Jack Wasker

Taille: 1m93
Poids : 91,2 kg
Corpulence : Musclé
Cheveux : Brun
Yeux : Marron
Famille ethnique : Il y a sûrement du mélange, il n'est pas 100% Américain, mais cela remonte d'y a quelque générations et de sa famille ne sait à quel sang ils ont été mélanger.
Modification corporelle : Une grande cicatrice sur sa joue gauche

Jack est une personne dites grandes avec ses 1m93 de haut. Il est de carrure forte, épaule large, taillé en V. Il possède une musculature très développé grâce à un entraînement acharné. Tout est parfaitement proportionné et ferme, il n'a rien de mou, pas un gramme de graisse en trop. Sa formation militaire oblige. Il mange équilibré, faisant attention à son poids. Il avait la coupe militaire, mais depuis qu'il est en prison, ils ont poussé, quand il peut se mettre du gel, il les plaque en arrière, sinon, ils lui tombent devant le visage. Son corps est marqué à cause de la guerre, il a des micros cicatrices ici et là, il ne les a jamais comptées. Mais il en possède une grande le long de sa joue gauche, allant de la pommette jusqu'à la mâchoire. En hiver sa peau est blanche mais en été il bronze facilement et devient matte. Il a les yeux en amande, avec les sourcils très souvent froncé d'agacement.



Défauts et qualités : Insociable, fort, froid, distant, exigeant, menaçant, doux, compréhensif, rigoureux, calme.
Objectifs et ambitions : Couler sa peine tranquillement sans qu'on vienne le faire chier
Tocs et manies : Touche sans cesse son alliance autour de son doigt
Peurs/phobies : Retomber amoureux

Jack est une personne droite, carrée, perfectionniste. C'est ce qu'il aimait à l'armée, la discipline. Il est à l'écoute, comprenant rapidement les ordres, logique, sachant s'adapter à la situation. Mais il savait aussi ouvrir sa gueule quand il le faut, tenant tête à ses supérieurs.
Jack est de nature douce, calme, posé. Il ne s'énervait pas, du moins avant. Maintenant, il peut vite être agacé, il souhaite être tranquille. Il ne parle pas beaucoup, seulement quand c'est nécessaire. Il montre son mécontentement en grognant et quand il l'ouvre c'est généralement pour faire comprendre à l'autre qu'il veut la paix et qu'il a intérêt à dégager au risque de se prendre une belle droite. Il a perdu sa patience légendaire en vers les autres et peut parfois démarrer au quart de tour.


Etat de santé générale : Bon mais fragile psychologiquement depuis la mort de son mari
Allergies ou addictions : Une forte attirance pour la viande de poulet
Soins réguliers (traitements) : Un suivi psychologique régulier



Nous avions dix ans d’écart, mais c'était lui que mon cœur avait choisi. Mon partenaire, un soldat tout comme moi, nous étions dans la même division, nous faisions tout ensemble, Lucas, mon ange, ma raison de vivre, mon rayon de soleil. Il n'y avait que lui pour me donner le sourire. J'étais tendre, attentionné avec lui, fou amoureux. Mais notre idéal a été brisé.

J'ai toujours voulu faire l'armée pour défendre mon pays, être à son service. Mourir pour les États-Unis aurait été un honneur. Je me sentais utile, je servais à quelque chose. Pour moi c'était l'unique métier qui ne pouvait être bafoué. A par nos ennemis, personne ne crachait sur les soldats, nous étions respectés qu'importe où on allait. C'était prestigieux, magnifique, voir le regard du peuple  sur nous lorsqu'on revenait de mission. C'était le bonheur, j'étais plein de fierté. Je m'étais engagé très tôt, je voulais faire carrière. J'y étais presque...

J'ai rencontré Lucas lorsque j'avais 32 ans, il n'en avait que 22, il était comme moi, plein d’entrain, motivé comme jamais, nous avions la même vision de l'armée. Je ne peux dire si je suis gay, j'ai déjà eu des aventures avec des femmes qui n'ont jamais abouti. J'étais peu présent fallait dire, l'armée était ma famille, mes amis, ma vie. Elles ne le comprenaient pas. Mais lui ! Ce petit homme, lorsque je l'ai vu, j'ai eu le coup de foudre, si l'on peut dire ainsi. Je n'y crois pas trop au coup de foudre mais là je n'ai pas d'autre mot.

Nous avions gardé notre relation secrète, il y avait quelques soupçons, mais nous avions réussi à tout camoufler. Nous attendions avec impatience notre permission. Nous nous éloignons assez pour que personne ne puisse nous surprendre, on vivait quelque chose d’inexplicable, nous étions heureux, croquant la vie à pleine dents. Même si les missions étaient difficiles, la guerre n'est jamais belle à voir. Il avait perdu un œil et moi j'ai reçu un éclat sur ma joue, nous avions combattu de toutes nos forces, donnant notre âme à ce combat.

Le retour à la maison fut appréciable, j'avais pris soin de lui, malgré le bandeau noir autour de son œil, il restait beau à mes yeux, je le voyais un peu plus fragile qu'avant et je ne souhaitais que le protéger. Toute cette tendresse que je lui avais donné, je ne pourrais plus la donner à qui que ce soit. Je ne pourrais l'oublié, mon amour...

J'ai voulu faire justice moi-même.... mon homme a été agressé sans raison, violence gratuite, sauf qu'il n'en a pas survécu. Il faisait simplement les courses ce jour-là, il avait oublié d'acheter du sel. Il était sur le chemin du retour lorsque ses agresseurs ont voulu lui prendre son porte-monnaie, il n'avait presque rien sur lui, cela ne leur avait pas plus, il avait commencé à se défendre, mais à cause de son œil, il n'avait pas vu le coup venir. Il fut poignardé à plusieurs reprises....

Je m'étais écrouler de tristesse, pleurant toutes les larmes de mon corps, je n'ai pas pu oublier la remarque des policiers, j'ai ressenti une colère immense monté en moi, je ne pouvais laisser se crime impuni. Je devais le venger, je ne voyais que cela, s'en était devenu mon seul objectif.

Nous étions mariés... nous avons formulé nos vœux à Las-Vegas. Sa perte était si soudaine, je ne pourrais l'oublié, ce visage, son sourire, sa tendresse. Je devais lui rendre justice. J'ai donc mené mon enquête, cela m'avait pris du temps mais j'avais réussi à remonter la piste et je les ai retrouvé. Et là, j'avais... oui j'avais pété un plomb, ma colère à guider mes poings, j'ai massacré ces hommes, moi... un soldat... j'avais perdu le contrôle de moi-même. Je me souviens encore, mes mains tremblaient, taché de sang, j'avais attrapé mon téléphone pour prévenir la police, je me suis rendu, je n'avais pas cherché à fuir, mon cœur, mon esprit, j'étais soulagé... même si Lucas ne reviendra pas...


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