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 Mattew Reichelberg

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Invité
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Jeu 19 Fév 2015 - 21:09

Mattew Reichelberg


Avatar : 鏑木・T・虎徹, Kaburagi T. Kotetsu

Identité
Nom: Reichelberg
Prénom: Mattew
Surnom: Mat’
Âge: 28 ans
Nationalité: Canadien
État-civil: Veuf
Rumeur(s) à votre sujet: Mattew Reichelberg aurait menti sur le passage de son doctorat. En vérité il serait un escroc et se nourris du mal-être de ses patients pour donner un sens à sa vie.

Incarceration

Poste dans la prison: Follow en psychiatrie( une seconde spécialité en psychiatrie active et termine son doctorat en venant à CSP), il a déjà le titre de pharmacien au Canada.
Travaille à California State Prison depuis combien de temps ? Février 2015



Caractéristiques physique

Taille: 174 centimètre
Poids: 70kg
Corpulence: Fin, svelte et légèrement plus musclé qu’on peut s’attendre dans ses vêtements larges.
Cheveux: Brun d’acajou
Yeux: Vert aux paillettes brunes
Famille ethnique: Caucasien et anciennement amérindienne
Modifications corporelle: Aucune

Pour sa taille, il est en-dessous des normes des États-Unis, mais pour son croisement génétique c’est une grandeur convenable. Tout comme pour la couleur de ses cheveux qui sont d’un banal brun, trop souvent en épi et qui ne reste coiffé que lorsqu’ils sont mouillés. Depuis quelques années maintenant, les mèches folles tombent et recouvrent la nuque dans une épaisse couche douce. Les favoris sont coupés au niveau des oreilles alors qu’il garde l’avant de son menton au chaud dans une barbe toujours courte. Cette dernière, fait rire sa fille et c’est pourquoi il l’aime la garder ainsi. Ce n’est pas vraiment pour la mode et enfaite ses fils trouve selon « tellement craignos ». Pourtant, si ça fait sourire un être aimé, comment ça ne pourrait pas être beau?

Son visage ressemble à celui de son père à l’origine juive. Ses yeux verts raillé de brun semblent toujours poser un regard bon sur les gens. Sans pour autant les transpercer ou voir au plus profond de l’autre, il a des yeux d’un ami qui préfère attendre la permission pour vous rejoindre que de risquer d’enfoncer une porte ouverte. Son nez comme ses oreilles sont naturelles et ne portent aucune marque de modification alors que ses lèvres sont charnues sans être pulpeuses.

Naturellement porté vers les livres, il lui arrive d’oublier de manger ou la salle de sport, bien qu’il sache l’avantage que peut lui apporter les deux. Plus mince est long, il pratique l’escalade l’été et du snowkite lorsque l’hiver lui permet. Ces deux sports ne demande pas une force physique intense, mais plutôt dans l’ordre de l’endurance et parfois des pics de force. Son corps s’est formé pour répondre à cette demande énergivore.
Mis à part quelques vaccins qui ont laissé un point cicatrisé sur l’épaule, sa peau ne présente aucune marque de lacération. Au contraire, douce et sans faille, elle est à l’image d’une santé vive et saine.

Sa tenue vestimentaire est généralement un brin trop large, aliénant l’image de sa corpulence et fait passer son corps pour plus frêle qu’il ne l’est. Cette habitude vient simplement du fait qu’il veut être confortable et libre de ses mouvements. Plus particulièrement lorsqu’il veut jouer avec sa princesse.
Sous sa chemise et sur le haut de son torse, une bande l’entour. Il s’agit d’un capteur pouvant prendre ses signaux vitaux. Envoyant les informations à la montre qu’il garde à son poignet, le médecin a pris pour habitude de regarder cette dernière régulièrement. Il a sur lui, toujours un carnet de feuille et des crayons de cire. Il n’est ni rare ni surprenant de trouver sur lui un reste d’encre ou un collant apposer par un enfant joyeux.

Dossier psychologique

Défauts et qualités: Ne croit que ce que la science explique. S’investit énormément dans ses patients. Manque d’expérience en matière de psychologie. Loyal et persévérant. A du mal à apprendre de ses erreurs et vulnérable face aux gens en larmes ou en détresse.
(Personnage fait pour que les perso ayant des capacités de manipulation/mensonge/intelligence hors norme puisse passer dans les mailles du filet. ;) )
Objectifs et ambitions: Finir ses années de spécialisation pour être psychiatre/ Se rapprocher de ses enfants/ finir son doctorat et publier ses recherches.
Tocs et manies: L’homme de science a besoin d’être toujours joignable, d’appeler ses enfants matin et soir, il garde tout les souvenirs d'enfance de ses petits, toujours avoir une confirmation dans une livre ou une étude.
Peurs/phobies: : L’homme de science a besoin d’être toujours joignable, appeler ses enfants matin et soir, toujours avoir une confirmation dans une livre ou une étude s’il doute.
Peurs/phobies: Devoir un jour perdre ses petits, ils sont sa faiblesse. Mourir, évidemment est très anxiogène, mais il craint plus de mal diagnostiquer.

La psychologie ; (Venant du mot âme et étude) Il s’agit d’une analyse de faits psychiques, des comportements et des processus mentaux d’une personne. Tout cela proviens des réactions du cerveau et ses connections. Nous ne sommes que de long relais électrique évolué afin de s’adapter.

Certains naissent avec des problèmes dans leurs filages, d’autre en acquièrent avec le temps et finalement les moins chanceux ont des disjonctions innés et acquises. C’est le point de vue de notre docteur des médicaments. Utilisant de microscopiques outils pour soulager le mal cérébrales : les pilules, il s’emploie entièrement à trouver un apaisement et une normalité dans les cerveaux des dérangés. Presqu’aussi important qu’un culte pour lui, il arrive tôt et rentre chez lui tard. Ayant toujours sur lui une possibilité de le rejoindre de plusieurs façons, il regarde avec compulsion qu’il a bien tous ses appareils électriques.

Conscient qu’il n’est lui-même pas parfaitement ordonné dans ses propres chemins cérébraux, il garde sur lui une montre et autour de son torse une ceinture pour capter son volume d’air respirer, la saturation de son sang et d’autres informations cardiaque. La seule manière de se connaitre n’est-elle pas de s’étudier?

On dit souvent de lui qu’il a gardé son côté pharmacien, manquant de discernement envers ses patients et trop prompt à chercher l’atténuation mental. Malgré cela, il préfère toujours utiliser les agents chimiques que le corps créer lui-même, cela fonctionne mieux. Par exemple, il préfère que les libérations de dopamine soit naturelle pour garder les neurotransmetteurs recevoir le plus longtemps possible en bonne santé.
Pour cela, il essaie plusieurs types de traitement interne : Discussion avec son patient, activité mentaux, rire…Parfois, ce n’est pas suffisant. Il arrive, uniquement en consultation privé, qu’il déborde des traitements conventionnels. L’art du plaisir charnel, il a commencé à l’étudier avec sa femme et il a rapidement constaté que les gens en manque cruellement. Il applique depuis la disparition de sa douce et folle les méthodes qu’elle lui a apprises, mais il le fait uniquement avec des hommes.
La raison est simple : Il ne croit pas qu’un couple d’homme soit possible biologiquement parlant et donc voué à l’échec. L’hétérosexualité et l’homosexualité sont principalement dues au contexte dans lequel se développe l’enfant et un peu de biologie. La bisexualité (aussi la pan) est la seule sexualité qui permet aux espèces de remplir toutes les sphères sociales demandées.

Attentionné et aimant, pour ses enfants il peut paraitre respectable jusqu’à ce qu’il s’humilie en se mouchant à cause d’un film de gamin ou lorsqu’il veut glisser dans la glissoire avec sa fille. Il peut avoir ces mêmes comportements légèrement déplacés au travail, quoi que ce soit beaucoup plus rare. Il préfère rester « professionnel » même si ce terme n’est pas exact dans son type de « professionnel ».
Ayant lui-même vécu avec une personne ayant des problèmes de personnalité, il connait les profondes griffures qu’est le jugement. Préférant trop souvent prendre la défense de ses patients, il en oublie parfois l’essentiel : Ce sont des criminels, dont la majorité l’usage du mot «dangereux» est un euphémisme.

Il est donc un psychologue attaché à ses patients, sans doute trop. Possédant généralement de bonne valeur commune et n’aimant pas la souffrance psychologique, il fait souvent trop confiance dans la nature humaine. Néanmoins, il est consciencieux et méticuleux, comme un bon rat de bibliothèque il croit que la solution à tous les mots se trouve dans la poursuite de la science. Malgré les quelques croche-pied de la vie, il s’est relevé. Certain lui dise qu’il n’a rien vécu comparé à d’autre et il l’accepte avec plaisir. Néanmoins, il est fortement capable d’ouvrir son esprit pour comprendre si on lui ouvre la porte de notre vision du monde. Une bonne personne? Une mauvais? Non, il est humain et cherche l’être humain. C’est pourquoi il donne beaucoup de place aux études qu’il va faire sur les prisonniers de la California State Prison.

Santé

Etat de santé générale: Allergie au jaune d'œuf et au cacao
Allergies ou addictions: Addiction à un suivi constant de ses patients. Son téléavertisseur qu’il a besoin de toujours avoir sur lui. Légère dépendance affective
Soins réguliers (traitements): Aucun nécessaire

Histoire d’un naufrage prévisible

(Résumé : famille de raison et non de passion, amitié perdue, étude pharmacologique, tomber amoureux d’une femme avec deux fils, étude redirigé pour devenir médecin, une fille nait de lui et de la femme qu’il aime,  disparition de la mère, arrivé à la California State Prison)

Toujours ce genre d’histoire médical… du plus loin de ses souvenirs, c’est toujours cela qu’il entendait dans les discussions de famille. Au souper de semaine : quel patient à pisser au sol en riant comme un frénétique, quel idiot d’infirmier a raté son intraveineuse, comment il faut intuber les obèses morbides, le déroulement d’un désastreux accouchement, etc. C’est cela la normalité dans une famille de médecin.

Entre un père à l’urgence psychiatrique et une mère s’occupant du département médical général de la capital, le jeune garçon grandit dans un univers à part. Les deux grands et reconnus médecins qui lui servent de parent sont les plus talentueux lorsqu’ils doivent s’occuper de leur patient… mais hors des portes des cliniques, ils n’ont plus l’énergie de s’occuper des autres et retrouvent une bulle de solitude. L’enfant apprend donc rapidement que pour avoir la parole dans ce monde, il faut avoir des connaissances et plusieurs arguments en réserve.

Dès son entrée à la garderie privée pour garçon bien éduqués, il se révèle intravertie et ayant une déficience au niveau social. On lui dit de partager, il abandonne son jouet. On lui dit de participer et il va lire dans son coin.
Après les premières phases de l’enfance, il observe l’amusement de ses amis de maternel qui jouent ensemble. Il observe beaucoup à cet âge, voulant être une grande personne pour pouvoir aussi faire partie de la famille avec son père et sa mère. Un besoin de reconnaissance, d’attachement, il ne savait pas encore s’auto- diagnostiquer.

Il grandit, en voyant que les parents des autres enfants donnaient de l’attention à leur progéniture, s’amusaient et même les prenaient dans leurs bras. Une légère jalousie et sensation  désagréable croient en lui à chacun fin de journée.
Après avoir quitté la garderie alors qu’il est sur le siège arrière du véhicule de sa mère, il tente d’entamer une conversation avec elle pour lui raconter sa journée. Sa mère ne lui répond pas et il tente de continuer, parlant plus fort pour avoir de l’attention. Après quelques minutes, sans réponse, une crainte grandit dans son ventre, un désir ardent d’être entendu et d’être quelqu’un lui aussi. Il se met à crier. Sa mère arrête la voiture et se retourne vers lui. Heureux, Mattew sourit à sa mère avec un soulagement complet et s’attend –comme à la garderie –à être grondée, mais au moins maman le regarderait!

La gifle le surprend et il cesse de respirer un moment, baissant le regard vers le sol. L’instant d’après, le bruit du clignotant devient  la réponse de sa mère : L’inintérêt. Quand il retourne à la garderie, il cesse de regarder les autres enfants jouer, cesse de poser des questions, cesse d’attendre avec impatience ses parents.
La petite école, il est un élève sans-problème et intelligent. Passant ses heures de liberté à étudier à la biblio et à se construire une identité dans les livres, il rencontre une petite fille d’une famille d’avocat qui a le même comportement que lui. Doucement, il ajuste ses heures et ses lectures sur celle de la jeune fille. Quand il constate qu’un jour, elle vient s’assoir à la même table de lecture que lui, il en ressent une grande joie. Les deux enfants ne s’échange pas un mot durant la première année de leur petite école. Pourtant, s’était tout comme : Dès qu’il leur était possible de choisir une place, ils prenaient la chaise à côté de l’autre. Quand l’un lisait un livre à la bibliothèque, l’autre était le suivant à le prendre pour le lire. Mattew se sentait proche de la jeune fille en lisant ce qu’elle lisait, il avait l’impression qu’ils étaient amis privés.

Néanmoins, avec les vacances d’été, la peur de perdre cette source de bonheur augmente à chaque soir. Le dernier soir, il prend son courage en main et pour la première fois il va l’attendre à la sortie des classes. Jamais elle ne sorti de l’école et le petit garçon dû quitté à l’arrivée de son père.
Ses vacances sont toujours à l’étranger, ses parents considérant l’apprentissage d’une nouvelle langue comme un stimulus adapté à son développement normal. Néanmoins, ses difficultés de tisser des liens ne suivaient pas celles de ses facultés intellectuelles. Pourtant, ce fut un bel été remplis d’impatience et de désir à retrouver son amie privé lors de la rentrée des cours.

Bien que leur école soit séparé par des classes pour garçon et une classe pour fille, leur cours d’école commune, la cafétéria et la bibliothèque leur permettait de rencontrer l’autre genre. Dès la première journée de cette nouvelle année, il la retrouve et cette fois essaye de lui parler. La jeune fille se moqua un peu des mots bredouillés et leur amitié repris comme si ces trois mois n’avaient pas existé. Mattew découvre l’amitié à ses sept ans dans cette école privée pour enfant bien élevés. Jusqu’à ses douze ans, il n’eut pas d’autres amis et l’exclusion sociale de sa vie prit une tournure nouvelle. Pour la première fois, il est heureux de n’avoir personne à la maison qui veut savoir ses journées, qui veut s’occuper de lui. Il peut garder ses rêves privés d’amitié que pour lui, comme un trésor merveilleux. Elle semble vivre la même chose, cette fille du directeur, elle ose lui prendre la main en privé lorsqu’ils lisent dans le fond de la bibliothèque cette tête aux cheveux bouclés. Elle, Lidya la maladroite qui a toujours des équimoses avec son sourire hésitant.

Les années passent et l’enfant solitaire remonte sa crainte de parler en public, sa peur d’aborder les autres, du noir et de ces autres cauchemars anxiogènes. Il sait discuter avec ses parents à la table, des sujets médicaux dans lesquels il a commencé à suivre des cours particuliers. Bien qu’il ne fasse pas le poids devant le savoir de ses parents, il peut poser des questions que ces derniers sont intéressés à répondre.

Durant la dernière année dans l’école de son enfance, Lidya avait grandi beaucoup plus que lui. Elle le dépasse de plus d’une tête et elle met des jupes longues. Lui, il la voit toujours comme une amie privée, bien qu’elle soit intravertie comme lui, elle ne se laisse jamais marche sur les pieds et au ballon-chasseur elle est une psychopathe.
Parce qu’elle est une fille et lui un garçon, ils ne s’invitent pas l’un chez l’autre. La bibliothèque, est leur cabane secrète où ils rêvent d’un rêve commun le nez dans les livres. Après l’école, avant ses cours supplémentaire de piano et elle ses cours d’escrime, il la regarde enfiler ses bottes. Il est assis sur une chaise de la cafétéria et sa tête sur ses bouquins. Il la questionne sur toutes ses marques qu’il entrevoit sur elle, voulant savoir si elle ne manque pas de vitamine K ou si elle ne souffre pas d’une autre carence. Elle rit et lui donne un coup de casque sur la tête. Il insiste et elle vient s’assoir à côté de lui, très prêt de lui, se penchant elle au-dessus le visage au-dessus des livres. Elle lui murmure son secret, à elle et juste pour lui : « C’est des marques d’amour ».

S’était en mai, un mois avant la fin de leur année d’étude. Ces mots, dits par la personne qu’ils aimaient le plus, lui ont arraché le cœur. Elle n’était pas son amie privée, elle n’était pas qu’avec lui. Elle, Lidya l’adroite et confiante championne d’escrime, avait quelqu’un d’autre.

Dès le lendemain, il cesse d’aller à la bibliothèque, restant en classe pour manger et prenant ses cours privés à la maison. Il aurait dû appeler les infirmières, les adultes, n’importe qui pour dénoncer ce qu’il avait entendu. Pourtant une partie de lui s’est mis à haire Lidya et craindre la douleur qu’elle lui a faite. Il se tait, espérant l’oublier, elle et la bibliothèque.

L’école mixe lui fait comprendre rapidement qu’il allait être impossible de ne plus croiser cette ancienne amie. L’académie modèle est mixe et ses parents ne voulaient pas entendre ses arguments qui lui permettrait d’être inscrit à une académie uniquement pour garçon.
Préférant agir en idiot, il fait semblant de ne pas la connaitre et voit dans le regard de la jeune fille une douleur apparaitre. Il a mal, plus qu’il ne pensait que ça lui ferait, mais poursuit son déni de lâche. Lorsqu’il s’est retourné, il entend un rapide bruit de pas, puis il sent un poids dans son dos s’y accrocher. Ils ont 12 ans, ils ont tous ce qu’ils veulent au monde : santé, richesse, avenir.

Les larmes contre sa nuque le figent. Ils ne doivent pas pleurer, c’est gênant et ce n’est pas leur éducation. Il sent monter de l’eau salé à ses yeux alors qu’il se retourne et la prend dans ses bras au milieu du couloir. Elle était plus grande et commençait à ressembler à une femme, lui a encore sa tête de gamin, mais à cet instant ces détails n’existaient pas. Ce geste public, s’il avait su, jamais il ne l’aurait fait.

La découverte de cette amitié ne fait pas de drame chez les élèves, mais une vague de fond allait revenir les hanter. Le sujet des marques sur le corps de la jeune fille reste muet pendant leur première semaine de réconciliation. Même lorsqu’il tente d’en discuter avec elle, elle en détourne le regard et préfère dire qu’elle mentait, que ce n’était rien que sa maladresse.

L’école des grands, maintenant ils s’y voient sans se cacher. Ils marchent dans les couloirs en pouvant se parler et partage même certains cours. Pour Mattew, il n’y eut que les bizutages de difficile. Néanmoins, lorsque la capitaine de l’équipe d’escrime apparaissait, toujours plus grande d’une tête que les garçons, les mauvais moments disparaissaient. Si elle lui donnait un coup de main pour avoir dans cette école du calme, lui s’occupait de l’aider dans ses devoirs. Bien qu’un peu honteux de devoir utiliser une fille comme bouclier. C’est pourquoi il finit, un jour de novembre, du lui apprendre les sports.

Durant les quatre années suivantes, le sablier du temps tourne et inverse tout. Il est devenu le plus grand et le plus doué en sport, elle est devenue plus impliqué dans ses études. L’ombre et le reflet de l’autre, plusieurs tentatives de Mattew afin de s’approcher plus intimement de son amie privée ont échouées. Pour préserver leur amitié, il cesse complètement.
Lorsqu’ils eurent seize ans, Lydia lui demande de venir avec elle, mais de ne poser aucune question. Dans un centre d’avortement, il lui a tenu la main. Dans un centre d’avortement pour la première fois, il l’a vu pleurer.

Une complication survient, l’enfant a évolué trop haut dans l’utérus et lorsque le traitement à commencer, le corps s’est mis en état de choc. L’accouchement provoqué a créé une hémorragie interne violente, le sang a quitté le corps par flot propulsé du cœur. La pression dans le corps s’est soudainement mise à augmenter, risquant de briser les artères pulmonaires. La jeune fille survit à cet avortement catastrophe, mais elle tombe dans un épuisement qui l’envoie à l’hôpital. Là, on demande la famille et Mattew appela le père de son amie privée.

Il ne fut pas difficile de comprendre que Mattew fut interdit de revoir la jeune fille, on l’accusa à tort d’être celui qui l’avait mise enceinte. En espérant faire bien, il dans la crainte, il a perdu son amie privée.
On lui dit, quelques jours plus tard, que Lidya fut envoyée à une école religieuse pour jeune fille. Cette nouvelle brise le cœur du pianiste et du capitaine de l’équipe d’hockey. Il a perdue.

La dernière année d’école avant l’université fut très longue et malgré qu’il ait été cent fois invité au bal de graduation, il n’y trouva pas le cœur. Choisissant une grande école de médecine, son pédigrée l’aidant, il fit de hautes études. Devenu pharmacien, il partit en recherche  biomédical. Il n’avait que 22 ans, il commençait sa maitrise sur les réactions du cerveau pendant le sommeil. Il avait passé une annonce dans le journal pour recruter 10 hommes et 10 femmes souffrant de trouble du sommeil qui seraient payés à venir dormir dans ses laboratoires pharmacologiques. Ils avaient des consignent clair  aucune drogue d’aucune sorte, agir comme ils le font toujours, écrire leur rêves dès le levé dans un carnet. Mattew dirige la recherche, pendant un mois il devait les observer sans médicament et un mois avec les médicaments.

Dès le début, les gens savaient que des caméras étaient installées et pour éviter que certains réveillent les autres avec leurs cauchemars, les murs étaient insonorisés. Ils devaient dormir branchés à une machine qui enregistre et transmet les données de son cerveau. À la première nuit, tout le monde s’endorment normalement… sauf une personne. Une femme dans la fin trentaine gardait une activité cérébrales de réveille et même très stimulé. Sur la vidéo, il remarque qu’elle gigote sous les draps et qu’elle semble même parler. Ouvrant le micro dans cette chambre, il comprit tout de suite. La femme se masturbait.

Se pressant à éteindre le son et regarder ailleurs, le jeune homme était rouge jusqu’aux oreilles à l’idée qu’une femme fasse cela. Le bruit de l’enregistrement de cette femme restait constant et continuait de montrer de l’état d’excitation pendant trente minutes, une heure, puis deux. Au final, c’est Mattew qui dû soudainement s’acheter une boisson énergétique à la machine distributrice à l’autre bout de l’édifice. À son retour, la femme dormait tranquillement.

Au matin, il attendit que les pratiquants de l’essai clinique est tous quitter pour aller prendre leur livre et lire leur rêve. Celui de la femme, il n’osa pas, encore perturbé par ce qu’il avait vu durant la nuit. Certes, il avait eu des copines dans sa vie, mais elles étaient tous plutôt réservé sur le côté sexe de leur vie.
Il finit cependant par passé par-dessus sa gêne et malgré ce qu’il pensait, le rêve était tout à fait banal. Un peu déçu de cet ennuie, il ne voulut pas se l’avouer. Préférant reprendre ses études et oublier ce cas isolé.

Le cas ne fut pas isolé et dès la nuit suivante les signaux cérébraux de cette femme prirent leur envolent d’excitation. Volant arrêter cela, il vient appuyer sur le bouton du micro pour demander à la femme d’arrêter et de dormir. Cette dernière ouvrit les yeux… et Mattew se senti observé à travers l’écran de sa caméra. La femme aux cheveux d’un blond cendré se lève nue sous ses draps. Son corps de femme mure, à peine cachée par une chevelure luxuriante, elle avait les seins de miel et son charme clair. Incapable de détourner le regard, elle ne dit pas un mot et repris sa danse langoureuse. Usant de la couverture comme un linceul, elle enterre l’innocence et quitte sa chambre. Dans un état catatonique il fixe l’écran vide, hypnotisé par cette femme troublante, elle était une folie et le péché d’origine. Entrant sans mal dans la salle d’observation. Les murs ont tremblés sous son assurance! Avançant comme une reine sur terre, écrasant de ses talons les soupirs du ciel. Elle mit le feu à la nuit et jamais Mattew d’découvrir les femmes cougars.

Travaillant et collectant le jour, toutes les informations nécessaires à sa recherche, il était épuisé par ses nuits brulantes et mouvementées. Sa tête embrumée par les délices ne quittait jamais réellement la peau de son ainée.
L’amour vient après le désire, complètement intoxiqué, comme un chien bien dressé, il ne supportait plus le manque de sa présence. Lui qui avait toujours suivi à la lettre les consignes et les livres, était malade par la folie d’une fièvre de jouissance dont il ne voulait aucun remède.

Dès les deux mois de surveillance sur le sommeil terminés, il lui offrit une bague en la demandant pour femme. Au grand drame des parents du pharmacien, elle accepte et se fait offrir tout ce qu’elle désire. Il la fait déménager chez lui, dans une maison bien vue de Montréal. Néanmoins, ils ne vivent pas en deux amoureux. Elle possédait déjà deux fils de deux pères différents. Elle lui offrit ses dettes à payer et des ennuis avec les caïds de cartel de drogues. En deux mois, il ne s’était pas aperçu qu’elle avait une personnalité histrionique, de type limite et énormément dépendante affective.
Il va s’en dire que la vie devient rapidement infernal. Entre ses crises de colère, ses tentatives de séductions des collègues de Mattew et les crises de larmes, le pharmacien essayait de préserver les enfants de la folie de leur mère. Rapidement exploité par eux, les enfants vendaient leurs ce que leur nouveau père leur donnait pour avoir ce qu’il lui refusait. L’ainé des garçons lui dit un jour, après que Mattew leur ai demandé pourquoi ils faisaient cela, qu’ils avaient eu tellement de père différents qu’ils ne s’attacheraient pas à un autre de passage.

Les mots de l’enfant l’ont troublé et lui a fait réaliser à quel point la maladie mental détruisait les gens sain d’esprit comme ceux affectés. Il en choisit de faire ce qu’il savait le mieux faire : Étudier. Utilisant ses cours en pharmacologie et les contacts de sa famille, il prit des cours supplémentaire et en trois ans, il était docteur avec sa spécialisation de médecine. Il déménage ensuite avec sa famille en Floride. Ce changement et cette nouveauté la garde stable mentalement durant trois années. Il faut dire aussi que son mari ajoutait un cocktail de pilule dans son café le matin pour s’assurer qu’elle soit plus contrôlable. Offrant aux enfants une enfance qu’il n’a jamais pu avoir : une enfance normale. Personne ne savait ce qu’avait autrefois fait leur mère d’honteux ici, ils pouvaient amener des amis à la maison, jouer et participer à des tournois d’enfant avec une mère et un père attentionné.

Pendant ces années, quelques fois les enfants se firent gronder, quelques fois la mère eut des crises que les médicaments ne pouvaient pas contrôler, mais rien de suffisant pour inquiéter Mattew à qui il ne restait qu’une année pour avoir le titre de médecin-psychiatre spécialisé en bio-comportement du cerveau. Les garçons n’avaient que 13 et 12 ans quand leur mère tombe enceinte à nouveau. S’était une grossesse risquée, car la femme était aux portes de la quarantaine. Mattew cesse les médicaments, pour le bien de l’enfant à naitre. Les mois furent joyeux, mais ponctué de plus en plus souvent de crises de colère et de larmes, parfois même de menace de suicide de la part de sa femme. Mattew dû reporter la fin de son doctorat pour s’occuper d’elle. Il l’enfermait souvent avec lui et lui attachait les mains pour qu’elle cesse de se frapper.

Il sait que les garçons le savaient, car ils n’amenèrent plus leurs amis. Le père fit tout, de matin en matin, n’abandonnant jamais sa femme. Il l’assoyait à la table à manger pendant qu’il cuisinait les repas des enfants. Il la lavait lorsqu’elle s’urinait dessus dans une de ses fièvres de folie. Il la faisait s’assoir à ses côtés quand le matin et le soir, il devait prendre la voiture pour aller porter les enfants à l’école. La nuit, quand elle se débattait et hurlait parce qu’elle hallucinait des serpents dans ses veines ou des griffes qui s’enfonçaient dans sa gorge, il la serrait contre lui. L’accouchement commença le soir, les enfants à peine rentré dans la voiture et dura presque dix heures. Les garçons s’étaient endormit sur les bancs de la salle d’attente alors que leur père restait dans la salle d’accouchement pour tenir la main de la femme qui donnait la vie.

Il pleura autant que sa femme lorsqu’une petite fille aux cris vigoureux agitait ses bras. L’enfant fut pesé et nettoyé pendant que la mère se remettait de ses émotions. Mattew lui, bien qu’il est vu des dizaines d’accouchement, du s’assoir un moment… Libérer des neufs mois d’enfer, libérer du stress que cela causait à ceux qu’il aimait comme ses fils et bientôt il pourrait libérer sa femme de la folie.
Au matin, lorsque les enfants ouvrirent leurs yeux endormis, ils constatent que leur mère brille de douceur. Elle leur présenta leur sœur, petit bout d’humain rose dorant contre un sein. Mattew pu observer que la libération d’hormone due à l’accouchement de sa femme semblait l’avoir ramenée à la raison. Plus fort que la folie, l’amour d’une mère la ramenée saine d’esprit.

Surveillant néanmoins de prêt le comportement de sa femme, il la voit évoluer sans avoir besoin de médicament, elle s’occupait de ses enfants. Pendant les premiers mois, la petite fille dormit avec ses parents, mais rapidement les géniteurs virent l’amour grandir dans les yeux des garçons qui étaient devenu des grands-frères attentifs. Enfin la vie arrêtait son effondrement, elle leur permettait le contentement. Ils ne souffraient plus de pourriture au fond d’un puit.

Un samedi matin, après un déjeuner avec sa femme et ses trois enfants, il quitte la table en embrassant sa douce et écoutant le rire de ses petits anges. Comme à tous les samedis, il travaillerait jusqu’au soir et il le savait. En quittant la maison, pour aller travailler, dans sa voiture de l’année, il croise des gens heureux sur un matin au ciel de feu. D’un rouge sanglant, il le trouve beau et sait que la journée sera chaude au bord de l’eau.

Son téléphone sonna, alors qu’il lui restait que deux lumière à franchir pour être à l’hôpital ou l’attendait ses collègues. Lorsqu’il décrocha, son sang se glace. Son plus jeune fils hurlait dans le téléphone alors qu’il pouvait entendre en arrière un bruit d’écrasement et les pleureurs de son poupon.
À son arrivé, son grand garçon était couché dans l’entrée, il laisse tomber au sol tout ce qu’il avait dans les mains. Poignardé une dizaine de fois au corps. Toujours vivant, il arrivait à peine à parler… Appelant son frère qu’il pouvait voir dans la salle à manger. Ce jeune garçon sur les carreaux près de la cuisine avait sur lui sa mère, hilare
et affolée, qui grattait un couteau dans sa bouche d’enfant. La joue de l’enfant, éparpillée au sol, inondait son visage de pré-adolescent de sang. Ses yeux, grands ouverts et conscient, regardaient ceux de la femme qui lui avaient donné la vie.

Sans y penser et sans réfléchir, Mattew a accouru pour frapper la mère de ses enfants. Elle a titubée et elle s’est cognée la tête contre une armoire avant de s’écrouler, de sa main le couteau est tombé se le carrelage de sang.
Se penchant sur son plus jeune fils, il voit ce dernier en état de choc qui fixe le lavabo avec désespoir. Ce regard est si vif qu’il fait tourner la tête au pharmacien. Ses yeux remarquent que de l’eau s’en échappe et que le robinet fuit. Comme poussé par une conscience commune, il se lève et voit alors sa fille inerte dans l’eau. Plongeant ses mains pour la sortir de sa noyade, la petite à la robe rose ne réagit pas et ne respire pas.

Prenant son enfant au visage mutilé et son bébé, il les déplace vers l’entrée. Les déposant au sol, il tremble lorsqu’il prend son téléphone qui lui avait glissé des mains à son arrivé. Sa voix est paniquée et enroué de larmes quand il appelle les secours. Penché au-dessus de ses fils en plein hémorragie, il tente avec horreur de réanimer sa fille en posant deux doigts sur la poitrine si fragile et la massant.
Ses deux garçons sont encore conscients quand il fait le bouche-à-bouche à sa petite princesse aux lèvres obstinément bleues. Il entend soudainement une voix derrière lui, des mots féminins qui font face à ses fils. Il n’a pas le temps de se retourner qu’une pluie chaude arrose son dos et le visage des enfants. Tournant machinalement la tête, il regard dans son impuissance sa femme tomber à genoux. La gorge tranché par l’enfoncement d’un couteau dans son œsophage puis brutalement dévié jusqu’à ouvrir sa gorge entièrement par la gauche. Quand la femme qu’il aime touche le sol, la tête rebondie à peine tenu par la moitié d’une gorge en lambeau.

Deux mois après l’incident qui les a amenés à déménager en Californie, il obtient son droit de pratique dans des établissements de contrôle. Mattew peut finir son doctorat après 1 an d’expérience où il choisit de la faire à la California State Prison.
Ses garçons ont dû subir des chirurgies. Malgré l’état du visage du cadet, c’est pour la survie de l’ainé que les médecins se sont inquiétés. Il perdit un rein et une grande partie de son foi, mais il est suivi par suffisamment de médecins doués pour s’en sortir. Ils ont maintenant : 17 et 18 ans. Ils seront bientôt majeurs. 5 ans, c’est l’âge de leur petite sœur remplie d’énergie et de vie. Elle est déjà à la petite école et se fait quasiment élever uniquement par ses frères. Lepère plus souvent au travail qu’à la maison, même si la nuit, on peut l’entendre monter dans les chambres pour regarder le petit dormir. Il y a des années qu’il les regarde dormir sans les réveiller.

Côté joueur

Pseudo : Mat’
Âge : 439 ans
As-tu des remarques à  faire ? Oui : Stanley cache la poussière sous le tapis / Les gardes ne sont pas sain d’esprit / miss la directrice semble avoir beaucoup trop de testostérone pour une femme. AKA : Observation suite au faible taux de graisses dans les cuisses.
As-tu un double compte: Si ceci est mon troisième compte.
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Invité
Invité
Ven 20 Fév 2015 - 13:21
Oh mon dieu.

Encore bienvenue. Je bave sur l'image de la description physique.
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Invité
Invité
Ven 20 Fév 2015 - 13:44
Re - bienvenue *q*

*Va lire le début de fiche*
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Invité
Invité
Ven 20 Fév 2015 - 15:57
Je vous remercie de cet accueil (à nouveau)

J'ai passé le tout à un correcteur, mais si des phrases n'ont pas de sens, prévenez-moi pour que je les change. J'ai bien conscience que c'est long, j'ai donc souvent abrégé, néanmoins je crains d'avoir rendu cela moins attrayant à lire.

Je vous laisse à vos basses besognes de vils et adorables admins.
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Invité
Invité
Sam 21 Fév 2015 - 13:25
Tu es validé !


Cette histoire... Effectivement j'ai eu quelques incompréhensions dans la première partie de ton histoire mais rien de problématique. Nous avons enfin un psy avec une histoire touchante ♥

Félicitations tu es à présent validé, tu peux librement poster tes rps. Pour ton information, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens.

Une rumeur te sera bientôt délivrée !

Amuse toi bien parmi nous !
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