Caleb Lensky
Avatar : GuiltPleasure
Identité
Nom:Lensky
Prénom: Caleb
Âge: 35 ans
Nationalité: États-unien / Anglais
État-civil: Veuf / Célibataire en cours de processus de divorce
Rumeur(s) à votre sujet: Caleb Lensky est un beau mâle parfaitement viril. Certains disent que c’est l’homme le plus beau de la prison, et qu’il aurait de nombreux prétendant lui courant derrière. Abuserait-il de ses charmes ?
Incarcération
Poste dans la prison: Gardien, depuis 3 ans il est chef de la sécurité.
Travaille a California State Prison depuis combien de temps ? 5 ans
Caractéristiques physique
Taille: 192,3cm
Poids: 88kg
Corpulence: Musclé, pour pouvoir rivaliser avec la majorité des détenus
Cheveux: noir aux reflets bronze
Yeux: Gris, dont l’auréole autour de l’iris est aussi noir que la pupille
Famille ethnique: Caucasienne.
Modifications corporelle: Plusieurs tatouages ont été retirés grâce à de la chirurgie au laser. Il y a plusieurs cicatrices, venant peut-être de blessures, sur le corps de l’homme, mais les plus nombreuses ont toutes les mêmes particularités : moins d’un centimètre de long, deux points de sutures ont suffi pour refermer la plaie et elles sont généralement vielles, entre 5 et 10 ans. Une cicatrice au coin de l’œil gauche, situé sous la paupière à moins d’un centimètre du nez est apparente.
Physiquement, mature et en bonne santé, on remarque qu’il passe beaucoup de temps à l’entrainement. L’uniforme de gardien ou d’homme d’affaire pourraient lui aller aussi bien l’un que l’autre. Il ne fait pas qu’exercer son corps, il entraîne les autres gardiens.
De multiples cicatrices glissent comme des éclats de verres sur sa peau, il en est constellé, mais deux détonnent. L’une passe du mollet droit vers l’intérieur du genou et ensuite sur l’arrière de la cuisse pour finir à mis-dos. Il s’agit d’une ancienne blessure qui ne l’a pas handicapée fonctionnellement. La seconde est sur le thorax : elle passe d’un côté à l’autre de son corps, longeant toutes la partie inférieur des dernières paires de côtes flottantes.
Sinon, on peut remarquer qu’il a beaucoup de névus mélanocytaires (des mélanomes bénins) dans le dos et sur les flancs, mais pratiquement aucun sur le torse ou ailleurs du corps. La peau des deux avant-bras, la partie externe, toujours sèche et légèrement tordue dû à une ancienne blessure faite à l’eau bouillante.
Doté d’un corps athlétique et ayant grandi rapidement dans son adolescence, sa tendance à toujours créer un champ de vision complet lorsqu’il entre dans une pièce trahit une habitude physiologique de connaitre son environnement.
Dossier psychologique
Défauts et qualités: égoïste, joueur, curieux, arrogant, misanthrope, exigeant, cruel, alcoolique, observateur, compétitif, toxicomane, egocentrique , sans pitié, possessif, violent, menteur. (il considère que 50% de ces adjectifs sont des qualités)
Objectifs et ambitions: Profiter de la vie, pouvoir avoir le bonheur d’aller aux funérailles de son père, se tuer de plaisir.
Tocs et manies: Boire, fumer et se défoncer à la vicodine, détruire des vies (attention, toute présence de stresse et d’ennuis peuvent augmenter ces comportements)
Peurs/phobies: Retomber amoureux est une crainte / L’anatidaephobie ( il faut que le canard soit vivant pour créer un vrai besoin de quitter la pièce où se situe l’animal)
Plat préféré : Soupe de tortues, gosier de dinde, foie de lapin, aubergine vapeur, petit rat au lait avec une crème de mais, de la crevette vivante avec de la crème-glacé à la menthe.
D’une allure calme et forte, on peut se laisser berner par son attitude et le croire digne de confiance. D’un sourire d’homme d’église, il n’en est pas moins aussi damné que ceux qu’il surveille ou qu’il gère. Il écoute, il discute et peut sembler traiter tout le monde comme un égale, même un dément des sous-sols. Ses tendances misanthropiques ne sont pas affichées ouvertement lors d’une conversation, mais dans son comportement général. La limite entre ce qu’il dit par rapport à la religion et son comportement peut le faire passer pour un soft-religieux-fanatique ou comme un sarcasme. L’amitié est un concept limite qu’il gère très mal, mais qui apporte une réelle fidélité chez lui. Évidemment, il demande cette même fidélité à la limite de la possession et il fera tout pour la garder, même si ses tentatives éloignent les gens.
Bien qu’il soit misanthrope, il a une curiosité marquée pour l’humain vertueux ou complètement rongé par le vice. Il préfère les extrêmes, puisque c’est plus amusant et sa nature arrogante l’aide à trouver la manière d’amener les gens vers leurs limites. C’est un jeu qu’il a appris depuis sa tendre enfance et qu’il sait plus amant de chasser une personne de manière psychologique, de plus, il s’est attaché à certain détenu et ne veut absolument pas qu’ils quittent la prison. C’est un homme qu’on peut facilement haïr, détester et vouloir se venger, mais si vous ressentez ces sentiments, sachez que c’est un signe qu’il vous aime bien.
Santé
État de santé générale: Les médecins lui assurent un excellent fonctionnement, tant qu’il vient régulièrement les voir pour ses traitements. Quant à lui, il considère qu’il a une tendance à être attraper rapidement toutes les petites maladies de saisons : TAS, le rhume, l’otite, candidoses superficielles… plein de belles saloperies pas assez importantes pour l’empêcher de travailler. Il garde, dans sa chambre, une pharmacie assurément fournie… mais dont le 1/3 est assurément du placebo.
Allergies ou addictions: dépendant de : Nicotine, alcool, vicotine
Allergique : Aucune de déclarée
Soins réguliers (traitements): À chaque trois mois, il passe chez son immunologue.
Histoire
Mère, mère, très cher mère, la mort vous a oubliée comme tous les hommes sensés de cette planète. Après votre passé peu reluisant pour la justice, vous avez dû choisir entre la prison durant un an ou l’armée du temps de la guerre pour une durée de 5 ans. Évidemment que vous avez pris la seconde option, si la justice vous aurait connue comme elle se doit, jamais elle ne vous aurait proposé ce choix. On croit toujours à tort que les femmes larmoyantes sont faibles.
Tes photos, aux larges sourires avec tes amants de métal crachant feu et mort, je les ai vus. Tes virulents penchants aux massacres et à l’acceptation en petite société ont finalement été répondus dans ce groupe d’élite. Tu criais les valeurs de liberté, de justices et de droit humain en égorgeant vos ennemies affaiblies. Mère, mère, je sais que c’est de cela que vous êtes nostalgiques le soir et que c’est la raison pour laquelle vous soupirez le soir, en tentant la main de l’homme qui se dit être mon père.
Vous vous êtes rencontrés à l’armée, dans deux compagnies et avant même que vous n’allumiez les lumières pour voir qui était qui, un enfant était conçu. La contraception usagée n’est pas d’aussi bonne qualité que la neuve. Malgré tout, un de ces hommes qui ont connu ton jardin d’épines t’a rejoint à la fin de ses années de services. L’armée t’avait déjà renvoyée au pays où tu as trouvé un petit cottage en Louisiane près de la frontière ouest.
Tu es entrée dans les forces policières, mère, lorsque je suis rentrée à la petite école. Les larmes et l’échec étaient interdits, comme le fait de nourrir les crocodiles ou nos voisins à la peau sombre. L’homme qui dit être mon père, m’a fait rentrer dans une bonne école où les Bonnes sœurs catholique anglaise m’ont bien appris.
Lorsque vous avez découvert que je sortais avec la « putain » italienne à mes 14 ans, vous m’avez rappelé combien le christ à souffert pour nous. Parfois, je regarde mes bras brûlés par vos eaux bénites et j’ai le cœur chaud. J’ai appris la peur, l’injustice, le mensonge, la tromperie, le silence, la discipline et surtout la manipulation auprès de vos bons soins. C’est jusqu’à l’âge de mes 21 ans que vous n’avez pas découvert que je parlais tous les dialectes de notre état : L’anglais, le français, l’italien.
Partant de l’Amérique pour rejoindre l’Angleterre, j’ai ton soutient mère. Je me rappellerais toujours combien tu étais heureuse de me jeter la valise comprenant mes humbles effets et un billet pour le pays de la couronne. Nous serions surpris tous les deux de voir que j’ai survécu, malgré tous ces « démons » que tu voyais en moi qui me rendais faible. J’ai eu ma citoyenneté en finissant mes études, mais j’ai aussi gagné l’accent et la capacité de cuisiner un minimum pour ma survie. Au final, j’ai fait le même choix que mes parents et je suis entrée dans l’armée … mais ce n’était pas aussi permissif que je croyais et à mes 25 ans, j’ai quitté pour devenir militaire à mon compte (mercenaire).
J’ai dû malheureusement arrêter ce lucratif travail essentiel à la communauté. Mon système immunitaire se comporte étrangement et aucun médecin ne sait exactement pourquoi. Afin d’avoir des vrais soins médicaux, je suis retourné au pays de mon enfance, seul lieu dont je ne doute pas des capacités des médecins à nous garder le plus longtemps en vie afin de nous pomper de tous nos avoirs. Par mes relations, j’ai trouvé un travail de fonctionnaire / baby-sitting très simple où on me laisse exercer mon art familial. Durant 2 ans, je n’étais que simple gardien pour me permettre de connaitre les gens ici et le fonctionnement. C’est lors du retrait prématuré de mon prédécesseur hiérarchique et j’ai pris son poste.
- Lettre à ma tendre:
Ma douce, ma belle, ma déesse et mon existence…
Tu n’auras jamais cette lettre et personne n’en prendra connaissance. Couché sur le papier ces mots ne me guérira jamais autant que lorsque sur le satin nous nous étendions.
À mes vingt ans, j’avais une grande italienne aux cheveux de nuit et aux yeux soleil à mon bras. Mon corps ressemblait plus à une brindille sèche au-dessus de ses seins dorés. Fuyant ma patrie pour embrasser l’île de la royauté, je n’avais ni or ni argent et pour poursuivre notre route il nous fallait les deux. Entrant dans l’armée, promettant d’aimer que ses hanches voluptueuses et son ventre plat, je découvre un monde différent et familier.
Les êtres supérieurs qui contrôlent ta vie, la discipline de fer, l’horaire strict, l’épuisement musculaire ne me font aucun choc avec ma vie passée. Je pensais être retombé dans ma boucle coutumière que j’ai vécue à l’école religieuse. Le destin m’a alors donné six Pandores dont chacun contenait une boite unique; Mathieu et son sourire contagieux, Antoinette au cœur aussi brise-fer qu’un tank, Rub’ dont ses talents à la stratégie ne lui servait à rien contre les femmes de charme, Nereo avec qui une bataille ne pouvait jamais être perdue, Yohann notre pilier à la force tranquille … et il y avait-toi, ma douce, ma belle, mon existence et ma libération : Cassiopea.
Brune, les mèches de tes chevaux ne touchaient jamais tes épaules nues. Vraie merveille de la nature, tu portais sur ton dos de moins de 40 cm de haut tout l’équipement qu’il te fallait. J’étais aveugle lorsque je t’ai croisé et ignoré… Je me mêlais qu’à ceux qui avaient un avenir, qu’à ceux qui m’avantagerait dans le futur. Jouant les personnages que je n’étais pas en me convainquant que je les étais tous. Toi, tu n’allais jamais devenir importante, tu ne serais jamais la meilleure et toujours les gens verraient en toi une créature ridicule… Par erreur de ma part, mon supérieur pris une lettre de ma mère croyant qu’elle était de mon ex-copine. Dû à la plume tendre de ma mère, on conjure de me donner le même surnom que j’avais à la demeure de mon enfance : Belial ou Diable selon les adjudants. Aimant l’art de la guerre pour la déchéance humaine, mais sachant sourire et m’entourer de fidèle, on trouve le nom comique alors qu’à mes oreilles il sonnait infâme.
Toi que j’avais vue seulement sous l’angle d’une créature futile et portée à disparaitre par sa faiblesse, en deux ans à devoir travailler auprès de toi, à me moquer et comploter, pas une fois je ne réussis réellement. Plus je gagnais les concours et les exercices et plus je voyais entre nous l’écart grandir en ta faveur. Je finis par tomber, blessé à mort par ta beauté. L’agonie, tu ne l’as pas prolongé et aussi facilement que si tu nettoyais tes cuisses potelée sous l’eau glacée, tu as relevé le masque qui m’arrachait l’âme depuis une éternité. Avec un baiser du bout de ton nez contre le mien, ton charme a brisé mes os et déchiré le moindre de mes muscles. Ce fut un bonheur que je n’avais jamais ressenti. Tu m’as laissé en t’éloignant de ta démarche chaloupée.
Il m’a fallu plus d’un an pour replacer la poussière que j’étais devenu grâce à toi. Une poussière qui pouvait se mélanger et devenir de l’argile, de la pierre et du rock pour que tu puisses me reconnaitre comme ton égal. Cassiopea, ma naine qui embrasse le ciel, tu m’as fait l’honneur tout puissant de m’accepter à tes côtés dans un mariage consommé.
Alors que nos fidèles amis ouvraient avec rire le champagne, que ta famille dansait et que le prêtre militaire quittait l’estrade, je t’ai fait une promesse : De toujours visé plus haut et d’un jour t’atteindre comme tu le mérites. Tu as simplement sourit, tes lèvres m’ont dit « Je t’attendrais »
Côté joueur
Pseudo : Comme il vous plaira, mais prenez garde que ça me plaise aussi
Âge : 439 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? J’ai suivi un cleb rose-bonbon et j’ai trouvé sa belle niche.
As-tu des remarques à faire ? Je t’attends cette nuit dans la salle de lessive beauté
As-tu un double compte: *Va se fumer une dose*