Âge: 35 ans
Nationalité: Américaine
État-civil: Volage
Rumeur(s) à votre sujet: (laissez vide, un admin le remplira)

Poste dans la prison: Chef des gardiens et maître-chien
Depuis combien de temps ? 1 ans, mais il travail à la CSP depuis 8 ans.

Taille: 1m88
Poids: 95 kilos
Corpulence: Bien musclé.
Cheveux: Châtains claires, long, iroquoise.
Yeux: Bleus
Modifications corporelles: Des tatouages sur le crâne, du côté droit ce sont des entrelacs-celtiques, qui descendent dans son dos. Il a les bras pleins aussi, et quelques uns sur les épaules.

On pense que pour être chef d’un quelconque groupe, il faut beaucoup de charisme, une grande carrure, et une grande intelligence. Leroy en impose, mais pas tout à fait de cette façon. Il est de taille respectable, mais peut paraître petit à côté de certaines marmules qui traînent entre les murs. Il a des épaules larges, musclés, et plus rondes qu’anguleuses. Un dos parfaitement dessiner, taillé plus droit qu’en V, des hanches donc assez larges qui descendent vers des cuisses puissantes. Il a presque le physique du héro grec, à cela qu’il ressemble plus aux guerriers celtiques.

Ses cheveux châtains, rasés sur les côtés et derrière, laissant apparaître son crâne et ses tatouages, sont souvent tressées sur le dessus. Il a une barbe, qui tire plus sur le blond, parfois elle est longue, parfois un peu plus taillés. Il n’en prend pas le plus grand soin, mais elle reste correcte. Elle encadre son visage, remonte jusqu’aux oreilles. Au dessus de sa bouche, il a la moustache qui rejoint la barbe de chaque côté de sa bouche, celle-ci par contre, il la taille de façon régulière, il aime pas bouffer ses poils.

Le visage de Leroy, c’est aussi un nez assez large, arrondi sur le bout, avec des narines un peu larges, rondes elles aussi. Ses yeux sont fins, de formes plutôt allongé. Son iris est bleue glaciale, ils n’intiment jamais la douceur, mais plutôt le mépris. Un regard de Leroy peut glacer, provoquer, il parvient à faire passer beaucoup de choses avec ses yeux. Sa bouches, assez fine, ne sourit que très rarement, elle ne montre jamais de contentement, et s’ouvre surtout pour lancer des piques, des insultes, des menaces et des ordres.

Cet homme porte des vêtements plutôt sobre, parfois des t-shirt à l'effigie de groupes de metal. Il aime les manches longues relevées sur les avants-bras, les cols larges, ou en V, pour laisser apparent son cou de boeuf. En hiver, il enfile des sur-chemises, en jean, à carreau… Quoi qu’il en soit, elles sont toujours ouvertes. Les jours de grands froid, ou quand il en a envie, il ajoute un perfecto en cuir noir, lui aussi, toujours ouvert. Il est un grand adepte du 501 de Levi’s, il ne porte que ça, côté pompe, il a adopté la doc martin original à l’adolescence et à du mal en sortir ses pieds. Il les porte d’ailleurs toujours avec des lacets blancs. Ca, c’est quand il n’est pas au travail.

Quand il est en service, Leroy c’est des t-shirts noirs (il emmerde les débardeurs blancs), et des pantalons de travails noir aussi, avec des rangers dans lesquelles il range le bas de son pantalon, évidement, il porte la veste militaire de circonstance. À son côté, Rasputin, un Doberman blue & rust de 4 ans. L’animal mesure 71 cm, pour 43 kilos de muscles. C’est un chien intransigeant, fidèle, qui n’écoute que son maître. Un bon chien de travail qui écoute au doigt et à l’oeil, impeccablement dresser.

C’est un homme qui se tient toujours droit, il ne plie jamais, et devant personne, il inspire la droiture d’esprit, pourtant il ne l’est pas. Son corps dégage aussi une certaine fierté, mêler la nonchalance de l’homme qui déteste les autres. Il tient ces bonnes manières quand ça l'arrange, sa démarche, très mécanique montre le pas d’un homme certain. Il ne roule jamais du cul, et n’est absolument pas du genre à se pavaner pour montrer qu’il est le plus fort, il ne pense pas en avoir besoin.

Défauts et qualités: Profiteur, intéressé, pas aimable, enjôleur, fougeu, connard, bien dans ses pompes, pas droit, subjectif, autoritaire, respectueux avec qui il veut, hyper actif, bourrin et bourrue, raciste, vote Trump, malpolie, chartier, borné, incapable de se remettre en question, fière, pas très amicale... des qualités...? Fidèle à ses idées, malin, pas trop grande gueule malgré les apparences, énergique, meneur de troupe, très bon mangeur, sportif.
Tocs et manies: Il fume beaucoup. Tout le temps. Des roulés, sans filtre, tabac blond, sec, la marque ne change jamais : Fleur du Pays. Il a une blague à tabac en cuir noir, toujours dans une poche, et il les allumes toujours au zippo celui-ci est argenté dessus il y a une représentation d’Yggdrasil, en entrelacs.
Peurs/phobies: Let me laugh ! (Il est pas très copains avec la médecine, et plutôt mal à l'aise avec les enfants)

On a connue plus intègre, plus juste, plus droit. On peut expliquer se qu'est Leroy, en disant se qu'il n'est pas. Une description par négation. Assez impersonnelle, nous ne savons actuellement pas quelle méthode utiliser pour parler de la psychologie de Leroy Dickinson, nous parlerons donc de lui avec le dédain qui lui revient de droit, puisque c'est juste un sacré connard et qu'il ne mérite pas mieux.

Leroy est un type qui aime bien qu'on le cherche, ça lui permet de trouver des excuses pour donner des coups de boule, des coups de poing. Il ne frappera pas n'importe qui non plus, puisqu'il n'est pas complètement stupide. Un type qui n'inspire pas vraiment la sympathie. Il aime bien donner du poing, du front, les montés d'adrénaline est un truc qui le grise. Il n'hésitera pas à tourner les choses en sa faveur, avec une certaine dextérité. Il n'est pas stupide, il évite de merder inutilement, d'abuser de son statue. Il fait attention à ne pas trop en faire avec son rôle de gardien, et se montre autoritaire et borné dans son rôle de chef. Il n'y a pas grand monde qui lui plait. Et si votre tête ne lui revient pas, il fera tout pour vous emmerder de façon injuste, mais dans les clous. Un gardien qui déteste les odeurs de bouffe sera facilement envoyer en ronde autour des cuisines, et ainsi de suite. Avec Leroy, c'est comme ça lui plait. Il est droit avec se qui l'arrange, se qu'il veut, les idées qui lui plaisent.

Ce type à tendance à sortir des insultes un peu à tout bout de champs, c'est comme ça, c'est sa façon de parler. Pas très polie, il s'impose un peu trop aux autres. Pour autant, il n'est pas du genre à ouvrir sa bouche trop souvent, juste quand il faut placer la bonne phrase pour emmerder le monde. Une sorte de chieur oui, mais surtout, un espèce de connard sans cœur.

A part l'adrénaline, il n'y a pas grand chose qui le fait vibrer, les femmes c'est vagues, les mecs, ma foi, c'est du plaisir vague aussi. Malgré ses idées et les apparences, il n'est pas homophobe. Il est curieux, et pour lui, le sexe n'a pas vraiment d'importance, du moment qu'on y trouve son compte. En revanche, il déteste voir des relations aux travail, ça n'y a pas sa place. Alors, il sera capable d'envoyer des insultes homophobe à un mec qui fricote avec un autre au travail oui. Ca n'a rien à faire là. En revanche, s'il y a abus sur un détenu, c'est là que son comportement devient intéressant. Il fait bien son travail le con, mais il est capable de fermer les yeux quelques minutes avant d'agir. Ben ouais, si la tronche du détenu ne lui revient pas, il estime qu'il mérite bien un petit traumatisme. Pis le gardien s'en mangera une aussi, et si c'est un détenu, il en prendra aussi une bonne. Il peut prétendre la mollesse juste pour voir jusqu'où ça va. Oui, c'est dégueulasse. Il a déjà était le visage qu'on regarde en implorant la pitié. Il a prit tout son temps pour agir. Il ne matte pas, il ne contemple pas, c'est juste un salaud qui adore provoquer le chaos dans la vie des gens, en n'agissant pas.

Etat de santé générale: Ca va j'vous dis !
Allergies ou addictions: Nicotine. Nicotine. Nicotine.
Soins réguliers (traitements): La clope.

« I was born by the river… »

On appelle enfant fait dans l’herbe, ceux dont la mère ne voulait pas. Il est né on ne sait où, on ne sait pas trop quand. Il avait quelques jours quand il a été retrouvé près d’un hôpital. On lui a donner un nom, un prénom, référencer à l'état civile. Sa datte d'anniversaire et celle dû jour où on l'a trouver. On ne sait rien de la personne qui l'a abandonner. C'était peut-être une gamine de 15 ans, peut-être une femme d'une trentaine d'années. Personne n'a rien vue, personne ne sait. Et ça importe peu au final. Ca ne le perturbe pas plus que ça. Si ça mère a été assez conne pour l'abandonner, c'est qu'elle ne méritait pas un fils comme lui. Placer dans une famille la première année de sa vie, il c'est ensuite retrouver dans le système abominable de l'adoption. Un système chaotique qui ne prend absolument pas en compte les enfants et leurs besoins. On place les enfants dans une famille on les en retires pour les mettre encore dans des dortoirs, et leurs seuls possession doivent rentrés dans un petit sac poubelle noir. Il a commencer à faire de la merde assez jeune du coup, c'était pas équilibré comme façon de vivre. Turbulent dès son plus jeune âge, c'est ça qui a contribuer à le faire passer de famille en famille. Oh oui, on peut se dire que ce n'est pas de sa faute, qu'il n'a pas été aider... Mais il ne faut pas voir sa vie comme ça. Il a volontairement continuer à se révolter partout, parce que ça lui plaisait, son point de repère c'était devenue ce chaos.

Du coup, c'est devenu un ado limite, le genre d'adolescent révolté contre le système. Et il a commencer à avoir des idées de puristes avec son semblant de groupe d'amis. Une version assez classique de l'orphelin qui tourne pas très bien. Ce qui fait qu'il a commencer à avoir des idées à la con, c'est pas tant le fait qu'il se sentait mal d'être orphelin que ses fréquentations à l'extérieur. Le genre crâne rasé avec des idéaux rétrogrades, mais avant-gardistes de leur point de vue. Il a commencer à se bercer d'histoires, et il est tombé fou amoureux. Mais pas d'une nana. De la mythologie nordique. Au même titre que certains son fascinés par la mythologie grec. Elle a exercée sur lui une fascination presque malsaine. Et adolescent de son état, il s'y est référé en tout et pour tout. Il a stupidement adopté leur croyances, et adoré leur culture.

Aujourd'hui, il lui en reste des traces, mais il a apprit aussi à vivre dans le monde. Aussi étrange que cela puisse paraitre, il a toujours vogué à la limite de la loi, ne franchissant jamais la ligne. Pas par peur, mais plutôt par amour de sa liberté.

Nous avons là une personne dynamique, et presque hyperactive. On l'a rapidement mit au sport pour essayer de compenser. Résultat, il a commencer à se forger un corps musclé et pouvait donner du poing quand il retrouvait des amis dehors. La plupart étaient plus vieux que lui, et il donnaient des combats amicaux. Parfois ils se disaient que c'était pour se préparer à la guerre qui viendrait, celle où on foutrait tous les rebut impures dans un coin pour leur faire manger le trottoir, et les tuer contre un mur comme des chiens. Racisme, homophobie, antisémitisme... Toutes ces choses ont construit son adolescence et sa façon de voir le monde. Sa façon de vouloir le refaire. De voir naître un jour un monde fantastique où il n'y aurait plus que les valeureux guerriers.

Il n'est pas revenue sur sa façon de penser, ces concepts enfin, sauf un. Mais il garde ça pour lui. Il a fréquenter des filles, il n'as jamais était tendre avec elles. Il les as faites pleurées, sa façon de les touchées était trop abrupte, parfois il c'est montrer presque violent. Ça ne l'a jamais déranger de faire irruption en elle avec force. Il a commencé avec douceur comme tout le monde ou presque, mais ça ne lui faisait pas grand chose. Être brusque non plus ça ne lui faisait pas grand chose. Il a virevolté en cherchant l'amante parfaite, celle qui lui ferait ressentir quelque chose, sans jamais la trouvée. Alors il c'est demander s'il n'était pas un de ces connards de gay qu'il fallait butter brûler et tabasser. Il a finalement essayé, un soir alcoolisé pour faire passer l'idée affreuse d'un corps masculin sous lui, et il s'avère que ça ne lui faisait rien de plus. Mais il avait discerné un truc. Que du coup, femme ou homme, c'était autant de la merde l'un que l'autre. Il a gardé ça pour lui, bien caché, bien enfouit, et le garde encore. Il continue à jouer la carte du parfait homophobe, bien que parfois, il se laisses tenter par un homme. C'est un truc qui le met mal dans ses convictions d'ailleurs. Tout ça l'a conduit à devenir un grand adepte de la relation kleenex. Pas galant, pas doux. Faut vraiment en vouloir pour un soir avec Leroy en fait.

Bon. C'est super tout ça, mais ça ne nous explique pas pourquoi il c'est retrouvé à la CSP y a 8 ans. D'abord, il a travailler comme videur dans des boites de nuit. Mais pas très longtemps, parce qu'il avait tendance à casser trop facilement la figure des clients, ils l'ont garder à peine trois mois. De toute façon, ce boulot c'était de la merde, alors il a chercher autre chose. Après il c'est retrouver à caissier quelques mois. Mais là encore, il trouvait les gens trop stupides, alors il est partit. Difficile de trouver un travail quand on est sans diplômes. Bon, après il a fait de la surveillance de parking, mais c'était trop chiant. Pas assez d'action pour monsieur Dickinson. Il a virevolté comme ça quelques années. Puis au détour d'un centre de formation, il a apprit le dressage de chien. Bon sang ça c'était cool ! Ça lui correspondait pas trop mal en plus ! Il fallait de l'autorité, de la patience... Bon, ok, ça il a fallut apprendre un peu. On lui a coller dans les pattes des chiens doux au début. Puis son instructeur à vite comprit qu'il fallait qu'il se fasse la main sur des teignes. Le premier du genre, c'était Rothko. Une petite tête de mule. Ce chien ne lui a jamais appartenu c'était pour se faire la main, mais il l'aimait bien. Il y en a eut quelques autres, puis il a eut son certificat de formation. Génial, il avait le droit de se nommer maître chien. Un truc pas mal dans le fond quand même. Restait à trouver le job.

Il a 27 ans quand il passe son entretient à la CSP. Il explique qu'il aime bien faire régner l'ordre, et exercer de l'autorité. Qu'il a de bonnes aptitudes physiques, comme l'a montrer son test d'entrée et qu'il sera engager et dévoué dans sa tâche. Bon, il n'a pas parler de ses convictions personnels. Et peut-être que ça n'y aurait rien changer. Il a montrer un caractère fort, une âme de guerrier. Et puis de toute façon, la directrice est légèrement timbrée. Il se la ferait bien, mais bon sang elle a une manière de géré les choses plutôt étrange.

Et il a fait son bonhomme de chemin entre les murs, montrant qu'il avait de vraies capacités pour ce boulot, et qu'il était capable de mener un peu les troupes en temps voulue, qu'il savait travailler en équipe quand ça lui chantait. Ouais, il rédige des rapport en sa faveur, ouais il abuse parfois de son statue, ouais, il laisse aller un peu les choses quand ça lui chante. Et il y a un an, on l'a placer chef de la meute des gardiens. Le précédent est partit, il avait plus ou moins la tête de l'emploie et avait fait ses preuves. Ben, peut-être aussi que la directrice n'est pas aveugle et qu'elle aime bien sa mauvaise façon de gérer. Peut-être qu'elle veut le jeté en pâture dans la fausse, mais il s'en fiche. Il aime son statue, et il fait ça bien à la limite des clous. Comme il sait si bien le faire.

Il y a 4 ans, il a dû mettre son premier chien en retraite. Mais avant ça, il a fallut faire une transition. Il a été chercher un Dobermann, blue & rust. C'était un chiot que quelques mois. Et avec lui, il a tester une autre méthode de dressage. Ca a été plus long qu'avec uniquement la voix. Il obéit aussi aux gestes, mais que les tient. Un chien fidèle qui aime bien sourire quand il est assit. Il à l'air de bien aimer faire son terroriste. Il l'a appelé Rasputin, histoire que le chien en impose un peu. Rasputin, il le préfère rapidement à Rodin. Plus féroce, plus dur à dresser. Ca lui convient mieux. Passer un peu plus d'un an avec deux chien à la maison, c'était loin d'être évident, alors quand Rasputin a définitivement été prêt pour le service, il a envoyer Rodin en retraite. Il prend toujours des nouvelles du vieux berger allemand. Il a l'air bien là où il est, et c'est très bien comme ça.

Rasputin et lui forment un seul corps. Ils sont le bout l'un de l'autre au travail. Le dobermann est dresser pour attaquer si son maître est dans la mouise et qu'il lui a fait signe d'intervenir dans ce cas précis. Un chien intelligent. Dresser au doigt, à l'oeil et à la voix. Il est assez rare d'entendre Leroy donner un ordre à son chien. C'est peut-être un peu terrifiant, si on ne fait pas attention aux signes qu'il lui envoie. Rasputin est forcé d'être toujours attentif.

Les voir ensemble faire des rondes, c'est quelque chose. On sent que ça fait bloc, que ça se respecte entre-eux. Et puis leur démarches assurés installe un peu le respect. Bien que ce respect, il faille le faire tenir en place quand on est connard de Leroy Dickinson.

Pseudo : Morten Von Hesse
Âge : 22...
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