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Catiel L. Vega - "Behave."

Catiel L. Vega
Messages : 71
Date d'inscription : 30/10/2016

Dossiers privés
Âge du personnage: 37 ans
Taille: 1m76
A savoir:





Catiel L. Vega
Maître chien
Dim 30 Oct 2016 - 17:23

image

Catiel


Luis Sebastian


Vega

GARDIEN




Âge: 37 ans
Nationalité: Américain
État-civil: Officiellement célibataire
Rumeur(s) à votre sujet: Catiel L. Vega aurait été vu en compagnie des Pride un peu trop souvent, on raconte qu’il est infiltré chez les gardiens tout en faisant partie du gang afin de contrôler la prison.

Poste dans la prison: Maitre-chien. Son binôme s'appelle Corto, un Fila de São Miguel de huit ans, queue et oreilles dockées
Depuis combien de temps ? Quelques mois

Caractéristiques physiques



Taille: 1m76
Poids: 82kg
Corpulence: Du côté musclé et trapu du spectre
Cheveux: Courts, noirs, passés régulièrement à la tondeuse. S'il les laissait pousser, ils boucleraient
Yeux: Etrangement clairs, bleu-gris déteint
Modifications corporelles: Des petites cicatrices, les plus visibles sur son visage, les autres réparties sur sa personne.
Au mollet droit, il porte un 6 couronné. En l'observant bien, on peut voir que le même tatouage a été fait deux fois, la seconde étant plus artistique et recouvrant presque entièrement l'original

- - -

- Luis Catiel Sebastian Vega, vous...

Il interrompt l'officier. Voix grave, grondement venu des entrailles, autorité forcée.

- Catiel Luis. Pas dans l'autre ordre.

L'autre est plus grand que lui, ils le sont toujours, mais il s'arrête, hoche la tête. Le maitre-chien exsude quelque chose de brut qui fait toujours tiquer, qui compense la relative banalité de sa silhouette. Dans son uniforme quasiment paramilitaire, il n'a de toute façon plus rien du gosse grandi dans des gangs violents ou du maitre-chien qui fait des rondes de nuit dans le supermarché du coin.
Il n'est pas un ours immense, ne l'a jamais été. Il n'est pas non plus musclé pour l'esthétique, bras qui se gonflent, torse comme un tronc ; s'il est puissant, c'est parce qu'il en a le besoin. Il est ce type juste assez menaçant qui s'impose sans rien dire. On sent qu'il ne se laisse pas marcher sur les pieds. On lit dans son maintien droit, ses pas rapides, ses mouvements précis qu'il ne plaisante pas. Pas lorsqu'il travaille en tout cas.
Il vouvoie. "Monsieur", toujours, distance professionnelle oblige. Regard franc, épaules carrées en arrière, ordres courts qui ne souffrent pas de désobéissance. Le calme est plus efficace que les cris sur les chiens, c'est la même chose pour les humains. Il y a quelque chose d'effrayant à l'observer parler tranquillement au milieu du chaos qui ne l'atteint pas, qui ne l'atteint plus.

Il n'a pas un visage forcément avenant, en tout cas à première vue. Epais sourcils souvent froncés, moue de mécontentement permanente, air sévère qui n'adoucit pas son apparence. Il n'a pas besoin d'avoir l'air aimable pour faire marcher droit.
Il peut sourire. Il lui arrive, dans la tranquillité de l'intimité, de se détendre. Un sourire étire ses lèvres, froisse la peau mate entre les cicatrices plus claires. Une étincelle de bonté danse dans ses yeux clairs, incongrus au milieu de ses traits métissés. Latino et afro-caribéen et si on en croit sa mère, néerlandais. Peut-être la raison de la teinte décolorée de ses iris.
Mais même lorsqu'il n'est pas au travail, il garde son maintien quasi-militaire. Sa maitrise de lui, de sa posture, est absolument admirable. On dit que même lorsqu'il dort, il garde le dos droit et le menton levé en signe de défi.

Il attend le même degré de contrôle de soi des autres, et surtout de son chien de travail. Ce n'est pas un animal de compagnie. Ce n'est pas un bichon gentil, c'est un outil comme un autre, peut-être plus violent ou baveux mais pas moins efficace. Voir l'animal et l'humain patrouiller côte-à-côte permet de se rendre compte que Corto n'est qu'un prolongement de sa volonté.
Sauf que là encore, tout est plus compliqué. Le canidé de travail devient un ami une fois la porte de leurs quartiers passés, son vieux gars, un confident aussi loyal que baveux.

Dossier psychologique



Défauts et qualités: Optimiste – Miséricordieux – Mentor – "Juste" // "Juste" – Autoritaire – Insensible – Introverti  
Tocs et manies: Il caresse du pouce sur le tressage de la laisse de Corto lorsqu'il se sent nerveux. Joue avec son bouc ou passe la main sur sa nuque quand il s'ennuie. Tape du talon en rythme quand il a une musique en tête
Peurs/phobies: Il détesterait finir noyé, se méfie donc comme de la peste des grandes étendues d'eau. Un bain est quelque chose tenant plus de la torture que du plaisir à ses yeux

- - -

Un cow-boy. Non, pas ceux sur leurs chevaux, clope au bec, détendus dans le soleil couchant. Ceux qui pendent pour un oui ou un non, qui appliquent une justice aussi expéditive qu'elle est prompte, qui font preuve de brutalité plus que de compassion. Voilà ce qu'il est.
Il fait, à défaut d'autre chose, preuve d'un sens aigu de la justice. Le bien, le mal sont deux notions parfaitement comprises et clairement délimitées dans son esprit, blanc et noir sans gris au milieu. Ce pourrait être positif pour un gardien de prison si le système judiciaire voyait les choses comme lui... Ce qui n'est pas le cas. Etrangement, venger une bastonnade en faisant brûler les coupables tend à être mal vu.
Pourtant, il a un sens de l'honneur. Il ne supporte pas qu'on s'en prenne à plus faible que soi, tout comme il hait les tentatives de fuir ses responsabilités ou les manipulations. La franchise, voilà tout ce qu'il demande : attaquer de front, assumer ses actes en levant le menton, noblement si on peut le voir ainsi. Jouez selon les règles du jeu –ses règles du jeu- et il ne haussera même pas le sourcil.
Dépassez de la fine ligne entre ce qu'il tolère et ce qu'il abhorre, et il n'hésitera pas à sévir.
Il est une brute quand il s'y met, pas de doute. Torturer ne le fait plus broncher depuis longtemps, il sait abuser tant de sa puissance que de sa position d'autorité lorsqu'il le doit. Il n'y a, avec lui, qu'un seul coup de semonce. Ce sera un ordre rauqué plus fort qu'à l'habitude, qui ne sera pas précédé de votre nom de famille : ignorez-le à votre guise, mais soyez assuré que seule la soumission vous sauvera.

Malgré tout, il sait être un protecteur. Pour ceux qui s'attirent ses faveurs, il peut devenir un véritable mentor avec juste ce qu'il faut de bienveillance sous la carapace d'autorité. Il sait ce que signifie vivre en prison, ou dans un gang, tout comme il sait qu'en sortir est possible. Il tendra la main à ceux qui le souhaitent au nom des secondes chances dont lui a bénéficié. Il s'agit d'une protection exigeante, malheureusement : les règles encadrant son soutien sont clairement énoncées, le but est clair. Vous vous en sortirez, ou vous sombrerez devant ses yeux sans qu'il ne bronche.
Il n'a pas de temps à perdre avec ceux qui ne souhaitent pas réellement la rédemption. Sous ses dehors brutaux, il reste un optimiste patenté qui croit que tout le monde peut être sauvé, qu'avec assez de volonté même les pires raclures peuvent se racheter une conduite. C'est une forme de croyance en un équilibre, en la lumière au bout de la nuit, puisqu'à quoi servirait la douleur si elle ne mène pas à un bienfait plus tard ?

En société plus normale, il n'est pas particulièrement bavard, ni très extraverti. Il aime passer de longs moments tranquille, seul, et en a même besoin s'il a trop côtoyé de compagnie. Son énergie s'épuise plus rapidement au cours d'une discussion mondaine qu'un entrainement physique, il tâche donc de la réserver pour ceux qui comptent à ses yeux. Il la recharge simplement en allant courir ou en lisant des bandes dessinées –pas des comics, de vraies bandes dessinées. Sa favorite est, évidemment, Corto Maltese.
Ce tempérament introverti n'en fait pas un rustre. Il sait maintenir une camaraderie presque informelle, rire avec un coup dans le nez aussi bien qu'un autre, faire des plaisanteries graveleuses en fin de soirée. Il ne faut simplement pas lui demander ce genre d'efforts chaque jour, sans quoi il finit invariablement par disparaitre des radars de longs mois pour savourer la seule compagnie de sa propre personne.

Santé


Etat de santé générale: Plus que bon. Il est dans une forme absolument olympique, si on oublie le fait qu'il "arrête" de fumer tous les six mois avant de retomber dedans
Allergies ou addictions: Essaie de se débarrasser de la cigarette, la remplace par une consommation surhumaine de bonbons à la menthe
Soins réguliers (traitements): Aucun –son chien voit plus souvent un médecin que lui-même

Histoire



- Luis, arrête de les voir ! Tu fais peur à ta mère !

Le gamin ignore sciemment son père et sort de la maison, pour la dernière fois.
Il a dix-sept ans, il pense faire ses choix de lui-même sans voir qu'il se fait manœuvrer par un gang. Il pense qu'ils sont ses amis. Qu'ils l'aident à devenir grand, un adulte, un dur comme les vrais. Pourtant, il ne vient pas d'une famille difficile : son père est prof, sa mère garde des enfants dans une des grandes maisons riches de l'autre côté de la ville. Ils ont une petit maison, deux voitures, un chien. Le rêve américain à hauteur de ce qu'ils peuvent en espérer sachant leurs origines. Leur fils est le premier de la famille à être né sur le sol américain.
Alors le voir rejoindre des groupes de jeunes violents terrifie ses parents. Ils ont essayé de le remettre dans le droit chemin pendant des années. Depuis ses douze ans et le début de ses fréquentations moins recommandables. Mais voilà, l'emprise a été trop forte, trop vite : il a échappé à leur prise comme le font parfois les adolescents.
Au début, c'était rien. Voler des bonbons, jouer chez ses camarades d'écoles avec leurs grands frères tatoués dans une autre pièce qui parlaient fort, buvaient, fumaient. Et puis il a frappé quelqu'un. Volé des voitures. Il n'allait plus à l'école. Il trainait, perdu-mais-pas-perdu, dans les rues. La police n'a pas fait son travail, elle ne l'a jamais attrapé.

Pas avant ses dix-sept ans donc. Vol à main armée, le caissier était lui aussi en possession d'une arme à feu, il a joué au cow-boy. Première fois qu'il voyait du sang, il a paniqué, s'est enfui. Cinq ans dans une prison, dont seulement un en centre pour jeunes. Trois ans vraiment effectués avant une remise de peine –les prisons étaient pleines.
Il n'en parle pas. Jamais. Ce qui s'est passé pendant ces années refuse de sortir, il l'a enfermé au plus profond de lui. Facile à deviner, malheureusement : il était jeune, il était inexpérimenté, il ouvrait la gueule pour essayer de se faire respecter. Il est ressorti endurci et terrifié. Proie encore plus facile qu'un ado pour des gangs de plus grande envergure que le petit groupe qu'il avait quitté en se faisant attraper. Il avait vingt ans, pas beaucoup plus grand, pas beaucoup plus intelligent.
Il a sombré dans une autre spirale de violence, plus brutale, plus codifiée. S'il avait eu peur des armes, il fut bien vite insensibilisé. C'était l'image parfaite du latino dangereux : armé, clope au bec, musclé pour la frime. Sous la houlette d'un chef aussi tyrannique qu'il était capable d'inspirer ses troupes, il a participé à faire régner la terreur dans la région de San Diego. Loin, le vol de voitures. Encore plus loin, le petit braquage minable qui lui avait coûté la liberté.
Il était devenu un grand.

Et encore, toujours, il ne se faisait pas attraper. Il était trop bas dans la hiérarchie pour être une vraie menace à traquer, trop intelligent pour se laisser avoir bêtement : il était juste là, prêt à obéir pour un peu de reconnaissance, quelle que soit la tâche. Il avait vite compris les règles du jeu, le simulacre d'honneur du gang, les lois non dites. On n'attaque la famille qu'en cas d'attaque directe sur le gang. On ne touche pas aux enfants trop jeunes. Tout le reste ? Fair game.
Endurci par l'habitude, il a complètement perdu pied. La personne qu'il était à ce moment n'était ni agréable, ni sympathique, ni douce. Il ne l'est toujours pas, mais au moins est-il désormais capable de tenir une conversation sans sauter à la gorge de ceux qui le regardent mal...

Il s'est fait avoir pour une faiblesse stupide. Isobel, belle comme le jour, tâches de rousseur sur ses joues. Flic.

- Attaque, vol, menaces, passages à tabac, incendies. Et vous pensez que nous allons être cléments, monsieur Vega ?

Non, il ne le pensait pas. Mais ils n'avaient pas tellement de preuves directes contre lui, il avait au moins cette chance, alors il ne fut pas condamné à passer le restant de ses jours en prison. Juste quinze ans, en théorie. Il ressortirait à presque la quarantaine.
La vie, qui ne l'avait pas aidé jusque là, en décida autrement. Dans le pénitencier où il échoua se monta une opération de réhabilitation des détenus : on leur confiait un chien, un animal issu d'un refuge, qu'ils devaient dresser. Au lieu de se morfondre pendant des heures dans une cellule, une quinzaine d'hommes avaient le droit à des cours, du temps à l'extérieur et un compagnon de vie.
La première fois qu'il postula, il échoua. Là depuis trop peu de temps, encore profondément violent, il était un des pires candidats possibles. Ce fut l'électrochoc dont il avait besoin pour se reprendre en main : son comportement se modifia. Il passa le plus de temps possible isolé pour ne pas faire de vagues, coopéra avec les gardiens. Deux ans plus tard, il se porta de nouveau volontaire.

Elle s'appelait Bird. Accident de croisement manifestement, des gènes trop mélangés pour être distinguables, prompte à la morsure –au début en tout cas. C'était une carne, mais c'était sa carne. Les premiers mois furent anarchiques, l'homme et la bête durent se chercher, tester les limites, les méthodes. Ils finirent par se trouver. Se calmer mutuellement. Avec sa chienne, il parvint à laisser derrière lui la violence aveugle des gangs, à croire en une seconde chance possible pour lui.
Son coeur se brisa lorsqu'il dut la laisser partir pour la céder à ses nouveaux propriétaires maintenant qu'elle était redevenue viable dans une vraie famille. Suivirent Ella puis Utsh, deux nouvelles séparations déchirantes dont, semblait-il, il avait eu besoin pour avancer réellement.
A un tiers de sa théorique peine, on le laissa repartir, sous condition. Sous surveillance de la police. Parce qu'il s'était bien conduit et que le directeur du programme de dressage s'était porté garant, il avait le droit de vivre dans une petite ville côtière tant qu'il bossait régulièrement pour le commissariat, en tant que maitre-chien bien entendu. La bourgade était trop minuscule pour contenir le moindre groupe de hors-la-loi organisés. Et de toute façon, il avait bien trop conscience de la chance qui lui était offerte pour retomber dans ses mauvaises habitudes.

Il acheta Corto avec l'aide d'une association d'aide aux anciens détenus. Un chiot maladroit qui grandit pour devenir une bête de travail parfaitement adaptée au tempérament de son maitre, lequel mit en pratique tout son apprentissage en prison pour dresser son chien. Un qu'il ne verrait pas partir de si tôt.
Il rencontra aussi Keith. Officier de police, père célibataire, à peu près aussi causant que lui. Un drôle de second départ, le genre qui fait remettre en cause tout ce qu'il avait tenu comme acquis avant : sa volonté d'épouser une gentille fille aux hanches larges, l'envie d'avoir un gosse à lui, la maison et le chien qui vont bien. Trente ans de certitudes qui volaient en éclat pour des yeux bruns et une voix basse.
Ils avaient quand même la maison, le cabot et le marmot. C'était la baraque de l'autre, dans laquelle il avait emménagé après un an de relation et des négociations serrées avec l'enfant. Passer de papa-et-maman à papa-et-un-barbu fut un peu traumatisant, il fallut s'arranger pour que la réaction de rejet ne soit pas trop intense, qu'ils vivent en bonne harmonie. Ce fut autrement plus difficile que de brûler des voitures.
Mais tout se calma à force de patience, de train-train quotidien, de discussions tranquilles. C'était agréable pour lui. Une parenthèse ensoleillée dans une vie qui ne l'avait pas trop été. Il changea même l'ordre de ses prénoms pour mettre derrière lui, vraiment derrière, son ancienne existence. Catiel était quelqu'un d'autre, il fallait bien marquer le coup.

Ils se séparèrent après six ans de vie commune, accord passé à deux. Ils ne se détestent même pas : c'était un départ très tranquille, comme s'ils avaient juste atteint la fin de leur route commune. Keith gardant la maison, il déménagea. Loin de la petite ville tranquille, loin de San Diego aussi, il choisit d'abord Los Angeles.
Six mois pour se réhabituer à la ville avant de passer haut la main les tests de recrutement à la California State Prison parce qu'être gardien de nuit dans des quartiers riches était un beau gâchis de ses capacités. Parce que derrière les barreaux, il pouvait peut-être sortir des gamins de leur situation pourrie, s'ils étaient assez intelligents pour saisir l'occasion.



Côté joueur


Pseudo : Vi
Âge : Le mauvais côté de la vingtaine
Comment as-tu trouvé le forum ? Je viens d'un de vos partenaires
As-tu des remarques à  faire ? Je ne sais pas qui a choisi la teinte de bleu-vert, mais elle est superbe
As-tu un double compte: -
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Liam O'Callaghan
Messages : 169
Date d'inscription : 23/10/2015

Dossiers privés
Âge du personnage: 29 ans
Taille: 1.91 mètres
A savoir:





Liam O'Callaghan
Conseiller
Mer 2 Nov 2016 - 11:08

Tu es validé !

Je te valide avec Liam uniquement pour cette phrase : "Il s'est fait avoir pour une faiblesse stupide. Isobel, belle comme le jour, tâches de rousseur sur ses joues. Flic." ... XD La mère de mon personnage est une magnifique rouquine nommée Isobel , mais elle est avocate. xD mais ça m'a fait rire.
Sinon j'apprécie ENORMEMENT ta fiche, elle est délicate, j'ai envie de prendre ton histoire et de la protéger dans mes mains ! Non franchement elle est pleine de fraicheur étrangement et de réalisme et OH MON DIEU, je me tuerais pour du réalisme partout. ♥ Bref, amuse toi bien ici héhé.

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !
Amuse toi bien parmi nous !



EDIT : merci pour le bleu-vert ♥ C'est ma couleur préférée, longtemps que je voulais en faire un design. ♥ xD
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Catiel L. Vega - "Behave."
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