigner à exhiber ces poils blancs et ce, avec une fierté non camouflé. Pour accompagner cette dernière se dresse une longue tignasse, depuis très longtemps stylé en dreads. Un style dont tu n'arrives pas à te détacher, qui plus est. Les côtés de ton crâne rasé court, tu as cette manie de toujours glisser tes doigts sur ces dernières- tu apprécis tout simplement le toucher duveteux et à la fois rugueux d'une courte tignasse.

Mais ce visage n'est pas tout. Ton corps en sois est une sculpture, tes abdominaux sont solides et travaillés. Tes bras sont des troncs et ton torse est sans égal; tes balades sans vêtements ont de quoi en rendre bon nombre jaloux, autant jeunes que vieux. S'échouant sur des hanches solides, pour finalement se perdre sur des cuisses robustes, c'est à l'intérieur de ta gauche qu'on peut retrouver l'unique tatouage qui orne ton corps- un aigle aux ailes déployées, qui s'étendraient et se toucheraient jusque de l'autre côté du membre où l'animal repose. Et c'est pour finaliser ce corps divin que tes jambes supportent cette masse, n'ayant rien à jalousé au reste de ton corps.

Faisant abstraction de cette distraction, tu sembles avoir tendance à être plus recouvert que dénudé, autant en solitaire chez toi que de sortie- ou même dans les vestiaires de la prison. Et tes accoutrements ont un style détonnant, car tu sembles suivre, sur un certain degré, la mode. Tu es toujours vêtu avec classe, tes problèmes de garde-robe sont nombreux. Sûrement quelque chose hérité de ta femme ?

Dossier psychologique


Défauts et qualités: Cynique - Violent - Réactif - Excessif - Possessif - Calculateur - Paradoxe Vivant.
Tocs et manies: Amasseur de peluche compulsif - Il glisse fréquemment sa main contre la partie gauche de son crâne, là où il est rasé court.
Peurs/phobies: Phobie de la noirceur.

Amarok ? C'est ce type bourru dont v'parlez, là ? Jamais un grand bavard. Il venait prendre son verre de whisky, toujours en solitaire. On dirais qu'sa vie était pas top, mais quand il daignait lâcher un mot ou deux, tout avait l'air parfait. Bizarre j'vous dis. J'l'ai jamais compris, c'grand guignol.

Et ce type, c'était aujourd'hui ton meilleur ami. Ancien barman qui a fait la guerre avec toi. Il ta toujours jugé et ce, sans douceur. Mais tu ne lui en veux pas, car il n'a pas totalement tord. Tu n'as jamais été très sociable au courant de ta vie, sauf lorsque tu côtoie ta femme. Cette dernière transforme l'ours bourru que tu es en une vulgaire guimauve, tout ça sans parler de l'impacte de tes trois enfants. Ce n'est pas tout le monde qui connais les deux côtés de ta médaille.

Ceux qui t'on connu lors de tes débuts à la guerre sont choqués de ce que tu es aujourd'hui devenu, toi qui était si enjoué et rieur autrefois. Tu faisais des mauvais coups et ce, peut importe le moment. Tu savais redonner le sourire lorsque les gens le perdait. Certes, il t'arrive fréquemment de sembler enjoué, d'éprouver des émotions autres que la violence pure, ou d'être constamment grincheux. Ou tout du moins, dépendemment de la personne qui te fais face.

À première vue, l'on t'attribut constamment les mêmes qualités et défauts qu'un vieil homme, faute de ce visage aux traits rudes. Même lorsqu'on t'arrache le moindre petit sourire, tes yeux ne changent pas- tu sembles vouloir tuer. Moqueusement, ta femme te répète souvent que tu as sûrement le travail idéal pour ta dégaine- mais qu'elle t'aime de la sorte. Mais bien sûr, plutôt que de tourner en rond, ne serait-il pas plus juste de poser ici cette mentalité qu'est la tienne ?

Pour remplir les grandes lignes du paradoxe vivant que tu es, tu n'es pas très compliqué à comprendre. Généralement stoïque, il est dur de posé un sourire sincère sur ton visage. Le sarcasme et la moquerie seront certainement plus communs qu'une joie quelconque.

Santé


Etat de santé générale: Santé mentale stable, il ne semble pas éprouver de traits pouvant nuir à son emploi.
Allergies ou addictions: Allergique au pollen.
Soins réguliers (traitements): Médication pour contrôler sa glande hypophyse.

Histoire


Tu t'en souviens comme si c'était hier. Ce jour où tu avais intégré cette prison, qui, aujourd'hui, tu considères comme être ton tombeau. Mais tu n'arrives pas à t'en échapper- tu t'y es attaché. Et ce, malgré tous ces monstres qui y reposent, tu sembles avoir appris à dompter ta répugnance pour ces derniers.

Tu es né d'une famille dite banal, dans les tréfonds du nord du Québec. Plus précisément Matagami, ville minière où vivent bon nombre d'amérindiens, dont tu es le descendant. Certains se méprennent encore sur la vie que vous meniez, mais il n'y avait rien de plus normal, ce n'était pas comme dans les temps anciens. Vous n'étiez plus une tribue, mais plutôt de simples villageois, comme tous autres endroits sur la terre. Tu y as été choyé et dorloter, dans une famille aimante composée de ta mère, ton père et deux grand frères. Tu n'as sincèrement jamais eu à te plaindre d'une telle vie, tu étais sur le même pied destale que tout le monde, ni trop bon, ni trop mauvais. Il en allait de soit pour tes notes, ou tes relations avec les autres gosses de ton âge. Tu n'avais pas forcément à te plaindre.

Lorsque tu tournas vers tes dix ans, l'enfer débuta. Une croissance abusive, que tu ne comprenais pas. Ton corps te faisais souffrir, tu passais la majorité de ton temps, rouler en boule dans ton lit. Tu n'allais plus à l'école et ne voyais plus personne, jusqu'à ce que ta mère décide de t'emmener à l'hôpital. Problème d'hypophyse, que le docteur te dit. Et ce fut le jour où tu commenças à suivre une médicamentation surveillée, restreint à un mode de vie dirigé par ta mère qui ne voulait pas voir son enfant souffrir. Mais le mal était déjà fait. À seize ans, tu mesurais la taille que tu possèdes aujourd'hui. Et c'est aussi l'année où tu avais enfin pu retourner à l'école, confronter à des étudiants terrifiés qui te regardait passer, comme si tu n'étais plus qu'un monstre.

Tes années de solitude furent longues, jusqu'à tes dix-huit ans. Depuis tout jeune, tu n'avais eu qu'un seul rêve et aujourd'hui, ce dernier pourrait s'avérer plus intéressant que prévu, suivant ce physique que tu arborais désormais.

Tu ne tardas pas à passer tes testes, intégrant l'armée. Tu voulais servir ton pays, même si ce dernier n'était pas vraiment «en guerre». Tu passais la majorité de temps sur le camp, la seule idée de retourner voir ta famille ne t'effleurait même pas l'esprit; tu semblais trop t'amuser. Ce fut à vingt-et-un ans qu'on voulut t'envoyé en Irak, dans une unique mission pour calmer plusieurs villages en furie, là où les extrémistes prenaient pieds et avaient assassinés plusieurs américains en voyage pour apporter leur soutien; ton unité avait été la seule à se joindre à l'armée américaine, dans l'unique but de vous faire tester le terrain. Ce fut avant de partir que tu daignas aller passer une semaine avec tes parents et, accessoirement, faire passer la bonne nouvelle qui inquiéta ta mère.

Mais ta semaine ne se résuma pas uniquement à ta famille; car tu y découvris également ta perle rare. Cette jeune femme que tu avais croisé au parc, alors que tu accompagnais les gamins de tes voisins, qui semblaient s'être pris d'affection pour toi. Après tout, tu étais un peu comme un héros, non ? La flirte n'avait pas été longue avec cette douce dame du nom d'Abequa. Et ce fut celle qui t'accompagna jusqu'à ton bus à ton dernier jour. Cela avait sûrement été la plus belle semaine de ta vie, quelques jours qui suffirent pour poser la graine de l'amour dans vos coeurs.

Ce fut avec le coeur gros que tu rentras au camp, avant de prendre l'avion pour ce pays que tu n'avais jamais vu. Mais tu avais entendu tant d'histoires, toutes plus sordides les unes que les autres. Certains de tes frères d'arme, plus vieux que toi, se plaisaient même à te montrer des «effigis» de guerre, cicatrices et autres qui barraient leur corps. Tu ne pouvais nier le fait que cela t'impressionnais; et qu'accessoirement, tu devenais frébile comme un enfant à l'idée de pouvoir servir comme eux l'ont fait ! Mais... T'es souvenirs ne furent pas aussi bons que tu l'avais imaginé. Tu n'avais pas assez d'expérience, la panique s'était emparée de toi. Et par ta faute et ton inattention, tu avais vu plusieurs de tes frères tomber; c'était avec un esprit brisé qu'on t'avais finalement évacué, retourner au Canada; étais-tu donc si inutile ?

On t'avait fais subir un suivis psychologique de quelques semaines, avant de te laisser en congé pour quelques temps. Ils ne semblaient pas savoir quoi faire de toi. Ses bras tendu et son coeur offert, Abequa t'avais accueillis en compagnie de tes parents à ton arriver, et tu n'avais pas tardé à prendre cette petite femme dans tes grands bras pour la serrer. Pour la première fois de ta vie, tu t'étais finalement laissé aller, tu avais pleuré à chaude larmes sur son épaule. Pas une fois elle n'avait reculé, glissant ses fins doigts contre ta nuque rasée. Ce fut également le premier pas de votre romance, car ses lèvres se posèrent sur les tiennes, à la surprise de tes parents.

Un mois plus tard, c'était avec détermination que tu mettais le pied dans le bureau d'un de tes supérieurs, cette flamme nouvelle qui brillait dans ton regard t'ayant été offerte par les encouragements de ta douce. Ce fut suite à quelques jours d'harcèlement que ton commandant accepta de te retourner au front, guerre qui faisait toujours rage, au dépit des deux grands pays qui commencaient à en avoir assez de ce petit jeu.

À vingt-trois ans, tu revins enfin de cet enfer; ton sourire avait disparu. Tu avais compris les atrocités de ce bas-monde et cette fois, n'avait pas laisser ces dernières atteindrent ton coeur. Il s'était refermé, tu n'avais plus envie de rire. Lorsqu'on te ramena au camp, ceux qui étaient autrefois tes amis restèrent de marbre devant ton changement drastique d'attitude, ne sachant pas forcément comment répondre. Mais... Personne ne s'en inquiéta d'avantage; tu n'étais pas le premier à subir un tel traitement. Ceux-ci furent cependant... Triste; ils imaginaient la réaction de ta copine lorsqu'elle te verrait dans cet état. Et tous venaient au même résultat. Tu finirais probablement tes jours seul.

Nouveau congé donner après deux années d'incessant combat, ce fut à la surprise de tes collègues d'arme, dans le bus, que ton sourire refit surface à la vue de ton aimé. Tu n'avais jamais cessé de penser à elle, après tout.

À vingt-six ans, tu te présentas à elle, un genou en terre, à l'anniversaire de ta mère. Devant toute la famille, tu exprimas ton amour, ta dévotion et ton envie de partager ta vie avec elle; ce fut à la joie de tous qu'elle ne tarda pas à se jeter dans tes bras, les larmes roulant sur ses joues. C'est aussi à ce moment qu'elle décida de t'annoncer sa grande nouvelle; elle attendait un enfant de ta part. Tes journées se firent de plus en plus merveilleuses et ce, malgré cet air stoïque que tu affichais lorsque ta femme n'était pas là. Quelques mois plus tard, c'était en compagnie de tes frères d'armes et de ta famille que tu la regardait s'avancer vers l'autel, fébrilement. Et toi, pour un rare moment de ta vie, affichait le sourire le plus stupide de l'histoire. Tu n'avais jamais été aussi impatient de ta vie, alors qu'elle ne pouvait détacher son regard brillant de toi. Tu lui souriais, tout simplement. Et tes voeux furent court, simple; mais remplis de tant d'amour. D'une vie qui n'avait attendu qu'elle. Et vice-versa, car sa joie était aussi spectaculaire que la tienne. Encore aujourd'hui, tu te souviens de cette valese romantique. Bien trop petite, elle s'était posée sur tes chaussures, alors que tu la soutenais. Elle s'était laissée emporter, un tendre rire traversant ses lèvres que tu ne cessais d'embrasser.

À trente-deux ans, tu prenais ta retraite de l'armée alors que ta femme était de nouveau enceinte; le moment idéal, tu pensais. Ce fut la première fois que tu pus t'occuper d'elle pleinement et ce, en compagnie de ton fils qui avait six ans. Tu avais profité de ce ventre qui grossissait, papa heureux que tu étais. Ô combien de soirée as-tu passé devant la télé en sa compagnie, l'oreille posée contre ce ventre bombé qu'était le sien ? Alors qu'elle, avec une inifinie tendresse, glissait ses ongles soignés dans l'épaisse tignasse noire qu'était la tienne, que tu daignais enfin laissée pousser. Mais... Rapidement, tu découvris que ce mode de vie n'était pas fait pour toi. La paresse de rester chez sois ne te convenait pas, tout simplement. Tu avais beau t'entraîner avec acharnement, ce n'était pas suffisant pour compenser.

Et ton frère te donna l'opportuniter. Citoyen américain depuis quelques années, il t'invita à le rejoindre, car il avait trouvé quelque chose qui, à coup sûr, pourrait convenir à ce manque. Ce fut une année plus tard et avec ta propre citoyenneté américaine en poche que tu embrassais le front de ta femme et de tes deux fils, avec la promesse de revenir à la maison à tous tes congés; promise que tu tins, d'ailleurs.

À trente-quatre ans, tu rentrais en tant que gardien de prison dans le comté de Lancaster. D'abord innocent à cet environnement, tu avais vite compris que ce n'était pas un emploi à sous-estimé. Et tes pensées furent confirmer lorsque ton frère péris sous les ravages des détenus; il ne fallait pas éprouver le moindre once de pitié. Et ton règne débuta, solide gardien que tu étais. Tu ne lésinais pas sur la violence; jusqu'au retour de feu d'un des récalcitrants, qui arborait un physique massif. C'était à lui que tu devais le manque de ton oeil droit. Alors que la cour subissait un branle-bas de combat massif, ce dernier t'avait rapidement visé; il t'en voulait pour le bras cassé que tu lui avais donné, un an plus tôt. Tu l'avais vu au dernier moment, tu n'avais pas été assez rapide. Et son couteau t'avait lacéré le visage, s'enfonçant dans son oeil au passage. Tu avais vu rouge, tu ne t'en souviens pas. Aux dernières nouvelles, cet homme t'éviterait comme la peste, n'osant plus croisé ce regard de chacal qu'était le tien.

Tu avais passé plusieurs semaines hors service, à subir un suivis médical pour ton oeil; tu avais perdu la vue. Et lorsqu'on t'offrit la chirurgie, tu refusas, tout simplement. Tu te rappellerais ainsi de ton inattention; geste que tu ne comptais pas refaire de si tôt. Lorsque tu réintégras la prison, ce fut avec un air mauvais au visage, prêt à abattre celui qui voudrait s'en prendre à ta vie.

Ce fut à tes quarante-six ans que ta femme t'annonça être de nouveau enceinte, à ton plus grand plaisir. Mais ta joie... N'avait pas tardé, car un an plus tard, le patron de la prison disparaissait, laissant place à cette femme étrange. Tu n'avais jamais eu confiance en elle. Et ce fut pire lorsqu'elle instaura les salles de tortures, modifiant la prison que tu avais connue. Mais une part de toi ne... Détestait pas entièrement ses idées; car elle laissait ainsi cours à tes pulsions de violences contenues.

Aujourd'hui, nous sommes en 2016. Depuis plus de six mois, tu as été attribué au rang de Gardien en Chef, ton ancien supérieur ayant quitté ton poste d'une façon... Tragique. Ce dernier ayant une maladie, aurait tout simplement démissionné; tu as eu vent de sa mort il y a un moment, déjà.

Côté joueur


Pseudo : Call me Daddy.
Âge : 20 y.o.
Comment as-tu trouvé le forum ? someone agressively took me here by my pants.
As-tu des remarques à  faire ? fab. ♥
As-tu un double compte: not yet. ♥
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Anonymous





Invité
Invité
Ven 4 Nov 2016 - 10:12
Ook j'ai dû répéter au moins 15 fois "Oh mon dieu" en voyant ce début de fiche. Ahaha. Superbe avatar. ;)

Vivement la suite, n'hésite pas à passer sur la CB.
Bon courage pour la rédaction !
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Aaron Harrington
Messages : 182
Date d'inscription : 12/02/2016

Dossiers privés
Âge du personnage: 39 ans
Taille: 1.85 mètres
A savoir:





Aaron Harrington
Maître chien
Ven 18 Nov 2016 - 23:55

Tu es validé !

Et bien, je suis content de voir un frère d'armes d'Irak ici ! Il s'en est passé des trucs dans la vie de pauvre homme, j'en connais qui aimeraient le voir prendre sa retraite à ce vieux crouton ! héhéh. J'te valide chef, j'aime ta fiche.
Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !
Amuse toi bien parmi nous !
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