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Et s'il s'agissait du colloc parfait?...ou pas....

Anonymous





Invité
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Mer 28 Jan 2015 - 0:20
La vie que j’ai menée jusqu’à maintenant prenait fin d’une façon tragique. Moi qui espérais encore pouvoir pratiquer mon art quelque temps, j’avais un sérieux problème. Mon ambition avait –elle été trop haute pour moi ? Après avoir complètement refait mon beau-père, une pièce unique, je vous assure, les flics m’ont arrêté, j’ai été jugé coupable. Coupable de quoi ? D’avoir une passion hors norme ? Y a bien eu un artiste qui laissait crevé des animaux attaché, stipulant que c’était pour son art alors pourquoi moi je ne pourrais pas démembrer les personnes qui me donne de l’inspiration ?

Ma sentence tomba bien vite et je fus condamné à la prison à perpétuité. Gros mélodrame pour moi, comment je vais pouvoir assouvir mes désirs les plus profonds dans un endroit remplis de type qui ne peuvent pas comprendre un artiste comme moi ? Je me sens frustré avant même d’entrer dans cette foutu prison de merde. Je n’ai  pas trop le temps de penser à mon sort, qu’on m’emmena directement dans ce bâtiment  qu’on appelle Lancaster, une prison réputée, soit disant, pour détenir toute sorte de cas spéciaux.

Je fus bien vite escorté dans cet endroit qui allait être mon enfer. J’allais finir ma vie dans ce truc remplis de porcs ?  Ma vie, une vie de riche tranquille, profitant de son statut, passe maintenant à criminel dans un endroit où on bouffe du pain rassis ? Je pourrais jamais m’habituer à cela…je ne suis pas fait pour vivre comme ça. Il va falloir que je me fasse des alliés, des larbins qui me donneront ce dont j’ai besoin, préférant me satisfaire plutôt qu’eux-mêmes. J’allais devoir tout refaire de zéro, manipulation, confiance, puis soumission. Je les aurais tous dans ma main, je ferais d’eux, même les gardiens, mes objets et sous fifres.

Pour le moment deux hommes m’emmenaient dans des couloirs immenses, je pouvais voir des cellules et des personnes  à l’intérieur. Ils sont nombreux ça me permettra de me faire plus facilement des allies dans ce milieu hostile. Je fus surprit qu’on ne m’enferme pas dans ce lieu, on passa une porte et on descendit de longues marches. Pourquoi tant de précaution ? Je leur suis tellement effrayant ? Je souris en coin observant l’un des gardiens. Je suis sûr que si je fais un geste brusque, il m’en colle une et se pisse dessus. Il semble jeune, comme moi et facilement intimidable.

Je me pris un coup dans les côtes, assez forte pour me faire grimacer. Je regarde l’autre gardien qui me fixe avec un sourire carnassier. A ce demandé s’ils ne se sont pas trompé de type a enfermer.

J’arrive dans un long couloir, pas très accueillant, froid, désagréable. Je vais vraiment vivre là-dedans pour le reste de ma vie ? C’est hors de question, il faudra que j’observe leur manière de procéder, les caméras et tout ce qui me permettra peut-être un jour, de filer entre leurs pattes. On s’arrêta devant une cellule et le gardien l’ouvrit, il me poussa  à l’intérieur sans ménagement, ordure !

Gardien : Allez, t’es pas seul, entre taré vous devriez vous comprendre.

Il referme derrière moi en rigolant, je le regarde en coin, restant de dos. Sale type, je connais ta gueule maintenant, je me ferais une joie d’attacher ta tronche dans les toilettes juste au-dessus du pissoir. L’endroit où tu mérites d’être exposé. Je regarde la pièce et tombe sur mon colocataire. Génial...un clown. C’est quoi cette coiffure ? Et ce look ? Le mieux c’est de l’ignorer pour le moment. J’avance et m’assois sur le lit en soupirant. Je sens que ça va être pénible….
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Anonymous





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Mer 28 Jan 2015 - 20:38




Aimé  & Jiro
Il n'y a point de passion plus égoïste que celle de la luxure.


Cela fait une semaine que je suis dans cette cellules.. Une semaine que j’observe un deuxième lit vide.. Une semaine que mon corps me fait souffrir. On ne m’a pas encore laissé sortir... Surement parce que j’ai fait du rentre dedans aux gardiens le premier soir. Mais mon corps me démangea, j’ai besoin d’un corps d’homme près du mien, j’ai besoin d’un regard qui m’observe... D’un voix qui me diminue.. Je suis en manque je le sais. Ces cachets qu’il me donne et que je recrache me dégoute, je ne veux pas de ces médicaments dans mon corps.

Non je veux son corps contre le mien, je veux sentir sa main s’abattre sur ma peau, me la coloré de bleu et de rouge... Je veux sentir sa présence dans mon corps...  Ces doigts tirés mes cheveux...  Je veux sentir son odeur… Il me manque tellement cela fait trois mois… Trois long mois qui me paraisse des années.

Son corps, sa voix tout me manque. Je me souviens des ordres qu’il me donnait, qui me faisait trembler, mais qui me faisait me sentir vivant, tellement vivant, la sur mon lit a fixé le plafond, j’ai l’impression de n’être rien de plus qu’un déchet que l’on aurait oublié dans un coin. Un chien abandonné sans maitre, sans collier…

Gémissant je me retourne doucement, venant lentement planter mes ongles dans mes poignet les labourant lentement, le rouge naissant sur mes poignet, je ne peux pas encore me faire saigner, il m’on couper les ongles. Je les déteste tous ces bien-pensant. Je déteste ce psy qui me regarde attendant que je parle, j’exprime cette tristesse qui envahit mon corps à chaque fois que je suis seul… Que j’exprime cette folie qui m’envahit. Comment expliquer ce besoin que j’ai de baiser.. Comment expliquer que la douleur me donne autant de plaisir, que le sang me fait bander ?

Comment expliquer se vide qui envahis mon esprit, ce vide qui me fait tout oublier, dans ces instant je pourrais me faire sauter par n’importe qui ou n’importe quoi… Comment expliquer que seule la douleur peu me faire me sentir vivant. Comment expliquer que la douleur, que le fait de se faire battre est pour moi une façon d’expliquer son amour… je ne suis pas fou... Seulement différent…

Tiens la porte s’ouvre je me redresse doucement, assis en indien sur mon lit, je regarde le garde, un compagnon de cellules, mon visage s’éclaire un instant d’un sourire, un sourire qui se veut accueillant, bon je l’avoue avec les piercings sur mon visage cela peut faire peur… Délicatement je déplie mes longues jambes pour poser les pieds sur le sol. Mon regard ne quitte pas un instant l’autre homme…

Un instant je sens mon souffle se faire plus cours, mon envie renaitre, est-ce qu’il pourra me faire me sentir vivant…  Délicatement je repousse lentement ma mèche rouge derrière mon oreille, avant de remonter doucement mes lunettes… Mon corps un peu trop mince se redresse doucement, et je m’approche de l’homme. Il est un peu plus petit que moi, mais pas beaucoup plus mince, sous ces vêtements de prisonniers je peux deviner ces muscles… Mes yeux se mettent doucement à briller. Bon dieu….

Lentement je passe ma langue sur mes lèvres, avant de prendre la parole d’une voix rauque douce…

« Je m’appelle Aimé. »

Je tends la main vers l’homme, je veux le toucher, sentir la chaleur de sa main sur la mienne...  Mes dents mordillent  doucement mes lèvres, je sens l’envie, le vide  grandir en moi. Pourvus qu’il puisse me donner un peu de plaisir, me faire un peu oublier ce gouffre qui s’ouvre en grand devant moi. Encore un peu et je vais sombrer, je vais glisser je ne veux pas sombrer dans la nuit.

« J’espère que l’on s’entendra bien. »


J’espère surtout que tu me baisseras… Même si tu n’éprouves pas une once d’amitié pour moi je voudrais juste que tu me regarde un peu.. Comme souvent je ne désire qu’une chose que l’on me voient, je ne veux pas être transparent.

BY .TITANIUMWAY

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Anonymous





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Mer 28 Jan 2015 - 22:49
Je voulais pour le moment qu’on me foute la paix, mais ce n’était pas au gout de mon coloc de cellule. Fait chier ! Voilà qu’il se présente, il veut donc instaurer un dialogue… Je lève mon regard rapidement sur ce type qui avait pris la peine de se lever et de venir à moi. Il s’appelle donc Aimé…c’est quoi ce nom ? Je ne vais pas commencer à critiquer, mais là, j’ai les nerfs en pelotes.
Je l’observe plus attentivement, il a vraiment des gouts bizarre. Je ne comprends pas qu’on puisse torturer son corps de la sorte en y plantant des bijoux ou autre truc qui ne servent à rien. Et ne parlons pas de sa coupe de cheveux, elle représente quoi ? Il est certain que je ne pourrais jamais faire de l’art avec un corps pareil, ça me donne la nausée.
A cet instant, la seul chose que je veux faire, c’est tirer sur ces trucs sur sa tronche, lui extirper de sa peau pour redonner sa forme initiale a ce visage.

Mais on n’en est pas là. J’observe attentivement son comportement, il ce mordille les lèvres de façon nerveuse. Probablement qu’il est seul dans cette cellule depuis un moment. Je ne sais pas si c’est de l’énervement ou de l’excitation qui le pousse à cela. Dans tous les cas je dois faire attention, je ne connais rien de lui et il serait préférable de m’en faire un allier. Je regarde sa main qui se tend vers moi, j’hésite quelque instant, ayant un tic nerveux au visage. J’espère qu’il n’est pas allé aux chiottes y a pas longtemps ou si c’est le cas, qu’il s’est au moins lavé les mains.

« J’espère que l’on s’entendra bien. »

Je l’espère aussi et plus que s’entendre, je veux que ce type m’obéisse et réponde  à mes désirs. Il va falloir que je tâte le terrain. Je lève mes yeux sur son visage, soutenant son regard, je lui offre un petit sourire en coin, un peu maladroit.

« Salut, moi c’est Jiro….Jiro Jaeger. Pour notre compatibilité, tout dépendra de toi »

Je récupère ma main et me lève, le fixant d’un air supérieur. Je suis légèrement plus petit, mais je maintiens mon assurance, le regardant en biais, les yeux digne d’un chien prêt à en découdre s’il devait me désobéir ou être autre chose que ce que je souhaite.

« J’aime la tranquillité, le silence, j’ai besoin d’espace….si éventuellement tu arrives à me procurer tout ça, je pense qu’on s’entendra. Dans le cas contraire…. »

Je passe à côté de lui, le laissant là, j’avance pour observer un peu mieux la pièce et sa disposition. Je continue mon dialogue en regardant l’armoire.

« …. Je ne répondrais plus de mes actes… Tout ce qui pourrait t’arriver, sera de ta faute pour m’avoir irrité… »

Je me tourne et le regarde, un joli sourire sur le visage

«  Tu comprend ? »

Puis je m’assombris, plissant les yeux. Il fallait maintenant analyser sa réaction. Je ne sais pas encore si je pourrais en tirer profit, si j’allais devoir lui en coller sur la tronche ou par malchance, c’est moi qui allais en prendre. Mais pour ça faudrait déjà qu’il soit assez doué au corps à corps et vu son physique, il ne semble pas être quelqu’un qui s’y intéresse. Enfin, les apparences sont parfois trompeuses…je vais le laisser s’exprimer et j’aviserais.
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