Fou, déséquilibré, ayant une maladie mentale. Un aliéné est une personne qui aura été déclarée comme telle lors du jugement final. Évidemment les erreurs médicales existent mais à partir du moment où vous avez été déclarés aliénés vous êtes certains de ne pas ressortir indemne de ce qui se passe ici.

Un aliéné aura une vision décalée de la réalité, alternée, ce qui provoquera ses comportements à l’écart de la société actuelle. Le fait qu’ils soient différents, où qu’ils aient réellement une maladie fait que les gens les pensent comme fous.    

Être fou, c’est cool mais on ne peut pas non plus faire n’importe quoi. Étant donné que c’est très vague, nous allons tâcher d’être le plus précis possible.

Nous n’accepterons pas un aliéné qui n’a plus aucune notion du réel. Ni même un aliéné qui met constamment en danger sa propre vie : cela ne relève pas des compétences d’une prison mais d’un hôpital psychiatrique. Parce que oui, la limite est mince, mais elle existe tout de même. Si un détenu devient dangereux pour lui-même, il sera déclaré comme totalement fou et intraitable par la prison, le psychologue organisera alors son transfert vers un hôpital psychiatrique. Ou de même si vous êtes totalement incontrôlable.

Nous acceptons donc ici, des aliénations faibles, ou fortes mais n’engageant pas un suivit trop lourd de la personne. Il est évident qu’un aliéné aura un suivit par un psychologue au moins une fois dans la semaine, il montera alors un dossier et évaluera la progression de sa maladie. Car un aliéné peut être guéri !

Exemple de maladies : schizophrénie, paranoïa, psychopathie, troubles mentaux divers (se prend pour un animal, vampire etc…) …. Liste non exhaustive.  

Officiellement, pour l’État Américain, ils sont soignés par un suivit psychologique très poussé…. Cependant en réalité dans cette prison rien n’est logique et tout est caché.

En effet, nos gardiens et médecins peuvent s’amuser comme bon leurs sembles avec les aliénés, c’est pour cela qu’un quartier des traitements existe. Ici, vous serez torturés, bafoués, humiliés, comme dans les bons vieux asiles que nous pouvons voir dans les films. Il s’agit juste d’une partie de plaisir pour ceux qui torturent, sans réellement penser au malade. C’est à se demander qui est le plus fou ici… ? La directrice s’amuse beaucoup à regarder ce genre de spectacles cependant.