Une nouvelle vie commence Stan’. Tu le sais, tu t’es fais une raison, mais ce n’est pas pour autant que t’es ravi de ce fait là. Voilà, les gens, c’est tous des connards, et c’est toi qui termine en prison. Ah ce n’était pas simple hein, mais faut bien que tu y termine un jour. Alors tu t’es contenté d’être tranquille, t’imaginant ce que deviendrait ta vie maintenant, et t’imaginant si tu ne pouvais pas voler une de ces matraques ou menottes pour tes petites parties de jambes en l’air à venir. T’as un petit sourire con en regardant des propres poignets menottés, c’est bien la première fois que quelqu’un arrive à t’attacher.
T’es dans le fourgon, il fait tout noir presque, t’as quelques faisceaux de lumières qui passent par les ouvertures où les gardiens sont placés. Dites donc, ils ont pas l’air commode ces gars là. Tu te demandes comment ça s’organise une vie en prison et t’espères que t’auras un petit kit de bienvenue du nouveau visiteur. Mais ça, faut pas trop rêver. C’est comme ton premier job, t’apprends sur le tas et quand tu te trompes tu te fais arracher la gueule. Bah là c’est pareil. Le fourgon s’arrête, et la nouvelle vie commence.
Ça y est, t’es en prison. T’as plus tes affaires personnelles, tu portes une magnifique combinaison orange, qui te donne un teint… Bah t’as pas d’allure quoi. On te guide dans le hall, tu passes devant plein de gens qui te toisent, puis après t’es accueillit par la directrice. Tout de suite tu te dis qu’elle est bonne, et que t’aurais bien envie de lui cravacher les fesses et de menotter ses chevilles tout en laissant ses louboutins. Ouais ce plan te tente mais vaut mieux pas rester dans ses pensées, faut garder la tête froide, et le regard dans ses yeux, pas dans son décolleté. Tu sais plus trop ce qu’elle balance, mais t’y crois et tu acquiesce.
C’est comme ça que t’as fini devant l’infirmerie. Les gardiens t’ont rien dit, du moins celui de droite, l’autre à gauche, un petit blond mignon t’as expliqué que t’allais passer une visite médicale, qu’ils allaient faire un check-up complet parce qu’on ne sait pas où t’as trainé avant. Merci, c’est sympa, genre t’es crade. T’as rien dis, en fait, depuis le début, t’es silencieux, t’as juste dis ton nom à un mec qui te l’a demandé, mais sinon t’es le roi du silence.
Du coup t’attends. Monsieur le docteur ne devrait pas trop tarder à venir te chercher. T’espères juste que lui au moins il est sympa et qu’il va te taper la discut’…
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Lun 2 Fév 2015 - 11:37
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Lun 2 Fév 2015 - 18:58
Inspection à l’arrivée
Quand le doc’ t’a ouvert la porte, t’as écarquillé les yeux en le regardant de haut en bas. Ben ça alors… T’as tellement buggué dans ta tête que les gardiens ont dû te pousser à l’intérieur de l’infirmerie. T’as manqué de te casser la figue mais t’as rien dit, tu t’es remis droit, sagement. Toi qui t’attendait soit à une infirmière coquine ou un petit vieux qui tremble, te voilà servit avec le médecin jeune et beau gosse. Faut croire que la directrice de ces lieux sait s’entourer. La coquine, elle adore les fessées t’en est certain.
Les gardiens furent bien vite congédiés et tu t’es contenté de les regarder partir en silence, t’avais pas encore dit un seul mot. Tu trouves juste que t’as beaucoup moins de dégaine maintenant que t’es dans cette horrible combinaison orange qui fait ressortir tes cheveux acajou. T’as reporté ton attention sur le médecin du coup, qui lui aussi semblait reposer son attention sur toi. Tu l’as regardé, et il s’est mis à parler. Brr autoritaire. T’aimes pas ça, c’est toi l’autorité, c’est toi qui domine et qui maîtrise tout. Dans chaque situation. Maniaque du contrôle.
T’as eus envie de résister dans un premier temps, juste pour montrer que t’es pas un petit soumis, mais après tu t’es dis que pour ta première journée ici, tu ferais mieux de te tenir tranquille alors, quand il t’a dit d’enlever cette horrible combinaison orange, tu t’es contenté d’un :
« Avec plaisir… » De ta voix chaude et rauque.
T’as alors viré tes pompes, dézippé la combi’ et enlevée, t’as viré ton débardeur pour te retrouver en boxer. Dans une seconde d’hésitation tu t’es demandé si tu devais enlever ton boxer aussi, mais finalement tu t’es dis qu’il te le demanderait plus tard. Oui, ça semble évident qu’il doit ausculter… Partout et vérifier partout si il n’y avait rien de suspect.
Presque nu, tu t’es assit sur le lit du coup. Le médecin avait tout le loisir d’observer les longues scarifications qui zébraient la totalité de ton corps. Seul ton visage avait été épargné. Cela peut paraitre vraiment impressionnant vu de l’extérieur ou pour les gens non habitués. Sur ton biceps droit il pouvait lire le mot « SEX » tatoué à l’encre noire et sur ton plexus solaire, au centre en dessous de ton cou et au dessus de tes pectoraux, trois piercings qui forment un triangle… Sans compter les nombreux que tu as aux oreilles.
Tu t’es donc sagement assit, et t’as attendu. T’es musclé, t’es beau, et t’as une bonne allure alors t’as pas honte d’être dans le plus simple appareil (ou presque).
« Stan. Stanley Ainsworth. A I N S W O R T H, Avais tu dis, puis épelé pour répondre à ses questions, Je suis né le 10 Août 1990. »
Tu restes bien droit à le regarder dans les yeux, ton petit sourire malsain ne quittant plus ton visage dorénavant. T’aime bien t’imaginer les pratiques sexuelles des gens avec qui tu parles. Et lui, tu l’imagines beaucoup, apprécier le fouet et diverses autres attaches. Ton regard dévie d’ailleurs sur les attaches qui ont servies pour le détenu précédent. Tu espères juste que tu auras pareil dans ta cellule.
« Il faut que je me mette complètement nu, Doc ? Et vous semblez bien jeune, vous avez le droit d’être ici au moins ? » Taquin… Salaud va.
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Ven 6 Fév 2015 - 14:54
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Ven 6 Fév 2015 - 20:03
Inspection à l’arrivée
Tu sais un peu mieux pourquoi tu n’aimes pas vraiment les médecins en fait. Ils restent derrière leurs bureaux, ils prennent des notes et de jugent comme des connards. Et toi t’aimes pas ça. T’espères que ce doc’ il va bouger son cul et vraiment s’occuper de toi, sinon tu vas l’insulter de tous les noms cet espèce d’incompétent. Mais pour l’instant tu dis rien. Tu te contentes d’obéir parce qu’il faut bien, que t’es un bon petit gars bien sage. Mais il fini par se lever, et t’as un petit sourire amusé. Tu roules un peu des yeux quand tu le vois prendre ta main pour te faire lever, mais tu lèves ton beau cul rebondi de là tu le laisse faire son boulot, comme ça t’es tranquille et tu pourras aller te poser dans ta piaule tranquille.
De toute façon, t’as rien à râler pour l’instant. On matte ton corps et t’en est fier. T’es beau gosse et tu le sais. Tu le laisses passer derrière, tant qu’il s’aventure pas trop loin tout va bien, n’est-ce pas ? Tu l’écoutes attentivement. Il ne semble que faire le tour de ton corps pour voir si tout va bien. Il doit être surprit par toutes tes scarifications, tu adores l’effet que ça fait au premier abord aux personnes qui te découvrent nu. Ou comme quand tu allais à la piscine municipale, c’était toujours rigolo… Ou encore lorsque tu soumettais Tania, ta belle Tania dans diverses positions et qu’elle se surprenait toujours à découvrir de nouvelles scarifications sur tout ton corps.
« Non, j’apprécie les beaux gosses. Même ceux qui me touchent sans autorisation… Dis-tu en baissant ton regard sur son doigt qui te touche le corps. Mais ce n’est qu’une question de dressage. »
Tu hausses les sourcils avec un air lubrique. Terriblement dominateur. Tu ne bronches pas quand il pose son stéthoscope terriblement froid sur ton torse. S’il est attentif il entendra que tu as un léger souffle au cœur, rien d’alarmant mais c’est à contrôler régulièrement. Niveau respiratoire, tu n’a rien. De même pour la tension. Tu laisses paraitre l’image d’un homme qui a le contrôle sur tout. Sur son corps, sur son esprit et sur les gens qui l’entourent. Tu aimes le contrôle et tu ne laisseras jamais quelqu’un te contrôler.
Tu acquiesces ensuite, sans vraiment te douter de ce qu’il va arriver. Tu baisses ton boxer, dévoilant un corps qui n’a vraiment rien à envier à son prochain. Ton fessier est particulièrement musclé, trois grains de beauté formant un triangle dessus. Quand à ton sexe… Il est vraiment de bonne constitution, long, large, veiné. Bref. Même au repos il donne envie à n’importe qui. Bref tu t’affiches sans aucun soucis, tu te redresse, les mains sur les hanches avant de comprendre ce qu’il voulait dire quand il parlait de « vérifier si tu ne cachais rien ». Oh putain l’enculé.
« Euhm par contre tu vois, on ne rentre pas là dedans, c’est une voie de sortie uniquement, personne ne rentrera jamais là dedans. »
Tu te mets face à lui, un petit sourire charmeur aux lèvres.
« Allez, on peut faire un petit deal toi et moi… On fouille pas mes fesses, tu vois je suis un dominant moi, je dois tout contrôler et ce que tu veux faire je ne contrôle pas du tout en fait. »
Je finis par gronder, le regard fixe, autoritaire.
« Alors tu vas être gentil. On va oublier cette étape, et passer à la suite de l’examen, n’est ce pas ? »
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Lun 9 Fév 2015 - 15:59
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Mar 10 Fév 2015 - 13:54
Inspection à l’arrivée
T’es pas en forme Stan’, tu as voulu rester sage pour ton premier jour en prison mais il faut croire que le destin en décidé autrement. Il faut croire que cette première journée commence mal, ou très bien selon les points de vue allez savoir. Tu grognes, vraiment pas content du sort que te réserve le médecin. La situation à beau être très sexy en soit, le fait que ce soit toi qui soit plié au bon vouloir du docteur t’excite beaucoup moins. Et puis, ce n’est pas comme si t’avais le cœur brisé à cause de cette pute de Tania hein !
Tout aurait pu se passer calmement, tu aurais râlé mais il aurait fait sa fouille, tu aurais eus la honte de ta vie et puis c’est tout. Mais non, tout ne passe jamais comme prévu. Tout ne se passe JAMAIS vraiment JAMAIS comme prévu. Tu n’avais pas prévu d’être retourné d’un coup sec et plaqué contre le mur avec les mains de cet homme qui parcourent ton corps. Vas-y profite salaud, c’est pas comme si j’étais à poil. Pensais-tu, encore en état de choc.
Il te faut agir vite, il te faut trouver une solution et activer ton cerveau, tu ne peux pas supporter d’être soumis de la sorte. Tu regardes rapidement autour de toi, te demandant si tu ne peux pas te servir d’un truc pour l’assommer et lui arracher les mains par la suite. Bon dieu il ose te tripoter de la sorte ! Saleté d’être inférieur qui se pense supérieur.
« Te proposer quelque chose ? » Dis-tu en te redressant soudainement.
Il ne te faut pas beaucoup d’effort pour te retourner, un air lubrique sur le visage. Tu le domines par ton esprit, et tes envies. Tu le regardes droit dans les yeux avant de te mordre la lèvre de façon sensuelle, trahissant tes intentions coquines. Tu as levé une main, et effleuré la joue du docteur avant d’approcher tes lèvres des siennes pour venir souffler tout contre elles.
« Je pense en effet avoir quelque chose pour toi, quelque chose de taille. »
Et ton regard descendit vers ta propre entre-jambe qui lentement se réveillait, excitée à l’idée de reprendre le contrôle de la situation.
« Si tu vois ce que je veux dire… »
T’as avancé d’un pas, rapprochant ton corps du sien, ton corps brûlant. Tu l’as repoussé, tout en étant toujours collé contre lui, ton érection se faisant de plus en plus présente. Vous avez finis par buter contre un obstacle : le lit. Quelle sublime idée. Un sourire en coin naquit sur ton visage, dévoilant tes dents blanches. Miam, tu ne vas en faire qu’une bouchée de ce médecin trop sexy. Mais surtout trop détendu. Il mérite d’être puni pour avoir osé faire ça. Lentement, tu lui prends les mains, tu les pose sur tes propres hanches, tu les fais remonter le long de ton torse puis tu le laisse te tripoter le temps que toi, tu viennes enfouir ton visage dans son cou, tu y dépose des baisers chauds, quelques morsures, tout en déboutonnant sa chemise. Oh des tatouages ? Tu te redresses en voyant cela et tu hausses un sourcil, amusé.
« T’en as d’autre des surprises, Doc’ ? »
Bon. Assez rigolé, toi t’en as une bonne. Tu finis par le pousser sur le lit, et tu lui grimpes dessus. C’est qu’un vulgaire lit d’infirmerie, rien de très sexy mais c’est parfait pour ce que tu comptes lui faire. Tu glisses tes mains le long de ses bras que tu étires en l’air, tu les fais remonter tout le long des barreaux du lit. Tu t’empares de l’attache qui a certainement servit pour contenir le détenu avant toi et tu y ligote le beau docteur.
« Voilà, sans tes mains tu arrêtera de me toucher sans autorisation. »
Tu restes assis à califourchon sur lui, complètement nu. Il ne peut plus réellement bouger. Toi tu peux, mais tu te contente de l’observer, assit sur son bassin, nu comme un vers. Il doit avoir une belle vue sur ton anatomie d’ici le doc’. Quel chanceux !
« Je te l’ai dis, c’est moi qui domine. »
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Ven 13 Fév 2015 - 17:54
Spoiler:
j’espère que ça ira ?
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Lun 16 Fév 2015 - 17:46
Inspection à l’arrivée
Il commence par dire non. Ils commencent toujours par dire non. Mais le oui arrive toujours vite. Surtout devant un mec comme toi Stanley. Tu es sûr de toi, tu es le dominant et tu le sais, tu es celui qui fera régner sa loi ici. Oui, tu ne comptes pas te faire marcher sur les pieds. Et puis quoi encore ? Ce n’est parce qu’il est le médecin qu’il peut se permettre de te toucher les fesses de cette manière. En matière de sexe, c’est toujours toi qui décide. Et u en ferais ce que tu veux de ce petit mec là.
Alors tu uses de tous tes charmes naturels. Le sourire froid, aguicheur, puissant. Le regard profond, tout aussi puissant. Tu es là, tu le regardes, tu le touches. Il est hors de question que quelqu’un t’immobilise de la sorte. Il doit être puni pour son comportement, le vilain petit soumis. Tu le sens frissonner sous tes lèvres dans son cou. Quand tu l’embrasses, quand tu le mords, tu sens son corps qui, fébrile, commence à céder face à l’envie et le désir qui monte en lui autant qu’en toi.
Mais toi, tu es le maniaque du contrôle. Le grand Stanley Ainsworth qui ne laisse rien dépasser. Alors ce n’est pas parce que tu as le sexe tendu comme jamais que tu te permettras de craquer de faire ça comme un sauvage. Non, pour ton premier jour en prison, tu vas montrer de quoi tu es capable. Tu vas montrer ton art. Au début, le soumis se débat toujours, il teste les attaches, il ne veut pas rester dans cette situation, cela fait peur de lâcher le contrôle à quelqu’un d’autre.
Tu as souris Stanley, parce que le plan est toujours le même. Ensuite, voici les menaces.
« Oh oui tu vas hurler, je crois bien… Mais pas pour appeler les gardiens… T’as commencé alors, en te penchant un peu vers lui. Tu vas hurler mon nom… »
Oh un imprévu dans le plan. Il y en a parfois. Un petit mouvement souple et tu te retrouve contre lui, toujours assis sur lui, mais emprisonné entre ses cuisses. Il en profite pour te mordre le cou. Tu grimaces. C’est excitant, mais tu n’aimes pas quand les soumis ont de l’imagination, toi, tout ce que tu veux, c’est commander.
Pourvu qu’aucun gardien n’entre.
Ah. Le plan habituel recommence, voilà que le soumis se met à marchander. Il veut du sexe, c’est certain, il en veut. Cela ne se voit rien qu’à la déformation dans son pantalon. Tu as un léger sourire alors que tu poses ta main dessus, à plat. Tu commences à la bouger de haut en bas, très légèrement, en te redressant. Ce n’est qu’une simple caresse, rien de plus. Assez pour attiser le désir, pas assez pour satisfaire.
Parfait pour brûler.
« Ils n’aiment jamais être attachés… Mais moi c’est ce qui m’excite le plus lorsque vous êtes attachés… As-tu dis pour lui répondre, la voix froide. C’est ce qui me rend le plus efficace. »
Tu te retournes légèrement pour attraper ses cuisses et écarter ses jambes afin de te libérer. Tu les empoigne et te relève, à présent debout près du médecin, tu lui offres un magnifique tête à tête avec ton membre. T’es trop généreux.
« On va arrêter l’entretien médical pour l’instant hein, on va dire que je vais bien. N’est-ce pas… ? »
Tu ne bouges pas de ta place, sage.
« Cependant, tu as été un très mauvais médecin, Doc’. Très mauvais. Et pour cela je dois te punir. Je vois que tu bien envie de continuer et ta punition sera donc… Tu te penches vers ses lèvres pour murmurer tout contre elles. La frustration. »
Bon, tu te punies aussi en faisant cela, mais c’est pour mieux attiser l’envie et la rage n’est-ce pas ? Tu te recules enfin et tu reprends ton boxer, pour ensuite enfiler ta combinaison, le débardeur ne tarde pas à revenir sur ton torse aussi.
« Allez doc’ sans rancune. La prochaine fois, si t’es sage, tu auras une gâterie… »
Tu te lèches les lèvres d’un air enjôleur avant de t’apprêter à sortir pour qu’on te conduise à ta cellule que tu n’as pas encore vu… Enfin, si le doc ne fait rien entre temps…
Spoiler:
ALORS OUI JE SAIS. Pardon. Stanley est un bon gros SALAUD. Mais à toi d’agir si tu y arrives 8D
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